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  1. Il n'y a pas de questions bêtes (si tu te la pose, d'autre aussi se la pose) En fait, oui c'est ce qui à toujours été fait, tests <=> calculs, pour aboutir à quelques chose de cohérent lors des calculs sans avoir besoin de faire une batterie de test. Ici, nous avons un mode de fabrication qui ne génère pas de pièce homogène et dont les calculs sur un modèle issu du modeleur, ne reflètent pas facilement la réalité (surtout à cause du sens de fabrication et du mode remplissage). Alors l'idée pour avoir un modèle 3D plus proche de la réalité sur lequel on pourrait effectuer des calculs, serait d'avoir un volume issue du G-code.
  2. A moi, de répondre. Donc oui je comprends très bien que passez du Gcode vers un solide soit possible, mais peut être complexe pour avoir un solide virtuel. Passer par du STL va créer un volume facettisé, je ne connais pas le OBJ, si c'est une description de volume ou bien de la facettisation. Bref il n'y a pas de solution qui rendra le volume exact. L'idée est de pouvoir avoir un volume plus proche de la réalité qu'un volume issue du modeleur. En impression 3D il y a des couches, le fait de modélisé ces couches pourrait permettre, peut-être de retrouver des résultats de RDM plus juste.
  3. AH! merci du tuyaux ! Heureusement qu'il est possible de lire du G code, c'est un code qui décrit les trajectoires d'outils, et en texte, avant les gars d’ateliers codaient ça à la main mais les programmes étaient moins complexe que ceux générés issu de modeleurs 3D
  4. Bonjour, Non je n'ai pas trouvé de solution, j'ai laissé ça un peu de coté, mais ce n'est pas infondé comme question. On sait reconstruire la trajectoire d'outils, on connait les paramétrés de la machine, on sais donc ce qu'il en sort assez précisément. (hauteurs de passe, angles, vitesse .... ) bref c'est possible, en se plongeant dans la programmation, on peut reconstituer un volume 3D mais peut être existe-t-il déjà un soft que fait ça. un stl est constitué de facettes orientées. Vers un solide c'est faisable si le stl est correctement décrit, La raison 1ere de cette question est de pouvoir effectuer de la RDM sur le résultat du G code, qui est bien plus proche de la réalité.
  5. Merci des toutes ces infos. Nous sommes passé sous windows 10 il y a quelques semaine. Je regarderais tout ça et vous tiendrais au courant si je trouve quelque chose d'intéressant.
  6. Logiciel de CAO et de calul, j'ai ce qu'il faut, nous avons Catia et Ansys. Il manque juste une passerelle pour passer du Gcode a un volume exploitable avec les soft de calcul Je ne pense pas que ça soit tres compliqué, les slicer on un mode de visualisation des couches de fabrication. Typiquement il faudrait pouvoir exporter la visualisation. Pour Ansys nous avons des licences education recherche.
  7. Bonjour, nono30. Je ne cherche pas à trouver le volume, mais à avoir un 3D volumique issue du Gcode permettant ensuite de réaliser un calcul de résistance des matériaux, pas exemple avec Ansys ou Catia. Effectuer un tel calcul sur le volume d'origine n'est pas juste car le slicer va générer un géométrique particulière à l’intérieur de la pièce imprimer suivant le taux de remplissage. C'est donc la géométrie issu du slicer (donc Gcode) qu'il est intéressant d'exploiter afin d'avoir un calcul plus proche de la réalité.
  8. Bonjour à tous Dans le cadre de mon boulot, je me pose une question que d'autres pourraient se poser. J'aimerais convertir du Gcode en un volume 3D, exploitable avec des logiciel de CAO donc communément du STL ou du STP (bref un format permettant d'avoir un volume) Je ne désire pas retrouver le volume 3D initial, mais bien avoir le volume 3D le plus proche de ce qui est réellement imprimé (donc avoir la représentation 3d du remplissage interne des pièces) Le but est, pour des pièces critiques, de pouvoir effectuer un calcul de charge. Avez vous des pistes ?
  9. Guss_

    Claquement extrudeur

    Sur ma discovery200 j'ai eu ce genre de chose lorsque la température de la pièce baissait (ouverture d'une fenêtre, courant d'air ... )
  10. Guss_

    Multicouleur?

    il y a cette tête là qui est sortie récemment : http://hackaday.com/2016/10/03/maker-faire-multicolor-and-multi-material-3d-printing/
  11. salut, J'ai aussi ce défaut, et pour moi c'est vraiment la température, je note que pour tout le monde, le filament est toujours plus écrasé en haut à gauche. Mon explication, d'après ce que j'ai observé, est que lors de l'initialisation, la tête chauffe, une fois chaude, ça vient palper, mais durant ce laps de temps, le palpeur monte en température du à sa proximité de la tête et de la soufflerie, et chaque points mesuré et donc décalé un petit peu. Je n'ai pas encore regardé, mais je pense qu'il pourrait être judicieux, dans le code, de mettre la séquence de palpage avant la mise en température de la tête, pour avoir un plan bien plan.
  12. ça ne pourrait pas être un soucis au niveau du plateau ? point dur, mauvaise fixation, tension de courroie ... c'est visiblement sur X ou Y qu'il y a un soucis, à moins que ça soit le point de début de parcourt de chaque couche, dans ce cas, peut être un manque en début d'extrusion.
  13. Guss_

    optimisation Lit d'impression

    Merci des réponses, Je n'ai pour le moment pas de plateau chauffant, justement. Je me demandais si quelqu'un avait eu et réalisé cette idée, et ce qu'il avait pu rencontré comme problèmes, et si c'était bien compatible. Ensuite je fais part de mon idée, pour justement en discuter avec vous pour affiner la chose. Mais durant ma réflexion, un collègue m'a suggéré de mettre dans mon enceinte une lampe UV pour chauffer le tout pendant par exemple 30 min avant impression.
  14. Bonjour Je suis heureux propriétaire d'une discovery 200 depuis Juillet 2016 J'ai donc fait pas mal d'impressions dans divers conditions, constaté ses défauts, et tente d'améliorer l'imprimante. Pour ce qui est du retour d'expérience, je peux dire qu'en ce qui concerne les décalage d'épaisseur de 1ere couche, c'est du au fait que le capteur inductif est chauffé indirectement par la buse, et lors de la prise des point des mesures pour faire le zéro, il se créé un décalage entre le 1er et dernier point de mesure du à la chauffe du capteur. (c'est Visiblement corrigé sur la nouvelle tête de la discoeasy Ensuite le Buidtak je trouve ça super par contre les variation des température, et autre courant d'air peuvent engendrer des soucis. Mes meilleurs impressions ont été réalisé par des températures ambiantes d'au moins 25°C en dessous, il y a risque de rétractation et patinage du moteur d'entrainement du fil. J'ai créé une boite permettant d'enfermer l'imprimante et d'éviter les courant d'aire, mais en hiver la température ambiante n'est pas très élevé tout de même. Je me demandais si on ne pouvait donc pas installé un plateau chauffant, limité à 25°C mais avec le buildtak ? Quelqu'un à eu ce genre d'idée?
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