-
Compteur de contenus
4 197 -
Inscrit(e) le
-
Dernière visite
-
Jours remportés
73
Tout ce qui a été posté par Kachidoki
-
Aucune idée, peut-être du spot welding comme pour les pack de batteries ?
-
Salut, à 220°C l'étain va fondre... Tu risque le court-circuit et de cramer ta carte mère.
-
42 à 48 % ça fait 6% d'écart entre le min et le max, ou pourrait-on dire statistiquement +/- 3% autour de la moyenne. Ce qui est très bien pour un appareil non étalonné. Pour la température idem, entre 25.2 et 27°C ça fait 1.8°C d'écart ce qui peut paraître beaucoup, mais on pourrait aussi dire que ça fait +/-0.9°C, soit encore une fois quelques chose de très bien pour un appareil non étalonné. Cela dit pour ne pas tout mélanger, si on groupe par modèles : Rectangulaires (avec T°C) => +/- 0.4°C et +/- 1% Rectangulaires (sans T°C) => +/- 2.5% mais ils ne sont pas tous dans les mêmes conditions (boite et dessiccant) Ronds => +/- 0.4° et +/- 1.5% Là on peut dire que c'est plutôt répétable par modèle avec une assez bonne précision relative. Quant à la précision absolue, bah va falloir un étalon pour savoir qui est le plus juste. Pour l'humidité c'est largement suffisant. Pour la température, ce n'est pas suffisant pour juger de la température ambiante d'une pièce de vie, mais bien assez pour un caisson par exemple.
-
Oh sh**, je n'ai même pas été jusque là dans l'article (j'ai vu la référence mais pas cliqué) ayant déjà eu ma dose avec le reste. Ce qui m'em***** le plus en fin de compte c'est que souvent des technos qui sont vraiment excitantes, disruptives et prometteuses pour l'avenir sont gâchées par la politique (du patron, de l'entreprise, de l'état ou des militaires). Mais certains produits sont assez bons pour survivre à ces polémiques. Exemples bien connus dans l'automobile : VW en 1937 et 2015 notamment, Tesla ça se passe de commentaire tellement c'est récent... J'ai aussi l'impression que ce "problème" d'Open Hardware est plus visible que l'Open Source. Pour ce dernier comme on dit : "c'est que du soft", ça se copie gratuitement depuis l'autre bout de la planète d'un clic et il n'y a que le développeur, dont c'est souvent un passe-temps et qui n'en retire rien de plus que de la satisfaction altruiste, qui puisse être lésé par un vol. Pour l'Open Hardware généralement cela suppose qu'il y ait une activité derrière, un business. Car les "consommateurs" bien qu'ils puissent fabriquer eux-mêmes sur plan, n'en ont pas toujours les compétences, les moyens, le temps ou tout simplement ils souhaitent "récompenser" le travail du concepteur. En somme fournir un kit en plus des plans c'est comme fournir un .exe en plus du code source, en revanche ça coûte de l'argent à son concepteur et pas uniquement du temps. Comme il est toujours plus facile et rapide d'utiliser un kit/exe que des plans/sources, l'utilisateur se dirige toujours vers cette solution en premier. Pour un industriel il est plus rentable de produire à grande échelle un design déjà populaire que d'en inventer un nouveau. Il suffit de faire en sorte que les plans vous appartiennent que vous les ayez créés ou non, et le tour est joué. S'approprier la paternité de ces plans par un brevet malhonnête c'est léser le concepteur, mais aussi tromper le consommateur. Et hop, Godwin au 5ème post.
