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V3DP

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  1. A voir la fin de la discussion, on ne peut pas simplement appuyer sur le bouton "AZ5" pour arrêter l'imprimante J'avoue que je suis gros bourrin avec mes X Max 3, quand la machine est idle, je coupe à l'interrupteur derrière et pour l'instant pas de soucis avec mes eMMC (bon j'en ai plusieurs et j'ai une image prête à flasher et des sauvegardes du printer_data/config). Il faudrait faire autrement ?
  2. C'est plus simple à régler avec une eMMC amovible, on peut monter la partition sur un linux localement, faire un backup / restore et tenter une réparation. @fran6p a peut-être une idée pour faire une image du système (et la remettre au besoin) si fsck ne s'en sort pas et vérole la partition.
  3. Je n'ai pas essayé les produits de chez 3D Jake, mais ceux de ColorFabb, ProtoPasta et FormFutura. Le rendu est bien celui annoncé, avec un peu (beaucoup) de post processing en fonction des matières. Il faut des buses renforcées pour imprimer ce genre de matériaux et également un extrudeur avec des roues dentées durcies est mieux pour les filaments métalliques. Par contre une buse de 0.4 mm, même si ils disent que c'est faisable, ç'est risquer des bouchages à coup sur. En 0.6 mm pas de soucis. Il faut bien respecter les hauteurs de couche mini, sinon on va avoir tendance à séparer les charges du plastifiant. Voici ce que donne le copperfill de ColorFabb après post processing (polissage + cirage). Socle en Easywood Ebony de FormFutura
  4. Ca fait penser à une iP auto attribuée lorsque l'appareil n'arrive pas à trouver le serveur DHCP de ton routeur ou de ta box. Il doit y avoir un souci avec le répéteur installé. Mettre le répéteur comme passerelle WLAN / LAN et lui mettre un cable Ethernet vers l'imprimante ?
  5. @fran6p Ca va te faire de la place et un heureux Je vais regarder le BTT Eddy et comment le monter. Comme je suis en train (à petite vitesse) de renoncevoir les plaques de fixation de la tête pour mettre des inserts filetés sur les vis de fixation, c'est assez simple à ce stade de prévoir la fixation d'un nouveau capteur à la place de l'originel.
  6. @Rgnd Merci pour la réponse. Pour avoir plusieurs Utlimaker, le touch est fait uniquement avec le capteur capacitif. Mais les hotend sont montés sur ressort à peu près calibré. C'est un des défauts du système, si le ressort devient trop mou ou si les ressorts du plateau sont trop mous, la calibration n'est pas parfaite et on est trop serré au niveau de la première couche. Le calcul de la hauteur de la buse se fait en calculant la distance entre le Z=0 du homing et le moment où la distance entre le capteur capacitif et la plaque de construction ne bouge plus (donc la tension sur les bornes du capteur capacitif devient stable). Pas de calibration en usine de l'offset. Ce que j'ai compris du cartographer, c'est qu'il utilise le principe des courants de Foucault donc mesure le courant dans sa boucle d'induction lorsque le plateau métallique (pas forcément ferromagnétique) s'approche. Et lors du "touch" le courant devient nul car plus de mouvement du plateau par rapport à la boucle d'induction. Même principe que les Ultimaker. J'ai été cherché un peu plus sur le capteur inductif standard et tu as raison, même si en théorie ça pourrait marcher, en pratique ils sont conçus pour déclencher à une certaine distance, mais n'envoient pas un signal analogique comme le cartographer. Le capteur inductif détecte un objet ferromagnétique car cela modifie le champ magnétique crée par la bobine du capteur par création d'un courant induit. Le champ est généré dans le capteur par un oscillateur et plus l'objet s'approche, plus l'amplitude des oscillations diminue. Quand on atteint un seuil, le capteur envoie un signal de sortie comme quoi l'objet est à la distance attendue. Donc il me faudrait passer avec le Cartographer pour ne plus avoir à régler le Z offset.
