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electroremy

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Tout ce qui a été posté par electroremy

  1. C'est encore pire pour les machines à coudre industrielles. Mes clients s'arrachent les cheveux... les pièces sont hors de prix et introuvables, le fabricant facture très cher son déplacement Quand c'est mécanique, le client peut se débrouiller avec son service maintenance ; parfois ils arrivent à réparer mieux que le fabricant, ça dure plus longtemps Mais quand c'est électronique, c'est mort
  2. Je vais prendre la Necchi Q132A Les commentaires sont nombreux et positifs sur Amazon ; plusieurs confirment qu'elle peut coudre sans difficulté beaucoup d'épaisseur. Le tarif reste raisonable ; et elle est vendue en ce moment en promo à 249€ ailleurs (Darty, FNAC, Mondial Tissu...) Les accessoires fournis avec sont complets, la machine comporte une table d'extension qui sera très pratique pour ce que je veux faire. Par rapport aux autres machines amateur, son col de cygne est un peu plus large (sans bien sûr égaler celui des machines industrielles) Comme cette machine semble populaire, je n'aurais pas de mal à trouver de l'aide pour son utilisation sur Internet. Et si jamais je n'y arrive pas du tout, je devrais pouvoir la revendre facilement d'occasion. Une autre question : quel livre me conseilleriez-vous pour apprendre la couture généraliste (c'est à dire pas uniquement les vêtements) ?
  3. Merci pour vos réponses, je ne pensais pas en avoir autant sur un forum d'impression 3D J'ai des clients industriels qui font de la couture, ça ne plaisante pas : sièges d'automobiles ou matelas, ils cousent plusieurs couches de matériaux épais. Dans ce domaine, c'est PFAFF qui règne en maître mais les prix et les consommables sont assez chers, de plus ces machines sont encombrantes, assez lourdes et dangereuses (même des couturières expérimentées se sont faites massacrer des doigts) - je dis couturières car les salariés qui travaillent sur ces machines sont en très forte majorité des femmes. Voilà un retour d'expérience très utile En effet pour ce que j'ai besoin de faire, il faudra beaucoup de virages et de demi-tours... La vitesse n'est pas un critère, car je ne vais pas coudre beaucoup ; je ne vais pas me lancer dans une carrière de créateur de mode , mais seulement coudre de temps en temps, la machine sera un complément aux autres techniques de bricolage.
  4. Bonjour, Il me manque encore un équipement parmis tout mon matériel de bricolage : une machine à coudre Pour quoi faire ? - Réparer / adapter des vêtements (remplacer une fermeture éclair cassée, ajouter une poche sur mesure, refaire un chapeau anti-UV vraiement couvrant, ...) - Ameublement (rideaux, sièges, coussins) - Adapter voir faire des sacoches sur mesure (matériel photo, randonnée) - Coudre des sangles (pas pour du levage bien sûr) - Faire des choses plus techniques (soufflet de forge ou pour protéger des axes de machines outils, ...) - Faire des rangements sur mesure et pliables pour la voiture (et pourquoi pas un volant moumoutte personnalisé ) Je souhaite avoir une machine polyvalente, capable de coudre des tissus épais, avec de la mousse, mais aussi du cuir et des bâches ou feuilles de vinyle ou PVC souple. La machine doit être capable de coudre avec du fil technique et épais. A bientôt
