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Projet RepStrap collaboratif.


J-Max.fr

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:) Bonjour à toutes (il y en a quelques unes heureusement) et à tous,

J'ouvre ici un sujet sur la conception d'une imprimante 3D de type RepStrap.
Le projet est ouvert et chacun qui le souhaite peut apporter sa pierre à l'édifice, soit en participant activement,
soit plus modestement en posant des questions ou en soulevant des points de débat autour de cette conception.

8174692.png

RepStrap ? Quelle histoire !

Petit aparté sur le terme RepStrap, et la filiation avec le projet RepRap pour les moins initiés d'entre nous.
RepRap, ça doit au moins dire vaguement quelque chose à tout le monde.
Il s'agit d'imprimantes 3D de prototypage RAPide  Open Source, donc libres pour tous (pour faire court), dont la faculté était de pouvoir se REPliquer (s'auto-reproduire), en imprimant la plupart des pièces nécessaires à sa construction. Les autres pièces étant des composants standardisés, et disponibles un peu n'importe où sur la planète.
Ce projet a permis des générations d'imprimantes 3D simples et auto-constructibles à bas coût.

Adrian Bowyer et la Darwin :
First_replication.jpg

Petit à petit, on a fini par remarquer que le concept RepRap original portait en son sein les gênes de sa propre extinction.
En effet, le concept oblige à chercher, d'un côté, à utiliser le plus possible de pièces réplicables, donc en plastique,
et de l'autre, d'utiliser des matériaux importés (dans le jargon "vitamines" = pièces non imprimées) très standards, tels que les tiges filetées, par exemple.
Or, les pièces imprimées sont incapables, de part leur matière, de produire des pièces structurelles ou mécaniques irréprochables.
Pire, si la qualité de l'imprimante "parent" laisse à désirer, des pièces médiocres produites vont affecter la qualité d'impression de l'imprimante "enfant".
Parallèlement, du côté vitamines, certaines pièces, détournées de leur usage premier, n'ont pas les qualités requises pour la destination souhaitée.
Une tige filetée est sensée être élastique et fonctionner en traction, ce qui les rend mal adaptées pour servir de structure,
laquelle a besoin de stabilité axiale et latérale. Et si on surdimensionne les tiges pour atteindre les propriétés mécanique requises,
on en vient à utiliser plus de matière que nécessaire. Voici les deux gangrènes irréductibles du projet RepRap.

Pour palier ces inconvénients, la communauté a considéré que les aspects les plus importants sont l'Open Source
qui favorise la multiplication de machines de plus en plus performantes et démocratiques, et la fonction, donc la qualité d'impression.
On a donc cherché d'abord à résoudre des problèmes structurels par ajout de composants dédiés, comme ce fut le cas avec la Prusa i3 dont le cadre bois a rapidement été remplacé par des plaques d'aluminium découpées spécialement pour elle.
Puis dans les dernières évolutions (P3Steel), la plupart des vitamines de la structure sont remplacés par une structure complète en tôle découpée.
Parallèlement, d'autres pièces se standardisent, comme les lits chauffants, les extrudeurs et les entraineurs.
Ce qui conduit à des imprimantes dites "RepStrap", une machine n'étant pas une RepRap mais pouvant en produire une.
Cette évolution est donc conjointe à l'expansion des kits d'imprimantes 3D et des pièces industrialisées normalisées pour RepRap et RepStrap.

Quoi de neuf ?

D'abord, concevoir une machine, c'est du boulot, mais c'est fun ! Ensuite, si l'on souhaite une imprimante sans défauts,
il vaut mieux s'éloigner des kits, qui sont souvent victimes de choix de rentabilité au détriment de la qualité d'impression, donc de l'utilisateur.
Par ailleurs, un nouveau design c'est un petit caillou de plus sur le chemin qui conduit vers les imprimantes de demain,
même si la machine est truffée de défauts, comme ça l'a été pour nombre de ces ancêtres.
Tout l'intérêt de cette démarche est justement de faire une machine qui résout à sa manière les défauts des machines passées, et qui évite d'en mettre à jour de nouveaux.
Bien sûr chaque machine est une vision particulière du sujet, avec des choix, des partis pris qui lui sont propres.