  7. V3DP

    QiDi Xplus3 sous FreeDi

    C'est ce que j'ai fait depuis le début sur mes X Max 3, même avant de les libérer et ça marche très bien. Si on a une carte mère X6 V1.0 qui a le connecteur en question marqué FAN, sinon ça ne marche pas. Je régule à 40°C avec un ventilateur 80 mm. J'ai une section dans le printer.cfg pour le connecteur PC4 [duplicate_pin_override] pins: PA1,PC9,PC4 Et la section suivante pour gérer le ventilateur de refroidissement de la carte mère #[heater_fan board] [temperature_fan board] pin:PC4 max_power: 1.0 shutdown_speed: 1.0 kick_start_time: 0.5 sensor_type: temperature_host control: pid pid_Kp: 2 pid_Ki: 5 pid_Kd: 0.5 min_temp: 10.0 max_temp: 80.0 target_temp: 40.0 max_speed: 1.0 min_speed: 0.33
  8. C'est ce que j'avais prévu au départ, mais les valeurs de vide atteintes par une pompe à piston vs une pompe à palettes à deux étages sont quand même assez différentes. (120 mbar d'un coté et 0,13 de l'autre). J'ai opté pour la pompe à palettes double étage avec un gas ballast. C'est donné pour permettre de décondenser l'eau (mais pas que) au moment de l'échappement de l'étage final. Dans les faits ça marche, mais peut-être pas assez, ou alors je m'y prends mal. J'ai modifié encore la façon de faire et maintenant je mets en chauffe la pompe une fois que l'étuve est à température, mais vanne de vide fermée et gas ballast un peu ouvert. Quand la pompe est bien chaude, je tire le vide et je laisse tourner la pompe encore une heure. Ca marche mieux, beaucoup de vapeur à l'échappement et je vidange moins. Je n'ai jamais eu d'émulsion pour l'instant, juste de l'eau dans le bas de la pompe et le niveau qui monte, donc vidange. Je suis en train de modifier l'échappement de la pompe pour pouvoir ouvrir plus le gas ballast lors du tirage du vide, car je remonte beaucoup d'huile à ce moment là et comme l'échappement standard n'est pas étanche ni scellé je perds de l'huile par un raccord entre les deux parties. Derrière j'ai un tuyau de 70 cm vers un filtre à brouillard d'huile. Je pense qu'en jouant sur le gas ballast ça devrait être gérable, mais à valider
  9. @fran6p@Rgnd Le sujet m'intéresse pour améliorer la productivité de mes X Max 3. En effet au changement de matière / température plateau, le Z offset varie légèrement, mais suffisamment dans certains cas pour devoir ajuster en babystepping. Ce qui n'est pas toujours évident. J'ai regardé rapidement le sujet du capteur à courant de Foucault vs un inductif standard et si d'un point de vue de la physique il y a des différences, d'un point de vue pratique sur un capteur de proximité, c'est assez similaire. D'où ma question si on peut faire avec le capteur inductif d'origine un mode "Touch" où la buse vient toucher le plateau pour mesurer la hauteur. Les utlimaker utilisent ce principe avec un capteur capacitif et j'ai une machine custom qui utilise également ce principe avec une carte Duet3D + Capteur IR. Sur cette dernière le réglage de la hauteur du capteur / buse est à faire à chaque changement de buse, mais après, c'est comme sur les Ultimaker, la calibration est automatique sur un plateau chaud (on passe un G30 après le homing) et on peut faire le bed mesh leveling. Donc pourquoi pas sur la X Max avec le capteur inductif standard ?
  10. Est-ce que la machine elle même est parfaitement calibrée et bien lubrifiée ? Voir si le même cube en PLA est bien dans les mêmes proportions. On ne parle que de 6/100emes entre X et Y, c'est plutôt bien. Pour l'alésage, il faut tenir compte du fait que l'imprimante va déposer un boudin pour faire le contour et compenser spécifiquement les alésages en plus de la calibration. Si on veut être plus précis, il faut imprimer une première pièce, faire sa métrologie, corriger en CAO les défauts et réimprimer exactement dans les mêmes conditions.