-
C'est sûr que la durée de validité des brevets n'a jamais évolué alors que le monde technologique n'a cessé de s'accélérer, pas uniquement le domaine de la 3D. Le principal "problème" que j'ai compris est surtout que les chinois peuvent déposer des brevets à pas cher, facilement validés par la Chine (on s'en serait douté), et surtout qui ont une priorité reconnue à l'internationale. Si j'avais pu déposer des brevets pour $125, j'en aurais déjà déposé tout un paquet étant ado... Mais déjà à l'époque un brevet juste pour la France était inaccessible sans hypothéquer sa maison et de toute façon juridiquement impossible à écrire soi-même, alors un jeune même pas sortit de l'école avec plein d'idées... Un comble lorsqu'on sait que pendant des années les chinois n'ont eu cure des brevets, copiant grassement les designs populaires. Et même sans brevet les tout petits comme MakerFr avec la R-CNC ont été copiés, on trouvait des kits sur AE sans aucun lien avec le concepteur de la machine... Mais maintenant la Chine passe à l'étape supérieure en déposant des brevets sur ces technos/designs publics. Dans un post Jo a mentionné que Anycubic a obtenu le brevet pour le MMU1 en Chine, puis ont utilisé la priorité pour ce brevet en Allemagne qui a déjà été validé, et ils sont en train de le faire valider pour les US. Dans un autre post il précise qu'il ne parlait même pas de Bambu dans son article, mais que cependant ils tentent tout de même de breveter le tranchage d'un objet en couches horizontales. C'est dingue lorsqu'on sait qu'ils ont forké PrusaSlicer pour développer leur business... Ce qui pose problème c'est que normalement ce type brevet (MMU1) ne peut pas être accordé car équivalent à l'état de l'art antérieur, qui plus est déjà rendu public depuis 2016. Mais étant accordé cela permet aux détenteurs de ces brevets d'intenter légitimement des actions en justice que seules des grosses boites pourront gagner à coup de dollars en cabinets d'avocats pour prouver que le brevet est caduque. Dans l'intervalle, tous les petits acteurs auront coulé et leurs technos seront entre les mains des détenteurs du brevet, inventeurs légitime ou non. Rendez-vous en 2045, après l'expiration des brevets pour la prochaine ère post-Stratasys-post-{put-your-favorite-chinese-brand-here}...
-
Salut, Je partage un article (en anglais) très intéressant par le grand manitou des imprimantes Open Hardware, j'ai nommé Josef Prusa : https://www.josefprusa.com/articles/open-hardware-in-3d-printing-is-dead/ Il devrait en parler lors de l'évènement OpenSauce qui se déroule ce week-end, dont Prusa Research est l'un des sponsors aux côtés d'autres noms connus dans l'impression 3D.
-
Pour mes travaux de maçonnerie du weekend je me suis bricolé une dame. Non pas cette dame là, celle qui sert à damer le sol. Un bête tasseau avec un lest fixé à une extrémité. Le problème c'est que l'autre extrémité bien que j'ai cassé les angles à l'affleureuse, me faisait mal à la main lors des chocs vigoureux. J'ai alors pris 5 min de pause pour dessiner une grosse boule (80mm) pour le manche de ma dame... Ni une ni deux je lance l'impression en mode à fond les ballons avec ce qu'il y a dans la machine qui préchauffait pendant que je dessinais, un beau PLA noir pailleté. Vingt minutes après j'avais une dame douce au toucher et très agréable à utiliser. Hey, je vous entends penser ! Cette impression fait parfaitement le job seulement voilà, lors de la pause suivante j'ai laissé ma dame bronzer au soleil. Lorsque je l'ai voulu m'en resservir j'ai senti dès le premier coup que la boule était molle. Je sentais qu'elle était brûlante à travers mes gants et il m'a suffit de la caresser (au sens propre) pour la refroidir suffisamment et pouvoir m'en resservir normalement. Du coup maintenant je fais attention de laisser la boule à l'ombre lorsque je ne m'en sers pas, et cette dame de fortune finira le chantier sans problème. Je n'ai pas de photo de ma dame malheureusement, mais de toute façon c'est personnel.