  5. Alors il se trouve que pendant la COVID... ...j'ai devellopé (mais pas encore installé) un système domotique filaire... à base d'Arduino. Bon, rassurez-vous : le truc est déjà obsolète avant même d'avoir été terminé : cartes Arduino UNO + shield Ethernet, avec un réseau local indépendant sans Internet. Dans chaque pièce, un module avec : - un écran tactile - un arduino UNO - un shield Ethernet - un capteur de température et d'hygrométrie - une photodiode pour mesurer l'intensité lumineuse (et adapter la luminosité de l'écran) Ce sont des petits clients HTTP miniatures, capables d'afficher des textes et des graphismes en couleur. Chaque frappe sur l'écran tactile effectue une requête au serveur central, qui envoie de nouvelles données que le module "client" traite. Le serveur central est un arduino UNO (ou méga dans la version finale) Les modules recoivent l'alimentation électrique via les câbles, donc aucune batterie. Il y a un système de mise en veille automatique. En option, un Arduino ESP relié au serveur permet à un vieux smartphone sans carte SIM de se connecter dessus en WIFI pour être utilisé comme télécommande. Un Raspberry PI avec une distribution MOODE AUDIO sert de média player, il est raccordé au serveur via le réseau local Ethernet. Le système avait pour objectif le pilotage de la VMC (trappes motorisées dans chaque pièce), le chauffage, la diffusion de la musique... Via une LED infrarouge, le serveur peut piloter l'ampli de chaine hifi Tout est fonctionnel, mais je n'ai rien installé (pas le temps de faire les travaux). J'ai dû optimiser le code au maximum pour que des Arduino UNO puisse gérer à la fois l'écran tactile, le shield Internet, les capteurs, et toutes les fonctions nécessaire. J'ai même réussi à intégrer le code de calibration des écrans tactiles, et une page de configuration des adresses IP. J'ai aussi dû optimiser le protocole de communication pour économiser de la RAM, en créant une sorte de protocole HTTP / SVG binaire compact Je me suis bien amusé en programmant ces Arduino en C++ avec un petit peu d'assembleur. Le retour d'expérience du prototype montre qu'un vieux smartphone utilisé comme télécommande est finalement très pratique. De plus le smartphone peut diffuser directement via bluetooth la musique. Si le smartphone a accès à Internet il peut diffuser des podcasts... Du coup pour la musique j'utilise le vieux smartphone (sans carte SIM) pour lire mes MP3 et diffuser les podcasts. Un module audio bluetooth est raccordé à mon ampli Hifi, j'avais déjà chez moi des haut-parleurs dans toutes les pièces avec des interrupteurs mécanique pour les alimenter depuis l'ampli - donc un système "hybride" électromécanique + smartphone. Ca répond au besoin principal, et ça justifie de repousser aux calandes grecques l'installation du système complet J'hésite encore à installer le système complet, ou une version simplifiée avec juste le serveur, en gardant le vieux smartphone comme pilotage, et avec quand même un module Arduino client utile en cas de panne du smartphone...
  6. Bonjour, j'ai eu un autre échange avec le SAV Prusa Il faudra donc que je jette un oeuil aussi sur le code du firmware de la MK2.5/S pour comprendre où se trouvent les différences pour la prise en charge de la sonde SuperPinda par rapport à la PINDA v1 dans le firmware de la MK2/S Je viens de commander la SUPERPINDA, avec l'adaptateur. C'est un peut cher quand même (presque 42€ avec les frais de port) A bientôt !