Quand on se lance dans la conception d'une machine, il y a deux méthodes.
La douce, qui consiste à puiser abondamment dans les machines open source existantes, ce qui permet d'aller vite et d'utiliser ce qui marche ailleurs. Elle innove peu finalement.
Et la dure, qui consiste à s'en tenir à la vision initiale et de chercher à dessiner la meilleure pièce possible à chaque étape.
La deuxième méthode est bien plus longue et plus aléatoire, car on est jamais certain de faire mieux que l'existant.
D'un autre côté le chemin est plus intéressant, et on s'ouvre la possibilité de pondre un ou deux trucs vraiment intéressants sur l'ensemble.
Voir innovants si par chance on mène la bonne réflexion sur un point précis.

Quoi de neuf ? Sans doute rien donc, si ce n'est la machine elle même, avec son identité propre.

Quelques lignes directrices !

  1. Aucun compromis sur la qualité d'impression. Une machine c'est fait avant tout pour remplir une fonction le mieux possible.
  2. Faire simple avec des composants identifiés, ce qui aura une influence sur le coût.
  3. Faire beau/fonctionnel/propre. Sortons des machines DIY 1.0 avec des cartes ouvertes et des fils dans tous les sens.
  4. Documenter le travail
  5. Décliner la conception vers différents niveaux de compétences et d'outillage.

Background

J'ai commencé à m'intéresser aux CNC en 2009 et j'ai commencé la construction de ma première machine dès lors.
Depuis j'ai conçu d'autres machines, monté des kits, seul ou avec des amis : des CNC, des plotters, des imprimantes 3D. Parmi d'autres machines d'atelier (toupies, lapidaires...).
Aujourd'hui me lancer dans une démarche plus ouverte et même collaborative m'intéresse. Je lance, on verra bien ce qu'il en sort au final.

A000_J-MAX_Reprap_Global.jpg

Voila, j'espère que cette démarche intéressera (ou divertira) quelques personnes. Si c'est le cas, à bientôt pour entrer dans le vif du sujet ;)

++JM

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C'est une démarche carrément intéressante et un début de topic déjà très instructif (juste dommage que ce soit un simple copié/collé du billet sur ton site) !

On part de zéro si j'ai bien compris mais on s'oriente vers quoi ? Une grosse machine, une petite machine ? Une buse, 2 buses, plus ? Ou la conception est-elle sans limite ?

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Salut Mat,

En fait, c'est l'inverse. J'ai créé ici, puis j'ai copié sur mon site pour avoir une trace au cas où et que les images ne puissent se perdre... ;)
D'ailleurs, si collaboration il y a, elle se fera vraisemblablement ici, et non sur mon site.

Pour moi la question du simple ou double extrudeur est presque annexe, vu que l'influence sur la structure est assez limitée.
Un chariot pour une seule Hexagon ou E3D v6 comparé à un Cyclops/Chimera, ça se joue à 12mm près, c'est peu et prévisible.
Quant à l'entrainement du filament, on trouve toujours la place de le caser quelle que soit la machine.
Je suppose que c'est une option qui sera possible sans réel souci, si on le souhaite.

La conception n'est pas limitée, mais il est probable qu'elle ne devienne pas une machine immense,
car avec la technologie actuelle, au delà d'un certain volume il revient moins cher d'avoir deux machines
qui impriment simultanément une partie de la même pièce.

A brûle pour point, il me semble qu'un volume de 200x250x250mm offre un vrai plus pour une imprimante, tout en restant dans des coûts standards.
On verra si c'est une idée qui fait son chemin ou pas. En tous cas, une imprimante sérieuse de 300x300x300mm est proche de doubler la facture d'une 200x200x200mm.
Et puis il y a les inconvénients annexes, notamment le dimensionnement des éléments mobiles et donc leur surpoids qui peuvent ralentir la machine.
Je pense qu'on verra qu'au delà d'un certain volume, seule l'architecture Delta est raisonnable, et il n'y a plus grand chose à inventer de ce côté.
On prend une Kossel, on dimensionne les profils, les plaques et le guidage, et la messe est dite.

