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electroremy

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Tout ce qui a été posté par electroremy

  1. Bonjour, Je viens de faire un petit plug-in pour Paint.NET. Il permet de faire différentes corrections d'un seul coup sur une photo, et une correction de niveau qui ne modifie pas l'équilibre entre les couleurs (balance des blancs) Les paramètres par défaut réalisent un auto-niveau mais sans modifier la température de couleur ou la balance des blancs. Avantage de Paint.NET : quand on bouge les réglages le résultat est prévisualisé directement, et c'est assez rapide même sur une grosse image car Paint.NET découpe l'image en zones pour utiliser tous les cœurs du CPU. Si vous le souhaitez, on peut ajuster la température de couleur et la saturation des couleurs. C'est très utile pour améliorer des photos prises par temps gris, avec un éclairage froid, ou pour améliorer les couleurs d'une photo prise au moment de l'aube ou du crépuscule. Pour les niveaux : - On peut ramener la couleur la plus sombre de telle sorte que sa composante RVB la plus basse soit égale à 0 (le 3e paramètre) - On peut ramener la couleur la plus claire de telle sorte que sa composante RVB la plus haute soit égale à 255 (le 4e paramètre) C'est utile notamment pour les photos qui manquent de contraste, en particulier les photos de paysages affectées par le voile atmosphérique. Si l'effet est trop prononcé il suffit de baisser les valeurs. Pour une photo de nuit il vaut mieux mettre le paramètre "High levels to 255 output factor" à zéro ou bien une valeur pas trop élevée. Si vous augmentez la valeur de ces deux paramètres au delà de 100, il y a un écrasement des tons les plus sombres ou les plus clairs. Les 2 paramètres suivants permettent de pousser encore plus loin la correction des niveaux mais cela change l'équilibre des couleurs. Si la photo contient déjà des pixels noirs ou blancs, ces fonctions sont sans effet ce qui est logique. Enfin, le dernier paramètre est la correction gamma, elle permet de modifier les tons moyens ce qui permet d'éclaircir ou d'assombrir une photo sans écraser les tons clairs ni les tons sombres. Pour des photos où la dynamique peut être élevée c'est plus efficace que de jouer sur la luminosité et le contraste. Vous pouvez le télécharger ici : https://github.com/electroremy/Paint.NET_Plugin_PhotoLevelAndColorCorrection/releases/tag/Paint.NET_Plugin_PhotoLevelAndColorCorrection Il suffit de décompresser le fichier ZIP, puis de lancer le fichier .BAT pour que le plugin soit ajouté à Paint.NET. Bien sûr, fermer Paint.NET avant de lancer le fichier .BAT Le plug-in a été écrit en C# avec le petit IDE CodeLab. CodeLab est un petit add-on de Paint.NET qui permet de facilement créer des plug ins, pour ajouter ses propres fonctions à Paint.NET Voici ce que ça donne : Il y a une chose un peu chiante, c'est l'absence de raccourci clavier. Une solution est d'utiliser le logiciel AutoHotKey Ce logiciel permet de générer des séquences de touches à partir d'un raccourci clavier. Voici la manip à faire pour que mon plug-in se lance avec le raccourci CTRL+Q dans Paint.NET, en réalisant une installation portable de AutoHotKey - allez ici https://www.autohotkey.com/download/ - choisissez "download ZIP" - décompressez le ZIP quelque part sur votre ordinateur - dans le dossier où se trouve le fichier "AutoHotkey64.exe", créez un nouveau fichier texte "AutoHotkey64.ahk" (avec l'extension .ahk et pas .txt) - éditez le fichier "AutoHotkey64.ahk" pour qu'il contienne : #Requires AutoHotkey v2.0-beta #Include UX\WindowSpy.ahk #HotIf WinActive("ahk_exe paintdotnet.exe") ^q::Send "!up{Enter}" Quelques explications : La ligne #HotIf WinActive("ahk_exe paintdotnet.exe") Active uniquement le raccourci clavier pour Paint.NET, c'est important pour éviter de perturber les autres logiciels. La ligne ^q::Send "!up{Enter}" permet au raccourci clavier CTRL+Q de générer la séquence ALT + U + P + ENTER qui lance mon plugin "Photo colors and levels correction" '^' = touche CTRL '!' = touche ALT Bien sûr, il faudra lancer "AutoHotkey64.exe" pour que ça fonctionne ; vous pouvez le lancer au démarrage de Windows ou fait un fichier .BAT pour le lancer en même temps que Paint.NET AutoHotKey peut être pratique si vous avez des manipulations répétitives à faire avec certains logiciels. A bientôt
