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Guide achat imprimante.


Cwazy-Cookie

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Hello,

 

Nouvelle observation constructive, il manque un petit guide concernant l'achat d'une imprimante dans la section approprié. On vois souvent les mêmes questions revenir sans cesse dans ce fil de discussion. Avec un simple post épinglé, facilement 80% des questions trouveraient leurs réponses. Et avec noël qui arrive...

Faudrait abordé la différence FDM/SLA , les spécificités de chacune et leurs usage de prédilection. L'utilité de placer sa petit en caisson et enfin un très court topo sur les différents matériaux disponible en FDM.

Et pour finir, quelques modèles disponible dans certaine gammes de prix. Car on vois souvent revenir les mêmes budgets ça tourne généralement entre 200 et 500€.

Concernant la première partie, je peux me farcir ça. Mais j'aurais besoin d'une relecture (pas à l'abri de dire une connerie et mon Bescherelle fût utilisé pour démarrer un barbecue ). Et d'aide pour un tour rapide des modèles disponible dans ces gammes de prix.

Si une âme charitable désire prêter main forte. 🙂

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Je trouve que c'est une très bonne idée. Cela évitera de voir toujours les mêmes questions avec toujours les mêmes réponses (bonnes ou mauvaises d'ailleurs 😋).

Ce sera très utile.

Clairement je n'ai pas le temps de prendre en charge sa réalisation, mais je suis prêt à aider : relecture, compléments, ...

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Voilà le premier jet

Révélation

a) FDM & SLA

 

Le premier choix, sera celui de la technologie employé pour l’impression! Deux choix s’offre à nous, le dépôt de filament (Fused Deposition Modeling) et la stéréolithographie (SLA).

Je t’invite à effectué une recherche sur google si tu désire plus d’info sur les modes de fonctionnements, mais dans les grandes lignes.

 

Révélation

 

La FDM, c’est un peu l’imprimante du peuple. Facile à mettre en œuvre, assez économique. C’est elle qui a débarqué chez Mr Toulemonde.

Une grande gammes de matériaux disponible, une très grande flexibilité dans la bidouille, bref le compagnon vraiment polyvalent pour les makers de tout horizon. Elle fonctionne de manière très simple, une buse vient déposé un filament de la taille défini en suivant le tracé indiqué dans le G-Code sur l’axe Y/X, avant de prendre un peu de hauteur sur l’axe Z et d’entamer la couche suivante. Il en existe de différent type (cartésienne comme notre exemple, ou alors en Delta et bien d’autre encore)

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Ensuite la SLA, les prix commencent enfin à être accessible pour nous depuis peu. Mais la mise en œuvre s’avère plus technique et moins ‘’Noob Friendly ‘’ que la FDM. Les consommables sont aussi plus chères et du matériel est nécessaire pour finir la polymérisation et nettoyer l’impression. Pour son fonctionnement, il s’agit écran ou d’un projecteur qui va peu à peu faire durcir la résine couche par couche en remontant le plateau via un axe Z.

 

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Révélation

b) FDM vs SLA

 

Les deux technologies ont des points fort et des points faibles.

 

FDM

Point fort

- Billet d’entrée accessible et de moins en moins chère ; il est tout à fait possible de se lancer dans ce type d’impression pour moins de deux cents euro. Les imprimantes d’entrée de gamme sont de plus en plus fiable pour couronner le tout. Les modifications ne sont plus forcément une nécessité pour commencé à utilisé son nouveau jouet.

- Les matériaux ! Alors là, c’est vraiment le très gros point fort de nos petites. Choix de couleur quasi-infini, différent type de rendu (métallisé, bois,soyeux, transparent, etc...) et différent types de plastiques avec chacun leurs spécificités ( souple, résistant, décoratif,etc…) . Certaine filament demanderont certaine modification (buse spécial pour filament abrasif, caisson pour filament sensible au variation de température,etc…) et un certain affinage des paramètres pour une réalisation optimal.

-La modularité : Alors là, encore une fois c’est le gros point fort ! Ces imprimantes sont tellement bidouillable… Carte mère, moteur, extrudeur,etc… quasiment tout est remplaçable avec plus ou moins de facilité et la documentation disponible est juste hallucinante. Peu importe votre problème, 95 % de chance que quelqu’un l’ai eu avant vous avec en surplus la merveilleuse idée de poster la procédure pour le réglé. 🙂

- Les dimensions d’impression ; Alors là… (bon je me répète un peu trop là). Mais c’est indéniable, la surface d’impression proposer en rapport volume/prix pour le FDM domine de loin le SLA.

