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Funboard29

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Tout ce qui a été posté par Funboard29

  1. Pas de version spécifique, juste une seule petite "balance" sur ta courroie des X dans les même conditions. Tu déplaces la tête vers la droite, par exemple, tu la positionnes en laissant 15cm de courroie entre la tête et la poulie de retour. Tu installes ta petite "balance" au milieu de ces 15cm et tu règles pour avoir la petite aiguille en face du repère central. J'ai fait l'essai sur une CR10s Pro V2, quasi identique à ta Ender, ça fonctionne très bien. Juste bien respecter les consignes d'impression du concepteur.
  2. Bonjour, L'idéal pour régler les galets est d’ôter la courroie et de régler le ou les excentriques pour un déplacement fluide. On doit pouvoir déplacer la tête d'un doigt, une petite pichenette doit suffire pour qu'elle parcourt tout le trajet. Le tout sans jeu, bien sûr. Pour la tension de courroie, on peut utiliser la méthode des Core XY, Voron ou autre. Sur une longueur libre de 15cm de courroie, on doit pouvoir mesurer une fréquence de 140Hz en la faisant vibrer avec le doigt, comme une corde de guitare. Il existe des applis smartphone pour ça. Je préfère de loin cette méthode. Dernier point que j'ai oublié de préciser. Lorsqu'on ne se sert pas de son imprimante pendant quelques temps, les crans des courroies s'écrasent sur les poulies. Surtout les poulies non crantées. Ca va fausser les sensations si on les laisse en place pour régler les excentrique des galets. D'où mon conseil de les enlever pour les réglages.
  3. Bonjour, Ce test prouve une fois de plus qu'il faut être soigneux lors du stockage de ses bobines de filament.
  4. Tout à fait d'accord. Je ne remet pas en cause le bien fondé du sécheur de filament, j'en ai conçu un. Mais ça s'apparente à de la manipulation de la part des constructeurs qui ont trouvé une nouvelle source de profit. Le plus frappant est le glissement technique qui consiste à faire croire que la valeur affichée sur l'hygromètre de l'appareil est l'humidité du filament. Il n'existe pas, comme pour le bois, un appareil pour mesurer par contact l'humidité des matières plastique. Il y a plusieurs méthode, dessiccateur halogène, titrage Karl Fischer, etc. Avec ce genre d'appareil, par exemple, conçu pour le granulat de plastique. Quel constructeur de sécheur pratique ces tests ? quel utilisateur d'imprimante 3D en est équipé ? L'humidité moyenne chez moi est de 45% l'hiver et 55% l'été. A part le TPU que je passe au sécheur durant l'impression, le reste est dans des boites étanches avec 40 g de dessicant. J'ai du LW PLA, sensible à l'humidité, depuis plusieurs années qui n'a jamais été séché et qui me donne des impressions parfaites. Lorsque j'ai une impression qui part en sucette je sais que c'est moi qui ai déconné. Je pratique depuis très longtemps le tir à l'arc, une cinquantaine d'années. J'ai appris qu'on devient un bon archer le jour où on sait exactement pourquoi on a loupé un tir.
  5. J'ai une pièce non aménagée au-dessus du garage contigüe à ma salle mais ça ne serait pas raisonnable. J'ai regardé les photos de la Formbot. Belle machine mais une sacré usine à gaz. Le plus surprenant est sans conteste l'axe(s) X constitué du rail et d'une tige assez fine qu'on entraperçoit en dessous. Avec l'extrudeuse, le moteur X et toute la quincaillerie, les têtes ne doivent pas être légères et je me demande comment ils ont maitrisé la rigidité. J'ai reconnu une Orbiter en extrudeuse. Le bed est en 3 points par courroie. Apparemment pas de CanBus. On a accès aux interfaces de la Manta à l'extérieur, c'est très bien. Klipper pur sucre, c'est un gros plus. 400 mm c'est avec une seule tête, en IQEX ça sera beaucoup moins. Curieux de la voir tourner.
