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electroremy

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Tout ce qui a été posté par electroremy

  1. D'abord bienvenue sur le forum @bertrand78990 Alors ça c'est intéressant... Car à part le verre, tous les matériaux plastiques transparents se rayent facilement... C'est très difficile de maintenir en bon état des objets avec des vitres ou des capots en plexi Cette possibilité de "réparation" est un gros avantage pour le modélisme où les objets souffrent pendant leur utilisation. Pour la pièce ci-dessous, le niveau de transparence est pas mal du tout, et en plus il n'y a pas de défaut visibles (ni bulles, ni couture, ni stries) c'est très bien d'avoir pu obtenir un tel résultat en impression 3D Et au moins c'est une photo réelle pas comme celles des soi-disant objets imprimés en 3D que les revendeurs affichent Alors... il va falloir que tu nous donnes des détails - car beaucoup de gens ici voudrons obtenir ce résultat Donc : - Quelle est ton imprimante ? - Quel marque de filament as-tu utilisé ? - Quelle est l'épaisseur de la pièce ? - Quelle buse as-tu utilisé ? C'est imprimé en spiral vase ou bien de façon classique ? Si c'est possible, partage ton fichier STL et le fichier "projet" de ton slicer ayant permis de générer le GCODE, ça pourra aider les autres personnes intéressées sur le forum Et aussi : - Comment as-tu fais le post traitement ? Quel matériel, les temps de trempe et de séchage, le nombre de cycles... Enfin : quid de la rigidité ? Pour le moment, le PVB ne m'a pas trop convaincu : - La transparence est moyenne et il faut que les objets derrière soient assez proches pour qu'ils soient à peu près visibles ; après je ne fais pas de modélisme, je fabrique des faces avant, un peu de signalétique et des vitrines, ce sont des applications où il faut quelque chose de transparent comme une vitre ; c'est une exigence trop sévère pour l'impression 3D. - Surtout, je trouve que les pièces après lissage sont trop souples. Ce problème de souplesse est dommage car ça va beaucoup me gêner pour les objets décoratifs que j'avais envie d'imprimer... à voir comment les pièces sont après plusieurs jours de séchage En revanche, j'ai envie de tester le PVB opaque pour faire des pièces décoratives brillantes et lisses plus facilement qu'avec de l'ABS et de l'acétone. A bientôt !
  2. Bonjour, voici une série de photos où on voit mieux les détails : De gauche à droite sur les photos : - Pièce en PVB brute - Pièce en PVB lissée à l'IPA par trempage (30 secondes de trempage + 25 minutes de séchage, 8 fois de suite) - Pièce en ABS brute - Pièce en ABS lissée aux vapeurs d'acétone De gauche à droite sur la photo : - Pièce en PVB brute - Pièce en PVB lissée à l'IPA par trempage (30 secondes de trempage + 25 minutes de séchage, 6 fois de suite) De haut à bas sur les photos : - Pièce en PVB brute - Pièce en PVB lissée à l'IPA par trempage (30 secondes de trempage + 25 minutes de séchage, 6 fois de suite) On voit que la pièce en PVB lissée présente des bulles. Je vais tester une autre pièce en réduisant la durée de trempage. Remarque importante : la pièce fine en PVB lissée imprimée en spiral vase (la dernière) est toujours très souple même après 24 heures de séchage supplémentaire. A bientôt
  3. Mais est-ce que ce sera la partie intéressante qui sera conservé ? Comme on dit dans la Meurthe-Et-Moselle où j'ai grandi "Après nous : les mouches !"