  2. Ha Deep Purple je les avais vu en concert à Besançon en 2007 Il y a encore des disques 33T d'époque chez mes parents Sinon c'est les vacances et donc le retour sur France Musique de l'excellente émission Retour de Plage https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/retour-de-plage
  3. Ca y est le bug est corrigé J'ai tout publié sur Git Hub (le code source original mis à jour ainsi que la nouvelle version portable) https://github.com/electroremy/ShiftN A bientôt
  4. Bonne nouvelle l'auteur m'a répondu ; il m'autorise à créer un dépôt Git J'ai ajouté une fonction plus tolérante pour la sélection multiple avec le bouton SHIFT (les lignes sont sélectionnées ou désélectionnées si leur centre est dans le rectangle de sélection) ; je tâche de trouver comment corriger le bug de la fonction "enregistrer sous" et après je publie
  5. Oui, je viens de compléter mon message Pas de dépôt Git Hub il faudrait que j'en créé un. Je viens d'écrire un mail à l'auteur, je verrais s'il me répond (son mail n'est peut être plus valide) Le programme n'est pas mis à jour depuis longtemps. Sinon je viens de trouver un bug (déjà présent dans la version originale) à corriger : si dans les paramètres de sortie on ne choisi pas de suffixe, le fichier orignal est écrasé... y compris avec la fonction "enregistrer sous" - Je viens de jeter un œil dans le code et je ne comprend pas pourquoi... il faudra que je me plonge dessus plus tard.
  6. Bonjour, Si vous faites de la photo, vous connaissez sûrement le petit programme ShiftN Il permet de corriger la perspective Voici un exemple Avant / Après Parfois, il est nécessaire de sélectionner manuellement les lignes qui sont reconnues comme verticales à la souris. Le bouton gauche permet de désélectionner les lignes (les mettre en rouge) et le bouton droit permet de les sélectionner (les mettre en vert) C'est assez fastidieux. Je viens de télécharger le code source de ShiftN et de le modifier pour permettre de faire un rectangle de sélection multiple à la souris avec la touche CTRL, ce qui est beaucoup plus rapide quand il y a toute une zone où il faut sélectionner ou désélectionner des lignes La nouvelle version est téléchargeable ici : https://drive.google.com/file/d/1-eFfFfUf7K6LIpbKCbE23qBv-ccYLDVx/view?usp=drive_link Pour ceux que ça intéresse, voici le fichier modifié dans le code source : https://drive.google.com/file/d/1c4d50LdON7sll4XtWEONp7Cl-mhatOOo/view?usp=sharing Le code source original complet est téléchargeable ici : https://www.shiftn.de/ A bientôt
  7. A noter que sur les MK2, le M117 ne fonctionne pas, il y a un bug En fait l'affichage du message est aussitôt écrasé par l'affichage du nom du fichier en mode scroll Je l'ai corrigé en mettant un drapeau spécifique dans le firmware, et en ajoutant une fonction dans le menu pour "acquitter" le message La pause "changement de filament" émet des bips ; sinon il y a le GCODE M300 pour cela C'est intéressant de se plonger là dedans, ça permet de mieux voir les possibilités, il y en a qu'on ne connait pas forcément, et certaines qui sont déjà prévues pour des évolutions qu'on pourrait avoir envie de faire Ca me donne presque envie de me bricoler pour voir mon propre générateur de GCODE (pas un slicer complet, mais un petit programme pour faire des petites choses spécifiques comme du marquage couleur de graduation ou des trucs dans le genre) EDIT : remarque pour le message : il faut éviter les caractères accentués (ils ne sont pas dans la police des afficheurs alphanumériques) et bien sûr faire court (moins de 20 caractères) Sur les afficheurs graphiques plus récents ces problèmes devraient être résolut
  8. Un GCODE M601 place la tête en position parking de telle sorte qu'elle soit en arrière et plus haute que l'objet en cours d'impression Quand on ajouter une pause, le slicer demande de taper un message, qui est inséré juste avant le M601 avec le GCODE M117 ; le message s'affiche sur l'écran de l'imprimante et permet de dire quoi faire (par exemple "Inserer ecrous") Le GCODE M600 fait une pause pour changer le filament (changement manuel de couleur ou de bobine). Le M600 est généré automatique en cours d'impression par certaines imprimante lorsque le capteur de filament détecte une fin de bobine (ou un filament coincé à cause d'un noeud dans une bobine) Il faut voir quelle version de GCODE le firmware de l'imprimante utilise. Normalement dans le slicer on peut modifier la liste des GCODES correspondant à certaines fonctions.
