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alveo3d

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  1. @Idealnight Plein de choses pour 2022 mais ca ferait de la promo si nous en parlions ici. Dans les sujets qui nous sont les plus demandés (hors filtration), le champion est la sécurité incendie, puis la régulation thermique ...
  2. Des mesures que nous avons faites sur notre banc de mesure avec compteur de nanoparticules, l'ABS est le plus émissif des filaments. Nous conseillons une ventilation permanente car les concentrations mesure en particules de 10 à 100nm on été enregistrées à plus de 200x la pollution atmosphérique dans un caisson non ventilé. (pour comparaison le PLA c'est un rapport de 30x au maximum que nous avons mesuré) Si vous voulez imprimer de l'ABS nous recommandons de faire un caisson étanche de petit volume avec un système de filtration d'air interne au caisson fonctionnant en recyclage. Ainsi pas de perte de chaleur et sécurité préservée. Dans notre ferme de Prusa, nous utilisons des caissons non étanches avec une filtration en continue AlveoONE à vitesse de ventilation réduite. La température est d'environ 30 à 45°C suivant la température extérieure. Avec cette configuration nous arrivons a imprimer du PLA PETG et ABS avec les mêmes installations. Nous jouons sur la vitesse de ventilation suivant le filament. Bien entendu si l'on ventile moins vite en ABS, il est important de laisser la ventilation plus longtemps avant d'acceder au caisson. La règle que nous conseillons est simple. Ventiler jusqu'à refroidissement du plateau chauffant avant d'acceder à l'intérieur du caisson. En effet l'ABS est plus émissif que le PLA et s'imprime plus chaud donc le temps de refroidissement est plus long et la ventilation sera également plus longue. Attention quand meme, les imprimantes ne sont pas faites pour évoluer dans des ambiances trop chaudes. L'électronique pourrait ne pas aimer. Notre expérience de fabriquant de caisson nous pousse a privilégier les caissons non étanche avec filtration AlveoONE (c'est a dire en évcuation d'air du caisson). Pour faire monter la température dans le caisson on joue sur son volume (petit volume avec bobine à l'extérieur pour ceux qui font de l'ABS par exemple), on joue sur la vitesse de ventilation et sur la qualité isolante des panneaux utilisés.
  3. en effet, ce n'est pas la meilleur approche. Il est bien plus efficace de prendre le bon ventilateur dès le départ. pour nos kits de filtrations nous utilisons des ventilateurs axiaux à forte pression statique mais toujours 1 à la fois. Ils poussent l'air à travers le filtre. Le débit d'air est choisi en fonction du taux de renouvellement que l'on souhaite obtenir dans le caisson. Et en fonction de ce débit on sélectionne un modèle de ventilateur dont la pression dynamique correspond à la résistance du filtre. Je dirais qu'il est préférable de prendre un ventilateur à forte pression statique et réduire sa puissance si nécessaire que de multiplier les ventilateurs
  4. Le débit n'a aucune importance si le ventilateur ne génère pas assez de pression pour faire passer l'air à travers le filtre. Difficile donc de prendre un ventilateur silencieux pour faire circuler l'air à travers un vrai filtre HEPA, on parle quand meme de filtrer des particules de moins de 300nm donc si le filtre utilisé laisse passer l'air avec un simple ventilateur d'ordinateur, vous devez vous poser des questions. De plus pour que le filtre HEPA fonctionne parfaitement, il faut contrôler la vitesse d'air à la surface du média en fonction des recommandations du constructeur. C'est pour cela que le chois du couple filtre ventilateur nécessite une étude
  5. L'INRS a publié ses recommandations pour la fabrication additive a travers un webinaire. Cet organisme va publier les fiches sécurité a partir de ce webinaire et cela sera la base des recommandations dans le monde professionnel. https://www.inrs.fr/media.html?refINRS=Anim-256
  6. Bonjour, Les particules émises par les imprimantes 3D que ce soit en PLA, ABS ou autre, sont en générales des nanoparticules de 10 à 100 nm et la quantité varie en fonction de la température d'extrusion, donc un PLA imprimé à 190°C et moins émissif qu'un PLA imprimé à 220°C qui est moins émissif qu'un ABS à 250°C. Pour la différence je vous propose un petit toto rapide https://www.alveo3d.com/fr/nanoparticules-differences-pla-abs/ Et pour les nanoparticules, toutes les réponses ici https://www.alveo3d.com/fr/nanoparticules-imprimantes-3d/ Un filtre H11 ca "n'existe pas", la norme EN1822 défini les filtres à haute performance en EPA 10/11/12, HEPA 13/14 et ULPA 15/16/17. https://www.france-air.com/blog/2019/05/09/les-normes-en-1822-et-iso-16-890/ Si vous voyez des appellations type H11 c'est purement commercial, et pour etre certain d'avoir un vrai filtre HEPA demandez le certificat EN1822 du filtre. Une particules PM2.5 est une particules de 2500nm. Comparé au 10 à 100nm de nos particules d'imprimantes 3D, on est sur des éléments de taille bien plus grosse. Donc un "vrai" filtre HEPA certifié sera très efficace voir absolu sur ces particules. Mais cela ne garantie pas un traitement de l'air des particules de votre imprimante 3D. Seulement des PM2.5 contenues dans l'air ambiant. Assurez vous que le filtre HEPA dispose soit au moins un H13, que la vitesse de passage d'air dans le filtre permettent une capture des particules de moins de 100nm (rappel la norme EN1822 défini une performance pour les particules MMPS d'environ 300nm). Le filtre à charbon élimine les COV. Assurez vous également que le mélange de charbon actif soit spécifiquement développé pour les COV émis par l'impression 3D. Il existe des milliers de type de charbon actif ou média moléculaire pour traiter les COV, tous ne traitent pas les mêmes choses. Le PLA reste du plastique que vous faites fondre. Ce n'est pas sans danger, car il y a aussi des émissions de particules ultrafines et de COV. Suivant la température d'extrusion et les additifs, le danger sera plus ou moins grand. De manière général, il est moins émissif que les autres filaments. Le danger est l'exposition chronique surtout dans les petits locaux et les pièces mal ventilées.