Mais avant le volume d'impression, mieux vaut définir dans le cahier des charges la destination de l'imprimante.
Une machine qui va faire quoi, comment et pour qui. Alors, c'est la fonctionnalité attendue qui va définir les choses à ce niveau là.
J'ignore si une machine spécifique par sa destination ou son volume peut fédérer assez de gens autour de la même idée.
Comme un design n'est pas élastique, il faudra définir un périmètre de projet assez universel. Au niveau budget également.

Si ça intéresse du monde, on va voir les contours se dessiner rapidement.

Et pour toi, quelle serait l'imprimante idéale ? ;)

++JM


 

 

Modifié (le) par J-Max.fr
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Hello,

 

intéressant comme projet :)

Faudrait que tout le monde soit d'accord sur le futur cahier des charges.

 

Pour ma part,

  • 200x200x200 ça serait correct
  • une électronique RAMPS 1.4SB
  • pilote de moteur pas à pas DRV8825
  • Auto-nivellement inductif
  • Plateau chauffant aluminium MK3
  • Transmissions trapézoïdales en Z
  • Buse 1.75mm (simple ou double en option)
  • Pourquoi pas avec option CNC pour mettre un DREMEL

Structure en ALU ? assez rigide ?

C'est déja un bon début pour la partie hardware :D

 

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il y a 54 minutes, J-Max.fr a dit :

En fait, c'est l'inverse. J'ai créé ici, puis j'ai copié sur mon site pour avoir une trace au cas où et que les images ne puissent se perdre... ;)

De toute façon c'est pas interdit, on est loin du gus qui vient poster la même question sur tous les forums sans même dire bonjour ;)

il y a 54 minutes, J-Max.fr a dit :

Et pour toi, quelle serait l'imprimante idéale ? ;)

Pour faire simple une UP Box pour sa simplicité et son efficacité mais en plus polyvalente (accès aux réglages et possibilité d'imprimer autre chose que de l'ABS) et forcément plus ouverte, avec 2 buses (pour faire du support soluble) et un plus grand plateau :P

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Merci pour ton intérêt pour le projet @KM3L0TT ;)

Je prend bonne note de tes éléments.

Effectivement la buse 1.75mm ça s'impose vu que le 3mm est en passe de disparaitre. (il est soldé partout !)
Au niveau de l'électronique, je pense qu'il y aura un débat là dessus.
On verra s'il est pertinent de choisir une carte vieillissante 8 bits, un shield de surcroit (ventile mal, chauffe, très compact, câble management impossible...)

L'auto-nivellement inductif ça va être un débat également.
Pour ma part, j'espère que la machine sera suffisamment bonne pour se passer d'avoir à sonder à chaque début d'impression ! ;)

Au niveau de l'option CNC, si l'on opte pour une tête en deux parties, alors on peut imaginer changer d'outil,
que ce soit pour passer d'une simple à une double buse, ou monter un couteau, un traceur ou une tête laser.
En revanche, je ne suis pas certain que la fraiseuse et l'impression 3d font bon ménage.
En effet, l'un a besoin de légèreté et de vitesse (3D) l'autre de poids et de résistance.
En conception, ce seraient des machines demandant des composants bien différents, et même opposés au niveau de la structure et des guidages.
Il me semble difficile de faire une bonne machine polyvalente CNC/3D, les composants nécessaires à l'une nuisant à la qualité de production de l'autre.
Les réglages de fonctionnement sont également diamétralement opposés, niveau accélération, avance, etc. Il faudrait aussi 2 systèmes distincts.
Par ailleurs, une produit de la poussière (CNC) et l'autre va boucher si elle en croise.
En revanche, on peut très bien imaginer une machine polyvalente laser/traceur/plotter(modeste)/3D, elles ont des architectures très voisines.