  7. Alors oui c'est un point essentiel du débat : avoir un standard ouvert et que les appareils soient compatibles Revers de la médaille : si tout est connecté sur le même réseau, on démultiplie les effets négatifs d'une faille de sécurité... Une solution peut être d'avoir un réseau "fermé" pour ce qui domotique, c'est à dire isolé et non relié par Internet. Une interface peut être mise en oeuvre pour avoir un retour et un pilotage via Internet du strict minimum nécessaire Voilà un autre point important : la réparabilité. C'est du vécu chez mes clients qui fabriquent des machines spéciales. Les machines anciennes avaient des composants électromécaniques au fonctionnent "universel", on pouvait remplacer organes de commande, capteurs, préactionneurs, actionneurs et relais par n'importe quel autre modèle de n'importe quelle marque, et panacher du matériel récent avec du matériel des années 60. Maintenant (presque) tout est numérique ; résultat : on est prisonnier d'une marque, et même d'une gamme précise d'une marque donnée. La disponibilité des pièces détachées et des mises à jour devient critique. Le jour où on ne trouve plus les pièces et/ou on n'arrive plus à faire les mises à jour nécessaires, c'est le drame... Surtout qu'en industrie, la durée de vie des machines et lignes de production peut être longue, il n'est pas rare de voir des machines ayant plus de 30 ans fonctionner encore... J'ai eu des clients contraints de faire un couteux rétrofit d'une machine car il n'était plus possible de la maintenir en état de fonctionnement, faute de pièces détachées électroniques disponibles. C'est pareil dans le bâtiment, où on voit des bus numériques remplacer le câblage traditionnel... résultat : des travaux simples comme l'ajout d'un éclairage ou d'un interrupteur deviennent compliqué... Attention aux contrats de maintenance : des prestataires en situation de quasi monopole refusent de donner les accès et/ou les outils nécessaires, impossible de faire la moindre réparation ou modif soit-même. C'est très cher, et les délais d'interventions sont parfois très longs... Et si le prestataire fait faillite bonne chance ! Dans ce cas de figure, la loi ne prévoit pas grand chose pour les clients qui se retrouvent "orphelins".... La machine ou le bâtiment que vous avez payé de votre poche ne vous appartient plus vraiement... Moralité : il faut bien évaluer la balance bénéfice / risque... remplacer du matériel analogique ou électromécanique par du matériel numérique propriétaire, ce n'est pas toujours une bonne idée, ni une source d'économies...
  8. sujet créé
  9. Bonjour, Aujourd'hui, il y a du numérique partout. On a des microcontrôleurs dans des ampoules, des interrupteurs et des fers à souder... Et il y a donc des bugs et des failles de sécurité partout sans parler du surcout et du risque de panne. Je suis pour la technologie à condition qu'elle m'apporte un bénéfice réel en termes de performance ou de confort d'utilisation. Certains objets ou outils purement mécaniques (ou analogiques) ont le même confort d'utilisation que leurs versions numériques, je les garde. C'est parfois même meilleur. Par exemple, c'est toujours mieux quand un appareil a un vrai bouton marche/arrêt mécanique : zéro consommation en veille, et surtout pas d'usure prématurée ou de sensibilité aux surtentions des composants sous tensions en permanence, sans parler du risque incendie. Même si je programme des logiciels pour ordinateur ou Arduino, je reste adepte des montages simples et efficaces de "l'électronique à Papa". Dans les anciens livres 30x circuits d'Elektor, il y a plein de bonnes idées de montages électroniques simples et efficaces. Le drame c'est de voir en conception du matériel numérique déployé pour accomplir la moindre fonction... alors que quelques composants passifs suffiraient ! Mais ça se discute : dixit @Kachidoki
  10. Et il y a donc des bugs et des failles de sécurité partout sans parler du surcout et du risque de panne. Je suis pour la technologie à condition qu'elle m'apporte un bénéfice réel en termes de performance ou de confort d'utilisation. Certains objets ou outils purement mécaniques (ou analogiques) ont le même confort d'utilisation que leurs versions numériques, je les garde. C'est parfois même meilleur. Par exemple, c'est toujours mieux quand un appareil a un vrai bouton marche/arrêt mécanique : zéro consommation en veille, et surtout pas d'usure prématurée ou de sensibilité aux surtentions des composants sous tensions en permanence, sans parler du risque incendie. On peut avoir un réglage précis de la température avec un circuit analogique simple. Même si je programme des logiciels pour ordinateur ou Arduino, je reste adepte des montages simples et efficaces de "l'électronique à Papa". Dans les anciens livres 30x circuits d'Elektor, il y a plein de bonnes idées de montages électroniques simples et efficaces. Le drame c'est de voir en conception du matériel numérique déployé pour accomplir la moindre fonction... alors que quelques composants passifs suffiraient !
