fran6p

Le sujet est complété par la mise en route du matériel (>>> ici <<<).

L'article de Wikipedia (on peut penser ce qu'on veut de cette encyclopédie collaborative ) cite les chercheurs français, que ce soit dans l'article en français ou celui en anglais.

Sur Reddit, de nombreux fils avec de nombreux commentaires permettent de se faire sa propre idée : Hackaday en parle aussi : https://hackaday.com/2025/01/17/new-bambu-lab-firmware-update-adds-mandatory-authorization-control-system/ Je ne suis pas propriétaire de machines de cette marque pour des raisons tenant à mon goût prononcé pour le côté libre donc effectivement je ne fais pas partie des BB fan boys. Leur «solution» (bambu connect) ne permet que peu de choses, en fait quasi uniquement transférer un fichier tranché pour l'envoyer à l'impression. Les trancheurs alternatifs dont Orcaslicer fait partie, avant cette mise à jour, permettaient de piloter l'imprimante à «distance», ce que ne permettra plus leur «solution». Seul BBStudio pourra le faire (pour des raisons de sécurités ). En lisant un peu plus en détails quelles restrictions sont apportées quant aux opérations critiques nécessitant une autorisation (Critical Operations That Require Authorization) : Les opérations suivantes sur l'imprimante nécessiteront des contrôles d'autorisation : Relier et délier l'imprimante, lancement de l'accès vidéo à distance, effectuer des mises à niveau du micrologiciel, lancement d'un travail d'impression (via le mode LAN ou cloud), contrôler le système de mouvement, la température, les ventilateurs, les paramètres AMS, les étalonnages, etc. La prochaine étape, c'est quoi ? Que les propriétaires de ces imprimantes ne puissent qu'imprimer du filament Bamnulab ? Ou qu'une mise à jour ultérieure empêche l'impression si le filament rouge (vert, bleu, jaune au choix) est épuisé ? Au moins avec du vrai Klipper et son écosystème, plusieurs interfaces Web permettent d'accéder à son imprimante sans pour autant passer par un Cloud ou un mode LAN (Fluidd / Mainsail et même Octoprint).

En Corse, je suppose

Avec Prusaslicer (Orcaslicer aussi), c'est généralement une mise à jour des profils filaments, imprimante). C'est plutôt conseillé de le faire.

Vieux motard que jamais (2 ans après, tout de même )

<HS> DÉTECTÉ </HS>

D'accord, ce modèle possède un plateau chauffant. Même avec du PLA, 40 °C, c'est peu

Il me semble que ça n'existe pas dans Cura. Les dérivés de Prusaslicer, eux, possèdent ce paramètre à régler dans l'onglet filament, section Filament. Même chose pour l'avance à la pression, dérivés Prusaslicer, onglet filament, section «Avancé» (multiplicateur d'extrusion).

Il est également possible d'augmenter la température d'extrusion (10-20°C) . Il faudra évidemment faire des essais (test de calibrations du trancheur, par exemple : débit maximal).

Il y a quelques erreurs dans le fichier printer.cfg. Les noms des paramètres devraient tous être en anglais. Là, il y en a certains en français (echantillons, micropas, vitesse, sonde, vrai, faux…). Il y a déjà bien longtemps que Klipper n'utilise plus la notation Arduino (ARxx) pour les noms des broches. Ma CR10V2 avec un Bltouch utilise la configuration suivante. Par contre, je ne suis pas certain que la carte contrôleur des CR10v2/v3 soit identique à celle d'une CRMax.

Comme le filament est coupé avant un changement, ce capteur permet à l'imprimante de savoir quand le nouveau est arrivé à bons termes , pour pouvoir reprendre / continuer l'impression. Avec les systèmes de changement de bobines, il y a plusieurs interrupteurs pour détecter où se trouve le filament : dans le changeur, dans la tête…

En gros, on enferme de plus en plus l'utilisateur dans l'écosystème en invoquant des raisons de sécurité .

Avec un «vrai» écosystème Klipper, on peut utiliser Spoolman avec les réserves soulevées par @pjtlivjy

Normal Le cliché est pris à intervalles réguliers : sur chaque prise de vue, on voit bien la tête à différents emplacements, contrairement aux timelapses effectués à chaque changement de couche avec parking de la tête et risques de suintements du filament (ce type de timelapse est plus hypnotique donnant l'impression que la pièce imprimée sort du plateau ). Oui et non Les clichés (prises de vue) composant l'ensemble du timelapse sont assemblés pour former une vidéo via le logiciel «ffmpeg».