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Contenu avec la plus haute réputation dans 10/09/2025 dans Messages
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Bonjour, @pjtlivjy @Jean_Luc @JDL61 @Julien Voici une étude pour réaliser un support pour la BOX QIDI plus 4 les dimensions de la BOX 357 x 300 x 234 poids 4,4 Kg; la box reposera sur les équerres en alu avec des patins en caoutchouc pour limiter les ondes vibratoires (le bruit) Le description du montage : dimensions utiles du support pour accueillir la BOX 302 x 360 mm - Les deux pièces bleues( consoles ) seront fixées à la place des deux poignées avec 4 vis M4 Impression en PLA ou PETG selon les disponibles. - les 4 pièces jaunes (longerons) seront assemblées par des queues d'aronde dans le but d'imprimer les pièces sans contraintes ne dépassant pas la capacité du BED de la QIDI plus 4. Impressions en PLA ou PETG. L'ablocage des longerons sont assuré par des deux vis M4 par pièces avec des inserts en laiton comme vissage solide et démontable... - les équerres en Alu 20x20x1.5mm de couleur vertes fixées à chaque extrémisées par des vis M4 et inserts en laiton dans les longerons jaunes. - les deux équerres transversales et médiane assurent le positionnement latéral de la box fixation avec deux vis M4 par équerres. je vais commencer à effectuer des tests d'impressions pour l'assemblage des queues d'arondes. Pourquoi les queues d'arondes ? la solidité et la simplicité du montage. j'ai prévu 4 patins en TPU afin de guider la BOX pour la placer dans le cadre et aussi d'atténuer les résonnances merci de me faire un retour. A+ Francis1 point
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Il me semblait avoir compris qu'on pouvait poser la box à côté de l'imprimante... Ça n'est pas possible ? Car j'ai toute la place qu'il faut sur un bureau "ministre" (soit 2m2 )1 point
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Normalement, les PA ne se dégradent pas dans le temps (s'ils sont à l'abri de la lumière), maintenant, il est possible qu'un des composants additionnels devienne instable avec le temps, mais je n'ai jamais eu le cas. Perso, je le ferai sécher au minimum 12 heures à 80°1 point
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https://www.lelivretduweb.com/que-veut-dire-je-plussoie/ Pour la pâte thermique pour la cartouche chauffante, ce n'est pas une bonne idée celle pour Processeur type PC ne tiennent pas forcement 260-300°C. il y en a qui tiennent mais la cartouche risque d'être indémontable. Éventuellement sur la sonde de température si elle au format cartouche. (mais même risque) Généralement on peut en être sur la tige du heatbreak qui rentre dans le radiateur pour assurer un meilleur refroidissement, et là c'est beaucoup moins chaud (vaut mieux).1 point
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Oui, c'est possible. Je suis tombé sur un autre forum où un commentaire me semble intéressant : Je vais donc essayer de modifier les paramètres de Marlin de mon imprimante.1 point
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Un test semé d'embuches qui montre comment il est possible d'imprimer en 3D des objets multicouleurs de grand format ! https://www.lesimprimantes3d.fr/test-anycubic-kobra-3-max-combo-ace-pro-20250910/1 point
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Dommage elle semblait intéressante sur le papier, en espérant qu'ils corrigent tous ces problèmes1 point
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Bonjour MrMagounet , pour l’instant je reste en stand bail . Après ma déclaration PayPal ils m’ont envoyer 3 e-mails pour remplir un dossier de SAV . Un peu bizarre soit disant qu’il manque mon numéro de rue après mon téléphone et après nous avons rien reçue . Il y a anguille sous roche ils sont entrain de me faire à l’envers . J’ai joint une note avec mes 3 envoies + mon contact sur téléphone. ( Désolé pour la réclamation PayPal j’ai annulé le dossier ). Sauf que j’ai laisser courir le dossier . Quand j’aurais confirmation de l’expédition je ferais le nécessaire . Aucunes confiance en eux . Grosse bêtise d’avoir acheté chez eux . Bonne journée.1 point
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Bonjour, @Julien Ci-joint le document PDF avec la cotation des pièces à réaliser (cornières, tubes, plat, fond en CTP) La visserie est détaillée ainsi que les inserts en laiton. La réalisation est facile j'ai testé la résistance mécanique et la stabilité aucun soucis. la structure est imprimée en PLA+ hélas j'attends toujours la livraison de la BOX QIDI A+ Francis support BOX QIDI.pdf1 point
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J'ai hate de la recevoir ma U1 je dois dire que j'ai de grand espoir sur cette machine, cela me changera des prise de tête actuelle sur la M1 Pro1 point