  11. J'ai la dernière version du firmware disponible pour la MK2s original Au début de chaque impression, la machine préchauffe la PINDA v1 après avoir fait un home Z Et ensuite elle va palper les 9 zones de mesure du lit chauffant Autre soucis : il y a du oozing pendant la phase de préchauffage de la PINDA, c'est un peu chiant, il faut attendre et nettoyer la buse, ce que je fais c'est un move axis manuel de l'extrudeur de -1mm après chauffage de la hotend pour limiter le oozing Ca fonctionne mal, notamment parce que mon imprimante est dans un caisson chauffé à 60°C ce qui n'était pas du tout prévu à l'origine Je vais installer une SUPERPINDA, ensuite il faudra que je récupére le code source du firmware de l'imprimante en retirant ou désactivant le code de la compensation en température... Je m'y connais en programmation mais je n'ai jamais touché au firmware de mon imprimante... je suppose qu'il est codé en C++, et compilé avec un IDE open source, et avec un peu de chance il y a des commentaires et des noms explicites de variables. J'aurais besoin de l'aide du forum Si jamais cela fonctionne, cette modification pourrait intéresser du monde. Il doit encore y avoir des MK2s en fonctionnement, et même si ces imprimantes sont dépassées elles fonctionnent bien et peuvent être utiles en 2e imprimante, par exemple pour imprimer des filaments particuliers (TPU ou autre) en ayant à côté son imprimante 3D principale pour faire autre chose.
  12. Voici l'échange que j'ai eu avec le service client de Prusa. Selon eux, la SUPERPINDA n'est pas compatible avec la MK2s ; ce n'est pas qu'une question de brochage, il faut impérativement faire la mise à niveau complète vers la MK2.5S ce que je n'ai pas envie de faire (trop cher compte tenu de l'âge de l'imprimante, et certaines pièces seront difficiles à trouver) Je ne comprends pas trop la raison... Certes je comprends qu'à la base cette mise à niveau fait partie d'un ensemble mais techniquement je ne comprends pas bien ce qui empêche seulement de remplacer la PINDA V1 par une SUPERPINDA. La PINDA V1 et la SUPERPINDA sont toutes les deux alimentées en 5V et ont un signal de sortie tout ou rien... Même s'il existe une différence de sensibilité, hé bien il suffit d'ajuster la hauteur de la sonde et/ou le live Z Je pense que le firmware de la MK2s inclue une compensation logiciel en température de la PINDA V1... sauf que cette compensation est très imparfaite, mon expérience le démontre. Et avoir à la place une SUPERPINDA insensible à la température garantirait une absence de dérive pour des conditions d'impression identiques (même température de bed), même s'il faut un live Z différent pour chaque fialement ce sera quand même un progrès notable. Je vais quand même essayer la modif, je n'ai pas grand chose à perdre. A bientôt
  13. Alors ça c'est trop moderne pour moi. Si tu veux que ça chauffe plus fort, hé bien tu tournes le bouton, tu achètes un fer plus puissant... ou bien tu "survoltes" l'alimentation Et pour ne pas te brûler, tu l'attrapes par la poignée et pas par le bout qui chauffe... ...c'est à dire, surtout pas comme sur cette image : hum... voilà ce qu'il se passe quand on demande à une agence de pub qui n'y connait rien de faire une photo Sans parler de la pertinence d'utiliser un fer à souder de cette façon sur une carte mère d'ordinateur
  14. Il y a des fers à souder avec un firmware ??? Pour moi, les fers à souder, c'est juste un outil basique avec une résistance chauffante qui se branche sur le 230V, ou sur le 12V avec prise allume cigare pour dépannage sur le terrain. Les modèles perfectionnés ont une base qui permet le réglage de la température, avec un capteur intégré... C'est officiel : je suis vieux
  15. @pascal_lb : merci pour ce test J'ai acheté le petit accessoire pas cher dont parle @Funboard29... sans avoir réussi à souder correctement des filaments Le boitier de SUNLU a l'air bien mais le fait qu'il faille bricoler une 3e main montre que sa conception n'est pas aboutie... Et surtout, il faut des consommables (les petits tubes PTFE), ça c'est dommage, cela contrevient à l'aspect écolo du système qui permet de réutiliser les chutes de bobine... Pourtant, le système multicouleur Palette arrive bien à souder les filament de façon automatique et sans consommable... c'est donc techniquement possible Il suffirait juste de reprendre la partie soudure du Palette...