La structure alu, si elle est bien calculée pour l'usage qu'on lui demande, peut être juste parfaite.
Tout est une question de module de young et de calculatrice ;)

@MatC Je retiens tes besoins. La UpBox c'est un design en soi (et aussi un budget), j'imagine que c'est pour l'exemple et non la copier ;)
Tu penses à la simplicité d'utilisation : on branche, et on imprime en deux clics, résultat garanti ?
Niveau design, le gros cube noir déplait peut-être plus qu'il ne plait. La qualité d'impression est égalable largement, la résolution aussi.
L'ouverture du système, ça c'est un vrai élément important du cahier des charges. L'aspect multi-matériaux également.
Les deux me semblent indispensables sur une machine collaborative née en 2016 !

Vivement la suite !

++JM

Modifié (le) par J-Max.fr
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J'aurais très bien pu prendre la UP Plus 2 en fait, même si un caisson serait sympa pour cette imprimante (pour le bruit, l'odeur et les particules toxiques) :)

il y a 25 minutes, J-Max.fr a dit :

on branche, et on imprime en deux clics, résultat garanti ?

C'est pas pour le design que j'ai pris cet exemple mais pour ça. Tant pour le logiciel (bien que fermé) qui gère à merveille les supports et le plateau d'impression qui ne nécessite ni colle, ni laque, ni scotch ni quoi que ce soit... J'ai certes pas imprimé des kilos de plastiques avec les UP! mais ça c'est toujours très bien passé et c'est exactement le ressenti au FabLab de mon boulot ;)

Si j'avais un truc à lui reprocher, c'est la galère que ça peut parfois être à décoller certains objets :D

Je ne suis pas contre l'option CNC non plus si on arrivé à l'intégrer sans trop de concessions :P

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Re,

Merci pour ces précisions @MatC je vois mieux ce que tu as apprécié ou pas dans la UpBox.
A moins d'avoir des développeurs de talent participant au projet, on aura du mal à égaler la partie soft.
Toutefois, Simplify3D fait un travail de tranchage excellent point de vue support et gestion d'impression. Pour ceux qui réclament cet aspect c'est une solution.
Si l'on fait du bon boulot, on pourra avoir une imprimante aussi fiable, il suffit de mettre la qualité d'impression en N°1 de nos réflexions.
Comme dans les lignes directrices initiales.

La machine close en effet n'a pas que des avantages. C'est un pavé énorme sur le bureau et l'accès à la pièce est compliqué. De plus, le PETG permet d'imprimer des pièces hyper résistantes sans chambre tempérée, ce qui rend l'usage de l'ABS discutable, d'autant que c'est pas très sain comme matière. Donc une cabine fermée n'est pas forcément obligatoire.

Gardons l'idée CNC en tête pour l'instant, mais attention à ne pas plomber la machine avec une fausse bonne idée dès le départ. Une fois les éléments sur la table, il est probable que les conséquences soient nombreuses. On évaluera tout ça. Qui sait, il y a peut-être de bonnes surprises à la clef.

Considérons cela comme un début, et voyons si déjà d'autres ont envie de participer.
Je vais aller réfléchir à tout ça dans mon lit pour ce soir ! ;)

++JM

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il y a 58 minutes, MatC a dit :

 le plateau d'impression qui ne nécessite ni colle, ni laque, ni scotch ni quoi que ce soit.

+ 1 ca c'est vraiment un plus , La Robox a aussi ce systeme, et franchement ca serait dommage de passé a coté sur une nouvelle machine ;)

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Bonjour tout le monde.

@delirium07 J'en prends bonne note. D'ailleurs, il y a plusieurs options possibles, notamment une plaque de PEI. Pour ma part, je suis un adepte du BuildTak qui reste une solution économique et durable sur une machine stable et bien réglée.

