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.AleX.

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  1. Le contact sec du relais permet de garantir l'isolation galvanique entre deux équipements. Coté contact, quelque soit le courant, la tension ou la polarité, ça n'influence pas sur la bobine. L'optocoupleur lui permet aussi une séparation galvanique dans certains cas, mais il réalise aussi bien souvent l'adaptation de courant. Une broche de microprocesseur tel que ceux qui équipent les cartes que nous utilisons ne peut fournir que quelques malheureux milli-ampères. Pour coller un relais, il faut bien souvent un courant très supérieur. L'optocoupleur remplit ce rôle. Son avantage par rapport à un transistor classique qui pourrait faire la même chose, c'est qu'en cas de problème sur la charge pilotée par l'optocoupleur, c'est ce dernier qui sera détruit, sans incidence sur le microcontroleur, alors qu'avec un transistor, des fois ça ne remonte pas jusqu’à la broche de contrôle, mais des fois si Une autre petite chose à savoir : quand on alimente une bobine (comme un relais), en gros la physique fait qu'une partie de l’énergie est stockée sous forme de magnétisme. Et cette énergie est restituée dès que l'on cesse d'alimenter la bobine : la tension, en plus d'être inverse, peut monter très largement au dessus de la tension utilisée pour alimenter la bobine. C'est d'ailleurs le principe de l'allumage qui crée une étincelle dans les moteurs essence. Dans ce cas là, l'optocoupleur encaisse ce courant de retour pour ne pas qu'il se propage au reste du circuit. D'ailleurs, dans ton cas, ça serait pertinent d'avoir un peu plus d'infos techniques sur la pompe, car c'est un peu 'vulgaire' d'employer un relais si les entrées/sortie de la pompe sont déjà dotées d'optocoupleurs. Un bon indice : si il suffit de moins de 50mA pour piloter le pompe, c'est peu probable que ce soit vraiment un relais dedans. Si la sortie est limitée à 100mA, idem, ça serait potentiellement un optocoupleur qui donne l'état de la pompe. P.S. : du coup le temps que je rédige tout ça, vous êtes passés à autre chose Je file pour le moment
  2. Dans les grandes lignes, ça ressemble bien à ça. Tu positionnes ta buse Tu déclenches la pompe avec M42 (peut-être qu'un délais sera requis ici pour attendre que la pompe change d'état) Tu scrutes avec M226 que la pompe ait annoncé la fin (ça reste en pause sur cette ligne tant que la condition est pas remplie) et rebelotte pour la position suivante.
  3. En fait, si tu n'utilises pas un axe, récupérer ses pins pour faire une entrée/sortie est tout à fait correct, mais détourner un endstop de sa fonction, c'est prendre un risque un jour de se retrouver avec un conflit, par exemple à l'occasion d'une modification/évolution de la machine, d'un changement de version du firmware ou autre changement. En déclarant une broche non utilisée pour piloter ta pompe, et une autre broche non utilisée pour gérer la pause, ça sera plus 'parlant' et ça prêtera moins à confusion en cas de problème de SAV dans 6 mois, un an, 5 ans
  4. YESSSS !! Ça existe dans MARLIN http://marlinfw.org/docs/gcode/M226.html Bonne bidouille Utiliser un endstop, c'est 'pas bien propre'
  5. D'après la doc de Marlin, il serait possible de piloter une I/O directement avec la commande M42 http://marlinfw.org/docs/gcode/M042.html Reste à trouver une pin disponible sur ton hardware, puis de la faire suivre par un optocoupleur et un relais si tu a vraiment pas d'autre option que le contact sec (qui va sans doute piloter un autre optocoupleur dans le PMI.. une belle hérésie électronique, mais bon, au prix du matos, je me doute que tu ne joue pas à l'apprenti sorcier) Par contre, dans "l'autre sens", pour mettre en pause le déroulement du GCode tant que la pompe n'a pas terminé, huuumm lire l'état de quelque chose est sans doute possible, mais je sais pas faire du conditionnel en GCode. Je sais que ça existe sur des machines outils, mais je ne sais pas sur Marlin.
  6. .AleX.

