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Kachidoki

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  1. Au taf on avait "domotisé" une salle de réunion pour en faire une salle de repos. Il y avait deux tablettes fixes allumées h24 aux murs, des Samsung. Les deux on eu la batterie qui a gonflé après quelques années.
  2. Sinon on peut aussi charger le filament en humidité pour augmenter son poids (pratique courante dans l'agro-alimentaire). Plus il est humide, plus il est lourd, plus il y a de filament => CQFD Me cherchez pas, je suis déjà très loin.
  3. Il y a deux cas à TOUJOURS prévoir lorsqu'on fabrique quelque chose : Les enfants Les mecs bourrés
  4. La triplette de qualité en entrée du coffret est en 3G1.5, mais l'autre "quintuplette" qui est derrière l'onduleur, d'origine inconnue est en 0.75mm²... Câble plus long et plus de prises, mais section plus faible. J'ai toujours rechigné à m'en servir, mais dans ce cas de figure ça fait le job. De toute façon la ligne est protégée par un disjoncteur 6A, et c'est encore surdimensionné. Le testeur de polarité de prise c'est pas donné quand même. Perso je possède un VAT (Vérificateur d'Absence de Tension) qui est le seul appareil homologué pour ce type d'usage. Quitte à avoir un appareil, c'est celui-là qu'il faut. Si on sait s'en servir, on peut également l'utiliser pour trouver la polarité d'une prise, c'est d'ailleurs cet appareil que j'ai utilisé. Un multimètre ne convient pas, mesurant une tension à vide avec une impédance d'entrée très élevée, il est impossible de déterminer à coup sûr que la tension affichée n'est pas une diaphonie. C'est le rôle du VAT qui, par construction, est en mesure de le faire même lorsqu'il n'a plus de pile.
  5. Tiens, j'ai pensé à toi aujourd'hui. J'ai monté un petit coffret "réseau" dans mon garage pour accueillir une partie des équipements de mon homelab. Pour alimenter tout ce petit monde, j'ai fixé une petite triplette sur secteur raccordée directement au tableau sur une ligne dédiée. Et une plus grande triplette reliée à l'onduleur du coffret dans laquelle j'ai inséré des pastilles rouges imprimées pour rappeler que ce sont des prises ondulées. Pour faire ça proprement, j'ai coupé le cordon de la petite triplette et je l'ai raccordé dans une boite de dérivation à l'extérieur du coffret. Autant il n'y avait pas de permutation phase/neutre avant de couper la triplette, autant après oui. Je m'explique : en interne de la triplette le fil bleu allait de la broche de droite aux broches de droite. Et vice versa pour le fil marron. Donc tant qu'on ne voit pas les couleurs sous la gaine blanche, tout est dans le bon ordre. Mais quand on coupe, ben le fil bleu et marron sont inversés. Une double permutation en somme. Même si je sais que ça n'a pas d'impact (l'exemple des prises schuko), surtout que tous les équipements derrière utilisent des transfos deux plots pour la plupart, c'était trop dur psychologiquement. J'ai pesté comme un putois, et dans la boite de dérivation j'ai raccordé le bleu sur le marron et le marron sur le bleu, en collant une étiquette pour me rappeler pourquoi j'ai fait ça... La terre elle au moins était juste, encore heureux car c'est de la bonne triplette française de qualité en 3G1.5...
  6. Je n'aime pas me moquer, mais ici c'est particulier, je ne comprend presque pas l'intervention : L'exécuteur qui fait clac clac ça me fait sacrément penser à un bourreau avec sa hache. Mais alors une entreprise spécialisée dans la maintenance des Ender 3 Pro je n'ai jamais vu, pour moi ce sont les membres du forum qui font ça (vécu), donc oui c'est assez bizarre.