- Possibilité d’utiliser plusieurs filament. Certaine imprimante propose la double extrusion qui permet d’utiliser deux filament, chez Prusa par contre il voit les choses en grand avec la possibilité d’en utilisé jusque cinq en simultané pour la Prusa I3 MK3S et son kit MMU2S (ça pique le porte-feuille mais les possibilités sont là).

 

Point faible

- Les stries… satané stries… Plus sérieusement, de part sa technologie, même avec un filament au top du top et un réglage au poil de cul dans la plus fine définition. Ce qui obligera dans certain cas à faire dans la post-production ! Un monde joyeux remplie de papier à poncer, de lime et de poussière (attention, le barbu près de l’établi mord) ou de traitement chimique/thermique dans le cas de certain filament.

- Le bruit et l’odeur, pour reprendre la fameuse expression de notre feu Jacquot. Même avec des modifications ça fait toujours du bruit lorsque ça imprime. Ce qui peut être gênant en fonction de son emplacement si vous compté faire de gros print. Ensuite l’odeur… en fonction du matériaux ça varie. Ça va de passable pour du PLA à une truc assez gênant avec l’ABS.

- Souci possible d’approvisionnement lors du print et autre joyeuseté. Bien qu’il soit possible d’avoir des soucis lors d’impression en SLA, celle-ci possède le grand avantage de mettre à disposition l’intégralité de la matière (on place l’intégralité de la résine pour récupérer le surplus après). Ensuite, on est jamais à l’abri d’un souci lors d’un print… pièce qui se décolle, buse qui se bouche, G-Code ou imprimante qui tape sa crise d’ado durant le print… Bref, vous allez voir, parfois c’est marrant, parfois moins. Mais c’est toujours enrichissant.

 

SLA

Point fort

- Qualité d’impression ! Alors là, franchement c’est juste merveilleux surtout pour un habitué de la FDM. La résolution est juste hallucibavantissime. Fini les stries, des objets lisse et tout doux pour remplir nos cœurs de joies sans fatigué nos bras.

- Des résines à usage spécifique. Bon là hormis si vous êtes bijoutier amateur ou dentiste clandestin peu de chance que cela vous intéresse. Mais la qualité de certaine résine semble très prometteuse pour un futur digne du futur.

- Silencieuse : Pas entendu de mes propres oreille tournée, mais ça semble plus silencieux que nos petit monstre.

 

Point faible

- Taille plateau : L’ELEGOO Mars par exemple qui est la meilleurs offre en entré gamme propose un plateau de 11.98cmx 6.8cmx15.5cm.

- Le prix des résines : C’est vraiment pas donné comparé à nos bobines de PLA, mais les prix descendent petit à petit.

- Matériel nécessaire en supplément : Une fois la pièce sortie de l’imprimante, il va falloir finir la polymérisation dans une chambre à UV ainsi qu’un nettoyage à ultra-son pour les plus pointilleux.

- Couleur unique

Révélation

c) Choisir une imprimante qui correspond à ses besoins.

 

Tout d’abord il sera judicieux de se poser la question suivante : Je souhaite faire quoi avec mon imprimante ?

Si vous souhaitez uniquement imprimer des petites pièces en haute définition qui ne nécessite peu de post-production éreintante, il serait judicieux de vous diriger vers une imprimante SLA. Il est tout à fait possible d’obtenir un rendu très fin sur ses créations avec une fdm, mais pour cela il faudra de la post-production et rusé lors de l’impression. Mais si c’est uniquement votre objectif, économisé du temps et du matos en optant pour la sainte résine !

La SLA vous paraît trop limité pour votre esprit créatif ? On va donc creuser dans le coin des FDM ! Tout d’abord il va falloir définir votre surface de travail, c’est l’unique pièce non évolutive de votre imprimante. Sachant que le plus gros n’est pas forcément le mieux. Un petit retour à la réalité s’impose.

Pour imprimé un crane de 212 x 146 x 156, avec une épaisseur de couche de 1,5mm rempli à 20 %, cela me prendrai plus de 48h! Maintenant je vous laisse imaginé le temps nécessaire pour remplir un volume de 300x300 ou encore plus gros 500x500. Je vous laisse faire des simulations sur Cura pour vraiment vous rendre compte du temps que demande  certaine impression.