  9. C'est consternant Mais que font les autoritées de régulation des brevets au niveau mondial ? Et au niveau Européen ? L'avantage de l'open source et de l'open hardware c'est qu'il existe un grand nombre de preuves trouvables facilement pour démontrer qu'un certain nombre d'idées et de principes existaient déjà avant le dépôt du brevet. Il est consternant que l'on puisse brevetter des choses qui existent depuis déjà ET qui sont déjà largement diffusées Autre chose qui est dingue : l'Europe est en position de force car c'est nous le plus gros marché. Sans les acheteurs Européens, les entreprises Chinoises perdraient leur principaux clients, et les entreprises du numérique Américaines perdraient aussi un gros volume de vente de logiciels et services... Normalement, le client est roi, non ? Et c'était justement le principal intérêt de la construction Européenne, de s'unir pour être plus fort face à aux USA, à l'URSS jadis et à la Chine... Là, j'ai l'impression que l'Europe c'est l'union des pigeons "Allez venez pillez nos inventions et venez nous arnaquer, ce sera plus facile pour arnaquer tous les pays européens d'un coup" Si les USA sont leader en matière d'informatique, il est notable que beaucoup de projets open-sources ont vu le jour en Europe : - Arduino : Italie - Prusa : République Tchèque - Linux : Finlande ... Les européens : trop bons, trop cons ? D'ailleurs l'impression 3D avait été inventé en France par des ingénieurs d'Alcatel mais on a laissé Stratasys déposer les brevets...
  10. Bonjour, C'est bien d'avoir réussi à imprimmer cette pièce avec un minimum de support Autres idées : - est-ce qu'il aurait été possibe de faire ce coude avec une section en forme de D (quitte à ce que l'intérieur soit circulaire ?) La partie pate du D aurait été imprimée face au lit, la pièce pouvant être imprimée sans support - un tube en deux parties semicirculaires à assembler par collage - utiliser un tube coudé d'évacuation de plomberie existant en PVC, et n'imprimer en 3D que les adaptateurs pour avoir le diamètre exact pour l'entrée et la sortie ; si tu imprimes en ABS, ça se colle très bien avec de la colle PVC sur de l'ABS ou du PVC
  11. Que disent les notices à ce sujet ? Si ça bouge mais que ça fonctionne bien, autant ne rien faire Après ce qui peut être ennuyeux c'est le bruit et/ou un déplacement éventuel de l'imprimante qui pourrait finir par tomber (il suffit de fixer des taquets sur le meuble pour qu'elle reste à sa place) Ou si le meuble sur lequel l'imprimante est posé sert à autre chose ; ça peut être pénible de travailler sur une table si elle vibre ou bouge à cause d'imprimante posée à côté. Sur les photos de fermes d'imprimantes 3D, on voit de nombreuses imprimantes posées les unes à côté des autres sur des étagères, ça serait intéressant de connaitre le modèle de ces étagères et de savoir si les imprimantes ont été équipées de fixations spécifiques.