  7. Capot avec Filtration ou évacuation d'air à l'extérieur. Ou pièce ventilée dédiée à l'impression 3D. Nous recommandons au moins un des 3 cas. Le brassage d'air fait avec notre kit alveoONE-R qui filtre en meme temps. Il ne faut jamais laisser une imprimante dans un capot sans système de filtration d'air ou d'évacuation d'air. Les concentration de polluants sont importantes sinon. Nous proposons nos kits ou nos boîtiers complets avec la carte V1, c'est une simple petite carte électronique qui permet de brancher l'alimentation 24v et le ventilateur. Elle comporte une led de fonctionnement, un interrupteur et des connectiques supplémentaires. Notamment une broche pour connecter la Carte v2 qui n'est pas indispensable au fonctionnement du système de filtration mais qui apporte des fonctionnalités utiles. En premier lieu le compteur d'utilisation du filtre pour le changement, la température, la vitesse de ventilation et différent modes de ventilation pour filtrer l'air pendant l'impression. Vous pouvez donc acheter un kit ou un boitier complet et si besoin rajouter la carte V2. Elle ne remplace pas la V1 mais apporte des fonctionnalités supplémentaires au système complet. Vous imprimez dans le plastique que vous voulez. Nous utilisons depuis plus d'un an sur notre ferme d'imprimantes des boitiers en PLA et nous sommes très satisfait de la tenue dans le temps. Le PLA est un peu rigide pour les grilles qui vont sur le boitier de filtration. Nous les imprimons en ABS pour la souplesse mais vous pouvez les imprimer en PETG ou autre filament moins polluant que l'ABS. En effet le tarif a augmenté car nous faisions un tarif préférentiel pour les clients de la première année qui nous ont fait confiance. Mais nous avons également apporté des améliorations structurelle, des optimisations électriques et des connectiques supplémentaires. Le système électrique est en 24v à présent et peut se brancher directement sur une alimentation d'imprimante 3D. Les filtres également ont connus quelques optimisations, l'ensemble est plus performant. Alors la réponse est très simple. Mesurer des nanoparticules de 10 à 100 nm nécessite des appareils très chers qui sont en général des compteurs de particules à condensation. Ils fonctionnent en faisant grossir une nanoparticules à l'aide d'un fluide qui vient gonflé la taille et qui rend le comptage plus facile. Il y a d'autres technologies mais les tarifs s'envolent comptez 5000 à 30000 euros un appareil de comptage de nanoparticules. Nous sommes en train de réaliser un nouveau banc de test pour mesure de nanoparticules dans nos locaux pour ne plus dépendre systématiquement des labos. Nous voulons proposer dans quelques temps des vidéos sur notre chaine youtube pour montrer en temps réel les émissions de nanoparticules pendant les phases d'impression.
