C’est la dernière de la série, à ce jour. Après les K2 Plus et K2 Pro, Creality décline sa gamme vers le bas en proposant aujourd’hui une K2 “tout court”. Si la K2 est l’entrée de gamme, ce n’est pas pour autant un bas de gamme et la proposition technique conviendra à la majorité des makers. C’est pour se faire une idée complète des imprimantes 3D CoreXY de la marque que nous avons souhaité faire ce test de la Creality K2, en version Combo avec un CFS.
Fiche technique de la Creality K2
Avec son nom, la K2 est logiquement moins équipée que ses grandes sœurs mais elle garde l’ADN de la série K2, ce qu’il y a de plus récent en CoreXY chez Creality.
La K2 n’est pas la nouvelle K1 SE : l’ancienne génération, en châssis ouvert, était bien loin des K1, K1C et K1 Max au niveau des fonctionnalités et des équipements (lire son test). Cette K2 offre certes un volume de travail standard mais ses capacités d’impression sont équivalentes au modèle supérieur. Elle se distingue essentiellement de la K2 Pro par l’absence de chauffage actif dans l’enceinte d’impression, lui retirant la prise en charge des matériaux haute température. Autrement, c’est un produit tout à fait dans l’air du temps qui ne fait pas de réelle concession.
Technologie | FDM |
Structure | Core XY en caisson fermé |
Volume maximal d’impression | 260 x 260 x 260 mm |
Hauteur de couche | De 50 à 350 microns |
Type d’extrudeur | Direct Drive |
Température maximale de la buse | 300°C |
Vitesse maximale d’impression | 600 mm/s |
Calibration | Entièrement automatique |
Filaments compatibles (extrusion directe) | PLA, PETG, TPU, ABS, PLA-CF… |
Compatibilité multi-filaments | Jusqu’à 16 bobines (4 x CFS) |
Connectivité | USB-C et WiFi (2.4 GHz) |
Dimensions | 40.4 x 43.6 x 54.5 cm |
Poids | 18.3 kg |
Concurrence | Anycubic Kobra S1 Combo, Bambu Lab P1S Combo, Qidi Q2 Combo, bientôt Artillery M1 Pro et Elegoo Centauri Carbon avec leur “CFS” maison |
Contrairement aux K2 Pro et K2 Plus, la Creality K2 n’embarque pas de caméra AI sur la buse, ni de port Ethernet, ni de lecteur RFID intégré à l’imprimante (mais celui-ci est présent sur le CFS). Elle n’a aussi qu’un seul ventilateur auxiliaire avec filtre à air et un stockage interne de 8 Go, contre 32 Go pour les Pro et Plus. Nous avons dressé la liste des différences entre K2, K2 Pro et K2 Plus sur cette page.
Sans son chauffage actif de la chambre d’impression, la K2 se retrouve en confrontation directe sur le marché actuel avec les Kobra S1, P1S et Prusa Core One qui proposent déjà une solution multi-filaments.
L'imprimante Creality K2 (Combo) sur notre comparateurDéballage et montage de la version Combo
Le déballage est rapide et ne présente aucune difficulté. Des recommandations sont directement indiquées sur le carton pour sortir la machine :
Une fois libérée de son emballage, des mousses et des films de protection, il n’y a guère qu’à retirer deux pièces de plastique et quatre vis, fixer l’écran et poser le capot supérieur en verre.
La version Combo intègre un CFS à l’intérieur du caisson, que l’on sort assez facilement. Son branchement nécessite de bien suivre le guide mais aucune compétence technique ne sera nécessaire.
La notice papier est plutôt succincte mais la vidéo ci-dessous donne tous les détails pour ne pas se tromper. On peut compter une demi-heure entre l’ouverture du carton et l’appui sur le bouton Power de la K2 Combo (il n’y a pas de sélecteur de tension).
