Kachidoki

Si c'est comme chez Prusa, les buses haut débit n'apportent aucun gain de temps sur les profils "qualités", uniquement sur les profils "rapides".

Salut, il manque le budget ? Regarde du côté de chez Janome.

J'ai une installation domotique à la maison. Enfin domotique est un bien grand mot, ça fait longtemps que j'en avais mais sur pleins d'éco-systèmes indépendants. Chauffages, lumières, volets roulants, prises commandés, multimédia, borne de recharge. Hormis la Logitech Harmony qui a intégré la liaison avec Philips Hue des années après l'avoir achetée , aucun de ces mondes ne communiquait entre eux. Depuis quelques mois je suis passé sous Home Assistant, et là c'est le kif total. J'ai pu complètement remanier mon installation en utilisant tout mon matériel existant, créer des liens qui étaient impossible à faire avant, simplifier beaucoup d'automatisations. Ca m'a ouvert la voie à l'intégration du Zigbee dans mon environnement, et rendu accessible le catalogue pléthorique d'objets en tout genre et surtout non indépendant d'un fabricant. En bonus c'est assez peu cher comparé à ce qu'il se faisait dans la domotique à l'ancienne, carrément d'un facteur 10. On ne raisonne plus en appareil "fonctionnel", mais en capteurs et actionneurs. Je m'explique, avant pour le chauffage on pensait thermostat programmable, un truc tout en un qui coûte une blinde. Maintenant il suffit d'un capteur de température et d'un contacteur connectés, le reste n'est "plus que du soft", et surtout n'est pas figé. Si demain je veux faire du délestage, il n'y a qu'à faire le lien avec la consommation de la maison, pas besoin de racheter un autre thermostat plus évolué (et plus cher). En parlant de consommation, c'est pour moi un point essentiel de la domotique. Avec Home Assistant il est possible d'intégrer toutes les données d'énergies, compteurs, prises, panneaux solaires... Grâce à toutes ces données synthétisées dans un dashboard unique, on peut aisément établir des corrélations avec les autres capteurs et optimiser grandement sa consommation. J'ai par exemple divisé ma facture de chauffage en analysant mes pics de consommation corrélés aux capteurs de température. L'ajout d'un ventilateur de plafond a été impressionnant d'efficacité, en évitant les overshoots des radiateurs et en réduisant leur consommation grâce à une meilleure homogénéité de la température. J'ai amorti l'achat du ventilateur dès le premier hiver. J'ai par la même occasion "déphasé" les thermostats pour éviter le pic de 10kW lors du passage du chauffage des pièces de nuit aux pièces de jour. Côté imprimantes 3D, il est possible de connecter les Prusa directement sur un dashboard Home Assistant, mais je ne l'ai pas encore fait ayant déjà les notifs de l'application native. Par contre ce que j'ai fait depuis un moment, c'est de mettre toutes les imprimantes derrière une prise connectée. Et comme ça me gonflait de devoir ouvrir Home Assistant pour allumer une imprimante, depuis peu j'y ai collé des tags NFC. Il n'y a qu'a déverrouiller le téléphone et le poser sur le tag pour allumer ou éteindre la machine. Probablement que j'y mettrai un bouton physique un jour, car ça va bien finir par me gonfler de ne pas avoir le téléphone sous la main (malheureusement le scan des tags NFC avec la montre n'est pas encore possible). Alors on va me rétorquer qu'une triplette avec commutateur fait le même job, mais pas tout à fait. Avec les imprimantes connectées, il m'est déjà arrivé de lancer des jobs à distance. Plus régulièrement j'éteins les imprimantes à distance après qu'elles aient fini un job rapide lancé avant de partir bosser, plutôt que de laisser allumé 8h pour rien. En résumé, le plastique c'est fantastique, la domotique aussi.