  8. Vous pouvez faire une enceinte fermée mais il faut déjà voir ce que le constructeur de votre machine recommande comme plage d'utilisation de votre imprimante. L'électronique est la mécanique n'aiment peut être pas les températures supérieures à 40/50°. Avez vous déjà mesuré des température caisson fermé en impression PLA? quel est votre objectif de température pour l'ABS? A titre d'info chez Alveo3D nous imprimons notre ABS entre 35 et 45° de température ambiante avec de bons résultats. Nous recommandons l'évacuation d'air filtré car dans le cas d'un caisson fermé, les concentrations de polluants peuvent vraiment grimper. Le risque se trouve dans un caisson totalement étanche lorsque vous devrez accéder au caisson rapidement sans avoir le temps de laisser le système de filtration faire son office. En cas d'impression ABS nos mesures ont révélé un taux de nanoparticules jusqu'à 100x supérieur à la normal. Dans le cas du PLA c'est plutot de 10 à 20x. ATTENTION aux caissons fermés sans ventilation, c'est le pire des cas ! Concentrer les polluants dans un enceinte chauffée non ventilée présente un danger lors de l'accès à la machine. Avec le système de filtration d'air AlveoONE, le temps de filtration avant accès est déterminé par rapport au volume du caisson. Ce temps est géré par la Carte v2 qui commande le ventilateur. Il est recommandé de ventiler un certain temps après impression car le temps du refroidissement du plastique et de l'imprimante il y a encore des dégagement de polluants.
  9. Ceci est une réflexion qui mérite investigation approfondie. L'avantage d'une surface lisse est le nettoyage. Nous attendons de plus amples analyses sur le sujet. Le CEA de grenoble travail sur les émissions novices des imprimantes 3D. Nous relayerons les résultats quand ils seront publiés
  10. Bonjour @Luluduino Certains types de plastiques comme l'ABS nécessitent une température ambiante plus élevée pour obtenir de meilleur résultat d'impression. Ils n'aiment pas les différences de température et un refroidissement trop rapide non plus. Donc un ventilateur qui viendrait à faire des mouvements d'air et donc des différences de température pendant l'impression pourrait créer ce genre de soucis. Ca dépend du type de plastique notamment. Lors de l'achat de votre filament le constructeur peut donner ce genre d'information. Pour les filaments courants PLA, ABS, PETG, NYLON, ... Disons que les profils vont de la température ambiante à 80°C. Pour une réponse plus précise, je pense qu'il faudrait un sujet dédié tellement il y a de réponses possibles mais chaque filament aura sa plage de température idéale. La solution la plus adaptée dépend de votre caisson. Si vous avez un caisson étanche, il vous faut un alveoONE-R. EN général ce type de caisson permet de mieux monter en température. L'air brassé est à la meme température puisque dans une enceinte fermée. Donc peu de risque de warping. Malgré tout on évite de diriger le flux d'air sur le plateau. L'avantage de cette solution est également de pouvoir arrêter la ventilation pendant l'impression et de la déclencher avant l'ouverture du caisson pour purifier l'air. Il faudra la laisser tourner plus longtemps en revanche avant ouverture et cela nécessite un système de commande à distance comme notre Carte électronique V2. La solution alveoONE est la plus répandue car elle fonctionne sur les caissons non étanches. Vous placez le boitier de filtration sur une facade du caisson et une entrée d'air à l'opposée. Moins votre caisson est étanche plus vous pouvez réduire la dimension de l'entrée d'air à l'opposée du filtre. Encore une fois on évite de placer cette entrée d'air dans l'axe du plateau pour éviter tout risque de flux d'air perturbateurs. Malgré tout nous avons fait en sorte que les flux d'air soient limités. Les caissons ne sont pas très volumineux et donc il n'est pas nécessaire de générer un gros débit d'air. C'est meme contre productif en matière d'efficacité de filtration. Et encore une fois avec notre carte V2 vous pouvez gérer la vitesse du ventilateur. Il n'est pas nécessaire de le maintenir à la vitesse max pendant l'impression. Il y a plusieurs topic à ce sujet notamment celui de l'ATE_Panda. Nous faisons aussi des caissons sur mesure et nous avons quelques connaissances sur le sujet. Il faut avoir à l'esprit que le caisson est un outil de sécurité d'une part et de réussite des impressions de l'autre. Sur ce second point, il faut se poser la question des filaments que l'on veut imprimer et donc de la cible de température à atteindre. Merci pour l'info, c'est une coquille que nous allons corriger. Nous pages sont en maintenances actuellement et la relecture n'est pas encore faites.