  4. Le rétro gaming et l'abandonware c'est génial Mais on va avoir un problème demain avec les logiciels et les jeux d'aujourd'hui... Qui sont dématérialisés et/ou qui dépendent d'un serveur. Beaucoup d'éditeurs ferment les serveurs, et pire, programment des fonctions qui empêchent les "anciens nouveaux jeux" de fonctionner Il y avait eu une mobilisation citoyenne avec la pétition Stop Killing Games, qui a même été soutenue par Que Choisir en France : https://www.stopkillinggames.com/ Il se passe un peu la même chose avec d'un côté les anciens magazines qu'on arriver à retrouver facilement, et les sites forums de discussion qui ont fermés dont tous les messages ont été perdus (même si l'Internet Archive permet de retrouver des publications) Notre époque est celle qui a produit le plus de contenu et paradoxalement, c'est celle qui risque d'en laisser un très faible pourcentage aux générations futures. Il y a un lieu dont on n'entend plus beaucoup parler mais que j'aurais aimé visiter c'est le musée de l'Informatique de la Défense : https://fr.wikipedia.org/wiki/Musée_de_l'informatique_(La_Défense) L'association MO5 a un stock impression de machines dont une bonne partie fonctionne encore... ... et, bonne nouvelle, elle vient juste d'ouvrir son musée, des machines seront jouables https://mo5.com/fr/communique-lassociation-francaise-mo5-ouvre-son-musee-du-jeu-video-a-paris-en-decembre-2025/ https://museedujeuvideo.org/fr Attention il faut réserver https://museedujeuvideo.org/fr/ticket
  5. Oui elle est derrière un onduleur. Je suis en zone rurale, j'ai la totale : une bonne prise de terre, parafoudre DEHN en tête dans l'amoire électrique, des circuits bien séparés avec une dizaine de DDR, des onduleurs, et même une commutation générale pour tout alimenter derrière un groupe électrogène J'ai fait des tests, la MK2S ne supporte que les microcoupures assez brèves quand la hotend et le lit sont en chauffe. Bien sûr il faut une EEPROM mais aussi un vrai circuit gestionnaire d'alimentation et de reset pour le microcontrôleur ; en plus l'alimentation doit supporter les fluctuations et les microcoupures pour ne jamais présenter en sortie une tension différente de la valeur attendue. Une microcoupure peut faire planter voir même endommager un circuit dont l'alimentation et le reset sont mals conçus. Ce n'est pas aussi simple que ça en à l'air. Ce produit n'est pas aux normes CEM ; as-tu contacté le SAV ou le fabricant ? En fonction de la puissance de ton "brouilleur" tu pourrais recevoir la visite plus ou moins amicale des agents de l'ANFR - ils font la chasse aux brouilleurs de GPS ou de GSM qui perturbent les transmissions radio... mais il leur arrive souvent de tomber sur des appareils défecteux qui gênent tout un pâté de maison. Les alimentations à découpage peuvent être de très gros perturbateurs quand elles sont mal conçues ou qu'un de leurs composants est HS. Le matériel peut être confisqué et tu peux avoir une amende.
  6. Mais si tu veux de bonnes photos qui montrent bien les détails d'aspect des pièces, il faut une taille suffit mais aussi y aller molo sur le taux compression JPEG qui créé des artefacts... Ca augmente vite la taille des fichiers. Pour mon message sur le test du filament PVB, il va falloir que je republie des photos en zoomant sur les détails, car celles que j'ai publiées ont été trop réduites pour qu'on puisse bien voir la différence entre les différentes pièces.
  7. Me voilà démasqué
  8. Oui, à condition de faire confiance aux Chinois... Même en LAN only, à un moment donné, la machine sera branchée à un PC sur lequel tournera le logiciel Bambu Beaucoup d'appareils ont été pris en flagrant déli de collecter des données à l'insu des utilisateurs. C'est pareil avec ce qui vient des USA et il faut se méfier aussi des téléphones venant d'israël P*tain, dix ans
  9. Bonjour, En impression 3D, en usinage CNC, il y a un problème qu'on doit gérer : les coupures de courant. Il faut un onduleur... Mais alimenter des appareils qui consomment beaucoup sur un onduleur n'est pas simple. Il faudrait, idéalement, séparer les alimentations ; par exemple, alimenter le chauffage de l'enceinte et le déshydrateur de filament qui consomment beaucoup sur le réseau et pas derrière l'onduleur. Du fait de l'inertie thermique, l'impact d'une microcoupure sur le fonctionnement sera nul. C'est très bien... mais à condition que ces appareils redémarrent tout seul après une coupure de courant. La plupart des équipement analogiques ou électromécaniques vont se remettre en route dès que le courant revient. En revanche, les appareils avec une interface numérique, un petit écran LCD et des boutons, vont se réinitialiser ; une action manuelle sera nécessaire pour les remettre en route. Si la coupure de courant passe inaperçue, l'impression sera ratée. Comment se comportent les sécheurs du commerces, du plus simple au plus sophistiqué ? Cela est rarement précisié dans les caractéristiques ou les tests. J'ai l'impression que beaucoup de fabricants ne se sont pas occupé de cet aspect A bientôt