  16. Même si les mises à jour sont rares, la dernière date de 2025 : https://www.3dslash.net/features_downloads.php Chose intéressante : ce logiciel permet d'importer une forme 3D au format STL et de la retravailler : https://www.3dslash.net/learn_tutorials.php On voit également que le logiciel permet de générer des formes plus complexes que les cubes qu'on voit sur la démo, et aussi de travailler à partir d'images C'est une approche intéressante d'un point de vue ergonomique, qui correspond à priori à la demande de @divers à savoir trouver un logiciel utilisable par des enfants. Si besoin, pour les pièces "mécaniques", un logiciel paramétrique simple en 2.5D peut être un bon complément
  17. 650 élèves (et le staff adulte qui va avec) ça permet au Fablab de tourner On est loin de la classe multiniveau du village où j'ai grandi
  18. Il y a toujours des abus et des mauvais exemples, et le numérus clausus en médecine en est un. En école d'ingénieur il y a des concours, les places sont limitées. Cela évite ce qu'il se passe en FAC, avec des amphi surpeuplés, et des étudiants qui ne trouvent pas de travail malgré de très longues études. Il faut un juste milieu, limiter les places mais de façon raisonnable. Certaines filières attirent beaucoup et n'ont aucun débouché... les étudiants finissent par faire "carrière" dans des jobs non qualifiés au SMIC, ou bien deviennent d'éternels emplois aidés dans des associations. J'étais bénévole pendant des années dans une grosse association culturelle, dans le monde de la musique. Dans ce milieu une part importante des subventions est absorbée par des personnes qui en tirent des revenus sans qu'il n'y ai de projet viable derrière. Typiquement, un projet artistique qui n'a pas le niveau pour dépasser le stade amateur. C'est dommage, et c'est parfois dramatique. Ces personnes auraient eu une meilleure vie en ayant un métier qui tiens la route, ce qui ne leur aurait pas empêché de jouer de la musique sur leur temps libre. Un de mes collègues travaillant comme coordonnateur sécurité sur des chantiers du bâtiment, il avait... un BAC+5 en histoire de l'art, avec un bon niveau. Il n'a jamais réussi à travailler dans son domaine. Et... un peu par hasard, il a été embauché par une boite du BTP au moment où la construction de la LGV a été décidée, car pour faire le tracé l'entreprise souhaitait éviter les endroits "à risque" où il y a avait une probabilité importante de tomber sur des vestiges archéologiques. Ce collègue a eu de la chance car finalement son métier actuel n'est pas trop mal payé... mais nettement en dessous de ce qu'il pouvait prétendre avec son diplôme initial.
  19. Toi ou d'autres intervenants ont prévu d'y passer ? Si l'instit est seul pour encadrer toute une classe ça risque d'être difficile pour lui Il y aussi le temps d'impression (même si les imprimantes actuelles sont rapides), même en faisant de petits objets il y a pas mal de temps d'attente, et si l'impression dure plus longtemps que la séance, il faudra que quelqu'un aille surveiller de temps en temps l'impression. Oui, et en même temps il y a beaucoup de filières sans débouchés dans lesquelles pas mal de jeunes étudient... pour ensuite devoir se reconvertir, ou finir en mode Tanguy C'est un sujet tabou mais il faudrait limiter les places, pour assurer à chacun un débouché à la sortie... D'ailleurs c'est déjà le cas dans certaines filières et ça se passe bien. C'est quels types de de diplômes qui manquent en recrutement ? Quand le niveau des élèves est bon, à l'orientation on les pousse vers des études longues.