Inconvénient qui devient moindre comparé à faire une saignée, tirer des gaines et des fils, reboucher, repeindre ou retapisser. Faut calculer l'amortissement en piles, et si on change d'avis dans deux ans c'est pas pareil. Mais puisqu'on parle des piles, c'est vrai qu'au début je me faisais la même réflexion. Mais à l'usage ça ne consomme pas tant de piles que ça, en plus beaucoup fonctionnent aux rechargeables. A 1€ l'accu chez Ikea que je peux recharger quelques centaines de fois, ça fait passer le prix de la télécommande de 7 à 8€, presque aussi cher qu'un interrupteur filaire premier prix chez Legrand, ça me va. Quand je pense que mes anciennes télécommandes KNX coûtaient 80€... Avant j'avais des thermostats sur secteur, ils dérivaient tout le temps à cause de l'échauffement de l'alimentation, du relais de puissance, et de l'inertie du mur, tous trop proches de la CTN. Depuis que je suis passé sur des thermostats radios à piles je n'ai plus de problème et en plus je peux les placer au plus juste pour une meilleure régulation, comme sur une table de chevet. Je change les piles tous les deux ans, ça coûte rien à côté de ce que consommaient les chauffages mal régulés. Tout ce qui est boutons et télécommandes en général ça tient longtemps, environ 4 ans voire plus si on s'en sert pas tous les jours. Pour les capteurs c'est une autre histoire, comme les mesures doivent être émises régulièrement, ça consomme pas mal d'énergie. Pour ceux là il faut bien sélectionner le modèle en fonction du besoin car ça peut très bien durer moins de 6 mois, éliminatoire pour moi si bon soit le produit. Tu devrais vraiment essayer Home Assistant, il peut aussi gérer la musique. Et avec ESPhome tu peux encore faire un peu de "programmation".

Aujourd'hui, la plupart des "interrupteurs" que j'utilise ne sont que des modules radio en saillie. On peut en mettre partout et autant qu'on veut, pas de saignée à faire. Pour ça c'est carrément plus pratique. Ca se faisait déjà avant, avec les portes de garage et les portails automatiques, et ça se fait de plus en plus avec les volets roulant. Un volet roulant solaire avec télécommande radio, en rénovation c'est le top. Je me souviens des premiers volets roulant avant ça, où j'ai dû chercher un point d'alimentation secteur, d'ailleurs il y en a un que je n'ai pas pu relier à la terre faut d'en trouver une à proximité... Pour les éclairages on est toujours tributaires des arrivées électrique, mais ça ne change pas par rapport à avant. C'est je trouve là où il y a eu pas mal d'avancées ces dernières années. Plutôt que de contraindre tous les fabricants à un protocole donné (impossible), on trouve des passerelles qui permettent d'abstraires tous les protocoles et de les relier entre eux aussi facilement qu'un appairage classique. Il faut bien évidemment veiller à choisir son matériel pour qu'il soit correctement supporté (si jamais somfy passe par là, ça serait bien d'ouvrir un peu le protocole, ça nous éviterait de souder des fils sur des télécommandes hors de prix). La clé réside dans l'ouverture des fabricants, mais je pense qu'ils commencent à comprendre que pour ne pas perdre trop de parts de marché ils ont tout intérêt à évoluer aussi. La concurrence est rude et surtout les grandes enseignes de distributions s'y mettent avec des produits simples et pas chers. J'ai d'ailleurs été carrément étonné que ma vieille imprimante laser de 2010 ait une intégration nativement disponible dans Home Assistant. De toute façon il ne faut pas se leurrer, du code il y en a partout et de plus en plus. Les questions de sécurité sont plus des questions de confiance dans les fabricants qu'on choisit. Les réseaux isolés c'est bien, mais c'est difficile de tout verrouiller sans verser dans la paranoïa. Il faut se poser les bonnes questions pour chaque équipement, qui l'a fabriqué, quelles interactions a-t-il avec mon environnement, quelles données peut-il obtenir, et décider si on peut vivre avec ce risque. Pour moi ce n'est pas pire que le bon vieux four rowenta basique qui a commencé à sentir le cramé, ou l'ampoule de 100W contre la poutre du grenier que j'ai oublié pendant 15 jours. Point de connectivité, mais tout aussi risqué.