  12. Le soucis avec les machines de makers, c'est la légereté des parties fixes par rapport à la masse des parties mobiles, combiné au fait que les accélérations sont très vives. Ca se complique quand une partie mobile supporte une autre partie mobile (dans une CORE XY l'axe Y qui doit être rapide et qui doit supporter en même temps tout l'axe X). Les bedslingers soumettent la pièce en cours d'impression aux accélérations de l'axe Y. Mais une imprimante 3D doit avant tout être rapide et avoir des accelérations importantes. J'ai une fraiseuse CNC lourde de type portique (elle pèse 200 Kg). Elle est capable d'usiner de l'acier. Mais les vitesses et surtout les accelérations sont limitées. Utiliser des fraises de petit diamètre n'est pas simple. Dans les angles, le copeau minimal peut avoir du mal a être respecté, ce qui peut créer des dégâts sur les pièces et les outils. Typiquement, quand on usine du bois avec une petite fraise, on brûle les surfaces avant et après un changement de direction important car la machine doit ralentir avant le changement de direction. On ne peut pas tout avoir, il faut des machines complémentaires adaptées aux usages. L'impression 3D c'est un autre monde, avec ses contraintes. Quand j'ai reçu mon imprimante 3D j'étais assez septique, j'étais habitué aux machines outils... je me disait "mais c'est de la camelotte, ça ne va jamais résister, on ne fera rien de précis avec ce truc" Finalement ça fonctionne très bien Des gens qui ont voulu usiner de l'acier avec des fraiseuses CNC légères n'y sont pas arrivés. Ceux qui ont voulu faire une imprimante 3D conçue comme une machine outil ont obtenu une machine très lente.
  13. Dans un autre sujet, il y a ce retour intéressant de @silvertriple Est-ce la meilleure solution de sécher en imprimant ? Sécher ses bobines, pour ensuite les placer dans un stockage ou un support (ou AMS) bien étanche avec une quantité de de dessicant assez importante pour garantir une hygrométrie très faible ne serait pas suffisant ? Cette solution aurait l'avantage d'être simple et de convenir aux AMS contenant des matériaux de nature différente. On peut prévoir un hygromètre pour savoir si le dessicant doit être regénéré.
  14. Ce sera intéressant de voir, si dans la durée, le talc permet aux pièces de ne pas être collantes ni de ne pas finir par coller à leur support.
  15. Ce problème de pièce collante me fait penser à un problème que j'ai déjà rencontré plusieurs fois. J'ai déjà fabriqué des objets composés de différentes parties qui doivent rester démontables. Ces parties peuvent être en acier, en bois, en aluminium, en plexi, en caoutchouc, imprimées en 3D... Ces parties peuvent être peintes ; notamment les pièces en bois ou en acier qu'il faut protéger contre la pourriture ou l'oxydation C'est le cas, par exemple, de mon aspiration de machine à bois LUREM : j'ai juste conservé la partie aspirante (en démontant le support à roulettes), j'ai tout décapé et repeint avec de la peinture antirouille, la partie aspirante est fixée sur un support en bois, lui même fixé sur le plancher d'un petit cabanon extérieur. Tout est sur silent blocs pour éviter les vibrations, et le cabanon est insonorisé. Comme c'est en extérieur, c'est exposé aux fortes chaleurs en été, au gel en hiver, ainsi qu'à l'humidité. Le problème que je rencontre, c'est que les pièces peuvent se coller entre elles à la longue, ce qui rend le démontage difficile. Beaucoup plus emmerdant : le démontage abîme la peinture, parfois la couche de peinture s'arrache complétement. Encore pire : il est même déjà arrivé que le démontage arrache aussi la partie supérieure d'une pièce en bois ou en caoutchouc qui reste collée à l'autre pièce Voici mes astuces, aucune n'est vraiment satisfaisante : - augmenter le temps de séchage de la dernière couche, plusieurs jours, dans une ambiance chaude et sèche, ma véranda est parfaite pour ça - déposer un produit pour faire une "interface" à la jonction des pièces : coup de chiffon imprégné de "o-cédar", cire puis lustrage des pièces en bois peintes, graisse, ... Il faut que le produit d'interface ne bouffe pas la peinture ni un des matériaux, et que ses propriétés "anticollage" restent stables dans la durée, malgré l'exposition à la chaleur et au gel, bien sûr le produit ne doit pas être hydrophile. J'ai aussi le même problème avec mes meubles en bois peints ou vernis, si des objets restent longtemps posés dessus ils peuvent coller, notamment les pieds en caoutchouc. Le talc, je n'y ai pas pensé. Après, le but des pieds en caoutchouc... c'est que ça ne glisse pas... on peut perdre cet effet avec un produit d'interface. Il faudrait trouver une astuce pour que ça ne glisse pas mais sans coller. C'est la malédiction du bricolage : quand on colle quelque chose, ça fini toujours par se décoller. Et quand on veut que ça ne colle pas, hé bien ça finit toujours par rester collé Pour mes enceintes HiFi, je n'utilise pas de pieds en caoutchouc. Je les ai posées sur des morceaux de mousse d'ameublement (la mousse qu'on trouve dans des coussins de chaise ou qui constitue les matelas en mousse). Ca ne glisse pas, et surtout, l'amortissement des vibrations est très bon : on sent l'enceinte vibrer quand on pose la main dessus, mais le meuble où elle est posé ne vibre pas du tout. 2 cm d'épaisseur suffit ; il faut ajuster la surface de ces "pieds" en mousse pour qu'ils soient un peu écrasés par le poids de l'enceinte, de telle sorte qu'il y ait un effet ressort.