  7. Hello et je te souhaite la bienvenue ! Des filaments de mauvaise qualité j'en ai déjà eu. Un en particulier, un no name. Ce filament s'imprimait correctement, mais après une impression lorsqu'il était "déplié" de sa bobine, au bout de 30min à 1h il cassait dans un bruit de ressort. J'ai encore quelques impressions de ce filament qui ont survécu (après pratiquement 8 ans), notamment un support de bobine. Devant la faible qualité apparente, à l'époque j'avais consommé toute la bobine en gabarits pour mes bricolages bois et autres vu que je rénove(ais) ma maison. Avec le recul, ce PLA qui me semblait tellement pourri reste meilleur dans le temps que l'ABS M30 blanc de chez Stratasys (à +400€/kg) dont j'ai du remplacer toutes les impressions depuis (jaunissant et cassant), y compris au taf où on commence à ré-imprimer des pièces qui se fendent. Ceci dit ta précision : me fait penser plutôt à une première couche trop écrasée. Je suppose que ton extrudeur fait "clac, clac" ? Mais j'avoue que ça serait plus facile sans Boule de Cristal. Quel modèle d'imprimante ?
  8. Ne pas oublier non plus de baliser la zone et de mettre un écriteau bien visible : "Personnel autorisé uniquement". Cela dit, je ne met jamais de gants (ni de manche longues) à proximité d'une machine tournante, c'est un coup à se faire happer toute la main au lieu du doigt. Merci @Guillaume3D pour avoir mené le projet jusqu'au bout.
  9. Excellente initiative, cet argument : est tellement vrai que l'utilisation d'une alternative carton, bien que moins "bien" sur le papier, est une réponse tout à fait valable. De ce que j'ai compris, l'intégralité de la bobine est en "carton" (on dirait presque du MDF sur la photo). Ca me fait penser aux nouvelles générations de coton-tiges qui sont tellement compressés qu'ils en deviennent même plus rigide que leur ancêtre en plastique. Nul doute cependant qu'ils soient facilement recyclables (peut-être même upcyclables ?), où à minima qu'ils se désagrègent assez rapidement dans la nature ou enterrés (au contraire d'un PLA soi-disant biodégradable (vous comprenez, ce n'est que de l'amidon de maïs)). J'aime beaucoup le format de la bobine, avec des trous assez gros qui évitent de plier le filament, et des flasques totalement ronds intérieur comme extérieur. Une question cependant, comment est faite la jonction entre les flasques et le moyeu ? Peuvent-ils se désolidariser "facilement" ? C'est un problème que je rencontre fréquemment lorsque je rebobine des chutes de filament du taf (recyclage toujours) sur des bobines vides de prusament, si je serre un peu trop l'enroulement, les flasques sautent. Flasques qui n'ont pas une forme pratique soit dit au passage. En tout cas pour moi c'est un vrai argument commercial de notre époque. Dans quel sens ? Car justement sur les bobines carton "modernes", formfutura pour ne citer qu'eux par exemple, je n'ai jamais eu de soucis. Les flasques de @filament-abs.fr me semblent encore plus rigides. Les bobines chinoises en carton mou là je dis pas...
  10. Kachidoki

    Le suivi de nos commandes

    En espérant pour la planète que ce soit bien virtuel, je ne serais guère étonné que nous pauvres humains suivions à la lettre le chemin tracé par un algorithme qui ne peut pas pondre d'âneries. Gratuit certainement pas, on peut nous faire rêver sur le suivi, ça fait même partie du service, mais faut pas pousser, business is bizness. D'ailleurs au taf j'ai commandé au service informatique trois kits clavier/souris pour les collègues qu'on a reçu dans leurs cartons d'origine, chacun avec une étiquette chronopost individuelle, véridique... Chez amazon c'est pareil, je piste le livreur sur le suivi, mais régulièrement en été lorsque le prochain colis est pour moi, il s'arrête une bonne demi heure au bar du coin de la rue pour boire sa citronnade puis repart dans l'autre sens pour livrer un colis précédent à une autre adresse que celle indiquée parce que le client n'est pas foutu de différencier l'adresse de facturation de l'adresse de livraison (je sais très bien qui c'est et je n'ai pas une très grande estime du personnage).