  10. Bonjour, Quand on poste un sujet ou qu'on répond, et qu'un peu plus tard, on répond à nouveau, les réponses sont fusionnées. Cela peux nuire à la lisibilité car la "séparation" entre les deux messages n'est plus visible. Il faut souvent rééditer le message obtenu pour que ce soit plus clair. Cela oblige aussi ceux qui suivent le post à relire le message qu'ils avaient déjà lu avant. Il y a une autre conséquence, plus gênante, cela m'est arrivé hier soir. Le forum impose une limite de taille des pièces jointes. Quand on poste des photos, la limite est vite atteinte. Hier j'ai voulu poster un message en deux parties pour ne pas dépasser cette limite. Je rédige la premiere partie, elle est publiée. Je rédige ensuite la suite en répondant. La réponse est fusionnée, mais l'édition est bloquée (car la taille limite est dépassée à cause de la fusion) Avant qu'un modérateur débloque le message, le message initial incomplet est resté visible. Je pense que ce serait bien d'avoir une option permettant de ne pas fusionner les réponses Merci A bientôt
  11. J'avais regardé... ...et j'ai laissé tombé Voici le contexte : Le manque de temps, et ce projet en a pris BEAUCOUP plus que prévu : à l'origine, c'était seulement une petite modif pour pouvoir utiliser une sonde SUPERPINDA, mais a fur et à mesure j'ai ajouté beaucoup de choses J'ai travaillé en utilisant 3 ordinateurs différents : - un PC fixe sous Windows 7, qui n'est plus compatible avec les nouvelles versions de pas mal de logiciels - un PC portable sous Windows 10 - un autre PC portable sous Windows 10 que j'utilise en déplacement mais dont je ne suis pas administrateur, je ne peux utiliser que des logiciels portables avec. Ce projet m'a obligé à apprendre beaucoup de choses nouvelles en même temps : - des subtilitées du langage C/C++ que je ne connaissais pas, et le code en regorge (même sur le forum developpez.com ils ont été surpris de voir la taille et l'imbrication des macros, c'est à la limite de l'obfusaction) - tout le code existant Marlin modifié à la sauce Prusa, la doc est très minimaliste et pas à jour sur les dernières modifs, j'ai du faire beaucoup de reverse engineering - idem pour la partie hardware électronique et mécanique de l'imprimante - j'en ai bavé aussi pour simplement recompiler le firmware et le flasher, souviens-toi à un moment j'avais même cru avoir écrasé le bootloader et en fait c'était juste le programme qui était à la limite de la taille maxi, mais les messages d'erreur n'étaient pas explicites, ça m'a pris du temps de découvrir que c'était la taille qui était en cause ; Prusa a exploité la carte Rambo pas loin du maximum de ses limites, d'où l'usage d'un IDE obsolète, il faut dire que l'imprimante date de 2017 aussi Souvent, je me suis retrouvé bloqué à plusieurs niveaux en même temps, c'est à dire empêché de faire un truc à cause d'un aspect du C/C++ que je maîtrisais mal, mais avec en plus un bug dans le code d'origine que je ne comprennais pas, et une limite dans le hardware à contourner... Maitriser en plus Git, que je ne connais pas du tout, ça aurait fait débordé le vase J'ai une formation initiale de programmeur dans mon cursus qui date des années 1998 à 2003, mais ce n'est pas mon métier. Je n'ai jamais travaillé en équipe pour dévelloper un logiciel. Je ne connais pas les bonnes et mauvaises pratiques. Ca n'a pas l'air comme ça mais c'est un gros projet, à plusieurs moments j'ai bien cru que je n'irais pas au bout. Du coup il faut poser des limites ou renoncer à des choses pour que la ligne d'arrivée soit atteignable C'est quelque chose que j'ai du mal à faire, j'ai énormément de choses inachevées chez moi, là je suis vraiement satisfait d'avoir TERMINE ce projet Après si quelqu'un d'autre veux reprendre mon code en le faisant avec le dépôt Git il peut le faire
  12. C'est peut être tout simplement la traduction du site qui a été faite par le programmeur du logiciel du forum. Il y a longtemps, quand j'ai créé mon petit programme de dessin de circuit imprimés, j'ai voulu faire un logiciel "bilingue" français / anglais. J'ai fait cela moi-même. Les langues sont assez proches, et comme l'interface utilisateur est assez fournie il y a beaucoup de textes et de messages. Pour ne pas bêtement inscrire dans les données du logiciel des centaines de phrases presques identiques, on a des boites de dialogues qui contiennent des morceaux de phrases, dans la fonction qui affiche la boite de dialogue, on précise le ou les mots ou expressions qui vont aller au milieu de la phrase. Typiquement, un boite de dialogue du type "Voulez-vous supprimer XXX ?" ou encore "La XXX de YYY doit être supérieure à ZZZ" J'ai dû gérer les aspects féminin/masculin et accords singulier/pluriel qui ne posent pas de problème en anglais mais en français... en ajoutant des paramètres pour que la phrase s'adapte. J'ai pensé à faire cela car que je suis français et je ne voulais pas ces fameuses phrases génériques avec ces parenthèses. Mais vous imaginez le travail à faire pour un logiciel qui a été initialement conçu uniquement en anglais ? J'ai eu le même problème avec le petit programme que j'utlise pour générer les reportages photos de mon blog. Pour le titre de chaque rubrique, dans mon fichier de paramètre, il faut préciser, pour le premier mot du titre le genre, si c'est singulier ou pluriel, et si c'est un nom propre ou un nom commun.