  16. C'est une situation normale. Il m'est déjà arrivé plusieurs fois la même chose, notamment en programmation logicielle, en électronique, sur le dépannage d'un appareil pas très courant, sur un problème de bricolage dans la maison... Et cela ne m'a pas empêché de partager la réponse trouvée. En partageant la solution, on va aider toutes les personnes qui auront le même problème ensuite. Pour avoir de l'aide sur un forum, il faut avoir la chance de trouver une autre personne qui a non seulement le même problème mais qui a aussi la solution. Les problèmes rencontrés par les débutants trouvent facilement une réponse prête à l'emploi, mais plus on gagne en expérience, plus les problèmes qu'on rencontre sont rares ou difficiles. Il arrive un moment où on peut devenir soi-même la personne la plus expérimentée sur un sujet très particulier - ou bien la seule personne à utiliser une fonction particulière d'un produit particulier - et là, logiquement, on se retrouve seul. Même quand on reçoit de l'aide, il faut quand même se débrouiller. Je suis en train de modifier le firmware de ma vielle MK2s. J'ai eu quelques des pistes d'autres membres du forum que je remercie vivement, mais aucune réponse n'était du "tout cuit". J'ai dû passer des jours pour résoudre les problèmes un par un, sans même savoir si c'était faisable (prise en charge SUPERPINDA, bugs de la sécurité thermique en cas de coupure d'une sonde, correction du bug M117, ...). Certains des bugs dataient de plusieurs années, et même le SAV de Prusa me disait qu'ils n'avaient pas de solution, il avait donc un gros risque qu'ils soient liés à une impossibilité technique et que j'y passe des heures pour rien. Il faut prendre du recul... et mettre un peu son égo de côté... si tu fais un "bilan global", tu verras qu'Internet et les forums t'auront apporté beaucoup plus d'aide que ce que tu as contribué. Le simple fait que nous utilisons des logiciels open-source fait que chacun d'entre nous a déjà une "dette" énorme envers la communauté. Il suffit de regarder le prix des logiciels commerciaux, qu'on ne peut même plus acheter définitivement mais qu'il faut payer par abonnement chaque année... L'open-source, c'est des milliers de personnes compétentes qui nous ont offert gratuitement des années de leur travail. Sans eux, on aurait des centaines d'euros de dépenses supplémentaires chaque année, et certaines technologies ne nous seraient même pas accessibles (sans le RepRap l'impression 3D n'aurait jamais été grand public) Même si tu peux avoir le sentiment de "te faire avoir" en partageant une astuce que tu as dû trouver tout seul dans ton coin, en y sacrifiant des heures et des consommables, en fait, sur le plan global, tu es gagnant et la communauté aussi. "Quand deux personnes échangent un euro, chacune repart avec un euro. Quand deux personnes échangent une idée, chacune repart avec deux idées." Il faut se souvenir qu'aux débuts d'Internet (avant les réseaux sociaux), ce que tout le monde faisait c'était de créer sa page personnelle. Les fournisseurs d'accès mettaient même à disposition des outils de publications pour les clients qui ne maitrisaient pas les outils de création web, c'était même un des critères de choix pour un FAI dans les années 1990. Il était naturel de passer du temps à écrire des pages pour partager toutes nos astuces gratuitement. On était simplement content quand le site recevait des visiteurs et qu'on avait de temps en temps des visiteurs qui nous envoyait un mail. Les réseaux sociaux ont brisé cette esprit, les internautes se comportent plus comme des consommateurs ou des téléspectateurs...
