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Posté(e)

@electroremy nous a fait un tutoriel très complet pour convertir sa Prusa MK2S en MK2S+ avec caisson en polystyrène avec chauffage et extraction, sonde Superpinda, capteur de filament, arrêt automatique en fin d'impression, correction du bug d'affichage M117, alarme externe avec de l'électronique et un firmware personnalisé 

➡️ https://www.lesimprimantes3d.fr/prusa-mk2s-upgrade-en-mk2s-plus-tutoriel-diy-20251107/

  • J'aime 6
  • Merci ! 1
  • Julien changed the title to Transformer une Prusa MK2S upgrade en MK2S+ avec caisson en bois
Posté(e)

Bravo @electroremy sacré boulot 👍 

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Posté(e)

Je suis impressionné par ce travail et le résultat obtenu. Ɓravo @electroremy et merci d'avoir partagé avec la communauté tous les détails de ton travail 👍

Longue vie à ta MK2S++ 😉

A+

JC

  • J'aime 1
Posté(e)

Merci à l'équipe du forum qui m'a permis de rédiger cet article - et aussi qui m'a aidé régulièrement depuis que j'ai acheté cette imprimante en 2017 ❤️ 

Sans la communauté du forum - et la conception open source du matériel et du logiciel par Prusa - ce projet n'aurait pas vu le jour 😉

Une remarque importante : mon nouveau firmware corrige une faille de sécurité importante sur la gestion des CTN. En effet, sur les MK2s, l'imprimante n'est pas capable de détecter la coupure du fil d'une CTN, si cela se produit, elle se met en surchauffe avec des risques réels d'incendie.

Vous n'êtes pas obligés de faire toutes les modifications si vous installez mon nouveau firmware (le seul composant obligatoire est une sonde SUPERPINDA, mais ça marchera quand même avec la PINDA d'origine il n'y a juste plus de correction en température qui était de toutes façon pas terrible).

Il faudra shunter la broche d'entrée pour le capteur de filament si vous n'en utilisez pas (un fil Dupond suffit)

A bientôt

 

  • J'aime 2
Posté(e)

Bonjour.

Impressionnant, c'est bien le mot ! Et tout en analogique "à l'ancienne". On a un peu oublié aujourd'hui qu'il n'y a pas de bugs de programmation en analogique. Pour les sécurités, c'est bien mieux.

La conclusion est aussi très lucide : c'est une amélioration hors de prix au regard du tarif des imprimantes neuves aujourd'hui. Mais la maitrise totale de la machine n'a pas de prix.

  • J'aime 1
Posté(e)
Il y a 14 heures, BourrinDesBois a dit :

Ca et vouloir faire vivre les outils plutot que les jeter.

Quand je jette quelque chose, c'est parceque c'est vraiment HS

Révélation

C'est mon côté "rapiat" du 54 😁

 

Le 13/11/2025 at 12:12, Nossolov a dit :

Et tout en analogique "à l'ancienne". On a un peu oublié aujourd'hui qu'il n'y a pas de bugs de programmation en analogique. Pour les sécurités, c'est bien mieux.

Je ne sais plus quel électronicien disait "le numérique n'existe pas, tout est analogique". Un circuit numérique est juste un circuit analogique qui fonctionne en tout ou rien !

Le problème de la fiabilité est complexe, l'origine des défaillances peut être multiple.

Le problème du numérique c'est qu'il est très difficile d'être certain qu'un programme ne bug pas (voir le "problème de l'arrêt des machines de Turing")

Mais il y a aussi le hardware lié au numérique. Les composants internes d'un CPU ou d'une mémoire sont minuscules. Si l'un d'entre eux tombe en panne, ou est victime d'un parasite, le bit correspondant peut rester bloquer à 0 ou à 1.

C'est pour ces deux raisons qu'il est hasardeux de confier une fonction de sécurité à un système programmable qui n'a pas été conçu pour ça.

J'ai tâché de mettre en place une certaine redondance ; la probabilité que deux systèmes différents tombent en panne en même temps est faible.

 

Le 13/11/2025 at 12:12, Nossolov a dit :

La conclusion est aussi très lucide : c'est une amélioration hors de prix au regard du tarif des imprimantes neuves aujourd'hui. Mais la maitrise totale de la machine n'a pas de prix.

C'est aussi ça qui a "tué" le métier du dépannage (celui que je voulais faire quand j'étais gamin). Le matériel actuel est à la fois peu cher et très complexe. Quelques heures de de main d'œuvre de recherche de panne coutent plus cher que le prix d'un nouveau matériel, donc on ne répare pas.

La solution c'est de décomposer un appareil en blocs facilement remplaçables, c'est un compromis. Si l'alimentation est facilement démontable (comme sur un ordinateur de bureau), en cas de panne d'alimentation, on la remplace, la réparation reste rentable, et en même temps on ne perd pas des heures à dépanner l'alimentation elle-même. Bien sûr on jette une alimentation dont 95% des composants sont en bon état mais c'est mieux que de jeter l'appareil en entier.

J'ai aussi conçu mon firmware pour que toutes les modifications couteuses ou chronophages que j'ai faites ne soient qu'optionnelles. Et comme c'est open source les personnes motivées pourront adapter à ce qu'ils ont besoin de faire.

  • J'aime 1

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