  13. A priori non : "depuis 1985" Si on a le droit de faire cela juste en rachetant un nom de domaine c'est un peu l'arnaque
  14. Bonjour, Je viens de tester le filament PVB. C’est un filament qui est réputé pour sa transparence. Il s’imprime aussi facilement que le PLA, et peut être lissé avec de l’alcool isopropylique. En septembre 2024, j’avais acheté du filament incolore de marque SUNLU, 900 grammes, pour 20 euros. Depuis, il attendait sagement que je m’occupe de lui sur une étagère. C’est chose faite. Pour réaliser un premier test, j’ai choisi ce modèle de saison, une décoration de noël, disponible gratuitement sur Thingiverse : https://www.thingiverse.com/thing:5606663 J’ai utilisé le profil par défaut de Prusa Slicer « Prusament PVB » Seules modifications, les réglages de la jupe et de la bordure, je voulais élargir un peu la surface en contact avec le bed, sans faire non plus de brim épais : Le slicer indique qu’il peut y avoir des problèmes de surplomb, je vais quand même imprimer la pièce sans supports, on verra ce que ça donne : J’imprime la pièce avec ma MK2s+ en laissant la porte du caisson ouverte. Je déballe le filament, et, surprise, il est très humide, ça se voit et ça s’entend ! Le PVB a la réputation d’être très hygroscopique, et c’est une réalité. J’arrête tout, direction le sécheur, 8 heures à 50°C. Je lance l’impression aussitôt après le séchage. Elle dure plus de 3 heures, et se déroule sans difficulté. La pièce adhère bien au plateau, elle s’est imprimée sans déformation. La pièce se décolle facilement après refroidissement du plateau. La pièce n’a pas de défauts, mais il y a quand même un peu de stringing. J’imprime une seconde pièce. Durant les 7 heures d’impression au total, le filament n’a pas eu le temps de reprendre de l’humidité, mais nous sommes en hiver, l’hygrométrie chez moi est de 40% ce qui est faible. Si vous faites de longues impressions dans un environnement « normal » à 60% d’hygrométrie, vous serez peut-être contraints de sécher le filament pendant l’impression en installant la bobine dans un sécheur prévu à cet effet. Je procède au lissage d’une des pièces avec de l’alcool isopropylique (IPA). Je trempe la pièce 30 secondes dans un bocal d’IPA, puis je la laisse sécher environ 25 minutes ; je répète l’opération 8 fois, et je laisse la pièce sécher une nuit entière. Remarque importante : la méthode que j’ai utilisée, le trempage dans l’IPA liquide, nécessite que la pièce ait un fond percé ou soit « traversante » de manière à ne pas emprisonner d’air, ce qui n’est pas le cas des vases. Il est également nécessaire d’accrocher la pièce quelque part avec un fil de fer. Il sera difficile de tremper un vase puis de le retirer sans laisser de marques… une autre technique est de lisser les pièces en PVB avec de la vapeur d’IPA. Une recherche sur Google vous donnera les informations nécessaires. La pièce est bien lisse au toucher, on voit les stries des couches internes par transparence. La pièce est un peu poisseuse mais pas collante. Je décide tout de même de la passer au déshydrateur en même temps que la bobine que je sèche avant de la ranger dans un sachet hermétique. A titre de comparaison, j’imprime la même pièce en ABS violet en deux exemplaires, et je réalise un lissage à l’acétone sur une des deux. De gauche à droite sur les photos : - Pièce en PVB brute - Pièce en PVB lissée - Pièce en ABS brute - Pièce en ABS lissée. Petite remarque au passage : je ne regrette pas le temps que j’ai passé pour améliorer mon imprimante. Ma « MK2s+ » ne me pose plus aucun problème d’adhésion, la pièce en ABS s’est imprimée sans soucis malgré la faible surface en contact avec le bed. Et je n’ai pas eu besoin de modifier le Live Z quand je suis passé de l’ABS au PVB. Les sécurités logicielles et matérielles ainsi que l’alarme externe m’ont permis de faire autre chose l’esprit tranquille pendant que mon imprimante imprimait les pièces. J’ai gagné un vrai confort d’utilisation. Je décide alors de passer aux choses sérieuses, en imprimant une pièce en mode spiral vase. Dans ce mode, le slicer applique un traitement particulier : seule le fond et les faces latérales d’un volume en STL sont imprimés. Il n’y a aucun remplissage, et la face supérieure n’est pas imprimée ; le volume en STL est en quelque sorte creusé. Les faces latérales sont imprimées avec un unique périmètre en spirale, sans interruption ; l’imprimante suit le contour de la pièce en tournant sur le plan X/Y tout en montant doucement et de façon continue l’axe Z. La pièce obtenue est fine mais offre le meilleur rendu translucide voire transparent possible avec une imprimante 3D, sans aucune trace de « couture » qu’on trouve habituellement sur les pièces imprimées en 3D aux endroits où la buse s’arrête ou commence un périmètre. Je le fais avec ma buse de 0,4mm, mais en augmentant la largeur d’extrusion (0,6 au lieu de 0,45) J’imprime la pièce en deux exemplaires en une seule fois, grâce à la fonction d’impression séquentielle de Prusa Slicer : En effet, par principe, en mode spiral vase, l’imprimante est contrainte d’imprimer une pièce en une seule fois, avec une seule spirale. La seule possibilité pour imprimer plusieurs pièces est de le faire de façon séquentielle, c’est-à-dire l’une après l’autre. La fonction d’impression séquentielle ne se limite pas aux impressions en spiral vase ; elle est bien