  11. Isolant acoustique poreux pas top avec les nanoparticules qui vont se loger.
  12. La filtration d'air n'est pas si simple surtout en ce qui concerne les émissions polluantes d'imprimantes 3D. Nous faisons des kits de filtration d'air en effet @Tircown qui ont pour objectifs de traiter les COV et les nanoparticules. Les mesures que nous avons réalisé en laboratoire montrent qui le plus gros danger concerne les nanoparticules (10-100nm). En air ambiant nous en trouvons environ 4000 par cm3 (condition test à l'air libre). Lorsque nous lançons une impression PLA cela monte rapidement à 60000 nanoparticules/cm3 puis se stabilise vers les 15000-20000 nanoparticules/cm3 En ABS c'est encore plus dangereux : 400000 nanoparticules/cm3 en pic et 120000 nanoparticules/cm3 en moyenne. Ce qui veut dire que quand vous ouvrez le caisson et que vous mettez votre tête dedans, vous prenez 5 à 100 fois la dose par rapport à la concentration ambiante. Les nanoparticules ont sans doute tendance à s'agglomérer avant le temps et former de plus grosse particules, ce qui explique les pics de nano en début de print puis une stabilisation de la concentration dans le caisson. Ce qui est intéressant avec la filtration d'air c'est qu'en sortie de filtre nous atteignons 90 à 99.9% d'efficacité suivant les conditions (usure du filtre, température, humidité, concentration, vitesse de ventilation ....) En ce qui concerne les COV (gaz toxiques), le risque est moindre, on parle de concentration en microgrammes / m3 ce qui est loin des seuils préconisés pour la santé mais malgré tout au bout de plusieurs heures de print ces concentrations peuvent s'accumuler et devenir nocives. Il est donc conseillé d'utiliser un filtre qui va traiter ces deux émissions toxiques Filtre à très haute efficacité particulaire et Charbon actif ou autre technologie Mais comme certains l'on bien dit, pour filtrer fin, il faut un filtre très résistant à l'air. Et forcément les systèmes qui fonctionnent avec de vulgaires ventilos de PC ne sont sans doute pas très efficace. Il faut des ventilateurs haute pression. Il faut également que le filtre soit parfaitement étanche avec le système. Sinon l'air prend le chemin le plus simple et vous avez des fuites. Nous avons vu des systèmes de filtration artisanaux avec un meilleur plan de joint que des systèmes vendus par des marques (même sur des machines à 5000 €) Voir pire encore, au salon 3D Print de Lyon un filtre à charbon actif sur une imprimante SLA rempli à seulement 30% (donc 70% de l'air n'était meme pas en contact avec le média filtrant). Nous avons sortie notre Carte V2 pour contrôler la température, la vitesse du ventilateur et mesurer l'usure du filtre afin de réduire le bruit pendant le print @Bosco2509 Puis au delà de la filtration pensez également aux produits que vous mettez sur vos plateaux chauffant pour les nettoyer ou faire adhérer les pièces.
  13. Bonjour à tous, nous serons exposants alveo3d.com au salon du 4 au 6 juin pour présenter nos solutions de caissons et de filtration d'air pour imprimantes 3D. Nous aurons le plaisir de rencontrer les membres du forum sur notre stand @alveo3d. Nous avons la possibilité d'offrir des badges VIP. Ils permettent de bénéficier d'une entrée gratuites avec un certains nombres de petits bonus. Si parmi vous certains souhaitent en profiter, n'hésitez à nous contacter en MP ou par mail contact@alveo3d.com. Il n'y a aucune obligation envers nous si vous bénéficier de ces badges, nous avons quelques places de libres et nous souhaitons juste les offrir en retour de tout ce que nous apporte ce forum.
  14. En effet c'est un bon volume, une petite photo du caisson? Quoi qu'il en soit pour filtrer fin (nanoparticules), il faut des filtres très efficaces et donc des ventilos assez puissants. Nous avons fait un petit récap sur ce lien la si vous souhaitez en savoir plus sur les nanoparticules. D'après nos discussions avec l'INRS, les risques liés aux nanos sont plus importants que ceux liés aux COV dont la filtration est plus problématique. En effet les filtres a particules se colmatent avec le temps et ne perdent pas en efficacité. Un filtre à charbon pour les COV va réagir de façon différente. En saturant il va laisser passer tout les gaz nocifs. Il est donc important des les changer avant saturation.
  15. Surtout pas !!!! Notre filtre faire 40 mm d'épaisseur, il contient 20 mm de filtre HEPA plissé ce qui augmente la surface de filtration et contient également 20mm de charbon grain. Le filtre HEPA à des chances de saturer avant le charbon actif et nous nous servons de sa saturation pour mesurer l'usure du filtre avec la carte v2 (contrôle avancé du boîtier de filtration). Nous voulons absolument traiter toutes les émanations toxiques, comme le recommande le CNRS en fin de chapitre "Comment gérer les risques liés au processus d’impression 3D FDM ?" http://www.prc.cnrs.fr/spip.php?rubrique128 Nous avons donc choisi de faire une filtre qui combine les deux. Naturellement c'est le filtre HEPA13 qui oppose le plus de résistance à l'air. Le filtre à charbon est moins contraignant en grain. Nous avons testé du charbon actif en poudre, c'est moins efficace, plus résistant à l'air. Sur les photos vu sur le post précédent. Il s'agissait d'une version Charbon Actif / HEPA. Ce n'était pas la meilleur combinaison, il vallait mieux mettre le HEPA avant le charbon actif.
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