  17. Et... c'est quoi la fameuse solution ? A moins que ce ne soit "secret défense"
  18. @Kachidoki : pour le positionnement relatif des STL les uns par rapport aux autres, quelle solution verrais-tu ? Mon programme génère les STL avec les bonnes coordonnées (c'est à dire que le point d'origine X=0 et Y=0 de chaque STL est cohérent), mais Prusa recentre chaque modèle importé. Ce centrage est utile pour éviter qu'un STL importé soit décalé voir hors du lit... mais quand on veut en importer plusieurs d'un coup, c'est chiant
  19. Ca c'est bon Qu'est-ce qut tu appelles "référence" ? Tu as bien un fichier SLT par couleur comme moi ? Il faudrait que je fasse de même avec Prusa Slicer
  20. Bonjour, Je réalise de temps en temps des impressions multicouleurs "manuelle" mais c'est fastidieux. A noter que je n'utilise pas le changement de couleur à une certaine hauteur de couche. Ce que je fais est différent, et ça permet d'obtenir plusieurs couleurs sur une surface lisse, en l'occurence celle en contact avec le lit chauffant. Exemple avec cette pièce : Voici comment elle est réalisée. Il y a 4 fichiers STL : - un pour le texte en noir, épaisseur une couche - un pour l'anneau en rouge, épaisseur une couche - un pour l'anneau en bleu, épaisseur une couche - un pour le reste de la pièce en blanc ; la pièce blanche contient les "gravures" en creux du texte et des anneaux. Je génére séparément 4 fichiers GCODE, que j'imprime les uns par dessus les précédents, en respectant une certaine procédure décrite après. D'abord, une première complication : dans PrusaSlicer, il faut que chaque partie soit positionnée correctement l'une par rapport à l'autre. Comme PrusaSlicer centre le modèle par défaut sur le lit, je dois ajouter, dans chaque fichier STL, un "bord périphérique" qui a pour seul objectif de centrer chaque fichier STL exactement au même endroit. Ces bords périphériques doivent être retirés après l'impression de chaque couleur. Je dois aussi modifier le GCODE personnalisé de l'imprimante, pour qu'à la fin d'une impression, la buse, le lit et l'enceinte restent chaudes. Donc, après avoir créé les fichiers STL, puis générer les GCODE correspondant à chaque couleur : - je charge le filament noir - je lance l'impression du GCODE correspondant au texte en noir - après impression, l'imprimante reste en chauffe - je retire délicatement, avec une spatule, le fameaux bord périphérique mais aussi la ligne de mise en pression (appellée "intro line" par Prusa) - je décharge le filament noir - je charge le filament bleu - je lance l'impression du GCODE correspondant à l'anneau en bleu - après impression, l'imprimante reste en chauffe - je retire délicatement, avec une spatule, le fameaux bord périphérique mais aussi l"intro line" - je décharge le filament bleu - je charge le filament rouge - je lance l'impression du GCODE correspondant à l'anneau en rouge - après impression, l'imprimante reste en chauffe - je retire délicatement, avec une spatule, le fameaux bord périphérique mais aussi l'"intro line" - je décharge le filament rouge ; le lit contient maintenant tous les motifs en couleurs, et on va imprimer le reste de la pièce par dessus : - je charge le filament blanc - je lance l'impression du GCODE correspondant au reste de la pièce en blanc Voilà c'est terminé ! Il y a beaucoup d'étapes manuelles, il ne faut pas se tromper... L'imprimante serait capable de faire toutes ces opérations avec UN SEUL fichier GCODE, où le rôle de l'utilisateur se limiterai à décharger et à charger les filaments lorsque l'imprimante le demande ; en effet : - des GCODE existent pour faire une pause et changer les filament ; il y a même un GCODE pour afficher un message (le nom de la couleur) - l'impression et le retrait des "bords périphériques" pour le centrage n'est pas nécessaire si j'arrive à aligner les différentes parties dans PrusaSlicer (mais comment faire ?) - les "intro lines" de chaque filament