-
Salut, Je pense qu'il n'y a pas vraiment de bonne réponse à cette question. Ca dépend beaucoup des préférences de chacun. Sur ma config perso j'ai depuis une dizaine d'années un 27" WQHD "photo" (calibration hardware avec ma sonde i1) et un second 22" que je traine depuis que j'ai déménagé de chez mes parents soit une bonne vingtaine d'années. J'ai le 27" en face de moi et le 22" sur le côté. Ce dernier n'est allumé qu'au besoin, principalement lors des séances Lightroom et pour quelques tâches particulières. Mais pour la 3D je n'utilise pratiquement que Fusion, et je n'ai pas besoin du second écran. La souris 3D par contre est indispensable. Sur ma config pro (orientée codage), j'ai pareil un 27" WQHD face à moi, et sur le côté un 24" WQHD également mais en mode portrait. Très pratique pour y afficher des specs, de temps en temps des grand blocs de code, deux consoles ssh l'une au dessus de l'autre, etc... La disposition verticale est vraiment très pratique et beaucoup mieux intégrée depuis Windows 11. Le problème c'est le port USB-C du laptop qui est limite en bande passante pour passer tous les flux, écrans, ethernet, périphs usb... En même temps ça ne me dérange pas de coder sur un 15" Full HD, alors qu'à côté de ça j'ai des collègues qui ne jurent que par des 27" côte à côte, et les mécanos qui font du dessin 3D toute la journée ont des 32" 4k. Les écrans ultra-wide je n'ai jamais accroché à cause du manque de souplesse dans le découpage des fenêtres. Couper un ultra-wide en 4 ne suffit pas et faire un drag'n'drop rapide d'une fenêtre dans un coin est moins évident, avec deux écrans tu as huit coins. J'espère que ça va pas trop t'embrouiller. Quid tu reste de la config que tu as prévu ? Portable ? PC fixe ? Carte graphique ?
-
Les sécheurs de Filaments
Kachidoki en réponse au topic de pjtlivjy dans Consommables (filaments, résines...)
Ca commence à être intéressant, ça donne des idées. Le côté empilable l'intérêt est limité puisque c'est uniquement pour le stockage. L'indicateur d'humidité en papier c'est une blague ? Dans l'absolu j'aimerai bien avoir une version qui sèche en verticale, ou réellement "empilable" (plutôt des casiers tiroirs pour le côté pratique). Parce que ça prendrait beaucoup moins de place d'avoir une tour de séchoirs les uns au dessus des autres que étalés sur le plan de travail, surtout lorsqu'on commence à avoir 4 bobines et plus sur des bécanes à toolchanger qui peuvent faire 1 mètre de haut. Cela dit cette solution est intéressante car déjà bien compact étant donnée son orientation, juste la sortie filament que j'aurais préféré vers l'arrière car sur le côté ça fait encore de la place perdue à cause des tubes car il faut éloigner un peu le séchoir de l'imprimante. A quand la version pompe à chaleur ? Car c'est le problème principal dans mon bureau, il fait trop chaud dès que j'imprime, alors si cette chaleur pouvait être récupérée pour sécher les filaments (et rafraichir le bureau) c'est tout bénef. -
Tout à fait, même le mécanisme de préhension des têtes ressemble comme deux gouttes d'eau. La plus grosse différence c'est qu'il n'y a qu'un seul ventilateur commun pour la ventilation de la pièce. Ils utilisent aussi un "wiper" comme beaucoup l'on ajouté sur leur XL, afin de contrer l'oozing inhérent aux toolchangers. Ca me rappelle qu'un jour Josef Prusa à laissé entendre que la XL serait vendue autour de $1200, on a vu ce que ça a donné... A voir ce que Snapmaker arrivera à faire.
-
Un rapport avec des gants ?
-
Indice
-
Fût-un temps pas si lointain où tu priais le père Josef. A croire que les sectes aussi s'accélèrent : fût un temps pas si lointain, lorsqu'on débutait l'impression d'une Cathédrale, on décédait avant la fin. N'empêche qu'à cause de toi, je me repasse encore tous les lives de London Grammar que je trouve...