pratique, car elle permet de diminuer le temps d’impression de plusieurs objets, et aussi de diminuer le stringing. Seule contrainte : il faut que les dimensions des objets imprimés le permettent et qu’ils soient suffisamment espacés, on ne pourra pas remplir le bed au maximum comme on pourrait le faire avec une impression classique. Je fais la même chose que pour la décoration de Noël, je lisse avec de l’IPA une des deux pièces. Voici le résultat ; sur les photos, la pièce non lissée à gauche, la pièce lissée à droite : D’autres photos, la pièce non lissée en haut, la pièce lissée en bas : La pièce lissée a une bonne transparence, mais on reste loin de la transparence d’une vitre, d’une plaque de plexiglass ou d’une feuille de plastique transparent. L’effet est plus proche du verre « cathédrale », ce qui peut d’ailleurs être intéressant pour certains objets décoratifs. Bonne nouvelle, la pièce lissée, bien que fine, ne s’est quasiment pas déformée, mais elle est devenue très souple. A voir si demain, après séchage plus long, elle redevient plus rigide. A titre de comparaison, l’acétone smoothing peut déformer des pièces imprimées en ABS, c’est un procédé plus difficile à maitriser. Après smoothing à l’acétone puis séchage, les pièces en ABS redeviennent rigides et deviennent même parfois cassantes au bout d’un certain temps. Il arrive que les pièces en ABS lissées à l’acétone se fissurent au bout de quelques semaines ou quelques mois. Une fois exposé à l’acétone, l’ABS a tendance à vouloir rétrécir, ce qui créé des tensions internes. Le PVB reste un matériau fragile : il ne résiste pas à la chaleur et il est sensible aux éléments chimiques (le fait qu’il puisse être lissé avec de l’alcool le démontre). De plus, pour avoir une bonne transparence (qui sera de toute façon imparfaite), il faut imprimer en mode vase (donc avec une seule paroi) et faire un lissage à l’IPA qui a pour effet de ramollir la pièce. Une pièce en PVB lissée se sera jamais vraiment transparente et ne pourra être utilisée qu’à l’intérieur, en étant non soumise à des contraintes mécaniques, chimiques ou thermiques sévères. Que dire pour conclure ? Si vous avez besoin de transparence pour fabriquer les vitres d’un modèle réduit, ou les fenêtres d’une face avant d’appareil électronique, la meilleure chose à faire c’est d’utiliser des feuilles de plastique transparent ou des morceaux de plexiglass. Modélisez une pièce avec des encoches ou des rainures pour accueillir des morceaux de plexiglass ou de feuille plastique transparente. Une feuille plastique transparente peut être courbée pour adopter une forme développable (forme cylindrique, coniques, …). On peut aussi coller une pièce imprimée en 3D avec des orifices correspondant aux fenêtres sur une feuille de plastique transparente ou une plaque de plexiglass. Si vous voulez fabriquer une pièce transparente non développable comme la verrière d’un cockpit de modèle réduit d’avion, utilisez votre imprimante 3D pour imprimer un moule qui servira à fabriquer votre cockpit avec le thermoformage d’une feuille plastique. Il ne sert à rien de s’acharner à vouloir fabriquer quelque chose uniquement avec l’impression 3D. Il ne faut pas avoir « honte » d’utiliser une autre technique que l’impression 3D pour fabriquer un objet. Au contraire, les différentes techniques sont faites pour se compléter, des objets solides, beaux et utiles peuvent être construit en utilisant à la fois de l’impression 3D, des pièces en bois, des profilés du commerce en acier, … ce sera plus facile et moins cher. Même si le niveau de transparence de votre pièce imprimée en PVB après lissage vous convient, le PVB est trop fragile pour être utilisé pour fabriquer des optiques de voiture, de modèles réduits radiocommandés ou d’éclairages extérieurs. Vous pourrez fabriquer des abas jours pour des lampes à condition qu’elles soient utilisées à l’intérieur et que les lampes ne chauffent pas trop ; attention certaines ampoules LED peuvent dégager une quantité non négligeable de calories. Bien sûr, il ne faudra surtout pas nettoyer vos pièces en PVB avec des solvants (méfiez-vous des produits pour faire le ménage qui peuvent être agressifs). A quoi peut bien servir le PVB alors ? Il faut oublier les pièces techniques mais pour des bibelots décoratifs ou des figurines c’est un matériau digne d’intérêt. Il est facile à imprimer (pas besoin d’enceinte chauffée, aucun problème d’adhésion) et il est facile à lisser avec de l’IPA, sans les problèmes que l’acétone pose avec l’ABS. A moins de 25€ le kg le PVB reste abordable. Seule contrainte, le PVB est très hygroscopique, il faudra impérativement s’équiper d’un bon sécheur de filament. Les objets imprimés en 3D avec du PVB transparent ne seront jamais transparents comme une vitre - le PVB offrira au mieux un rendu verre cathédrale. De toute façon, l’impression 3D est une technique de fabrication qui ne permet pas d’obtenir une transparence parfaite, même avec des filaments spéciaux et de fastidieux post-traitements hors de prix. Ne vous faites pas avoir par les publicités qui montrent des objets soi-disant imprimés en 3D trop beaux pour être vrais ! Le PVB avec une couleur mate peut être lui aussi intéressant car la pièce après lissage sera lisse et brillante comme de la porcelaine ou du métal poli, sans laisser apparaitre la structure interne par transparence. A bientôt !