pourraient être imprimées chacune avec un décalage pour n'avoir à les retirer qu'à la fin de l'impression. Il y a deux façons de faire : - soit réussir à importer et à positionner correctement (et facilement) chaque fichier STL dans PrusaSlicer, à attribuer à chacun un filament, mais pour ce faire PrusaSlicer doit avoir un certain nombre de fonctions de présentes - soit faire une sorte de SCRIPT contenant des instructions, que PrusaSlicer pourrait exécuter, et fasse un seul fichier GCODE. Pour modéliser mes fichiers STL j'utilise un programme maison, dans lequel je pourrais ajouter une fonction pour générer ce fameux script. Bien sûr ça ne remplace pas le "vrai" multicouleur, mais cette méthode est très efficace pour tous les objets nécessitant des marquages indélébiles et lisses (faces avants, boutons, signalétique, ...) Une version améliorée de cette méthode permettrait d'avoir des motifs colorés et lisses aussi sur n'importe quelle surface parrallèle au lit chauffant de la pièce. Car ma méthode actuelle ne permet d'avoir une coloration seulement sur la face en contact avec le lit chauffant. Il faut donc parfois faire des assemblages : par exemple si on veut un bouton avec une collerette comportant des graduations, il faut imprimer la collerette à l'envers, puis ensuite l'assembler au bouton par collage, en prévoyant une rainure de centrage. Qu'en pensez-vous ? A bientôt
  21. Si j'ai bien compris, le firmware Klipper transforme l'imprimante 3D en périphérique "esclave" et c'est un ordinateur (ou un raspberry PI) sur lequel est installé le logiciel principal Klipper qui fait le gros du travail. L'intérêt est la puissance de calcul bien supérieur du Raspberry qui permet de nouvelles fonctionnalités. C'est intéressant mais l'imprimante ainsi modifiée est inutilisable seule (sans l'ordinateur avec klipper) et bien sûr il faut acquérir le raspberry PI et l'afficheur qui va bien. Mon projet de base* est une autre alternative : permettre une amélioration avec un cout minimal. Seul l'achat de la super pinda est requis, et les fonctionnalités optionnelles (chauffage de la chambre notamment) peuvent être obtenues avec le nombre minimal de composants externes, sachant que ces composants seraient aussi requis avec Klipper : alimentation du chauffage, résistances chauffantes, transistors de commande, CTN, connecteurs pour le câblage. Les deux sont complémentaires, c'est toujours mieux d'avoir le choix Le cout minimal de mon projet de base pourrait être intéressant car ça ne vaut peut-être pas le coup, en 2025, d'acheter le matériel nécessaire pour Klipper pour améliorer une MK2s (à moins d'avoir un Raspberry PI et un écran qui prennent la poussière sur une étagère) * projet de base = mon firmware modifié + en option les composants câblés en direct sur l'imprimante. Car mon boitier externe avec Arduino MEGA et écran tactile est moins intéressant que Klipper, ça c'est sûr ! Cette partie là restera un projet perso
  22. Bon après, j'ai quand même réussi à faire tout ce que voulais, c'est déjà très bien. J'ai même pu corriger quelques bugs connus comme le message du GCODE M117 qui ne s'affichait pas. Et il me reste encore de la mémoire pour d'autres améliorations
  23. si le blanc c'est bien c'est le jaune qui ne plait pas
  24. Je roule en utilitaire, ils sont presque tous blancs Avantage : on trouve facilement une pièce de rechange dans une casse sans devoir la repeindre