  11. Comme tous les matériaux techniques, il faut faire une calibration dimensionnelle à l'aide d'un cube de calibration et corriger dans le slicer les valeurs de compensation pour ce matériau. Par exemple sur du Novamid 1030 j'ai 101 % de correction sous Cura, mais du Luvocom 3F PAHT 9936 a une autre valeur. C'est a faire pour tous type de matériaux si on veut être précis au 1/10eme.
  12. Je suis à plus du double. Mais avec les différents upgrades logiciels, je n'ai pas gardé le compteur total. Si les axes ont bien été graissés, ca peut repartir pour au moins autant.
  13. @pat30 Elles sont fiables et avec des capacités qui sont encore actuelles si on ne cherche pas de multi couleurs / multimatériaux. Le crash de la buse dans le plateau, c'est avec le capteur inductif et le PEI oublié..... Pas eu de soucis avec le PEI bien en place. La chambre chauffée est un gros plus pour les matériaux techniques, ça améliore beaucoup les performances mécaniques des pièces imprimées. On peut les améliorer un peu avec un capteur de filament qui détecte également les problèmes d'extrusion, des pieds pour la surélever (refroidissement / vibrations), des buses type CHT pour gagner en volume d'extrusion / vitesse et un deuxième blower coté gauche. Si on imprime des matériaux techniques, un filtre Alvéo3D charbon + HEPA 13 règle le problème des fumées nocives. Après c'est comme toutes les machines, il y a des choses qui sont perfectibles La partie logicielle peut se mettre à jour aux dernières versions (en prenant garde à la version d'OS) et donne des fonctions bien pratiques tout en se libérant de Qidi. @fran6p a fait de très bon tutos. Et en utilisant FreeDi pour flasher l'écran on a une machine à jour et réactive. Les miennes ont beaucoup d'heures de vol depuis 1 an et demi, mais pas de pannes majeures de la machine. Coté logiciel non plus si on ne prend pas un OS buggé (voir mes problèmes de shutdown, réglés depuis) Personnellement, si il n'y avait pas la question du multimatériaux, j'en prend une troisième tout de suite pour remplacer mes vielles Ultimaker 3. D'autant que les prix ont bien baissé A 350 € si la machine que tu as vue est propre, c'est une très bonne affaire.
  14. Attention à ne pas dépasser localement les 60 - 65°C, beaucoup de composants ne sont pas prévus pour monter au delà, notamment les pièces imprimées en 3D dans la machine si elles sont en PETG et non pas ABS / ASA. Vu que la régulation de ce genre de chauffage est en bang bang, donc peut avoir des pics bien au delà de la température demandées, ne me méfierais. Sans compter sur la précision du thermostat.
  15. Ca peut le faire. La question c'est la qualité du chauffage (uniformité, régulation) et peut-être celle de la ventilation (ni trop ni trop peu). Après c'est 4 fois moins cher qu'un fournisseur de matériel de labo européen (je ne parle pas de Memmert)
  16. @Desp27 C'est clair que les sécheurs pour des filaments techniques à 80°C il n'y en a pas légion. Le four à chaleur tournante de cuisiner, je l'ai utilisé pendant des années professionnellement (c'est mon métier l'impression 3D) et en calibrant la température + stabilisation avant de mettre la bobine, ça marche bien. Les étuves de laboratoire classiques sont plus précises, mais avec le même principe. Juste que c'est calibré en usine avec un PID pour gérer la chauffe. J'ai investi il n'y a pas longtemps dans une étuve à vide pour gagner du temps. Et en moitié moins de temps que le four a air chaud, c'est sec et bien sec. (l'eau bout à température ambiante sous un vide de quelques Pascal). Regarde dans le forum le topic sur les sécheurs, dans les dernières pages. Bon il y a d'autres contraintes de maintenance avec la pompe à vide. Maintenant pour une bobine de temps en temps, le four à chaleur tournante et le thermomètre ça le fait. Surtout que le nylon n'est pas aussi problématique que les ABS et ASA en termes de fumées.