Dans une configuration sans CFS ou pour imprimer du TPU, le support de bobine sera à droite quand on est face à l’imprimante. C’est de ce côté aussi que se trouve le port USB pour y connecter une clé avec des fichiers gcode. Une clé USB optionnelle puisque la mémoire interne garde au chaud les fichiers 3D quand ils sont envoyés depuis Creality Print ou l’application mobile, et stocke les vidéos timelapse.
Le support officiel de la K2 est disponible sur le Wiki de Creality, tandis que notre forum Creality pourra vous apporter des réponses personnalisées.
Forum Creality FranceMise en route Creality K2 Combo
Une fois la machine installée sur un plan de travail avec le CFS à son sommet ou à ses côtés, on peut simplement appuyer sur le bouton d’alimentation et voir l’écran s’illuminer du nouveau logo de Creality.
Un assistant aide à configurer la langue, le WiFi, le fuseau horaire et démarrer la calibration entièrement automatique de la K2. L’opération dure environ quinze minutes.
Il n’y a plus qu’à insérer une ou plusieurs bobines de filament dans le CFS. La reconnaissance automatique des rouleaux Creality RFID fait gagner quelques secondes mais du filament standard de marque Creality ou autre se configure très rapidement par l’écran de la machine. Une page du Wiki explique tout cela.
On voit ici que :
- Les bobines 2A et 2B sont automatiquement reconnues par RFID (icône d’œil)
- La quantité restante de filament est estimée pour ces rouleaux
- L’icône de crayon permet de configurer le filament inséré (marque, type, couleur)
- Le support externe est vide
- Le taux d’humidité relevé est ici de 50%
- Deux gros boutons pour Extrude / Retract, pour l’insertion ou le retrait manuel de filament
La configuration manuelle d’un filament :
Un mini résumé vidéo de l’unboxing et de la mise en route de la K2 Combo illustrait notre concours organisé avec Creality qui permettait de gagner l’imprimante.
La recherche de mise à jour du firmware se fait automatiquement et le téléchargement est proposé à l’écran mais on peut aussi aller s’en assurer par le menu Settings > System > Version checking. L’imprimante et le CFS ont chacun leur propre firmware.
Impressions de test (PLA)
Une petite bobine de 200 g de filament Hyper PLA est offerte dans le colis mais son format est incompatible avec le CFS, il faudra donc passer le support de bobine externe pour l’utiliser.
C’est donc avec d’autres rouleaux de PLA Hyper que les premiers prints sont sortis.
Bobines utilisées : Creality Hyper PLA
Température d’impression : 190-230°C
Température du plateau : 25-60°C
Vitesse d’impression recommandée : 30-600 mm/s
La mémoire interne de 8 Go de la K2 contient uniquement trois fichiers de test : un Benchy boat mono-couleur, un multi-couleurs et une spatule d’un seul coloris.
J’ai également fait un test de première couche, un overhang et un Torture test Kickstarter, généré par Creality Print.
Le “Autodesk x Kickstarter FDM 3D Printer Assessment” (ksr_fdmtest_v4 ici) s’est interrompu sur la fin en raison d’une coupure de courant. La reprise n’a pas été satisfaisante mais ce n’était pas l’endroit idéal pour une couture sans défaut.
Ecosystème
Creality Print
C’est le logiciel recommandé pour utiliser au mieux ses imprimantes 3D FDM. Les mises à jour de Creality Print sont régulières pour ajouter la prise en charge de nouveaux produits, d’options et de fonctionnalités. La gestion de la série K2 est totale et ce slicer est compatible Windows, Mac et Linux.
Creality Print gère aussi les CFS pour mélanger les matériaux et les couleurs. Une connexion de la machine à Creality Cloud facilite les échanges entre le logiciel et l’imprimante.
Creality Cloud sur iOS et Android
L’application mobile donne accès à la bibliothèque de modèles 3D pour les imprimer depuis son téléphone. On peut aussi gérer les fonctions basiques de l’imprimante. L’interface est chargée mais rien n’oblige à l’utiliser. Elle reste pratique pour surveiller une impression en cours via la caméra de la K2 mais aussi pour être notifié en cas de réussite ou d’échec de la tâche. Une notification s’affiche sur le smartphone même si l’impression a été lancée depuis l’ordinateur.