  25. C'est une très bonne remarque... sauf que je n'ai plus de broche d'E/S disponible sur la carte RAMBO Mais j'ai une autre idée. Je ne vais pas câbler les entrées/sorties comme avec le schéma que je propose, mais fabriquer un petit appareil électronique auxiliaire avec un Arduino Mega, un écran tactile, et un shield Ethernet. Ce sont des composants que je possède déjà, et qui attendent depuis un certain temps sur une étagère que je fasse quelque chose avec. Ce petit appareil va gérer les entrées/sorties que j'ai ajouté à l'imprimante (watch dog, alarme, autoextinction, capteur de filament, chauffage de l'enceinte) Il y aura aussi un watch dog analogique pour surveiller l'ensemble. Comme l'Arduino Mega possède beaucoup d'entrées/sorties, ce petit appareil pourra : - surveiller d'autres capteurs et piloter d'autres actionneurs, comme l'éclairage, des CTN en redondance, les ventilateurs que j'ai ajouté pour l'alimentation et la carte RAMBO, pour les refroidir à l'extérieur de l'enceinte - surveiller aussi d'autres appareils qui fonctionnent longtemps et dont la surveillance est nécessaire, comme le déshydrateur de filament, ou la fraiseuse CNC ; j'ai déjà pensé à un connecteur universel pour pouvoir équiper n'importe quel appareil de capteurs et d'un relais de mise hors tension. Là aussi, cela me permet d'utiliser (enfin) mon stock de composants électroniques. J'ai des caisses pleines de câbles et connecteurs DB9 / DB25 qui seront utilisés pour l'occasion Bien sûr il faut faire le tri car il y a des câbles incomplets ou croisés (null modem). J'ai conçu le brochage pour qu'un "mauvais" câble ne provoque pas de dégâts (court-circuits) et que ça empêche la mise en route. Le shield Ethernet permettra une surveillance à distance avec une page web reliée à mon réseau local; la page pouvant être consultée depuis un ordinateur ou un smartphone. Un logiciel pourra consulter automatiquement la page et archiver, dans la durée, l'évolutions de plusieurs grandeurs physiques surveillées. L'Arduino Mega permettra aussi de "varier" le signal d'alarme (durée et fréquence des bips) en fonction des situations rencontrées J'ai continué à ajouter des fonctions dans le firmware : - comme le chauffage de l'enceinte dure longtemps, j'allume l'alarme quand la température est atteinte, il suffit de cliquer sur le bouton pour l'éteindre ; ça me permet de faire autre chose pendant le préchauffage, et d'être prévenu dès que l'imprimante est prête - de même, en option, une pause dans le GCODE d'impression au début, pour, après que les températures du lit, de la buse et de l'enceinte sont atteintes, prévenir l'utilisateur et lui demander de cliquer sur le bouton pour lancer l'impression - cela permet d'arriver au bon moment pour nettoyer la buse qui a un peu suintée avant le début de l'impression, et bien sûr, de surveiller le bon déroulement de l'impression de la première couche. A voir aussi si l'Arduino Mega peut communiquer via liaison série avec la carte RAMBO, mais : - il faut voir si je peux utiliser le port USB car je n'ai plus d'E/S disponibles - et surtout, il ne faut pas que ce code empêche la mise à jour du firmware - il faut être prudent et ne pas surcharger les tâches faites par la carte RAMBO, cependant dans le firmware cette communication existe déjà (à voir si elle est activée car le code est parsemé de blocs #ifdef...#endif) - les fonctions principales de mon firmware devront fonctionner sans que cette liaison série soit requise ; car le but était de proposer une modification minimale et peut chère de la MK2s ; cela implique que je conserve les entrées/sorties pour qu'un câble simple permette le pilotage de l'alarme, de la mise hors tension, du chauffage de l'enceinte, du capteur de filament et du watch dog. Dans ce travail de programmation, une difficulté est de ne pas empêcher certaines tâches d'être faites régulièrement... Compte tenu de la puissance limitée de la carte RAMBo, les interruptions ne font pas tout. Il faut notamment veiller à appeler régulièrement la fonction manage_heater() D'ailleurs, j'ai corrigé quelques bugs qui étaient déjà dans le firmware existant : - affichage parfois bancale des messages d'alarme ou d'erreur - des fonctions qui, pendant plusieurs secondes, interrompaient la gestion des températures (j'ai pu m'en rendre compte grâce à la broche de sortie watch dog que j'ai ajouté, cette modification a été très utile)
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