  15. Les magasin Tandy, ça date, il devait y en avoir un à Nancy, ils ont fermés au début des années 1990 Mais surprise, la marque existe toujours, il y a même un site de vente en ligne en Français https://www.tandy-electronique.com/ Le catalogue n'est pas très fourni, certains produits sont obsolètes, il y a des images absentes, certains catégories sont mêmes vides... C'est à se demander si l'entreprise existe encore ou alors ils sont payés d'avance l'hébergement du site qui reste en ligne
  16. Les news de Prusa sont intéressantes. Malgré la concurrence féroce de BambuLab, ils ont encore des choses à proposer Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais la Prusa CORE One L avec le système multi-tool INDX de Bondtech risque de "tuer" la Prusa XL Certes la Prusa XL peut imprimer du silicone... Mais en plus de son prix très élevé, la XL n'a pas d'enceinte permettant d'atteindre les températures requises pour les filaments techniques. J'aurai préféré que Prusa trouve comment imprimer du silicone avec la Core One, ça aurait fait de cette imprimante la meilleure ! La version "critique" de la Core One est bienvenue... c'est positif d'avoir un appareil qui ne soit pas un énième objet connecté vulnérable. Pour les clients pros, c'est un argument qui peut compter face à BambuLab. Bref, la "vielle Europe" est encore dans la course ! J'ai hâte de découvrir le test de la Core One avec le système INDX sur le forum
  17. Bonjour, ça fonctionne merci @jcjames_13009 En fait même pas besoin d'accorder la hauteur des trous dans le STL avec le nombre de couches Voici mon STL : Les couleurs sont dégeu mais c'est pour mettre en évidence les différentes parties dans la vue 3D Les cinq trous non débouchant dans le socle ont une profondeur de 4 mm. Après importation dans Prusa Slicer puis tranchage en mode spiral vase : Ca a fait ce que je voulais, la base ne fait que 4 couches d'épaisseur. Bon à savoir en tout cas Merci ! Maintenant je fais le test en modifiant le nombre de couches : Après tranchage, ça fonctionne, j'ai un socle plus épais avec la forme d'origine du STL : J'essaye avec un taraudage, ça fonctionne... ... en revanche, avec cette façon de faire, le socle a un remplissage de 100% (ce n'est pas très gênant s'il n'est pas trop épais) La solution idéale aurait été de pouvoir imprimer le socle avec un remplissage au choix, mais l'usage du mode spiral vase impose un remplissage de 0%, le socle étant alors 100% solide. On va dire que c'est à moitié résolut Je vois, cette solution revient à transformer la pièce en "coque" unique Cette solution risque de laisser une couture visible à l'endroit de la fente (ce qui est justement ce qu'on cherche à éviter lors de l'emploi du mode spiral vase) Lors de mes recherches, certains proposaient comme solution de fusionner à la main deux fichiers GCODE : - la partie basse d'un GCODE classique - la partie haute du GCODE en mode spiral vase Il ne faut pas se planter sinon la buse va bourrer dans la matière ou alors elle va imprimer dans le vide. C'est étonnant que cette fonction n'ai pas été prévue dans les slicers, c'est pourtant une demande qui date...