Il est donc inutile d’avoir un énorme plateau si vous ne comptez pas la laisser tourner plusieurs jours consécutif. Dans la majeur parti des cas, un simple plateau de 200x200 suffit amplement. De plus on s’affranchit assez vite de cette limite avec la découpe de STL et la création de système d’emboîtement.

 

Révélation

d) Little box or no ?

 

Mettre sa petite en caisson possède de nombreux avantage. Moins de nuisance sonore, ce qui peut être pratique si votre imprimante ne possède pas sa petite chambre et offre la possibilité de filtré l’air extrait de l’habitacle. Ensuite cela permet une meilleurs gestion de la température, ce qui peut être pratique si votre imprimante vit dans une pièce soumise à de brusque variation de température ou d’hygrométrie.

Pour certain matériaux, cette gestion optimal de la température sera obligatoire. Notamment pour l’ABS qui est juste impossible à imprimer sans ça. Dès que vous prenez un peu de hauteur, bim bam boum…

Concernant la toxicité des émanations lors de l’impression, inutile de céder au sirène de l’alarmisme. Les études parlent de COV, particule fine et autres joyeuseté émise par nos imprimante. Mais pour vous ‘’rassurer’’ voilà la liste de ce qui ressort de l’analysé de l’air ‘’sain’’ d’une habitation moyenne sans imprimante (la tristesse).

 

Révélation

 

Les polluants chimiques

On en trouve très souvent dans l'air intérieur :

  • Le monoxyde de carbone (CO) : gaz incolore, inodore et mortel à forte concentration. Il se dégage des appareils de chauffage ou de production d'eau chaude à combustion lorsque ceux-ci sont vétustes ou mal réglés. Les symptômes de l'intoxication sont les suivants : maux de tête, vertiges, vision floue, nausées, faiblesses des jambes, somnolence, syncope...

  • Les composés organiques volatils ou COV (formaldéhyde, solvants organiques, éthers de glycol, hydrocarbures...) : on en trouve dans les bâtiments neufs ou récemment rénovés. Ils peuvent être dégagés par de nombreux matériaux : colles, peintures, produits de nettoyage, parfums chimiques, feutres, mais aussi matériaux dits « naturels » comme le bois traité. La plupart sont cancérigènes.

  • le plomb présent dans les vieilles peintures provoque anémie et atteinte irréversible du système nerveux central

  • les phtalates contenus dans le plastique, ils entraînent des troubles de la reproduction.

 

  •  

Si en plus vous fumez dans votre habitation c’est plus de 3000 substances dangereuses que vous relâcher…

Donc relativisez. Certain de vos produits ménager sont nettement plus dangereux que l’impression. De même pour certaine mauvaise habitude tel que le tabagisme ou le manque d’aération de son logement.

 

Révélation

e) Upgrade économique et pratique :

 

Comme déjà dit plus haut, si vous opter pour une FDM dans la majeur partie des cas, elle sera Ready to print. Juste à monter l’axe Z sur la base, un rapide paramètrage et hop !

Par confort, vous pouvez procédez à certaine amélioration dans les mois suivant l’acquisition de votre imprimante tel que ;

 

- Changer la plaque d’impression d’origine par une plaque en verre avec revêtement.

- Changer la tête d’extrudeur pour un modèle tout alu.

- Changer les ventilateurs pour gagner en décibel

- Installer un Raspberry Pi et Octopi pour mettre son imprimante en réseau et la piloté depuis son smartphone ou son PC.

- Installer de la lumière et une camera pour pouvoir suivre les impression en temps réel et réaliser des times-lapse.

- Imprimer des pièces utiles. En fonction de votre modèle vous trouverez de nombreux upgrade à imprimer directement depuis votre imprimante.

Reste à faire un listing de vidéo utile et une préselection de modèle entre 200 et 500€ qui semble être le budget moyen.

J'attends vos retour sur la partie déjà effectuée. 🙂

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Il y a 2 heures, Cwazy-Cookie a dit :

- Taille plateau : L’ELEGOO Mars par exemple qui est la meilleurs offre en entré gamme propose un plateau de 11.98cmx 6.8cmx15.5cm.

 

Il y a 2 heures, Cwazy-Cookie a dit :

chez Prusa par contre il voit les choses en grand avec la possibilité d’en utilisé jusque cinq en simultané pour la Prusa I3 MK3S et son kit MMU2S (ça pique le porte-feuille mais les possibilités sont là).