  11. Je dirais que ça dépend des environnements. Lorsqu'on sait qu'en entreprise le plus gros risque de piratage vient de l'intérieur, on comprend mieux certaines politiques. A la maison on peut généralement se contenter d'une clé commune pas forcément compliquée si on a des sauvegardes hors-ligne car dès lors qu'on accepte un produit sur notre réseau, il n'a plus besoin du mot de passe pour commettre des méfaits, il est déjà à l'intérieur. Au boulot, que ça soit la partie gérée par "Dieu IT" du groupe ou celle gérée par moi pour les quelques développeurs du site, pas de mot de passe commun c'est authentification individuelle uniquement. Ca permet de tracer et bloquer individuellement un attaquant de l'intérieur. Encore faut-il que le matériel supporte ce type d'authentification. Ce genre de politique a d'ailleurs posé quelques soucis aux mécanos pour connecter leur Stratasys au réseau d'entreprise. Il y a eu +100k€ qui sont restés en sommeil quelques temps avant qu'une solution ne soit trouvée. Dans mon cas perso à la maison, j'ai grosso modo trois réseaux distincts (un peu plus en réalité), chacun son wifi et sa clé. Un pour les appareils de non-confiance de la maison, un pour les appareils de non-confiance+ (type IoT), et un pour le télétravail (non-confiance++). Il n'existe aucun appareil de confiance autre que ceux que l'on développe soi-même. Certes ça demande un peu de connaissances en réseaux, surtout lorsqu'il faut pouvoir rendre disponible un service particulier d'un environnement à l'autre (et ce n'est pas toujours possible), mais je sais que trop bien ce qu'il est possible de faire chez les clients dès lors qu'on a un objet connecté chez eux. Chez moi par exemple, j'ai un ventilateur de plafond de chine qui malgré qu'il soit connecté à son wifi isolé, tente périodiquement de s'authentifier sur tous les wifi environnant. J'ai plus de 700 tentatives par jour dans mes logs pour ce produit uniquement, et celui qui est à l'intérieur et qui téléphone le plus à la maison c'est ma télécommande Logitech qui n'est même plus commercialisée... Ca fait peur hein ?
  12. C'est pas toujours évident cette histoire de mot de passe. On nous contraint toujours à utiliser des mots de passe forts, alphanumérique, minuscule majuscule, caractère spéciaux, sang de licorne etc... Mais encore faut-il que tous les patterns soit valides partout, surtout lorsqu'il s'agit d'un mot de passe commun pour beaucoup de services/appareils comme celui du wifi. Au boulot, pourtant un environnement professionnel à base de logiciels souvent payant et pas donnés (microsoft mais pas que), j'avais un de ces mots de passe ultra fort. Il fonctionnait automatiquement partout (grâce au SSO), sauf via le driver VPN de windows... un client standalone n'avait pas de problème pour s'y connecter. Le mec de l'IT n'a jamais trouvé pourquoi ça ne le faisait que chez moi. Jusqu'au jour où j'ai renouvelé mon mot de passe, en enlevant l'espace final qui n'était là que pour tromper un malotru qui me l'aurait volé manuellement. Et oui, l'espace était bien un caractère autorisé, mais placé en fin de chaine il était tout simplement ignoré par le driver VPN de windows, malgré qu'il fût renseigné automatiquement par windows lui-même => mot de passe erroné. J'ai déjà eu le problème inverse, un appareil qui refusait de se connecter à un wifi sans mot de passe.
  13. Bonjour, Pour illustrer mon message précédent, j'ai eu une impression à faire dont l'orientation m'embêtait pour avoir une finition parfaite de l'arrondi et sans aucune marche d'escalier. Je l'ai donc mise à 30° : La même à plat avec du support demandait 1h de plus et presque le double en filament. Voici ce que ça donne en vrai : Et ça ne laisse pas de traces, le support n'est là que pour stabiliser la pièce : A+
  14. J'ai fait le même constat sur quelques petites pièces en ABS lissé à l'acétone. Quelques-unes survivent correctement, d'autres présentent des fissures avec le temps. Est-ce que c'est l'acétone ou l'ABS, je ne saurais dire car dans les ABS que j'ai utilisé, y'en a un qui était blanc. Était puisque maintenant, il est jaune et cassant, même sans être passé par l'acétone. Je n'ai pas testé beaucoup de marques, mais j'ai trouvé que tous les ABS que j'ai pu avoir (le moins cher possible) vieillissent mal. A cause de ces déconvenues, ça fait longtemps que je ne me sers plus d'ABS du tout, à l'exception de protos que je fais avec de la récup de fond de bobines du boulot.
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