CrealityCloud.com
La bibliothèque en ligne de Creality propose des milliers de modèles 3D en téléchargement, dans tous les domaines. C’est donc un équivalent de Printables, MakerWorld ou MakerOnline mais à la sauce Creality. L’intérêt d’utiliser Creality Cloud est de bénéficier de fichiers déjà préparés pour le bon modèle d’imprimante, ce qui évite de passer par l’étape “slicer” pour concevoir des objets sans modification. Deux inconvénients dans le cas présent : de nombreux fichiers ne sont que des modélisations en 3D jamais imprimées (quand ils sont imprimables, ce sont souvent des copies d’autres plateformes) et les profils pour imprimantes K2 sont encore assez rares.
Ces envois massifs de modèles non vérifiés sont entre autres liés aux récompenses offertes par Creality. Celles et ceux qui vont beaucoup envoyer de designs sont bonifiés de points qui peuvent être échangés contre des bons d’achat ou des produits (des filaments, des accessoires mais aussi des imprimantes et des scanners 3D). Ceux qui ne font que télécharger et imprimer devront continuer à économiser de l’argent réel puisque l’impression complète d’un fichier génère 5 points, quand il en faut près de 200 000 pour recevoir une K2 Plus Combo. A titre de comparaison, les bobines de 1 kg démarrent à 4000 points et le Space Pi Dryer est à 10 000 points.
Enfin, CrealityCloud est aussi un service de “cloud slicing” avec une interface web revue et modernisée. On peut donc imaginer trancher des fichiers 3D sans avoir à installer Creality Print, même si les options et réglages sont moins complets que sur le logiciel de bureau.
Klipper / CrealityOS
Une base de Klipper pour CrealityOS qui en reprend quasiment toutes les fonctionnalités avancées. Le firmware est mis à jour par Creality et l’accès root peut être activé sur l’écran de la K2.
Web (Fluidd)
Une dernière possibilité de surveiller et de piloter sa K2 se fait par l’intermédiaire d’un simple navigateur web. On indique l’adresse IP suivie du port TCP 4408 (par exemple : 192.168.1.101:4408) pour accéder à Fluidd qui affiche la progression d’une tâche en cours, les fichiers gcode enregistrés sur la mémoire interne de la machine, l’historique des impressions réussies et échouées, les fichiers de configuration de Klipper, etc.
Par défaut, il n’y a pas de vue sur la caméra de la K2 dans Fluidd mais on peut exclure des objets de l’impression par cette interface, tout comme redémarrer l’imprimante à distance ou demander un arrêt d’urgence.
D’autres impressions en PLA
Toujours avec des filaments Hyper PLA, mais aussi CR PLA et Soleyin de chez Creality.
- Knitted bear
- Toboggan droit à déchets de purge pour la série K2 (imprimé sans support)
- Poignée ergonomique pour clé Allen
- Figurine Batman
Utilisation du CFS
Le CFS, pour Creality Filament System, est la solution du constructeur pour gérer les changements automatiques de filament durant une même impression. Ou entre deux impressions, pour éviter d’avoir à retirer le filament et insérer le nouveau. C’est un système maintenant éprouvé depuis plus d’un an avec la K2 Plus et la Hi, depuis étendu à la gamme K1 grâce au kit upgrade CFS. Saluons au passage Creality qui a permis à des milliers de makers de conserver leur K1* et de profiter d’un tel système, là où des marques concurrentes imposent de changer de machine.
Un Creality CFS peut contenir jusqu’à quatre bobines de PLA, PETG, ABS, ASA, PET et PLA-CF. On peut mélanger les matériaux au sein du boitier puisqu’il n’y a pas de chauffage actif pour sécher les filament et les mettre à température, on ne risque donc pas de ramollir ou mal conserver certains rouleaux. Cela impose cependant d’utiliser un “Dryer” complémentaire type Creality SpacePi X4, un SpacePi mono-bobine ou un équivalent d’une autre marque pour préparer au mieux les filaments avant impression. Un surcoût et un espace supplémentaire à réserver à la solution de fabrication additive.