  6. Bon, j'ai regardé, ça passe. Il n'y a que le panneau d'aération de droite qui restera fermé. Non, je plaisante. j'ai une pièce spacieuse, 35m², mais elle me sert de salle de projection, d'auditorium Hifi, et je dois caser un simulateur de vol/conduite, les imprimantes 3D, le graveur laser, mes instruments de musique dont un piano, 6 guitares, deux amplis, une viole de gambe et toute la quincaillerie qui va avec. Sans compter les meubles pour ranger les appareils photos, les pistolets de match, l'imprimante photo A3+, le scanner Epson 800, un remorqueur de 1 mètre en cours de fabrication et un circuit de train à l'échelle 0. On dirait la cabine des Marx Brothers.
  7. Dommage, je n'ai plus assez de place.
  8. Exact. A noter que les hygro de chez Polymaker ont une disparité de 5%. C'est pas un drame.
  9. Tout dépend de quoi on parle. Est-ce un bricolo qui bosse au black ou un pro qui paye des charges ? Mais dans les deux cas, je trouve ça très raisonnable.
  10. Oui, c'est vrai. J'ai acheté la licence il y a 2 ans, je tourne avec la 1.7. Mais je ne remettrais pas de l'argent dedans pour une mise à jour.
  11. Ca fait quelques temps que je n'avais pas partagé mes élucubrations. J'avais parlé de mon séchoir de filament dans le sujet éponyme, je le remet ici. Après quelques semaines d'utilisation, il fonctionne parfaitement. De plus je peux le réparer ci besoin à moindre coût. Il peut monter à 80 degrés mais les boites de céréales ne sont pas faites pour. Je ne dépasse pas 60° et tout va bien. dans un soucis de simplicité je n'ai pas installé de timer. De toute façon je pratique comme avec mes imprimantes, je ne laisse pas tourner ces bécanes sans surveillance. Le chauffage de 120 watts coute 15 euros et le thermostat moins de 3 euros. C'est en 24 volts. Après mûre réflexion j'ai choisi d’entrouvrir la boite de céréales ( Il y a une petite trappe au-dessus) après la montée en température, quelques minutes. J'ai préféré ouvrir le circuit d'air comme cela plutôt que d'installer une trappe réglable sur le sécheur dans la partie retour du flux d'air. Cette mise à l'air est indispensable pour exploiter le potentiel de tous les sécheurs. Moins technique mais au design plus soigné, j'ai voulu fabriquer un blaireau sur mesure pour l'anniversaire d'un parent. On trouve encore des touffes de blaireau de qualité en Europe. Il n'en reste quasiment plus qu'un, MÜHLE en Allemagne. C'est fabriqué à la main, du beau travail. Ce n'est pas un design original mais la reproduction d'un modèle existant. Pas de problème dans la conception. L'inclusion des initiales n'est pas compliqué mais fastidieux à concevoir. Il faut deux STL. Le lettrage doit faire l'épaisseur de la 1ère couche et l'objet principal "gravé" pour le recevoir. Les habitués auront remarqué que le filetage n'est pas standard. Non seulement c'est un pas fin mais en plus du M23. J'ai triché en prenant du M22 qui lui est courant et j'ai augmenté le filetage de 1.04. Pour simplifier j'ai conçu le filetage comme un insert indépendant de la pièce. Les photos montrent le premier jet. Il y a des imperfections, comme la première couche trop écrasée qui fait un peu baver le lettrage. C'est en PLA noir et argent avec une buse de 0.2mm. J'ai été obligé de lester la poignée avec 10g de plomb pour l'équilibrer. Je vais le refaire en ASA et le lisser à l'acétone avec la "La lampe d'Aladin" pour rénover les phares. Voila pour l'instant. Je gamberge sur une tête double extruder/hotend. Je termine la CAO tout en lorgnant sur l'INDX de chez Bountech. A part la technique d'induction, très maligne, et l'extruder unique on manque un peu d'info. Environ 300€ pour un ensemble tête/satellitesx2. Mais il y a les coûts cachés et le câble chaine, si il est obligé, est rédhibitoire pour moi. On verra ça en novembre...