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@gri3d AMHA = A Mon Humble Avis. L'icone jaune +1 indique que je suis d'accord avec ce qu'a dit @RFN_31, je "plussoie" et que je n'ai rien a rajouté (auquel cas j'aurai fait un message ^^)1 point
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Échauffement Le contenu du colis du «koikesse» ayant été découvert, je relaterai dans ce sujet ma découverte de cette imprimante, la Q2, avant de publier le test final sur le blog du site. En échauffement, un petit rappel : le colis pèse 24 kg, l'imprimante elle-même ne pesant qu'un peu plus de 18 kg. La marque Qidi est moins connue que d'autres constructeurs asiatiques. Elle n'est pas pourtant pas récente dans le monde de l’impression 3D puisqu’elle a entamé ses activités en 2014 sous le nom Qidi Tech devenu Qidi fin 2024. Qidi développe ses propres outils matériels et logiciels, par exemple un trancheur (slicer) maison dérivé de BambuStudio pour ses modèles les plus récents. Cette société possède un support technique spécialisé via un Wiki et également via une chaine Youtube. Sur le site de Qidi, la Q2 est présenté ici. C'est une imprimante «rapide» à l'instar des modèles d'autres constructeurs : vitesse maximale de 600 mm/s, accélérations de 20 000 mm/s². Les caractéristiques techniques sont décrites dans le comparateur du forum. Je rerprends ici les principales : SPÉCIFICATIONS Q2 Caisson fermé à chauffage actif Cinématique CoreXY Volume d'impression de 270x270x256 mm Températures maximales : 370 °C (buse), 120 °C (lit), 65 °C (enceinte) Compatibilité avec de nombreux matériaux, y compris les plus techniques Autonivellement à l'aide d'une jauge de pression située dans la tête d'impression Système de filtration de l'air 3-en-1 (préfiltre, HEPA, charbon actif) Wifi (2,4Ghz) et Ethernet Écran capacitif de 4,3" Caméra interne (surveillance, timelapses, détection des problèmes d'impression) Certifications (MET, IECEE CB, CE, …) Tous ces points seront bien évidemment testés et vérifiés lors du test. Comme la majorité des imprimantes rapides actuelles, Klipper est le firmware faisant fonctionner celle-ci. Trop souvent ce n'est pas la version pure («vanilla») de Klipper, mais une version modifiée par le fabricant, sans remise au pot commun de ces modifications, enfreignant la licence originelle GPL v3.0. Nous y reviendrons lors de l'examen du système d'exploitation et de l'écosystème Klipper utilisé. Pour rappel, Klipper se compose de deux éléments : un firmware installé sur la carte contrôleur, gérant uniquement les éléments matériels (unité de contrôle) «klippy» installé sur un Small Board Computer (SBC), en français, on parle d'ordinateur monocarte, chargé lui de l'impression (unité de calcul) Pour plus de détails sur Klipper je vous renvoie à ce sujet du forum. Déballage Le Wiki de Qiditech permet d'accéder à un document texte accompagné de photos ainsi quầ une vidéo de déballage : À l'intérieur du carton, se trouvent deux manuels papier, un plus complet en anglais d'une dizaine de pages, le second plus succinct en six langues (Anglais, Chinois, Italien, Français, Espagnol et Allemand), quatre pages par langue (à noter que le titre de la première page du français est en italien «introduzione alla stampante» ). Quelques photos L'ouverture du carton donne accès au manuel, à la vitre supérieure, le support de bobine, le carton contenant l'écran et la clé USB : Ce premier étage de polystyrène est bien protégé aux quatre coins, une fois celui-ci extrait, on aperçoit la Q2 dans son emballage plastique. Une étiquette nous explique comment sortir l'imprimante du carton : Ne reste plus qu'à sortir l'imprimante de l'emballage plastique et retirer les dernières protections (encore du plastique) : Au fond du carton se trouvent deux petites boites (tool box 1 et 2) : La boite 1 contient un câble Ethernet de 2 m, une clé plate de 7, un jeu de clé Allen (1,27/1,5/2,0/2,5/3,0) et quelques pièces de remplacement (coupe-filament, essuie buse, fusible). L'autre boite (2) contient le câble d'alimentation secteur, un tournevis plat, une spatule, l'axe support de bobine et un échantillon de filament (20 g) : Avant de poursuivre, un examen du capot arrière m'intrigue. Une étiquette indique que cette imprimante est configurée pour fonctionner sur la tension secteur 220-240 V. L'alimentation ne serait donc pas auto-configurable comme sur la plupart des concurrentes ? L'accès à l'alimentation au-dessous de l'imprimante le confirme. Il est de ce fait préférable de bien vérifier que la tension a bien été paramétrée : Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Il me reste à monter l'imprimante jusqu'à mon bureau à l'étage, lui trouver une place, la brancher et lancer les premières impressions… ce sera l'objet du prochain article. À suivre… bientôt.1 point