  17. Le Polydryer ne monte pas à 80°C, donc difficile de sécher du PA. Et 50°C pendant x jours n'est pas équivalent à 80°C pendant 12h. Le four à chaleur tournante de madame, en ayant calibré la température avec un thermomètre infrarouge est moins cher et plus efficace. Il faut faire juste attention à bien mesurer la température effective et ne mettre dans le four que quand il est stabilisé à la bonne température (le boost du démarrage fait monter bien au dessus de la température cible) Pour du nylon, on doit sécher parfaitement pour imprimer. Et garder la bobine dans une dry box (ou le polydryer) pendant l'impression
  18. @Desp27 Pour avoir des machines avec enceinte fermée et chauffée passivement (BCN3D W50 avec une régulation de la ventilation, Ultimaker 3 et S5 avec des capots) comme la Prusa mk4s de @BourrinDesBois et des machines avec chambre chauffée activement jusqu'à 65°C, il n'y a pas photo en termes de résistance mécanique pour des ABS, ASA dans ces dernières. Même avec des ABS de grade engineering. Presque plus d'anisotropie en chambre chauffée à 55°C ou plus. Le problème de sa charnière, c'est qu'il n'y a pas de bonne orientation d'impression possible, sauf à avoir un truc moyen partout en résistance mécanique en ABS. Les photos des pièces en Nylon de @BourrinDesBois montrent clairement que la matière n'est pas sèche. Donc fragiles et warping. Une fois bien séchée, ça doit s'imprimer assez facilement dans sa machine.
  19. J'ai remis le MCU Host (Linux) et Timelapse. Pas de soucis. C'est bien l'OS Armbian 25 la source des problèmes.
  20. En chambre non chauffée par un chauffage actif, attention à l'anisotropie avec l'ABS et dans une moindre mesure avec l'ASA. La liaison intercouche est souvent moyenne, même avec des filaments de grade engineering dans ce cas. Le nylon imprimé bien sec est préférable car moins de problèmes de liaison intercouches, et pas si compliqué à imprimer que ça avec un bon adhésif, un brim, une première couche bien réglée (un poil serrée) et une chambre fermée qu'on aura laissé chauffer bien avant avec juste le plateau à bonne température. Le PA6 s'imprime avec un plateau qui peut parfois aller à 100 ou 110°C suivant les grades et les fournisseurs. Si le plateau n'est pas assez chaud, on a du warping direct sur des pièces moyennes, même avec tout de bien préparé. Un nylon relativement facile à imprimer (très faible warping) et avec des qualités mécaniques pas trop mal mais pas exceptionnelles est le PA Neat de ColorFabb. En noir uniquement.
  21. Si l'enceinte est fermée et pas ventilée, en chauffant le plateau à l'avance, on arrive à imprimer du nylon sans soucis pour des petites pièces.
  22. Le PA6 est un des plus hygroscopique, une véritable éponge. Donc s'y reprendre à plusieurs fois et surtout être à la bonne température. La Magigoo spéciale PA marche très bien sur un PEI ou du verre. Bien chauffer le plateau à la température recommandée et idéalement chauffer la chambre à 60°C. Dans tous les cas enceinte fermée. Les PA chargées (fibres ou charges minérales) s'impriment plus facilement car moins de retrait, donc moins de déformations et décollements.
  23. A voir les photos, il y a encore beaucoup trop d'humidité dans le filament. A quelle température le séchage ? On devrait être dans les 80°C pour un PA6, voir plus pour certains fabricants. Drybox lors de l'impression ? Il y a des adhésifs chez Magigoo pour le PA qui marchent très bien avec un brim.
  24. Un petit update après des déboires de shutdown intempestifs et aléatoires suite à la libération de mes X Max 3. Voir mon post sur le forum J'étais parti sur Armbian 25 pour faire l'image de l'eMMC de mes machines. Malheur ! Cette version est buggée et l'OS freeze de temps en temps, entrainant des problèmes de communication entre les différents composants de la machine. Klipper réagit en faisant un shutdown et l'imprimante s'arrête en pleine impression. Donc il faut rester sur la dernière version d'Ambian 24 fournie par Redratnure, à savoir la 24.11.1. Du moins pour l'instant. Depuis le retour sur cette version, plus de soucis.
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