  18. Bonjour, Je teste actuellement le mode spiral vase pour imprimer des objets plus ou moins transparents en PVB Il ne faut pas modéliser le vase... mais au contraire un STL contenant un volume simple plein sans trou ni volume concave, et avec le mode spiral vase le slicer imprime uniquement une coque composée de la face inférieure (celle en contact avec le bed) avec toutes les faces latérales sous la forme d'un seul périmètre en spirale. Le volume interne n'est pas imprimé, ni la face supérieure. On obtient un vase à partir du volume initial qui a été, en quelque sorte, creusé ou démoulé. J'aimerais que la partie basse de la pièce (le socle, en contact avec le bed) soit un pièce "normale" de forme quelconque (avec des trous, ou des taraudages, etc.) et que l'objet soit imprimé en mode spiral vase qu'à partir d'une certaine hauteur. En effet je ne cherche pas à imprimer des vases, mais plutôt des petits objets décoratifs avec un éclairage à l'intérieur. Le socle doit permettre la fixation de cet éclairage, le passage des fils, et pouvoir contenir un petit circuit électronique avec des piles éventuelles. Bien sûr je peux imprimer le socle à part, mais il restera le problème de la fixation du socle à la pièce imprimée en spiral vase. On peut toujours percer la pièce imprimée en spiral vase, mais ce n'est pas une solution très élégante Il n'y a pas d'impossibilité technique, n'importe quelle imprimante 3D est capable de réaliser un tel objet ; reste à trouver comment générer le GCODE avec le slicer. Sur Internet j'ai trouvé des demandes similaires à la mienne, en anglais, mais sans solution. Ces messages sont cependant anciens. Je n'ai tout simplement peut-être pas utilisé les bons mots-clefs, ignorant comment s'appellent la ou les fonctions-qui-vont-bien éventuelles. Est-ce possible avec la version actuelle de Prusa Slicer ? Merci A bientôt
  19. Les Amiga sont très recherchés J'en avais 3, en panne... Ayant besoin de faire de la place, et manquant de temps pour les remettre en état, je les ai mis sur le Bon Coin, les gens se sont presque battus pour me les acheter !
  20. Le célèbre Hebdogiciel et sa liberté de ton légendaire - qui en a inspiré bien d'autres (comme Le Virus Informatique et Pirates Mag')
  21. Merci aux modérateurs pour le temps qu'ils passent à gérer le forum et à leur patience Comme dirait l'autre "Souriez ! Demain sera pire"
  22. L'Atari ST et l'Amiga étaient des machines assez proches du point de vue hardware, beaucoup de jeux avaient été développés sur l'un et portés sur l'autre. L'Atari ST, avec ses deux ports MIDI, était très prisé des musiciens comme le dit la vidéo. Les instruments de musique et le matériel audio coutait encore très cher, l'achat d'un Atari ST avec un logiciel MIDI était très rentable car cela remplaçait beaucoup de matériel bien plus couteux et encombrant. L'Amiga était plus performant, notamment grâce à ses coprocesseurs graphiques et sonores assez bien conçus qui épaulaient efficacement le processeur 68000. Malheureusement, seul une partie des jeux exploitaient pleinement le potentiel de l'Amiga (les éditeurs préféraient créer des jeux pouvant être portés facilement sur différentes consoles et ordinateurs, au détriment de l'optimisation pour chaque machine) Mon premier ordinateur, acheté en 1993, était un Amiga 1200. Il était bien plus puissant que l'Amiga 500 : 2 Mo de RAM au lieu de 512ko, processeur 68020 au lieu du 68000, port PCMCIA, meilleure carte graphique, on pouvait aussi installer dessus une carte accélératrice, des extensions de mémoire et même un disque dur IDE... Mais il ne n'est pas bien vendu... beaucoup de jeux auxquels je jouais étaient conçus pour l'Amiga 500 nettement moins puissant. Mais c'était de super jeux quand même ! Avantage de l'Amiga : les jeux avaient souvent des bandes son magnifiques. Exemple avec le jeux de plateforme Yo! Joe! : Il y avait enfin et surtout pas mal de "démos", dont on trouvait des compilations sur disquettes dans les magazines. Ces démos étaient réalisées par des hackeurs ou des petits studios indépendants, ils avaient à cœur d'exploiter les capacités audio et graphique de la machine. Toute une époque
  23. Bonjour, Une petite vidéo Youtube nostalgique sympa sur quelque chose qui a révolutionné la création musicale amateur dans les années 80/90 C'est génial car il y a des démonstrations avec le matériel et les logiciels de l'époque A bientôt !
