SR-G

Ca fait déjà un bon moment que ce mécanisme est apparu dans d'autres slices. Voire cette vidéo : Déjà testé sur quelques modèles, çà enlève bien sûr en effet la "longue trace" fortement visible, mais çà laisse quand même dans mon cas des petites aspérités.

J'en ai aussi eu une (achetée il y a longtemps, sans QR code à l'époque), aucun soucis à déplorer, çà vaut largement celles de chez Bambu. La désactivation se fait dans les options de l'imprimante Mais les nouvelles "Third Party" ont en général maintenant un QRCode Bambu.

Je comprends la logique, essentiellement pour chaque fabricant, chercher à : - montrer qu'ils proposent une "chaîne complète et auto-suffisante avec les outils de la marque", depuis le slicer, voire depuis le site web hébergeant les fichiers à imprimer ... - être autonomes / ne pas être dépendants de qui que ce soit - par ex., si Qidi était parti sur "Orca Slicer" en proposant des profiles, s'il y a un bug les affectant dans Orca Slicer, qui le corrige ? Au bout de combien de temps ? Y'aura t'il des problèmes de "gouvernance" / "concurrence" ? Bref c'est pas si simple dans ce cas (çà pourrait bien se passer, si l'équipe d'Orca Slicer accepte facilement les pull requests de tous les constructuers ... mais aussi moins bien, s'il y a un souci organisationnel quelconque (et çà arrive régulièrement déjà rien que dans le monde open-source, ici c'est pire avec le fait qu'il y a des enjeux commerciaux) Et, dans une certaine mesure, pouvoir proposer des innovations techniques non-couvertes par les logiciels - ex., Bambu a été "obligé" de proposer leur propre slicer au début à cause du multi-couleurs ... et à ce jour, il me semble qu'aucun autre slicer ne gère finement le multi-couleur, à part bien sûr Bambu Studio et Orca Slicer (qui en est un fork). Celà dit, une fois étable les raisons pour lesquelles les constructeurs font ainsi, moi aussi je déplore cette situation et je trouve que "trop de slicers tue les slicers", que çà fait beaucoup d'énergies dépensées pour "quasiment la même chose". On peut comprendre qu'il y ait quelques logiciels assez différents sur certains axes, par ex. dans leur ergonomie (Simplify3D versus PrusaSlicer versus CURA ...), mais PrusaSlicer > Bambu Studio > ORCA > QIDI Studio ... tout çà c'est franchement du pareil au même (à des petites différentes près, ou à des différences "à l'instant T", le temps qu'une évolution faite d'un côté soit reportée de l'autre). C'est vraiment dommage. Mais l'open-source (les licences) le permet ! Donc je doute que çà change de sitôt.

En plus des réponses de Motardgeek, il y a la possibilité de mettre du mastic fin pour reboucher les lignes avant ponçage et peinture (beaucoup font ainsi pour des pièces imprimées 3D type cosplay, etc.). Voir vidéos sur youtube. En effet pour la partie modélisation, perso je préfère 100x partir de mon template dans la majorité des cas (*) = un template vide où j'ai mes paramètres customs, et dans lequel j'injecte juste le .STL. Mais ce n'est pas du tout le workflow que préconise Makerworld (une des nombreuses raisons qui fait que je n'aime pas trop Makerworld). * : évidemment si la pièce est "trop compliquée" niveau paramètres d'impressions (par ex., nombreuses structures de blocages des supports pour une pièce imbriquée qui s'imprime en une fois, etc.), je vais quand même rester sur le .3MF initial.

Je te conseille de commencer par t'imprimer une "grille de tests d'ironing" pour voir quels sont les meilleurs paramètres selon ta situation (notamment : ton filament). (%age et distance) Ensuite tu repères celui qui a l'air le mieux (ici çà a l'air 30% / 30mm par ex.) et tu pars sur ces valeurs. Sachant que certains montent plus hauts que 30 (% ou mm) ... Exemple de fichiers de tests de ce genre : https://makerworld.com/en/models/398777#profileId-300309 https://makerworld.com/en/models/175615?from=search#profileId-193062

Hum, ton commentaire n'a absolument aucun sens (personne n'a parlé de sécurité, juste de disponibilités).

Oui il y a plusieurs problématiques / cas de figures (même si çà reste assez "rare" au final) - pour résumer : Le fait de ne pas pouvoir imprimer comme d'habitude quand il y a un souci "cloud" (sauf qu'il y a des palliatifs) Le fait que le lancement des impressions puissent se faire à des moments innoportuns : (c'est déjà arrivé) par ex. le fait il y ait parfois deux impressions qui puissent se lancer à cause de dysfonctionnements, l'une après l'autre, à un moment inattendu (avec la 2e démarrant alors que la 1ère est encore sur le plateau) (d'où le conseil "en cas de soucis cloud, faites attention à ne pas faire plein d'essais de lancement + éteignez votre imprimante") aujourd'hui, dans le topic reddit, certains se plaignent que leurs prints lancés AVANT les problèmes du jour ont été arrêtés soudainement - c'est étonnant, normalement les problèmes "cloud" n'auraient dû impacter que les nouvelles impressions (et pas celles lancées précédemment), mais à confirmer (je n'avais jamais entendu ce point avant), d'autant que tout le monde n'a pas subi ce souci aujourd'hui Pour moi la solution est technique et Bambu devrait : avoir un mécanisme 100% local et autonome pour les impressions "chez soi" ne garder les mécanismes "cloud" QUE pour l'appli smartphone et les interactions depuis le site web Makerworld (ils aiment bien cette fonctionnalité car c'est très "user friendly" pour les débutants) A noter que le "tiers", c'est AWS, qui ne fait que fournir "l'infrastructure" utilisée par Bambu (= les serveurs + les "canaux" de communication entre Bambu Studio > le cloud > l'imprimante). Ca reste "administré" par Bambu. Les problèmes rencontrés ici viennent sans doute de Bambu eux-mêmes (mauvaises manips, mauvaises configurations, etc.).