-
Prusa Slicer : simplifier l'impression multicouleur "manuelle"
Kachidoki en réponse au topic de electroremy dans Paramétrer et contrôler son imprimante 3D
Je sais pas trop, a priori depuis la version 2.9.0 ils ont supprimé la possibilité de désactiver l'auto-centrage. Tu peux peut-être exporter en STL multi-corps, ou importer tous les STL en même temps en tant que multi-part, puis dans PrusaSlicer faire un clic droit, split to objects. Ca devrait juste faire tomber les morceaux en Z sur le plateau, sans les bouger en XY, à confirmer. -
Prusa Slicer : simplifier l'impression multicouleur "manuelle"
Kachidoki en réponse au topic de electroremy dans Paramétrer et contrôler son imprimante 3D
La solution la plus simple pourrait être d'utiliser la fonction impression séquentielle : Malheureusement PrusaSlicer ne permet pas d'insérer les G-Code de pause directement depuis la vue plateau dans ce mode. Néanmoins ça ne fait plus beaucoup de travail pour les insérer grâce aux custom G-Code, plus qu'à placer un M600 là. Une autre solution simple en conservant ta méthode actuelle, concaténer tout simplement tes G-Code individuels en insérant la pause entre chaque. Sinon il y a encore une option, comme tu bidouilles ton firmware tu pourrais gérer les G-Codes Tx pour les transformer en M600 avec un message à l'écran indiquant le numéro de couleur (T0, T1, T2 etc...). Ca fait un MMU pas cher, et quand c'est pas cher, c'est toi le produit (donc c'est toi le MMU). Ca te permettrait d'utiliser l'importation "multi-STL" comme pour les objets multi-couleurs classiques et ainsi de conserver la référence de positionnement relative entre les STL. Il te faudra simplement ajouter des extrudeurs au profil de ton imprimante. Quoique c'est peut-être faisable directement dans le Slicer avec les substitutions de G-Code, ça se teste : En résumé il y a plein de solutions à ton problème, à toi de choisir celle qui te correspond le mieux. -
Panne sonde température hotend Prusa Original MK2s
Kachidoki en réponse au topic de electroremy dans Discussions sur les imprimantes 3D
Ce n'est qu'une question de point de vue. Dans ce cas de figure l'ensemble complet, mécanique, CM, et "super-CM" (qui n'est pas nécessairement une RPi) devient l'imprimante. C'est un peu comme les téléphones (mécanique + CM) qui sont devenus des smartphones (super-CM). La fonction téléphone n'est plus qu'une application qui ne peut pas fonctionner seule mais l'ensemble smartphone est devenu le téléphone. C'est surtout une question d'intégration, c'est sûr que s'il faut trimbaler un boitier de contrôle à côté de la machine on peut difficilement dire que l'imprimante est autonome, et pourtant Creality l'a bien fait avec ses CR-10. Un RPi tous le monde n'en a peut-être pas, mais un vieux PC certainement. C'est trouvable facilement et gratuitement. J'avais mis de côté mon bon vieux NF310 (que j'ai toujours...) sur lequel j'avais déjà installé une debian et déployé klipper. Mais je n'ai jamais pris le temps d'aller plus loin. Bon bricolage. -
Panne sonde température hotend Prusa Original MK2s
Kachidoki en réponse au topic de electroremy dans Discussions sur les imprimantes 3D
Il y a 20 ans, les technologies accessibles au grand public étaient encore assez simples. L'automobile en fait partie, à l'époque l'ABS devenait à peine obligatoire (2003) et était facile à tester. Aujourd'hui je vois mal un testeur rester stoïque devant le tout dernier modèle de véhicule fonçant droit sur lui avec sa sécurité de détection des piétons pour vérifier qu'elle fonctionne. A cette même époque, les imprimantes 3D se résumaient à un tas de tiges filetées et une choucroute de câbles (naissance des premières RepRap en 2004), sécurité ? Zéro. Ca commence par les CTN des éléments chauffants... puis les CTN de surveillance (carte mère, heatbreak, caisson...) puis ensuite il faut vérifier les ventilos, la détection des collisions, la détection de heat creep, les reprises