  24. Bonjour, Petite mise à jour du firmware : pour permettre un cold pull, la température de la buse est réglable sur les valeurs suivantes : - 0° - 75° à 175°C par pas de 5°C - 180°C et plus par pas de 1°C Concrètement, lorsque la température est à 0°C, quand on tourne le bouton on passe directement à 75°C et ensuite la température augmente de 5°C à chaque cran, puis une fois 180°C atteint, elle augmente de 1°C par cran. Idem en sens inverse, la température baisse de 1°C par cran jusque 180°C puis ensuite de 5°C par cran jusque 75°C pour ensuite passer directement à 0°C. La sécurité suivante est inchangée : si dans un fichier GCODE, la température de la buse pour une impression est définie à une valeur inférieure à 180°C, une erreur avec l'alarme se déclenche ; l'imprimante proposer de continuer avec une température de 180°C ou de faire un reset. Le firmware peut être téléchargé ici (il faudra téléverser le fichier \Prusa-Firmware-3.2.3_V21\Firmware\Firmware.ino.rambo.hex avec PrusaSlicer) https://drive.google.com/file/d/145ZriQaOqmTB5HvawsoLqUVb58-flieK/view?usp=sharing A bientôt
  25. Merci aux modérateurs d'avoir rouvert le sujet. Tâchons d'être positifs et constructifs. Je vais en toucher un mots aux élus de ma région lors des cérémonies de voeux (bon il y a 0,1% de chance que ça marche mais ça coute rien d'essayer ) Lorsque la taxe sera en place, nous pouvons nous organiser sur le forum pour réaliser des commandes groupées : la taxe ne s'appliquant que par catégorie de produit, indépendamment du nombre d'exemplaires ; également, si le colis dépasse 150€, il sera taxé de façon classique ça pourra être plus intéressant aussi. Re-Bonjour, Sur le site officiel des Douanes Françaises, on trouve des informations qui contredisent l'article de Que Choisir : en particulier, la taxe Française de 5€ pourrait s'appliquer dès le 1er janvier 2026, si le Projet de Loi de Finances 2026 est adopté. https://www.douane.gouv.fr/actualites/taxe-sur-les-petits-colis-point-dinformation-sur-sa-mise-en-oeuvre Si vous avez du temps à perdre, du courage et que vous n'êtes pas allergique aux accronymes administratifs, vous pouvez regarder le webinaire : https://webinaire.bbb-dinum-scalelite.visio.education.fr/playback/presentation/2.3/05ba300f521397952a07ac9dd0f4a96ff61c5a3a-1765981451337 On découvre que c'est beaucoup plus compliqué que prévu... (hum comme c'est étonnant ) : il va y avoir différentes taxes Françaises et Européennes qui vont s'appliquer puis être remplacées - ou pas - par d'autres taxes selon un calendrier de 2026 à 2028. Le webinaire montre que les membres de l'administration et des transporteurs sont plus ou moins en panique avec les délais d'applications et des modalités pratiques du shmilblick. Plusieurs participants ont répétés "qu'ils ne seraient pas prêts" pour l'entrée en vigueur de la taxe. Les représentants de la logisitique parlent même "d'une mauvaise réglementation, pleine d'incertitudes, prise sans discussion préalable avec les différents acteurs de la logistique". Plusieurs participants ont des doutes sur la capacité des systèmes de gestion à supporter le flux de transactions à traiter Le représentant d'UPS a posé une question intéressante : comment seront traités les colis commandés avant le 1er janvier mais livrés après le 1er janvier ? L'administration a répondu que "la taxe s'applique au moment du dédouanement" => Conséquence pratique possible pour nous : il pourrait y avoir des "régularisations", c'est à dire qu'on pourrait nous réclamer une taxe et des frais un certain temps après avoir reçu un colis... Si vous avez commandé un produit maintenant mais qu'il n'est livré qu'en janvier, vous aurez peut être la taxe à payer. Le représentant d'UPS a aussi demandé comment seront traités les retours des colis refusés par les importateurs (c'est dire si on refuse de payer la taxe) => l'administration n'a pas répondu à la question, dommage, il faudra faire un test en refusant un colis pour voir comment ça se passe Il y a aussi des questions sur les failles du dispositif, car les autres pays Européens ne feront pas la même chos que nous (par exemple si le vendeur est en Allemagne et que le produit arrive de Chine), et les Chinois risque de frauder sur le type de déclaration. Chose intéressante : le représentant des entreprises de vente à distance (FEVAD) demande à ce que chaque vendeur ou plateforme puisse choisir comment facturer ou pas la taxe => cela veut dire que dans certains cas, la taxe sera intégrée au produit et payé lors de la commande, mais dans d'autres cas, ce sera le livreur qui vous demandera de payer la taxe en plus. => Conséquences pratiques pour nous : - il sera plus difficile de comparer les prix, certains sites afficheront le prix total avec la taxe et d'autre sans, il faudra être très vigilant au moment de chercher les tarifs et de passer commande - on risque de découvrir au moment de la livraison qu'il faut payer une taxe alors qu'on pensait l'avoir déjà payé Les entreprises extra-européennes immatriculées au guichet IOSS (cela sert au paiement de TVA après arrivée des marchandises en UE) dans un autre pays de l'UE que la France auront maintenant besoin en plus d'avoir un représentant fiscal en France. Les entreprises extra-européennes devront donc s'immatriculer une deuxième fois en France, uniquement pour pouvoir régler cette taxe et être en règles avec la France. Un participant fait remarquer que cette loi est contraire à l'esprit de tous les accords de libre échanges qui ont été signés. Devant les incertitudes et les contraintes, certains pays (comme le Canada) ont annoncé vouloir arrêter leurs flux vers la France. => Conséquences pratiques pour nous : concrétement, les délais de livraison de certains produits risquent d'être prolongés, peut être aussi que les marchands concernés vont suspendre les commandes. Bref, demain, pour acheter des produits hors UE, il faudra être joueur
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