  20. @divers @Kachidoki @fran6p Merci pour vos réponses... ma remarque était mal formulée, tout dépend de ce que l'on entend par "savoir se servir d'un ordinateur" Par exemple... mes parents. Ils savent lire leurs emails, aller sur les réseaux sociaux et chercher sur Internet, mais dès que l'ordinateur bug ou bien qu'il y a quelque chose de plus compliqué à faire (y compris trouver un fichier qui n'est pas dans Mes Documents) il faut que quelqu'un intervienne (ma sœur, moi ou bien un prestataire) De façon paradoxale, je trouve que l'informatique actuelle est à la fois plus conviviale et en même temps plus obscure... Les vieux PC sous MS-DOS étaient austères à utiliser mais au moins on avait la main sur tout les paramètres. Plus le temps passe, plus il devient compliqué d'agir sur les paramètres systèmes avec Windows... et je ne parle pas des smartphones. Alors oui, @divers a raison, je suis dépassé , je n'ai eu mon premier smartphone qu'en... 2020... et je déteste, car je ne trouve pas l'équivalent de la liberté qu'on a avec le compte admin d'un PC sous Windows (ou root avec un RPI sous Linux). Avec un smartphone j'ai l'impression d'être bloqué comme sur un PC avec un logiciel de contrôle parental. Je trouve aberrant par exemple de ne pas pouvoir installer d'application sans devoir passer par Google Play en étant connecté avec un compte. Et contrairement à un PC il est nettement plus ardu de développer une application pour son usage personnel. Et... j'ai horreur des écrans tactiles, je voudrais un smartphone avec un clavier comme les Palm Pilot ou la TI92 . Vous allez rire mais je trouve dommage que le Windows Phone n'ai pas fonctionné ; j'aurais aimé avoir un smartphone qui fonctionne comme un PC, en étant compatible, avoir un vrai explorateur de fichiers et pouvoir lancer dessus n'importe quel exécutable Win32 ou x64... Bon je vais arrêter le hors sujet sur le post de @divers
  21. Sur la MK2s les pastilles sont, si ma mémoire est bonne, un cheminement particulier du fil de chauffage du bed qui est donc utilisé comme électroaimant Oui tout à fait ! Car dans la situation actuelle, ma calibration n'est pas correcte, et ça depuis le début... N'empêche, quand j'y pense, j'ai eu régulièrement des problèmes d'adhésion qui arrivaient de façon aléatoire, et assez difficiles à résoudre... je testais plein de choses à chaque fois (X façons différentes de nettoyer le bed, nettoyage de l'extrudeur, ajustement des températures de la buse et du plateau, refaire la calibration depuis le début...) mais je pense que depuis le début ces problèmes viennent de la sensibilité de la sonde PINDA a la température. Il faut dire que je n'imprime uniquement en enceinte chauffée... donc le moment où je lance l'impression est critique (car la sonde est relativement massive, et elle est encastrée dans l'extrudeur, donc elle met du temps à chauffer) 8 ans pour que je m'en rende compte... bon il vaux mieux tard que jamais
  22. Question à la con : les enfants de CM1 et CM2 savent déjà utiliser un ordinateur ? Quand j'étais gamin il y avait un Amstrad à K7 à l'école, c'était l'instit qui nous faisait la démo Puis au collège des vieux PC GOUPIL sous MS-DOS, et j'ai commencé en solo chez moi l'informatique avec un Amiga 1200 à 13 ans Au lycée on avait des PC avec MS-DOS et Windows 95.