Pour les objets connectés, ce qui est bien je trouve c'est l'émergence des protocoles interopérables. Là où avant il fallait un bouton ou une télécommande propriétaire par fonction et par marque : lumières, volets roulants, porte de garage, guirlande de Noël, imprimante 3D... Aujourd'hui une seule télécommande, un écran (smartphone, tablette, smartwatch), voire même juste la voix peuvent contrôler tout ce petit monde. Quel pied de pouvoir acheter un capteur PIR chez Ikéa pour allumer une ampoule Philips Hue. Ou une télécommande chez Ali pour piloter une prise de chez Action sur laquelle on aura même flashé son propre ESPhome. Ou encore que les lumières du salon s'allument toute seule en éteignant la télé le soir, comme au cinéma. Ce qui m'amène au fait que l'avantage d'avoir un firmware, c'est qu'il est possible de le changer, d'ajouter des fonctions non prévues au départ (au hasard, une superpinda sur une mk2s ), d'améliorer les performances, de l'adapter à ses besoins. Les fameuses prises de chez action flashables sous esphome par exemple, ça m'a permis de connecter mon lave linge premier prix rien qu'en suivant ses patterns de consommation électrique. Je peux en déduire l'état de la machine qui est traduit sur mon dashboard Home Assistant, et ça m'évite de descendre un ou deux étages pour m'aperçevoir que le cycle n'était pas terminé. Maintenant je reçois une notif lorsqu'elle a fini. Je précise tout de même que je n'ai rien contre l'électronique à l'ancienne. J'ai fait mes classes dessus, ça se répare facilement, généralement un condo à remplacer et hop c'est réglé.

Je dérive, @electroremy si tu veux te moderniser on peut en discuter ailleurs.

Je confirme, depuis 15 ans déjà j'utilise une station de soudage "numérique" Weller avec changement de panne à chaud. Il y a 3 touches réglables pour tes températures préférées (j'ai un réglage pour dessouder, un pour souder à l'étain avec plomb et un pour souder... le plastique ). Avec une mise en température de standby lorsque tu le pose, puis extinction automatique après un certain temps d'inactivité. Il y a même la possibilité de verrouiller le réglage de la température avec un code pin à 3 chiffres (jamais compris l'utilité). Cette station a remplacé ma précédente, qui était déjà numérique, dont j'ai claqué la cartouche chauffante par choc thermique à force de la passer sous le robinet (je soudais toujours jusqu'à la fin des cours alors fallait refroidir vite ). Si je dois la remplacer un jour, j'opterai certainement pour un de ces nouveaux fers sans station et sur batterie, tellement plus pratique et suffisant pour mon usage actuel (j'ai arrêté de souder des 0402 depuis quelques années). @electroremy tu sais qu'il y a aussi des firmwares dans les ampoules et les interrupteurs de nos jours ? On commence même à en mettre dans les disjoncteurs. @louloudu22 JBC et Weller c'est top en effet, mais pour 50€ tu n'auras rien de plus qu'un fer basique non réglable. Mon tout premier Weller que j'ai eu au collège était comme ça, mais à côté de ça il fonctionne encore aujourd'hui.

Salut, Tu as quelle version du firmware ? Je viens de jeter un oeil au code, j'y ai vu ça : Ca semble confirmer que la PINDAv1 est bien compensée en température, mais en utilisant la CTN de la hotend. La PINDAv2 utilise sa propre CTN ce qui rend cette calibration plus précise mais toujours imparfaite, je pense probablement à cause de l'inertie thermique. La SuperPINDA ne dérivant pas, il n'y a aucune compensation à faire. Ce que je n'ai pas encore vu c'est si le code le plus récent est toujours compatible MK2, auquel cas "il suffirait" de le recompiler en activant simplement le support de la SuperPINDA. Si non il faudra backporter les quelques lignes de code qui changent. Ne pas oublier de bouger le bit qui va bien dans l'EEPROM. Le code est assez bien écrit et très modulaire.