    La Sapetoku

    VIC 20, Oric-1 et Oric Atmos ici (c'était à papa, mis il me laissait tripoter) Sinon, pour le Sapetoku, tout particulièrement sur l'aspect phisico-mécanique, je suis très surpris que l'axe de rotation soit placé à l'horizontale... J'aurais bien vu un axe de pivotement similaire à celui d'une fourche de moto, et un moteur 'très coupleux' mais qui est 'libre' quand il n'est pas alimenté, pour verrouiller progressivement la position du guidon en fonction de la vitesse. (donner un feedback de dureté en somme) Par là dessus, un capteur de contrainte qui mesure la pression exercé sur le guidon, comme lorsque l'on pilote par contre-réaction au couple gyroscopique, et, selon l'angle que prend la moto, le moteur décalerait le neutre du guidon. C'est peut-être un peu plus velu à mettre au point, peut-être pour une version 2 (Sinon, de mémoire, Sapetoku, c'était une marque de carbu dans JBT, non ?)
  7. Donc c'est une extrapolation empirique du Cx, une énergie définie appliquée à une masse constante implique une vitesse de libration théoriquement identique. La décélération sera causée par les perte aérodynamiques liées à la traînée. Je ne sais pas comment vous avez défini le protocole d’essai, mais je vous propose une autre méthode qui tire parti des moyens modernes que vous avez... dans la poche ! En filmant avec un smartphone la chute de vos objets depuis par exemple une fenêtre au troisième étage (ou plus), grâce à l'attraction terrestre (g = 9.81ms² aux dernières nouvelles), qui applique une force constante (considérée comme telle pour si peu de hauteur), vous pouvez observer image par image que vos échantillons accélèrent, mais que cette accélération n'est pas constante et que l'évolution de vitesse à une tronche d'asymptote. Si vous avez de la chance (suffisamment d'étages et de pièces pas trop lourdes), vous pourrez peut-être même observer la vitesse terminale, celle pour laquelle m.g est équivalent à la traînée.... C'est un peu ce qu'a fait Eiffel avec sa grande tour. en lâchant divers expériences le long d'un câble pour faire des mesures : vous savez maintenant pourquoi le premier niveau a un trou au milieu
  8. C'est du second degré ? En fait, vous désirez mesurer (ou plutôt "évaluer") quoi dans votre TPE ? Reproduire l'expérience d'Eiffel en simplifié ?
  9. J'imagine pour évaluer expérimentalement le Cx (voir Cz) selon la forme...? Dans ce cas là, plutôt que de s'arracher les neurones pour un résultat avec un tolérance plus que difficile à maîtriser, la proposition de @Yo' est la plus juste. Simplement prévoir une petite cavité dans chaque pièce que vous pourrez remplir de lest. En plus, comme ça, vous pourrez 'ajuster' la masse de chaque pièce pour avoir une valeur facile à manipuler (plus simple de faire avec 10Grs qu'avec 8,63grs par exemple ) P.S. : si c'est bien pour une évaluation de Cx/Cz, huuumm vous allez avoir des résultats plus qu'empiriques si vous ne garantissez pas un lissage de la pièce, parce que l'état de surface est plutôt rugueux d'une part, mais surtout la rugosité n'est pas du tout aléatoire, mais bien au contraire totalement alignée sur le plan de coupe de chaque couche imprimée ! Donc le post-traitement pour uniformiser tout ça est vraiment à prendre en compte !!
  10. En fait c'est pas super clair, mais bien possible que tu ai raison .... En relisant, j'en déduis qu'il utilise le montage avec deux arduino, mais en se servant du UNO comme support pour flasher des ATMega vierges... Dans ce cas là, oui, fatalement, sans bootloader on peut flasher les sketch en ICSP, mais il démarrera pas tout seul, il faut au préalable flasher le bootloader (en mode ICSP, que ce soit avec un USBASP ou en utilisant un autre arduino (fonctionnel) pour émuler cette fonction) Bien vu @Djam !
  11. Et as-tu 'assisté' à une coupure en étant à coté ? Ça s'éteint subitement, ou ça s'arrête là ou c'est mais sans s'éteindre ? Un thermal runaway peut par exemple stopper une impression a cause d'un simple faut contact
  12. Là dessus, tu ne pourras pas grand chose.. ça peut être un peu plus discret, mais jamais totalement invisible. Là par contre, il y a une adhésion entre couches qui est pas fameuse... En fait, c'est lié au rapport entre hauteur de couche et diamètre de buse. Si tu fait des couches épaisses mais étroites, elles se chevauchent peu et ça fait des trous. Si tu fait des couches plus larges que hautes, même empilées à 45%, elle se chevauchent plus et ça évite ce problème. Donc soit tu augmentes la taille de la buse, soit tu réduits la hauteur de couche... et tu reprends les réglages pour tenir compte de la nouvelle configuration
  13. Le tuto instructables explique comment 'émuler' un USBASP en utilisant un arduino, mais c'est plus lent. Si tu es en ICSP avec une inteface USBASP, il suffit de faire "Outil / Graver la séquence d'initialisation" dans l'IDE arduino et c'est fait.
  14. Mouais.... c'est plus drôle quand ça vient d'un tiers Merci pour la barre de rire !! +1000 là dessus !!!! C'est ce que je regrette un peu depuis pas mal de temps sur les con-sommateurs de forum qui pose leur question sans avoir fait la moindre recherche, et c'est valable dans plein de domaines !! Personnellement, je 'boycotte' les sujets dont le titre est "besoin d'aide" ou "problème d'impression", et si j'étais dictateur modérateur de forum, je pense que je supprimerais sans grand regret ce type de message. Si un utilisateur du forum ne fait pas l'effort minimal de faire un titre, par principe, c'est que c'est pas si important que ça Je vous rassure, lesimprimantes3d.fr fait parti des forum parmi les moins pollués, pourvu que ça dure Sinon, pour en revenir sur l'interet ou pas de définir la règle : oui, il y a encore quelques personnes qui parcourent les règles des forums avant de poste, il y en a même qui font une présentation en premier message, ça existe ! Mais on est bien d'accord, c'est une minorité, et dans ce cas, les règles, ça permet juste de remettre en place celui qui se pointe avec des "Réas" en lui donnant le lien : Tient kiki, consulte <page/sujet des règles de demande d'aide> sans que ça soit perçu comme une attaque
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