sur coupure de courant, les détections de porte ouverte, la détection des erreurs sur la clé USB, et beaucoup auxquels je ne pense pas... C'est un peu comme les bibliothèques en codage, arrivé à un certain stade on ne peut pas tout vérifier, faut faire confiance à celui qui l'a écrit. Si on devait tout refaire de zéro à chaque fois (je ne dis pas qu'il ne faut pas le faire de temps en temps), on aurait beaucoup de mal à sortir des produits innovants dans un délai raisonnable. @electroremy avec ton nouveau firmware, as-tu envisagé la possibilité de passer sur des ventilos 3-pins afin d'implementer de nouvelles sécurité que toutes les imprimantes récentes ont ? Un jour sur une MK3 ça m'a sauvé une impression ABS de 8h presque terminée. J'ai pu reprendre l'impression en désactivant temporairement la sécurité. En effet le fil de retour RPM était coupé, le ventilo tournait quand même. A noter que c'est la sécurité elle-même qui était défaillante finalement. -
Panne sonde température hotend Prusa Original MK2s
Kachidoki en réponse au topic de electroremy dans Discussions sur les imprimantes 3D
Non. Certaines sont testées par inadvertance parce que je fais une fausse manip ou que je sors des conditions nominales, mais sinon je ne cherche pas spécifiquement à tester tous les éléments. Ca ferait des tests de 4h à lire et le blog est plutôt à visée informative sur les "performances" des machines. Heureusement que les testeurs pour revues automobile ne s'amusent pas à tester les défaillances des éléments de sécurité. S'agissant des sécurités thermique, sur la MK4 une fois j'ai lancé un préchauffage sans la tôle sur le plateau (j'étais en train de la nettoyer). Au moment où j'ai mis la tôle, la température à chuté brutalement et l'imprimante s'est mise en sécurité. EDIT: D'ailleurs dans le cas de ta MK2S le problème ne touchant pas tout le monde, même si les testeurs contrôlaient les sécurités il y aurait eu de forte chances pour qu'ils concluent qu'elles fonctionnent bien. -
Nouveau firmware pour la Prusa Original I3 MK2s
Kachidoki en réponse au topic de electroremy dans Prusa Research
Si tu veux aller au bout, tu peux forker le dépôt git original et publier tes modifications là. Avantage : ça permet très simplement de découper les modifications en commits, et simplifie énormément la revue de code pour ceux qui veulent s'assurer qu'un firmware non officiel ne va pas casser leur imprimante. -
Salut, Comme tu le dis, tu es en mode parano. C'est comme vouloir empêcher l'utilisation la pédale d'accélérateur parce que quelqu'un pourrait par erreur (ou volontairement) appuyer dessus à fond jusqu'à claquer le moteur. Un G-Code, c'est comme un .exe, on est pas censé utiliser du code machine provenant de n'importe où. Il y a certes quelques garde-fous dans le firmware, on peut même imaginer des anti-virus pour G-Codes à l'image de ce que fait Printables, mais le mieux reste toujours d'obtenir les sources et de le compiler le STL/STEP et de le slicer soi-même. C'est quand même plus sympa d'avoir un maximum de contrôles possible pour ne pas être limité par le firmware, même si c'est à toi de faire attention aux paramètres que tu utilises dans ton slicer, octoprint ou tout autre système capable d'envoyer des commandes à la machine. Pour l'extinction automatique, les imprimantes modernes possèdent des APIs permettant des intégrations sympa dans la domotique, dans Home Assistant par exemple : https://www.reddit.com/r/prusa3d/comments/1gh5qnr/finally_satisfied_of_my_home_assistant_dashboard/?show=original Avec ça tu peux non seulement éteindre la machine en utilisant n'importe quelles conditions qui te plaisent, mais aussi la rallumer à distance pour lancer un préchauffage automatiquement. Pour faire ce lien tu peux utiliser un RPi avec PrusaLink, il est marqué compatible MK2.5 avec liaison USB, je suis presque sûr que ça fonctionne sur MK2 aussi en adaptant un peu le code. Ce sont quelques idées.