Oui je confond avec la MK3 qui peut faire un maillage plus fin, faut dire que ça remonte à loin la MK2 maintenant. Par contre sur la MK2 il y a quand même des "pastilles" dans le plateau, là où la sonde vient faire ses mesures. Officiellement non, les PINDA v1 et v2 ne sont pas interchangeables, mais la v2 et la superpinda oui. Donc à partir de la MK2.5. Officieusement puisqu'il n'y a aucune différence fonctionnellement (pas de CTN en plus) il faudrait voir si l'incompatibilité n'est pas qu'une histoire de connecteur, auquel cas tu pourrais t'en sortir. 26€ pour améliorer cette brave bête, ça se tente.

Sa question reste pertinente. On pourrait s'attendre à ce que tous les enfants nés avec un téléphone à la main sachent parfaitement se servir de cette technologie. Or ce n'est pas vrai. A part les navigateurs web, youtube et les applis de réseaux sociaux, et encore... Je ne compte plus les fois où j'ai dépanné les téléphones plantés de jeunes qui ne savaient même pas faire un reset. L'ère des ordinateurs tend d'ailleurs à se faire remplacer par les "écrans" types smartphones et tablettes. Certains n'ont même pas d'ordinateur à la maison en 25...

Non ne n'est pas fendu, c'est le clamp de serrage de la pinda. @electroremy, tu as une MK2S, donc une PINDA v1. Celle-ci est très sensible à la température. Il y a eu une PINDA v2 équipée d'une CTN de compensation pour la MK3/S puis une SuperPINDA qui n'a plus de CTN mais qui ne dérive pas en température, pour la MK3S+. A l'époque j'avais modifié mon g-code de démarrage pour éloigner la sonde du plateau lors du préchauffage, et chauffé la tête à température fixe avant de palper. Ca m'a permis d'améliorer la répétabilité de la première couche, mais il fallait laisser refroidir entre deux impressions sinon ça dérivait quand même. De plus, elle est aussi sensible aux aimants sous le plateau, il y a aussi une compensation firmware à activer il me semble. Mais valait mieux faire moins de points sans la compensation si le bed est assez plan, ça restait plus précis.

Pour les notes, non malheureusement car j'avais péniblement la moyenne jusqu'au lycée. Bien que quelques années après j'avais mes entrées sur le réseau de la fac mais ça ne m'était plus nécessaire car bien mieux classé ayant trouvé ma voie. @Guillaume3D Comme quoi on est tous câblés de manière différente. Au lycée j'ai touché à solidworks, j'avais bien accroché. Quand j'ai eu ma première imprimante j'ai démarré avec SketchUp qui m'a permis de faire de belles choses déjà, mais je suis vite revenu au paramétrique (SW, OnShape puis F360). Alors que TinkerCAD, je n'ai jamais réussi à faire le moindre projet lorsque j'ai testé, tout comme FreeCAD et Blender. J'imagine qu'il n'y a pas de solution universelle selon le p'tiot qui va être devant le logiciel. Chacun aura ses goûts et le logiciel adapté à ses reflexes et je suis persuadé qu'il y a des jeunes en primaire qui savent déjà modéliser sur Blender.

En effet, à mon époque c'est moi qui donnait les cours "d'informatique" pour ma classe. Faut dire que c'est moi aussi qui faisait les tableaux avec les moyennes des élèves et des graphiques qu'on affichait en classe. En même temps j'avais suivi la formation Excel 5 sur VHS, on avait placé l'ordinateur familiale à côté de la télé pour l'occasion. De ce que je me souviens, il y avait un atelier "programmation" où il fallait entrer les coordonnées pour déplacer une tortue afin d'obtenir un dessin façon ardoise magique. Ca n'emballait pas beaucoup mes copains qui préféraient me chiper des billes à la récré, on peut pas être bon partout. Si je fais le parallèle avec notre époque, ça me parait aussi "simple" si ce n'est plus d'aborder le dessin 3D à cet âge que de programmer le déplacement de la tortue. Quoique avec FreeCAD...