Enfin, il est possible de connecter jusqu’à quatre CFS à la K2 pour mélanger un total de seize bobines sur une même impression.
Multi-couleurs PLA avec le CFS
Creality a préparé un Benchy boat en quatre couleurs, ce sera le premier essai d’impression multi-filaments avec le CFS de la K2 Combo. Puis, ce logo de notre site Lesimprimantes3D.fr (à plat et en relief) et quelques HueForge qui confirment que les changements de bobines ne sont pas un problème pour le système de Creality, sans aucun souci à signaler pour ces essais.
Les autres modèles :
Enfin, une variante du précédent ours “knitted bear” qui a reçu un coup de peinture sur les yeux et la truffe depuis Creality Print.
Les déchets de purge
Inhérents à la technologie du CFS, chaque changement de filament demande une purge de matière qui ne pourra pas être utilisée pour l’impression. Si des solutions de recyclage peuvent exister et que l’optimisation des purges est possible par le logiciel de tranchage, l’accumulation de plastique est inévitable et dépendra du nombre de changements de filaments.
Exemple avec le tranchage de cet unique Mario en quatre couleurs mais avec 497 changements. L’objet ne pèsera que 14 grammes, quand on comptera plus de 300 g de déchets et 40 g dans la tour de purge. Un très mauvais ratio qui peut décourager les impressions multi-couleurs.
Il sera par contre nettement plus intéressant de remplir le plateau de clones puisque la quantité de déchets sera la même mais pour plus de 200 g de ces quinze Mario. Vous ferez des heureux autour de vous.
Une plaque type Hue Forge ne génère pas grand chose comme déchets puisque les changements de couleurs se font par couche.
Impression en PETG
Les premiers essais en PETG n’ont pas donné satisfaction en raison d’un filament trop humide. C’est là que l’on peut regretter que le CFS n’est pas en capacité de réchauffer et d’assécher les bobines qu’il contient, à la manière d’un AMS 2 Pro par exemple. Il faudra donc passer par un autre accessoire, un Space Pi ou produit concurrent de chez Sunlu, Eibos… Dans mon cas, quelques heures dans un Space Pi X4 et les impressions ont été bien meilleures.
Bobine utilisée : Creality Hyper PETG
Température d’impression : 220-260°C
Température du plateau : 60-80°C
Vitesse d’impression recommandée : 50-600 mm/s
Modèles 3D :
- Un Benchy boat généré sur Creality Print
- Le test Kickstarter aussi généré par le slicer
- Rhinocéros “knitted”
- Mini Dark Vador
J’ai tenté le Dark Vador sans support, je saurai pour la prochaine fois !
A l’usage
Consommation électrique
La puissance et la consommation électrique sont raisonnables. Ces relevés ont été faits sur deux impressions de PLA à partir du CFS, il s’agit donc du duo imprimante + multi-filaments.
Le firmware ne propose pas un arrêt automatique de l’imprimante à la fin d’une impression réussie.
Volume sonore
Laissée en réglage automatique, la ventilation varie d’intensité et devient vite désagréable quand elle est à son niveau maximal. Mais, la plupart du temps, le niveau sonore est acceptable et on entend davantage le déroulement du filament dans le CFS que les mouvements de la tête d’impression. Je n’ai cependant pas d’appareil pour une mesure précise et différentes applications de smartphone ont donné des résultats à +/- 10 dB près, ce qui n’est donc pas une information assez fiable pour être partagée ici. Le ressenti compte par dessus les chiffres.
Cette ventilation doit gérer la température ambiante du caisson qui ne s’ouvre pas (ni en automatique comme sur la H2D, ni par recommandation comme sur la Qidi Plus4) pour l’impression de PLA.