 

Bien, mais il ne faut pas citer de marque dans un guide, sinon c'est de la pub déguisées. 😉

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@Cwazy-Cookie

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Beau travail pour une première ébauche. J’ai peur que vu la longueur du post, certains continuent de poser les questions auxquelles tu réponds 🙂 .

Concernant la technologie SLA, il faudrait dans les points négatifs, indiquer que ces produits chimiques sont pour la plupart allergisants et que les manipuler sans précautions (gants. etc.) n’est pas souhaitable (demande @Bosco2509 ce qu’il en pense).

Quelques «erreurs typographiques» qu’il serait bien de passer au correcteur (on peut t’aider si tu le souhaites 😉 ).

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Citation

Bien, mais il ne faut pas citer de marque dans un guide, sinon c'est de la pub déguisées. 

Mon business Plan tombe à l'eau!

angry leonardo dicaprio GIF

 

Je vais retirer les marques cités en exemple.  Et rajouter une partie sur les produits dangereux avec la SLA. 🙂

Citation

J’ai peur que vu la longueur du post, certains continuent de poser les questions auxquelles tu réponds

C'est ce que je me dis malheureusement, je vais essayé rendre tout ça un peu plus ''compact''. Une fois une forme plus correct, on attaquera la correction pour préserver les rétines. 

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Nouveau jet, finalement je ne cite aucune marque et donne juste des conseils pour bien ciblé les modèles d'imprimante qui nous correspond avant de faire une demande. Ce sera plus compact et surtout ne nécessitera pas une mise à jours à chaque nouveau modèle de dispo sur le marché. 

 

Choisir une imprimante qui correspond à ses besoins.

 

Tout d’abord il sera judicieux de se poser la question suivante : Je souhaite faire quoi avec mon imprimante ?

Si vous souhaitez uniquement imprimer des petites pièces en haute définition qui ne nécessite pas de post-production éreintante, il serait judicieux de vous diriger vers une imprimante SLA (Imprimante à résine).

Il est tout à fait possible d’obtenir un rendu très fin sur ses créations avec une fdm (Machine à dépôt de filament), mais pour cela il faudra sûrement de la post-production et rusé lors de l’impression. Si vous désirez une imprimante uniquement pour ce type de pièce, économisé du temps et opter pour la sainte résine !

 

SLA

 

Point fort

- Qualité d’impression ! Alors là, franchement c’est juste merveilleux surtout pour un habitué de la FDM. La résolution est juste hallucibavantissime. Fini les stries, des objets lisse et tout doux pour remplir nos cœurs de joies sans fatigué nos bras.

- Des résines à usage spécifique. Bon là hormis si vous êtes bijoutier amateur ou dentiste clandestin peu de chance que cela vous intéresse. Mais la qualité de certaine résine semble très prometteuse pour un futur digne du futur.

- Silencieuse : Pas entendu de mes propres oreille tournée, mais ça semble plus silencieux que nos petit monstre.

 

Point faible

- Utilisation de produit chimique: vous allez devoir manier des produits potentiellement dangereux. On joue pas au plus malin et on lit bien la notice avant de faire quoi que ce soit et on s'équipe en conséquence.

- Taille plateau : Les plateaux sont vraiment très petit comparé à nos FDM.

- Le prix des résines : C’est vraiment pas donné comparé à nos bobines de PLA, mais les prix descendent petit à petit.

- Matériel nécessaire en supplément : Une fois la pièce sortie de l’imprimante, il va falloir finir la polymérisation dans une chambre à UV ainsi qu’un nettoyage à ultra-son pour les plus pointilleux.

- Couleur unique

 

La SLA vous paraît trop limité pour votre esprit créatif ou les produits chimique vous font peur? On va donc jeter un oeil dans le coin des FDM !

 

FDM

 

Point fort

- Billet d’entrée accessible et de moins en moins chère ; il est tout à fait possible de se lancer dans ce type d’impression pour moins de deux cents euro. Les imprimantes d’entrée de gamme sont de plus en plus fiable pour couronner le tout. Les modifications ne sont plus forcément une nécessité pour commencé à utilisé son nouveau jouet.

- Les matériaux ! Alors là, c’est vraiment le très gros point fort de nos petites. Choix de couleur quasi-infini, différent type de rendu (métallisé, bois,soyeux, transparent, etc...) et différent types de plastiques avec chacun leurs spécificités ( souple, résistant, décoratif,etc…) . Certaine filament demanderont certaine modification (buse spécial pour filament abrasif, caisson pour filament sensible au variation de température,etc…) et un certain affinage des paramètres pour une réalisation optimal.