J'avais posté il y a quelques temps un test de la nouvelle fonction d'interlocking, avec un mix PLA/TPU Même sous la torture, le TPU tient le coup. Avant l'arrivé de ma première imprimante 3D, je m'étais fabriqué un pare-soleil pour télé-obj basé sur un shaker à salade peint avec de l'anti-gravillons noir. Il a servi des années comme ça. Pour cette application l'ABS que tu pratique déjà reste plus indiqué, le TPU sera trop mou sauf à utiliser une forte épaisseur.

En général sur des grosses capacités on est plus sur du disque externe unique, lents, sensibles aux chocs et mal ventilés. En plus la vidéo ça demande de la bande passante. Côté fiabilité des SSD, j'en ai perdu qu'un seul dans ma vie en 2010-2011, c'était un OCZ Vertex 2 de 60Go, à l'époque où cette technologie était balbutiante et coûtait un bras, un bug dans le firmware l'a fait passer à 8Mo. Aujourd'hui j'utilise des dizaines de SSD et NVMe en production, de gamme grand public comme professionnel, à la maison et au taf et je n'en ai encore jamais perdu un seul. Pas même mon vieux Samsung 840 pro 256Go de plus de dix ans avec ses 40% de wear leveling cumulé qui me sert encore tous les jours de disque système (jusqu'à octobre 25, voire janvier 26 où je serai forcé de changer de matériel, merci microsoft et autodesk), et il en a vu passer des windows, avant même la gestion du trim... Je constate seulement que les gammes pro (les vraies) sont d'un autre niveau pour mon usage (virtualisation). Les disques mécaniques par contre j'en ai remplacé un paquet, rien que mon NAS perso (un syno) de 2014 a subit pas moins de 4 défaillances de disques, et sur le cluster du taf j'ai arrêté de compter après avoir empilé une dizaine de SAS 10k sur mon bureau... Concernant la récupération des données "perdues", si c'est nécessaire c'est que les sauvegardes (et leur vérification) n'étaient pas correctement planifiées. Bref on sort du sujet. ^^ Côté TPU, il existe en effet des applications pas uniquement "molles". On peut le rendre très rigide et en faire des pièces incassables. Pour l'astuce de supprimer les parois, je crois que ça a même fait l'objet d'un concours sur Printables, tout comme l'utilisation des supports arborescents en tant de partie intégrante de la pièce. Certains on même poussé le vice en faisant en sorte de ne conserver que les supports comme pièce définitive.

Tu sais, tu t'embêterais moins à te "moderniser". Je n'utilise plus de disques mécaniques (internes ou externes) depuis des années excepté dans mon NAS parce que les derniers ne m'ont pas encore lâché. J'utilise des SSD qui sont bien plus petits (ci-dessous comparé à un disque externe 2.5"), beaucoup plus rapide (on est sur du >1Go/s), plus économe en énergie, et forcément aucun bruit, aucune vibration... Source de la photo => https://shuttermuse.com/sandisk-extreme-portable-ssd-review/ Niveau tarif on est sur 2 à 3 fois le prix actuel au To pour du magnétique certes, mais c'est incomparable en performance.

Hum... Ca ne serait pas @Guigui04 par hasard ?

TinkerCAD ? Même si je n'ai jamais été câblé pour, les enfants semblent bien s'en sortir avec. Sans aller jusqu'au paramétrique, il y a aussi SketchUp qui est plus évolué mais reste simple à aborder. Mais je suis sûr qu'il doit exister un tas d'autres logiciels plus adaptés, on va laisser les maker parents nous en dire plus.