-
prusaslicer Difficulté Prusaslicer pour i3RDX
Kachidoki en réponse au topic de Kylou86 dans Paramétrer et contrôler son imprimante 3D
Ah mais en fait c'est celle de @Stef54000 que tu as récupéré ! -
prusaslicer Difficulté Prusaslicer pour i3RDX
Kachidoki en réponse au topic de Kylou86 dans Paramétrer et contrôler son imprimante 3D
De ce que j'ai compris, biqu_convert_p24.exe sert à générer les miniatures qui s'affichent sur l'écran. Pour aller vite tu peux supprimer la ligne : Sinon tu peux aller chercher l'utilitaire biqu_convert_p24.exe et le coller dans le même répertoire que PrusaSlicer. -
prusaslicer Difficulté Prusaslicer pour i3RDX
Kachidoki en réponse au topic de Kylou86 dans Paramétrer et contrôler son imprimante 3D
Salut @Kylou86, Un peu d'historique. A l'époque du développement de la machine, en collaboration avec @Stef54000, @greguy et bien d'autres (oui c'était une excuse pour vous pinguer les gars ), j'ai été obligé de faire une version spéciale de PrusaSlicer. En effet les imprimantes multi-buses n'étaient pas bien gérées (Prusa n'avait pas encore sorti la XL). J'avais pondu un "profil constructeur" qui permettait d'avoir l'i3-RDX dans la liste des imprimantes. Depuis, PrusaSlicer à beaucoup évolué et @Guillaume3D a repris une bonne partie du design. Il a donc utilisé PrusaSlicer "normal" et pondu des profils "custom". Ce type de profil est à importer manuellement. Ca aurait été bien de mettre à jour le profil constructeur, mais c'est assez pénible à faire faut que ça en vaille la peine. Bref, il te faut partir des fichiers .ini qui sont sur github => https://github.com/Kachidoki2807/MakerFr_i3-RDX/tree/master/Slicer/PrusaSlicer Et faire un File -> Import -> Import Config Je viens d'essayer le profil PETG i3RDX-EX-_Dual_Colors.ini, et à part PrusaSlicer qui prévient de faire attention car il y a un script de post-processing biqu ( @Guillaume3D ?), ça fonctionne bien. N'hésite pas si tu galères, et n'hésite pas non plus à nous partager tes péripéties avec cette machine si tu en tire quelque chose. -
Avec du PLA.
-
Quel projet en perspective. J'ai quelques "remarques" même si ç'en est pas vraiment car c'est ton projet . Tu parles de watchdog analogique, mais les MCU possèdent déjà un watchdog, pourquoi ne conviendrait-il pas ? En soft et notamment lorsqu'on utilise des OS où il est pratiquement impossible de s'assurer que toutes les tâches tournent avec un seul watchdog, on utilise des mécanismes logiciels. Il y a plusieurs façons de procéder, mais le principe c'est d'avoir un timer logiciel par tâche ou fonction à surveiller. Le reset du vrai watchdog se fait en un point unique, généralement dans la boucle principale, conditionné par un flag. Si l'un des timers arrive à échéance alors le flag est positionné et le reset du vrai watchdog n'est plus effectué. On peut aussi forcer directement un reset, mais certains micro donnent la possibilité de connaître la cause du reset dans un registre, ça peut servir au redémarrage pour prendre une décision particulière. Si tu passes sur une architecture "multi-cpu", il faudra veiller à blinder la communication avec parité/checksum, acquittement et répétitions. Par expérience professionnelle ce n'est jamais simple à blinder correctement lorsqu'on arrive dans des cas éloignés du nominal et/ou avec des longueurs de câble (Prusa en a fait les frais sur son xLCD). Du coup tu te rapproches d'un klipper en séparant les fonctions, ça pourrait être une autre approche qui te simplifierait ces aspects pour te laisser te concentrer sur le code utile. Ca a l'avantage par exemple de rendre ton caisson compatible avec n'importe quelle imprimante qui tournerait sous kilpper. Une autre suggestion qui va pas te plaire : vu où tu en es pourquoi pas changer carrément de carte mère au profit d'une carte mère 32-bit "moderne" ? Avec ça tu aurais une toute nouvelle machine, silencieuse comme une MK3 et rapide comme une MK4. En bonus, beaucoup de ressources pour ajouter toutes les fonctions que tu veux. Je pense que tout bon développeur passe par là, on se lance dans un projet passionnant, on y passe un temps fou, des nuits blanches... Soit on arrive au bout parce que c'était un vrai projet utile, soit on s'arrête presque à la fin parce que c'était juste pour le fun. Quand j'étais ado j'ai passé un temps fou à concevoir un annuaire pour les VHS de mes parents, avec un PIC et un LCD alphanumérique. Je suis arrivé presqu'au bout, mais le micro était plein et n'avait plus assez d'espace pour stocker toutes les chaines de caractères. Mais j'ai appris le fonctionnement des écrans LCD et des claviers matriciels, joué avec de la compression pour le texte etc... Et c'est bien là l'essentiel => L'important n'est pas de pouvoir réutiliser le travail effectué, mais surtout de pouvoir réutiliser les connaissances et l'expérience cumulées lors de ces projets, pour développer les projets suivants en repartant sur de meilleures bases encore.