-La modularité : Alors là, encore une fois c’est le gros point fort ! Ces imprimantes sont tellement bidouillable… Carte mère, moteur, extrudeur,etc… quasiment tout est remplaçable avec plus ou moins de facilité et la documentation disponible est juste hallucinante. Peu importe votre problème, 95 % de chance que quelqu’un l’ai eu avant vous avec en surplus la merveilleuse idée de poster la procédure pour le réglé. 🙂

- Les dimensions d’impression ; Alors là… (bon je me répète un peu trop là). Mais c’est indéniable, la surface d’impression proposer en rapport volume/prix pour le FDM domine de loin le SLA.

- Possibilité d’utiliser plusieurs filament. Certaine imprimante propose la double extrusion qui permet d’utiliser deux filament, il existe aussi des kits à monter sur certaine imprimante pour pouvoir imprimé jusque 5 couleur!

 

Point faible

- Les stries… satané stries… Plus sérieusement, de part sa technologie, même avec un filament au top du top et un réglage au poil de cul dans la plus fine définition on fini avec des stries. Ce qui obligera dans certain cas à faire dans la post-production ! Un monde joyeux remplie de papier à poncer, de lime et de poussière (attention, le barbu près de l’établi mord) ou de traitement chimique/thermique dans le cas de certain filament.

- Le bruit et l’odeur, pour reprendre la fameuse expression de notre feu Jacquot. Même avec des modifications ça fait toujours du bruit lorsque ça imprime. Ce qui peut être gênant en fonction de son emplacement si vous compté faire de gros print. Ensuite l’odeur… en fonction du matériaux ça varie. Ça va de passable pour du PLA à une truc assez gênant avec l’ABS.

- Souci possible d’approvisionnement lors du print et autre joyeuseté. Bien qu’il soit possible d’avoir des soucis lors d’impression en SLA, celle-ci possède le grand avantage de mettre à disposition l’intégralité de la matière (on place la résine dans le bac pour récupérer le surplus après). Ensuite, on est jamais à l’abri d’un souci lors d’un print… pièce qui se décolle, buse qui se bouche, G-Code ou imprimante qui tape sa crise d’ado durant le print… Bref, vous allez voir, parfois c’est marrant, parfois moins. Mais c’est toujours enrichissant.

 

Maintenant il va falloir définir votre surface de travail, c’est l’unique pièce non évolutive de votre imprimante. Sachant que le plus gros n’est pas forcément le mieux. Un petit retour à la réalité s’impose.

Pour imprimé un crane de 212 x 146 x 156, avec une épaisseur de couche de 1,5mm rempli à 20 %, cela me prendrai plus de 48h. Maintenant je vous laisse imaginé le temps d’impression pour remplir un volume de 300x300 ou encore plus gros 500x500. Je vous laisse faire des simulations sur Cura pour vraiment vous rendre compte du temps nécessaire pour certaine impression. Il est donc inutile d’avoir un énorme plateau si vous ne comptez pas la laisser tourner plusieurs jours consécutif. Dans la majeur parti des cas, un simple plateau de 200x200 suffit amplement. De plus on s’affranchit assez vite de cette limite avec la découpe de STL et la création de système d’emboîtement.

Ensuite il faudra définir les options que vous désirer et vos affinités. Nombres d’extrudeur, type de structure, Bl-Touch (attention avec celui-là 😛 ), type d’écran,etc…

 

A part l'imprimante, je dois acheté quoi?

 

Du filament pardi! Sinon en dehors de ça, la majeur partie des imprimantes sont ready to print à la sortie du carton. Vous assembler les deux parties de la base et hop, on fait pété le G-Code!

snoop dogg dancing GIF by Romy

Par confort, vous pouvez procédez à certaine amélioration dans les mois suivant l’acquisition de votre imprimante tel que ;

- Changer la plaque d’impression d’origine par une plaque en verre avec revêtement.

- Changer la tête d’extrudeur pour un modèle tout alu.

- Changer les ventilateurs pour gagner en décibel

Hormis pour la plaque magnétique et la tête d'extrudeur plastique qui finissent toujours par lâché tôt ou tard, le reste des ''upgrade'' sont de l'ordre du confort d'utilisation.

 

 

OCTOPI

 

En reliant un Raspberry Pi (qui n'est autre qu'un petit ordinateur de la taille d'une carte de crédit) à votre imprimante et en installant Octopi, vous offrirez à votre imprimante une jolie interface web pour être piloté à distance depuis son canapé. 🙂

Octopi offre de nombreuses options de base; monitoring,stream vidéo, envoi de fichier, affichage des layers en temps réel,etc... et d'innombrable Plugin réalisé par la communauté.