  23. Bonjour, Oui je vois bien le problème. J'étais supris à la base de ne pas avoir le même Live Z en PLA et en ABS... la température explique le décalage. De plus mon imprimante a 8 ans, peut-être une dérive avec les années ; certes je n'ai pas imprimé beaucoup mais j'ai imprimé uniquement en enceinte chauffée entre 50°C et 60°C ce n'est pas très bon pour la durée de vie des composants qui n'avaient pas été conçus pour ça à la base, sans parler de la dilation des pièces mécaniques qui est non négligeable. Dommage le slicer n'a pas d'option pour dire que l'imprimante est dans une enceinte et de faire des corrections avec la température de l'enceinte. La sonde SuperPINDA serait-elle compatible avec mon imprimante ? Autre idée : mesurer la distance entre la buse et le plateau avec un jeu de cales après que l'imprimante ai fait un home Z, au moment où la sonde se préchauffe pour se positionner à Z = 1 Le soucis avec le process de calibration c'est qu'il faut le faire avec du PLA, donc changement de filament, nettoyer et purger la buse, laisser refroidir l'imprimante et l'enceinte, puis ensuite nouveau changement de filament pour remettre de l'ABS, nettoyer et purger la buse, attendre que l'imprimante chauffe... Il n'y a pas d'aimants sur mon imprimante ; j'imprime directement sur le bed qui est recouvert de PEI, la MK2s n'a pas encore le système de plateau magnetiques avec feuilles d'acier ressort. Ce système de sonde était novateur au moment de sa sortie, mais maintenant les imprimantes ajustent la première couche avec un capteur de force plus aucun soucis. A bientôt
  24. Bonjour, Quelques soucis avec ma Prusa I3 MK2s original. Après avoir imprimé du TPU, j'ai voulu imprimer une pièce en ABS de grande taille. La bobine est neuve, et je l'avais déshydratée. J'ai déjà testé cette marque avec des pièces plus petites. Je décharge le TPU Je refais le réglage des vis de pression de l'extrudeur (j'avais desserré de deux tours chacune, je ressere) Je nettoie l'extrudeur, je purge (load filament ABS x 10) et je nettoie bien la buse Je nettoie le banc : eau + liquide vaisselle, j'essuie, un léger coup de chiffon propre avec un peu d'acétone Comme la pièce sera sujette à déformation, je chauffe le caisson assez longtemps, à 60°C, avant de lancer l'impression ; avant de lancer l'impression, je fais un load filament pour éliminer celui qui a chauffé longtemps (pour chauffer le caisson à 60°C, il faut que la buse, le bed et mon chauffage additionnel soient en route) Ca ne fonctionne pas du tout, aucune adhésion... je me rends vite compte que le filament n'est pas du tout écrasé... Avant la calibration (heating PINDA), je trouve que la buse est très haute (alors que l'écran indique Z=1) : Je joue sur le live Z. D'habitude, il est réglé à -0.660mm C'est toujours insuffisant : Je dois finir par régler le live Z à -0.950mm et le flow à 110% pour avoir un résultat correct : Une fois la première couche imprimée, je remets le flow à 100% Je mesure au pied à coulisse plusieurs fois le diamètre du filament : RAS, on est bien à 1.75mm La seconde couche est bien imprimée avec un flow à 100% Je continue à observer l'impression A noter que j'imprime à 0.35mm de hauteur de couche avec une buse de 0.20mm (la pièce est très grande, je ne veux pas une impression de 30 heures) Alors, sous-extrusion ou pas ??? Après un peu plus de 17 heures d'attente, la pièce adhère bien au banc, et elle est réussie : Il y a quand même quelques petits défaut, non visibles pendant l'impression car ils sont à l'arrière (théorie de l'emmerdement maximum) Bon, après le brim n'est pas très large (je suis coincé par la taille du banc, mais je peux l'élargir sur l'axe Y) Je pèse la pièce sur une balance électronique, elle est plus légère que le poids théorique : 278 grammes au lieu de 306.2, mais on ne peut pas forcément conclure à une sous-extrusion, car tout dépend bien sûr de la densité du filament. Je relance une impression, pour le couvercle de la pièce (qui est en faite le fond, en partie basse, la pièce est imprimée tête en bas) Cette fois-ci je pousse le flow à 114% pour la première couche, on verra bien ce que ça donne Quel est votre avis ? Il y a de la sous-extrusion quand même ? Et cette sonde PINDA ? Voici le 3MF de la pièce : _BoitierHDD_Boitier.3mf Merci A bientôt
  25. Et vous pensez quoi de Paint 3D (je ne m'en suis jamais servit) ? Avantage : il est intégré à Windows, pas besoin de l'acheter ni de l'installer (ce sont des points souvent blocants en éducation nationale)
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