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Un premier examen des matériels est en ligne : >>> ici <<<1 point
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Quoi, tu aurais la solution et tu nous laisses nous embourber dans notre ignorance1 point
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Composants matériels La structure est constituée d'un solide cadre acier associé à des parois en matière plastique. Une porte et un capot en verre fumé bleu/violet complètent l'habillage. Ces parois plastiques incorporent un retardateur de feu, d'après le fabricant. Cinématique CoreXY La tête d'impression se déplace dans le plan à la fois en X et en Y, les deux moteurs agissent de conserve. Plus d'explications techniques à propos de la cinématique CoreXY ici. Les avantages théoriques de cette cinématique CoreXY : espace réduit (le lit chauffant ne se déplace que de haut en bas), structure cubique permettant de fermer celle-ci afin d'obtenir une enceinte étanche, les deux moteurs pas à pas se complètent pour réaliser les mouvements X/Y, rapide et précis lorsque utilisé avec une tête d'impression légère Mais peut aussi présenter quelques inconvénients : la tension des courroies est critique, nécessite un cadre parfaitement rigide et d'équerre, le système de poulies et la longueur du cheminement des courroies La tête d'impression est située sur l'axe X, un rail de guidage (MGN12) permet les déplacements (gauche - droite) : Cet axe X est guidé sur l'axe Y via une tige linéaire de diamètre 8 mm associée à une douille à billes LMU8UU (une tige et douille de chaque côté). Le déplacement de la tête utilise des courroies de 7 mm de pas 1,5 mm assurant d'après Qidi plus de précision et moins de phénomène de VFA. Ces courroies peuvent être retendues si nécessaire (voir le Wiki de Qidi pour les explications), après avoir dévissé un peu (pas complètement ) les quatre vis pour chaque moteur, on déplace la tête suivant le parcours préconisé puis on resserre toutes les vis. Chacun des tendeurs est muni d'un ressort assurant la bonne tension. Plateau d'impression Le plateau chauffant (24 V) est constitué d'une plaque d'aluminium de 3 mm recouvert d'une base magnétique. Il peut atteindre la température maximale de 120 "C. De chaque côté, celui-ci est guidé par deux tiges linéaires de 10 mm associées à des douilles à billes LMU10UU. La montée / descente est réalisée par une vis trapézoïdale également de diamètre 10 mm. Un tour complet monte / descend le plateau de 4 mm. La vis mère est de type T10/4 (pas de 2 mm, 2 filets). Le paramètre rotation_distance de la section [extruder] du fichier printer.cfg, a pour valeur 4 (pas_vis * nombre_de_filets), elle permet d'atténuer la descente du plateau lorsque les moteurs Z ne sont plus alimentés. Un moteur pour chaque tige trapézoïdale permet d'ajuster de manière indépendante l'inclinaison de plusieurs moteurs Z. Cet ajustement est réalisé au départ de chaque nouvelle impression (Z_TILT_ADJUST), contribuant à une meilleure adhérence. Le maintien de la plaque de tôle flexible et amovible sur le plateau chauffant se fait en la positionnant sur la plaque magnétique collée sur le lit chauffant. Le support du plateau est muni à chaque coin arrière de rebords assurant le centrage de la tôle. Au cas où l'utilisateur oublierait de repositionner la tôle recouverte de PEI, un rappel est inscrit sur la base magnétique. Rappel qu'il vaut mieux respecter afin d'éviter toute déconvenue . Sous le plateau chauffant, il n'y a aucun isolant thermique. Cela permettrait d'assurer une répartition plus homogène de la température. Les déperditions caloriques contribuent toutefois au chauffage interne du caisson. Ventilation De nombreux ventilateurs permettent le refroidissement ou l'évacuation de l'air interne. À l'intérieur de l'enceinte, trois ventilateurs : Un axial 8025 à l'arrière, permet d'évacuer l'air «vicié» à l'extérieur du caisson. Un filtre HEPA+charbon actif filtre les émanations( Wiki, comment le remplacer). Il est possible de monter un conduit d'évacuation vers l'extérieur, les trous de fixation d'un adaptateur préexistent : Sur le côté droit, le ventilateur de refroidissement du filament auxiliaire, probablement un radial de 120 mm (pas eu le courage de le démonter ) Sur le côté gauche, le ventilateur de chauffage de l'enceinte (un radial de 92 mm). Il aspire l'air en haut et le rejette en bas créant un flux de circulation À l'arrière, la carte contrôleur est refroidie par un petit ventilateur axial 4010 fixé sur la paroi. Celui-ci est régulé par la mise en marche des pilotes de l'axe Z. Comme Qidi, les active dès le démarrage de la machine, il souffle tout le temps Sous l'imprimante se trouve l'alimentation