++JM

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Bonsoir,

On ne peut pas dire que le sujet captive les foules 9_9, à vrai dire, je m'y attendais un peu... Bon, c'est pas grave, j'attends un peu, et au pire je vais poster la conception solo au fil de l'eau. Mais je garde en tête toutes vos idées.

++JM

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Je ne dirai pas que le sujet ne captive pas les foules, en  tout cas l'idée est très intéressante.
Pour la partie électronique, je dirai qu'il serait plus judicieux de partir sur du 32 bits, avec une carte abordable comme la MKS Sbase v1.2 (environ 45 fdp inclus chez Aliexpress).
En option un écran 12864 TFT tactile MKS ou Smoothie.
Sujet vraiment intéressant que je vais suivre ;-)

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il y a une heure, J-Max.fr a dit :

On ne peut pas dire que le sujet captive les foules 9_9

C'est pas faute de l'avoir relayé dans https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-11-20160320/notre dernier résumé de la semaine ;)

C'est peut-être pas assez "grand public" par rapport à la majorité de nos lecteurs ?

Je laisse passer un peu de temps avant de partager à nouveau ce topic sur nos réseaux sociaux pour voir si ça prend un peu mieux 9_9

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Re,

@MatC Je n'avais pas vu, c'est vrai que je passe peu par le portail. Sinon, je pense que tu as raison, même si le but était d'intéresser les gens à la conception, le public du forum est sans doute constitué plutôt d'acheteurs d'imprimantes montées ou de kits, tandis que cette démarche, d'autant plus collaborative, a moins d'écho. La plupart des membres étant principalement occupés à upgrader ou régler leur propre machine. Ce qui est assez normal.

Mais s'il n'y a pas assez de membres actifs pour réfléchir à cette démarche, dessiner/modifier des pièces, documenter... C'est pas bien grave non plus. Ça ne veut pas dire que le projet sera forcément abandonné. Mais juste qu'il prendra une autre forme. Ce qui arrive souvent dans les démarches participatives/collaboratives, d'ailleurs. Et puis on a aussi vu l'inverse se produire : des démarches individuelles qui migraient vers des projets collaboratifs. Le projet lui même, tant qu'il y aura au moins une personne pour le maintenir, va continuer. Même si l'intelligence collective produit des choses proportionnellement performantes en regard du nombre de participants.

Regarde la Prusa i3, elle a été développée par un seul gars, mais tant de personnes y ont échafaudé des pierres que si l'on prend le meilleur de toutes les bonnes idées, ça fait une machine assez imparable au final, et capable de rivaliser en qualité d'impression avec des machines beaucoup plus chères.

Merci ! @Misterblue On se sent moins seul !

Je partage plutôt ton avis sur les cartes 32 bits. C'est vrai que quitte à concevoir une imprimante en 2016, autant que ce soit avec une carte actuelle. L'écran tactile c'est classieux, mais c'est quand même un poste à 30€ mini. Tandis qu'un 12864 classique apportera quasi la même fonctionnalité pour 7€. C'est le même encombrement, donc tout dépend du budget que l'on pense raisonnable pour la machine. Le risque c'est que l'écran tactile serve de variable d'ajustement pour rester dans la fourchette fixée.

On a d'ailleurs pas parlé de budget, mais c'est vrai que produire une imprimante à 500€ de pièces, c'est somme toute assez confortable. Faire une bonne imprimante fonctionnelle dans une fourchette plus réduite est beaucoup moins facile. A mon avis c'est tout l'intérêt de concevoir une machine aujourd'hui.

@Freedam, merci a toi, ton aide sera probablement précieuse ! ;)

++JM

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Bonjour

idem que @Freedam si besoin d'aide auxquelles je peux ma petit pierre ca sera avec plaisirs (dans mes connaissance aussi lol

cdlt

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@j-max.fr

Bonjour,

Je suis ravi de voir ton post car l'idée de concevoir une imprimante collaborative m'a traversé l'esprit.

