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Choix imprimante Dentaire


SN3D

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Mes critères de choix

  • Budget : 1000
  • Type(s) de filament(s) : Autre(s)
  • Made In France : Pourquoi pas
  • Niveau en bricolage : Modéré
  • Niveau en électronique : Modéré
  • Niveau en informatique : Modéré

Description du besoin

Bonjour à tous !

Je suis salarié d'un petit laboratoire de prothèse dentaire, j'ai besoin de m'équiper en imprimante 3D. Cependant, personne n'a les compétences opérationnelles dans mon laboratoire. C'est pourquoi j'ai plusieurs model grand public dans le viseur, afin d'apprendre l'utilisation pour passer ensuite sur du plus gros (et plus cher) et si les tests ne sont pas concluant, la revente est possible sur le marché de l'occasion. Mes besoins ne sont pas définit, le but est de maitriser l'impression 3D résine, les réglages, les spécificités, sur le "tas" comme on dit !

Le premier modèle que j'avais dans le viseur est la Photo D2 DLP de chez Anycubic, ensuite la M5s de chez Anycubic et enfin les équivalentes chez Elegoo (Saturn 3 Ultra et Mars DLP)

Le but est de pouvoir imprimer des couronnes directement avec la résine calcinable ou bien imprimer des PEI (porte empreinte individuel), la taille des impressions variant d'une petite couronne à une bouche complète (sans le crâne ^^). Concernant les technos, mon hésitation entre DLP et 12k est-elle justifiée ? La rapidité n'est pas déterminante dans le choix, c'est vraiment la précision qui m'importe le plus. Au départ je pensais à une Photon D2 pour la résine calcinable (les couronnes) et une M5s pour les modèles et autre qui ne soit pas des pièces petites. Et ducoup pour limiter le budget, commencer par une photo D2

Quand dite vous ?

 

 

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A mon sens @SN3D une imprimante 12k n'a aucun intérêt pour de l'impression dentaire une 4K suffit amplement, le DLP a quelques avantage consommation faible durée de vie du système DLP de 20.000h contre 2000h pour un ecran MSLA. Donc focalise toi sur une imprimante dont le plateau aura une surface suffisant avant tout.

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D'accord, merci pour votre retour. Pour les 12k, au delà de la définition, c'étais aussi la rapidité d'impression (à considérer le coût de la résine spé aussi).

 

Je partirai donc sur la DLP en première impression, la conso et la durée de vie fait la différence.

 

Merci pour votre aide, et probablement à bientôt sur le forum lorsque je démarrerai mon apprentissage par la pratique

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Il y a 16 heures, SN3D a dit :

D'accord, merci pour votre retour. Pour les 12k, au delà de la définition, c'étais aussi la rapidité d'impression (à considérer le coût de la résine spé aussi).

 

Je partirai donc sur la DLP en première impression, la conso et la durée de vie fait la différence.

 

Merci pour votre aide, et probablement à bientôt sur le forum lorsque je démarrerai mon apprentissage par la pratique

les imprimantes comme la M5S, Halot Mage pro etc sont rapide oui mais uniquement avec de la résine spéciale, la résine castable te permettra pas cela et souvent a vitesse rapide la qualité est moins bonne.

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Salut !

Travaillant également dans le domaine dentaire, je comprend tout à fait (surtout pour un petit laboratoire) cette envie d'expérimenter pour acquérir de l'expérience. Cependant au niveau de la faisabilité je n'ai pas trop de doutes, aujourd'hui tout le monde s'y met et c'est la suite logique de la "révolution" qui a commencé avec l'adoption massive des scanners intraoraux dans le domaine dentaire. 

Il y a quelques années l'impression 3D dans le dentaire se limitait à l'impression d'aligneurs, de guides chirurgicaux et d'éléments temporaires, maintenant certains fabricants proposent des machines et résines permettent l'impressions de couronnes définitives avec une gamme de teintes de plus en plus grande, et j'imagine que dans quelques années cela deviendra la norme.

 

Quoiqu'il arrive, dans ton cas le coût de la résine dépassera à terme celui de la machine, qu'il s'agisse d'une imprimante grand public ou d'une imprimante plus professionnelle.

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Merci pour vos retour !

 

@Aezio : nous avions commencé, avant mon arrivé dans le labo, par de la production usineuse/impression 3D etc, seulement nous n'avions quasiment pas de clients dentistes équipés, le processus était plutôt empreinte physique>scanner>conception/impression>usineuse>finition. Nous sommes passé en sous-traitance et avons abandonné cette production. Maintenant que nous avons des clients équipé, que nous maitrisons les spécificité des scanner intra-oraux, il est temps de faire revenir un peu d'industrie en France. Au pire, on se créée de l’expérience sur l'impression 3D seule. De ce que crois comprendre entre vos lignes, c'est que le futur ferait disparaitre le métier de prothésiste tel qu’on le connais, remplacé par des IA pour la conception, et ne nécessitant que des opérateurs machines pour la maintenance et utilisation, au point qu'une personne qui n'a aucune connaissance en dentaire mais beaucoup d’expérience dans l'impression 3D pourrait réaliser des prothèses dentaires de qualité. Peut être je me fourvoie dans la compréhension ^^. Quel est votre équipement pour votre activité dentaire ? Vous utilisez les machines inscrites sur votre profil ?