  12. Lorsqu'il m'arrive d'importer mes stl dans Prusaslicer (2.9.2), par défaut je les retrouve alignés. J'ai oublié de préciser que dans S3D je choisi le mode séquentiel. Lui par contre, je dois lui demander gentiment de les mettre à leur place d'origine. je suis justement sur ma deuxième pièce en "bicolor", pour dire mon expérience. Je vais la mettre bientôt en ligne ici dans mes créations.
  13. Je dirais 250x250. La tête N°4 est en place sur le chariot.
  14. Bonjour, Sans être un spécialiste de l'impression multi couleur que je pratique peux, c'est la modélisation qui pose problème. Je modélise mes pièces dans FreeCad avec la même technique, mais mes stl sont tous avec la même référence. Je fais attention à donner la bonne épaisseur au lettrage qui doit correspondre à celle d'une couche de filament. C'est contraignant si on donne une épaisseur différente à la première couche. A corriger suivant l'orientation de l'impression. J'ai donc un stl par couleur, comme toi, mais tout est à sa place. Ensuite le slicer. S3D me permet d'imprimer par groupes de stl et de caler une pause à chaque fois. J'ai une fonction qui reprend le calage originel au chargement. Donc c'est très rapide.
  15. Je confirme.
  16. Surtout qu'au départ c'était pour fabriquer des bas.
  17. Bonjour, C'est un saute vent. J'en ai un sur ma Street Bob, à priori pas très efficace. Sauf que, je l'ai ôté pour le repeindre, et je me suis aperçu que je ne pouvais plus m'en passer. En ce qui me concerne, jamais je ne roulerais avec des pièces en fdm, aucune confiance.
  18. Très bonne question. en fait la quasi totalité des sécheurs de filament sont des bricolages bâclés avec, pour les plus chèrs, une jolie présentation. Quelques uns, le Polydryer en fait partie, ont une petite prise d'air dans le sens de l'aspiration. Cette prise d'air permet un petit renouvellement de l'air. ils comptent sur les défauts d'étanchéité de la jonction boite/sécheur pour évacuer la surpression. Sur mon sécheur diy j'ai ajouté aussi ces prises d'air mais elles ne sont pas suffisantes. les agrandir reviendrait à sécher l'air ambiant au détriment du filament. SI j’entrouvre la boite du filament, après un temps de montée en température, le taux d'humidité baisse beaucoup plus vite. J'envisage un volet réglable à l'aspiration sur le sécheur.
  19. Bonjour, Les trous sont dus souvent a un déficit de filament après une trop forte rétraction, mais pas toujours. C'est typiquement un défaut que l'on trouve sur les pièces d'avion. Le imprimantes FDM ont du mal avec les structures interne. Le STL est une peau, à part le remplissage il n'y a rien dedans, normalement. Il faut jouer sur le paramètre "Distance supplémentaire de redémarrage", ou "Retract Extra Prime Amount". Le nom sera différent d'un slicer à l'autre, ça se trouve dans les paramètres de rétraction. Suivant le filament, on peut être obligé de monter à plusieurs mm. Tu as des explications ICI dans la profil P5 à la fin du document avec des stl à imprimer.
  20. Le suspens est insoutenable.
  21. Tu es comme moi @pommeverte on a du louper un truc. Son moteur est inversé alors qu'il est revenu sous Marlin. Plutôt que de recompiler le firmware, on est pas couché, il suffit d'inverser les deux paires de fil du moteur.
  22. L'alcool isopropylique. Dispo ICI par exemple. Personnellement, pour le TPU j'utilise une plaque abimée, par du TPU. Le scotch j'aime pas. Ensuite il faut enlever les traces laissées par le scotch, on en finit pas. Une parenthèse, j'ai réussi à réparer la plaque abimée avec de l'epoxy. C'est pas parfait mais c'est parfaitement fonctionnel.
  23. Obligatoire non mais nettement plus compliqué. Je préfère pour ma part un bête interrupteur. Oui, c'est tout ou rien, mais j'évite un truc qui peut tomber en rade et qui finalement ne sert à rien. Et sur nos jouets, les causes potentielles s'accumulent depuis quelques temps.
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