Pour ma part je ne pense pas qu'il y ai besoin de réinventer la roue quand elle est déjà là, l'améliorer par contre oui.

Sur la surface d'impression tu as sans doute raison pour le 250x250 même si personnellement une 300x300 m'irait mieux. Et je ne pense pas que ça doublerait la facture.

Utilité d'un plateau chauffant ? J'émets des réserves à l'heure du buildtak et autres joyeusetés permettant de faire adhérer l'impression de manière nickel.

Structurellement le profilé alu m'apparaît ce qu'il y a de mieux de part le fait que s'en procurer est assez aisé, qu'en therme de rigidité ba y a pas photo, et le fait de pouvoir visser le long de tout le profilé sans difficulté est un atout.

Après on part sur quoi un COREXY, une cartésienne ?

Les tiges lisses pour ma part seront de 10 mm je trouve que c'edt un minimum pour la rigidité et planéité des axes. Suis bien avec mes 12mm en z sur mon actuel. Et je trouve que la tige de 8 est souple sur un certain écartement

Avantages et inconvénients des différents types, il faudrait donc les lister et faire un choix en fonction.

L'électronique: partir sur une ramps et arduino sur une printeuse de 2016 me parait inconcevable même si on pourrait s'en satisfaire, mais quand on voit qu'une mks sbase coûte moins de 50 euros fdp in, je vois pas pourquoi on se casserait la tête, sachant qu'on pourrait profiter du firmware smoothie qui reste très bien dévelopés, en tout cas je ne ferais pas l'impasse la dessus c'est impensable.

J'ai ajouté le sujet en favoris pour pouvoir répondre plus aisément, et suis donc de la partie [emoji6].

Ça tombe bien moi qui voulait remonter une machine

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bonjour a tous

moi aussi je suis fortement intéresse par ce sujet mais étant débutant dans l impression 3d je ne peux que vous aider pour du dessin 3d voir l impression ,même si je galère un peu

mais si je peux aider ça sera avec plaisir

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Bonjour,

le projet m’intéresse, qu'elle sera la précision de cette imprimante ?

Je peux participer financièrement si une étude de budget sérieuse à été faite ou est en cours de réalisation.

 

 

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pour l'heure c'est un trait de crayon sur une feuille de papier vierge, les détails ne devrait pas tarder à tomber pour peu qu'ils soient définis ensemble

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l'idée de faire TNO (The Next One) m'a traversé l'esprit depuis que j'ai une imprimante :) . En collaboratif, pourquoi pas. Maintenant, il y a une idée qui me trotte dans la tête depuis un moment, et tant qu'on en est à poser des idées, allons-y... Je souhaiterais que les commandes se fassent en boucle fermées et non ouvertes. C'est à dire que la carte ne se contente pas de donner des ordres à la mécanique, mais vérifie qu'ils sont bien traités, et corrige au besoin.

C'est à dire que si la carte de commande demande d'extruder 5 mm, et que ça n'extrude pas, l'imprimante doit s'en rendre compte. Si l'imprimante est censée faire 10 cm en x, et qu'elle n'en fait que 9.5, elle doit s'en rendre compte, et éventuellement corriger (à étudier, discuter...). La température de la pièce doit être connue, ainsi qu'éventuellement, le refroidissement induit par les courants d'airs. Et idéalement, si les courants vers les moteurs pas à pas sont trop faibles, cela veut dire que le branchement est incorrecte, et il faut le diagnostiquer et signaler.

Est-ce que la carte qui va bien pour ce genre de trucs existe ? je ne suis pas certain. Et en plus, je pense qu'il faudrait une combinaison carte style arduino, pour gérer les moteurs et capteurs en temps réel, et ordinateur un peu plus puissant au niveau calcul, pour gérer l'intelligence, mais avec des temps de réaction plus long.

Voilà quelques idées. Pas forcément simples.

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Oui sachant que le but du jeu est d'avoir une machine fonctionnelle sans avoir les défauts de ses grandes sœur et tjrs dans un budget correct.

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