 

J'ai un client qui m'a appelé hier pour impression de modèle ortho (le jour où je commande la machine ^^), effectivement le coût résine lui ne fera que monter et peut être que nous nous dirigerons vers des opérateurs machines directement au cabinet (Cerec et cie). Pour l'instant je m'y retrouve niveau rentabilité, car pur extra pour le labo, en excluent le coût du travail pour l'instant. Je ne sais pas si l'on peut avoir des message privé via ce forum, il serait intéressant d'échanger sur le sujet. J'ai espoirs que la profession de prothésiste puisse un jour s’émanciper du joug des praticiens dentaires ahah, que le flux monétaire soit moins soumis à leur barrage ^^

@MrMagounet oui, et de toute manière ce qui serait imprimé en castable sera de petite pièce, donc le gain de vitesse serait marginal. La vitesse était intéressante pour l'impression de PEI, c'est un porte empreinte en résine fait sur mesure pour tel patient, ce type de produit n'a pas besoin d'avoir une précision au micron et ne nécessite pas d'être coulé. Maintenant, existe il des résine dite rapide mais utilisable dans le dentaire, je ne sais pas.

 

Et je me pose aussi cette question, existe il une réel différence entre la résine pour le dentaire et le non dentaire ? Ou simplement l'une justifie d'un contrôle accrue concernant les compositions.

 

J'espère ne pas trop m’égarer du sujet initial, qui serait plutôt "Bien choisir son imprime ET bien choisir sa résine" ^^

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il y a 10 minutes, SN3D a dit :

De ce que crois comprendre entre vos lignes, c'est que le futur ferait disparaitre le métier de prothésiste tel qu’on le connais, remplacé par des IA pour la conception, et ne nécessitant que des opérateurs machines pour la maintenance et utilisation, au point qu'une personne qui n'a aucune connaissance en dentaire mais beaucoup d’expérience dans l'impression 3D pourrait réaliser des prothèses dentaires de qualité. Peut être je me fourvoie dans la compréhension ^^. Quel est votre équipement pour votre activité dentaire ? Vous utilisez les machines inscrites sur votre profil ?

Non loin de là, surtout que je ne connais pas assez le domaine pour faire des prévisions fiables, c'est juste une projection par rapport aux technologies qui arrivent au fur et à mesure et aussi en voyant ce qui est à "la mode" dans les différents salons dentaires, et clairement en ce moment, je trouve que l'impression 3D a le vent en poupe.

Pour tout ce qui implique de l'IA on est encore très loin de son utilisation, surtout que ce domaine a une assez grande inertie, il faut vraiment que les technologies soient à maturité pour que leur adoption de masse se fasse. Par exemple pour les scanners intraoraux, les premiers modèles sont déjà assez vieux (début des années 2010 environ) et leur adhésion n'a pas été linéaire au fur et à mesure mais plutôt exponentielle à partir de 2019/2020.

Par contre oui je vois peut-être plus d'opérateurs machines et moins de travail manuel qu'actuellement, même si les deux cohabiteront pendant longtemps. Je me souviens avoir visité un laboratoire dentaire il y a 3/4 ans quand je n'y connaissais rien, j'avais été choqué de voir toutes les petites mains qui fabriquaient les prothèses, je m'attendait à voir beaucoup plus de machines, il y avait juste une petite pièce avec deux personnes qui géraient deux scanners et deux imprimantes 3D alors qu'une grosse dizaine de personnes s'afféraient à créer les prothèses à la main dans la pièce d'à côté 😅

 

Si je continue ma projection en suivant les arguments des fabricants, ces nouvelles machines pourraient également populariser le flux chairside comme tu le dis (pour ceux qui ne connaissent pas le terme, c'est le fait d'arriver chez le dentiste et de repartir avec sa prothèse en bouche au cours d'un même rendez-vous), mais à part dans de rares cas, je ne vois pas les dentistes utiliser ce fonctionnement.

 

De mon côté je fais de la R&D informatique pour un fabricant de matériel dentaire et il y a quelques années je suivais beaucoup tout ce qui concernait la 3D dans le dentaire (je tenais à jour un tableau avec tous les détails techniques des différents modèles de scanners intraoraux). Donc les machines de mon profil ne concernent pas ce domaine, sauf la Prusa i3 MK3S+ mais elle n'a pas du tout un usage dentaire à proprement parler.

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D'accord, j'y vois mieux. Effectivement, 2019-2020 c'est la période que nous avons identifier aussi. Le secteur est en pleine ébullition même si nous avons facilement 10 ans de retard comparé à nos amis américains et canadiens ! Quand je vois certaine vidéo youtube, où une couronne est produite avec de l'impression 3D (alliant céramique et métal), vidéo qui a 12 ans ! En France nos praticiens sont loin derrière, mais vaut mieux tard que jamais !

En tout cas, le dentaire est l'application parfaite pour l'impression 3D !

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