De ce que je comprends, il s'agit uniquement de montures de dépannage, ce qui explique l'utilisation de PLA. Heureusement car parfois les verres eux-mêmes ne supportent pas la chaleur d'une voiture ou plus simplement lorsqu'on est face à un four à pizza par exemple, alors une monture en PLA.

Salut, quel type de plateau ? Le PA ne colle pas bien au PEI, je n'ai jamais réussi à l'utiliser faute de plateau adapté.

Rigolo, à croire que les makers ont tous eu des bombinettes. Ma première c'était une Polo G40 T3. Une voiture incroyable avec laquelle j'ai passé de bons moments de jeunesse, et quelques frayeurs aussi.

Hello, Bof, ça m'a fait ça avec ma première voiture de 91, j'étais encore enfant lorsqu'elle a été mise en circulation, mais les suivantes je ne me suis même pas retourné lorsque je suis repartis au volant des nouvelles... Faut dire que quand je change c'est par choix alors que la première, ben c'est la première. Et pourtant j'ai revendu ma DE200 qui était ma première imprimante 3D pour... une i3 MK2. Je me dis souvent que je remonterai un clone de la DE200 un jour juste pour la nostalgie. Bref, j'ai revendu ou donné toutes mes anciennes imprimantes sauf la CTC i3 Pro B que je n'aurais même pas fait l'affront de donner tellement c'était une machine naze. A un moment j'avais 5 ou 6 machines, dont certaines ont pris la poussière des années durant. De temps en temps je bougeais les axes à la main pour dégripper la mécanique. Maintenant je me limite à 3 machines, c'est une espèce de règle que je me suis fixé car il m'arrive souvent de faire tourner deux machines en même temps, de temps en temps trois, mais jamais quatre. Encore que maintenant ça imprime tellement vite que deux me suffiraient probablement.

J'ai branché toutes mes machines sur des prises connectées. Pas uniquement pour le problème d'accessibilité du bouton On/Off bien que ça ait été le déclencheur, mais aussi parce qu'avec PrusaConnect je peux lancer une impression sans bouger mes fesses du transat bureau. Du coup c'est surtout le fait de pouvoir allumer les machines à distance qui me sert le plus. Il m'est arrivé aussi plusieurs fois de lancer une impression avant de partir au boulot, et d'éteindre la machine à distance après avoir reçu la notification d'impression terminée. Concernant le Power Panic, non je ne l'ai pas testé, sur aucune machine d'ailleurs. Tout simplement parce que les reprises automatiques se soldent toujours par des artéfacts visibles à cause du ré-homing, du oozing à la remise en chauffe et de la variation de température et je n'aime pas ça. Mes machines sont toutes derrière des onduleurs, une coupure courte c'est l'onduleur qui prend, une coupure longue c'est de toute manière la perte du print assurée par décollement du plateau, Power Panic ou pas.

Merci @pascal_lb, par curiosité, pourquoi ne t'es tu jamais intéressé aux Prusa ? Pour un nouveau venu je peux le comprendre vu le choix pléthorique, mais pour un ancien c'est étonnant. @electroremy ce n'est pas une "veille" justement. La machine est allumée et ne fait rien que d'attendre un job. C'est comme si tu allumais ton ordi et que tu le laissais attendre un mail. Je ne connais pas bien le marché actuel, mais je pense que c'est la même chose chez tous les constructeurs. Pour l'équerrage, je peux donner la "solution" ici : Détendre les courroies et faire en sorte que les deux côtés de l'axe X touchent la butée exactement en même temps. Voir la vidéo ci-dessous qui n'est pas de moi. Cette vidéo tourne sur le forum de Prusa, et est présentée comme une solution provenant du support, ce que je suis incapable de vérifier. C'est bourrin, mais ça rejoint le constat de ceux qui montent leur kit, les équerres sont en acier assez fin pour être redressées. C'est assez souple pour que la tension des courroies suffise à redresser l'axe, mais ça les déséquilibres, c'est ce qui provoque l'échec de la calibration en Y.