Par contre, en veille (idle), la machine ne fait aucun bruit. L’écran en façade se met en veille au bout de quelques minutes (paramétrable) mais la LED à l’intérieur du caisson reste allumée en permanence (On / Off uniquement). Une temporisation quand l’imprimante n’est pas en fonction serait intéressante à implémenter.
Vidéo timelapse Creality K2
La caméra 720p est aidée par l’éclairage LED à l’intérieur du caisson pour y voir clair de jour comme de nuit mais la qualité n’est pas exceptionnelle. Ce n’est cependant pas un point négatif, tant son utilité est limitée à la surveillance à distance des tâches d’impression. Voici une compile vidéo timelapse de quelques prints avec la K2.
Maintenance
Le Wiki Creality K2 est bien complet pour réaliser les opérations courantes de maintenance et celles plus exceptionnelles. Les textes sont en anglais (ou en chinois) mais on pourra utiliser la traduction automatique du navigateur internet pour les lire en français, avec une fiabilité néanmoins relative sur les termes techniques.
Ce Wiki donne aussi la liste et les références de tous les composants que l’on peut remplacer dans la machine, de l’écran à la LED, en passant par un moteur d’extrudeur, le module de nettoyage de la buse ou encore le bloc d’alimentation.
Enfin, c’est dans l’ère du temps, les tutoriels sont aussi proposés en vidéos sur la chaine YouTube de Creality After Sales et listées sur le Wiki. On saura donc facilement comment remplacer la hotend ou retendre les courroies puisque la K2 ne dispose pas d’une tension automatique.
Je n’ai pas eu à procéder à une seule opération de maintenance sur les quelques semaines d’utilisation de notre Creality K2 Combo dans le cadre de ce test. Elle comptabilisait un peu plus de 60 heures d’impression (6h11 pour la plus longue) à date de publication.
Améliorations et upgrades
Manuel papier
Ce n’est pas un point négatif à proprement parlé puisque le Wiki et la chaine YouTube du constructeur proposent suffisamment de contenu pour s’en sortir, mais la notice papier fournie dans le carton est vraiment trop peu détaillée, alors même que la K2 Combo ne demande pas trop d’étapes préalable à sa mise en route.
Imprimer un toboggan et poubelle à purge
Le modèle précédemment imprimé a l’avantage d’être léger, donc économe en matière (17 grammes). D’autres versions existent bien sûr. On pourra parfois utiliser ceux destinés à la K2 Plus, selon leur forme, en s’assurant qu’ils correspondent au niveau des dimensions.
Le CFS ne fait pas Dryer
Sans investir dans un sécheur de filaments, il y a la possibilité d’imprimer cet accessoire pour réduire le taux d’humidité à l’intérieur du CFS, dans lequel on va déverser des billes de silice pour absorber les molécules d’eau contenues dans l’air ambiant du boitier.
A qui s’adresse la Creality K2 (Combo) ?
En connaissant les capacités et les limites de cette K2 “tout court”, je juge son usage comme polyvalent pour la maison. Ce n’est que récemment que le chauffage de l’enceinte d’impression est devenu un critère d’achat, quand c’était jusqu’à présent réservé aux makers avertis et aux professionnels qui souhaitent imprimer avec des matériaux techniques.
Les impressions 3D du quotidien, en PLA, PETG ou TPU, seront parfaitement assurées par la K2 de base. Ainsi, seul son volume (qui reste dans le standard) peut jouer en sa défaveur, ainsi que son prix de lancement un peu élevé au regard de la concurrence (659 €). Sur ce point, attendre les promotions de Creality ou d’un revendeur semble opportun.
Notes et conclusion
Qualité d'impression - 9
Fiabilité - 9
Ecosystème - 8.5
Utilisation - 9
Rapport qualité / prix - 7
8.5
/10
- Déballage et mise en route rapides
- Wiki et tutoriels en vidéos
- Ecosystème de plus en plus complet
- Fiable
- Bonne expérience d'utilisation
- Nécessite un Dryer complémentaire
- Bruit des ventilateurs
- Pas de chauffage du caisson
- Prix hors promotion