Comme beaucoup le savent, Bambu utilise une partie "cloud" pour leur infrastructure : quand vous clickez depuis n'importe où (Bambu Studio chez vous en local, ou depuis Makerworld, etc.) sur "Imprimer", le fichier à imprimer (= le fichier GCODE) est envoyé par défaut vers l'imprimante via les fonctions "cloud" hébergées chez AWS. Dès lors, dès que le cloud est HS, cette fonction n'est plus disponible. Les paliatifs sont (juste pour rappel) : Reconfigurer l'imprimante en "LAN IP" only Envoyer le fichier à imprimer par SFTP (manip décrite dans d'autres posts) Ou pousser le fichier sur une carte SD et imprimer depuis celle ci depuis l'écran de l'imprimante Ce matin, une maintenance (annoncée) a eu lieu et s'est terminée dans le délai imparti. Par contre, suite à cette manip, toute l'infrastructure s'est retrouvée down (y compris, au moins partiellement, Makerworld, le site officiel, le forum, ...) et bien sûr les fonctions d'impressions évoluées. Pour rappel le suivi de l'état des services Bambu (sont-ils opérationnels) se fait depuis la page de status : https://status.bambulab.com/ Par ex. à l'heure actuelle (16h00+) : A noter que dans ce genre de cas, il faut être vigilant avec ce qui se passe : si un job a été soumis avec succès (= pas d'erreurs dans Bambu Studio) il peut être "engagé" côté cloud mais retardé, et finir par se lancer un peu plus tard (donc attention à l'état de l'imprimante si çà arrive ainsi = dans le doute, mieux vaut l'éteindre si problème actuel avec le cloud Bambu) --- Bref il serait temps que Bambu permette pour les envois de fichiers depuis Bambu Studio d'être par défaut 100% en local (et de n'utiliser les fonctions "cloud" que pour les envois depuis Makerworld ou depuis l'appli smartphone). N'hésitez à pas à faire un peu de lobbying auprès de Bambu en ce sens (twitter, reddit, ...) Même si on n'est pas bloqués (cf. plus haut), çà reste dommageable en terme de practicité et en terme d'image. Lien sur le forum reddit discutant de la situation du jour : Situation rétablie ce soir vers 17h00 (mais l'outage aura duré quasi toute la journée).

Moi ? En PETG (de couleur, type orange / jaune) - pour le moment, pas de pigments noirs issues du plateau visibles sur la couche en contact.

Mince je viens d'en déballer un que j'avais commandé il y a longtemps (après avoir usé jusqu'à la corde un "doré" utilisé entre temps) ... après justequelques impressions, pas de soucis pour le moment, mais à voir sur la durée alors

As tu retelechargé le plugin réseau ? Force un redownload, peut-être

Bizarre ... (quand j'ai ajouté le post, de mon côté, elle s'affichait) C'était juste les images de la page de release (avec les nouvelles fonctions).

Sortie de la 1.9.4 : https://github.com/bambulab/BambuStudio/releases Nouveau paramètre pour les overhangs (avant/après) (rallong un peu le temps d'impression)

Tu as l'air de vouloir dire dans ton message que "inutile de s'enflammer", "çà arrive tout le temps", etc. bref que "ce n'est pas grave et çà se tassera". Moi je dis juste à l'inverse que "ce n'est pas si simple" (cf. extrait ci-avant), et que "le couperet peut tout à fait tomber d'un côté (il ne se passera rien) tout comme de l'autre côté (cf. messages précédents : il y a déjà eu ... des précédents, justement, qui ont déclenché des royalties dans des affaires similaires, donc potentiellement un impact plus ou moins fort pour Bambu Labs (et p-e pour ses clients, au moins indirectement)". Mais visiblement évoquer cette possibilité ce serait "s'enflammer" ... je ne vois pas où on s'enflamme (moi ou les participants sur reddit), d'autant que comme dans toutes les situations de ce genre, la décision est incertaine et peut dépendre de nombreux facteurs.

C'est la position généralement admise pour les brevets en effet, mais ton message au final n'en n'est pas plus valide pour autant. Pour rappel, Stratasys est de longue date impliqué dans ce genre de situation - et a déjà gagné des procès sur leurs brevets précédemment, par ex. en 2015 (voir ici : https://investors.stratasys.com/news-events/press-releases/detail/289/stratasys-successfully-defends-validity-of-fdm-patents) De même le cas cas (historique) de Formlabs (contre SLA Tech), qui s'est bel et bien terminé par des royalties versés par Formlabs au final. Article plus précis sur la situation : https://www.voxelmatters.com/stratasys-files-patent-infringement-lawsuit-against-bambu-lab/ qui rappelle que les brevets sur l'impression 3D sont complexes, que ce sont des situations fréquentes, et que c'est souvent déclenché dès lors qu'un acteur se fait dans la thune (bref comme je disais déjà avant, c'est une histoire de gros sous).