 

Liens vers le site d'OctoPrint:  https://octoprint.org/

 

 

Little box or no ?

 

Mettre sa petite en caisson possède de nombreux avantage. Moins de nuisance sonore, ce qui peut être pratique si votre imprimante ne possède pas sa petite chambre et offre la possibilité de filtré l’air extrait de l’habitacle.

Ensuite elle permet une meilleurs gestion de la température, ce qui peut être pratique si votre imprimante vis dans une pièce soumise à de brusque variation de température ou d’hygrométrie. Pour certain matériaux, cette gestion optimal de la température sera obligatoire. Notamment pour l’ABS qui est juste impossible à imprimer sans ça. Dès que vous prenez un peu de hauteur, bim bam boum…

Concernant la toxicité des émanations lors de l’impression, inutile de céder au sirène de l’alarmisme. Les études parlent de COV, particule fine et autres joyeuseté émise par nos imprimante. Mais pour vous ‘’rassurer’’ voilà la liste de ce qui ressort de l’analysé de l’air ‘’sain’’ d’une habitation moyenne sans imprimante (la tristesse).

 

 

Révélation

 

Les polluants chimiques

On en trouve très souvent dans l'air intérieur :

  • Le monoxyde de carbone (CO) : gaz incolore, inodore et mortel à forte concentration. Il se dégage des appareils de chauffage ou de production d'eau chaude à combustion lorsque ceux-ci sont vétustes ou mal réglés. Les symptômes de l'intoxication sont les suivants : maux de tête, vertiges, vision floue, nausées, faiblesses des jambes, somnolence, syncope...

  • Les composés organiques volatils ou COV (formaldéhyde, solvants organiques, éthers de glycol, hydrocarbures...) : on en trouve dans les bâtiments neufs ou récemment rénovés. Ils peuvent être dégagés par de nombreux matériaux : colles, peintures, produits de nettoyage, parfums chimiques, feutres, mais aussi matériaux dits « naturels » comme le bois traité. La plupart sont cancérigènes.

  • le plomb présent dans les vieilles peintures provoque anémie et atteinte irréversible du système nerveux central

  • les phtalates contenus dans le plastique, ils entraînent des troubles de la reproduction.

 

  •  

Si en plus vous fumez dans votre habitation c’est plus de 3000 substances dangereuses que vous relâcher…

Donc relativisez. Certain de vos produits ménager sont nettement plus dangereux que l’impression. De même pour certaine mauvaise habitude tel que le tabagisme ou le manque d’aération de son logement.

 

 

Modifié (le) par Cwazy-Cookie
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Bonjour

Voici une bonne approche pour réfléchir a son achat

et ses des question que je me suis poses pour l'achat de mon alfa U30 PRO qui doit arrive ses jours ci

mais je pense que vous pourriez aussi mettre la définition de certain mot voir d’abréviation comme " Raspberry Pi et Octopi " ETC......

Je me suis débrouillé pour savoir mais cela peut être utile

Continuer votre site est interessant

Bonne soirée

Jacky

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Il y a 18 heures, jacky66 a dit :

mais je pense que vous pourriez aussi mettre la définition de certain mot voir d’abréviation

Ici même, on peut trouver un glossaire et quelques explications: https://www.lesimprimantes3d.fr/impression-3d-pour-les-nuls/

Pour y accéder :

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🙂

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Il y a 3 heures, jacky66 a dit :

OK je te remercie fran6p

De rien, c'est le principe du forum: aider quand / si on le peut.

Tu peux aussi remercier un contributeur, en cliquant sur le cœur au bas de son post (il offre aussi d'autres possibilités 😉 ). Ça permet de réagir / d'indiquer son "opinion" sans forcément devoir compléter par écrit un post. Et cerise sur le gâteau, cela améliore sa réputation 😄

barre_icones_forum_explications.png.220b13e2e226da1129875cf7680eea69.png

PS:

Pour citer / notifier un utilisateur dans ta réponse: tapes l'arobase (@) puis commence à saisir son pseudo, au fur et à mesure de ta frappe tu pourras cliquer sur son pseudo (par exemple: @fran6p , si tout s'est bien passé, le pseudo apparait sur fond bleu foncé). Il reçoit alors une notification et peut y répondre (ou pas 😉 ).

                                                                                                                                             🙂

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