munie d'un ventilateur, non régulé. Il souffle constamment. Les derniers ventilateurs sont situés dans la tête d'impression. Un 5015 radial pour refroidir le filament et un 2510 axial refroidissant le radiateur. Tête d'impression (extrudeur / tête de chauffe) La tête d'impression de cette Q2 est plutôt compacte : 54 x 88 x 120mm (largeur x profondeur x hauteur). Son capot avant est facile à enlever (faire levier en bas du capot pour déboiter les magnets, puis lever pour le sortir des deux ergots de maintien). Comme aucun ventilateur n'y est attaché, on peut le poser où on veut . À l'arrière, une trappe coulissante permet d'accéder au PCB. Pour des dépannages, il n'y aura donc aucune vis à retirer . En plus des ventilateurs déjà vus, la tête d'impression est composée de deux principaux éléments : l'extrudeur, la tête de chauffe. Entre les deux se trouve le coupe-filament, actionné par un levier quand la tête vient en butée sur l'avant gauche de la Q2. Avec cette tête, la buse à l'aide d'une jauge de pression fait office de détecteur de fin de course. Ce système oblige à avoir une buse parfaitement propre. La présence d'un résidu de filament fausserait la mesure, c'est la raison pour laquelle, même si le processus de nettoyage semble long, qu'il soit réalisé régulièrement et méthodiquement. Extrudeur L'engrenage d'entrainement du filament consiste en deux roues dentées en acier durci (ce qui devrait être plus durable avec des filaments chargés (fibre de carbone ou verre, …)). Le double entrainement est effectué via un moteur Nema14 circulaire. Au-dessus de ces roues d'entrainement, on trouve un interrupteur détectant la présence (ou l'absence) de filament, mais pas de détection d'un filament bloqué . Tête de chauffe La tête de chauffe autorise une température jusqu'à 370 ”C ? Elle est composée d'un radiateur (zone froide) refroidi par le ventilateur précédemment vu, d'un corps de chauffe en céramique, d'une buse «tout-en-un» de longueur ≃ 53 mm et d'une chaussette en silicone pour protéger cette partie chauffante. La buse est légèrement plus longue que celle de la Qidi Plus4 (51,5 mm). Qidi l'indique d'ailleurs sur son site de vente des accessoires : Elle est constituée de quatre parties : buse proprement dite incorporant une pointe en acier durci (longueur ≃ 30 mm) transition en céramique ( 3 mm) heatbreak (≃ 10 mm) tube d'entrée du filament (≃ 10 mm) Sur le haut du radiateur se trouve la jauge de pression, le mécanisme détectant par contact quand la buse est au niveau de la surface d'impression. On y reviendra lors de l'examen de la plaque PCB de la tête d'impression (sans trop divulgâcher, la puce électronique (convertisseur ADC) est une CS1237 (déjà vue sur les Anycubic Kobra S1) . Nettoyage / purge filament Le nettoyage de la buse s'effectue sur la partie arrière de l'imprimante. Ce nettoyage doit être le plus parfait possible. Tout résidu de filament restant sur la buse fausserait les mesures de la jauge de pression utilisée pour détecter le point 0 du plateau. Trois zones sont utilisées pour le nettoyage du filament : parking de la tête sur l'éjecteur de purge une lamelle métallique un racloir des lamelles en silicone la tôle flexible (PEI) possède un débordement. C'est là que se positionne la buse lors des montées / descente de températures utilisées pour le nettoyage un tapis silicone permettant de nettoyer la buse (mouvement de va-et-vient) De gauche à droite, la tête positionnée aux différents endroits utilisés lors de la procédure de nettoyage et purge du filament (parking, PEI, brosse silicone) : Voilà, c'est fini… pour aujourd'hui Cette partie matérielle sera poursuivie par l'examen de l'électronique. À bientôt1 point
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Premiers ressentis L'imprimante a trouvé sa place dans mon bureau. À côté de «grosse Bertha» (ma XMax3 libérée), elle paraît toute petite : Esthétiquement, je la trouve jolie avec sa combinaison de coques plastique «aluminium anodisé», verre (porte/capot) / plexiglas (façades des côtés) teinté en bleu/violet. La façade arrière, elle aussi en plastique, est de couleur noire. L'écran, une fois installé, peut s'incliner légèrement de 45° vers l'arrière. Les deux tiges filetées trapézoïdales sont couvertes de graisse (aucun risque qu'elles ne s'oxydent même après un long séjour en milieu humide ) : Après plusieurs montées / descentes du plateau, il va falloir penser à retirer ces surplus : Le bas du caisson est muni d'une échancrure, ce qui facilitera le nettoyage des résidus de filaments tombés au fond (la Xmax3 n'en était pas munie, pire, il y avait un creux à l'avant qui accumulait les scories ). Une sérigraphie sur le capot indique qu'il peut coulisser vers l'arrière pour faciliter l'impression de filaments comme le PLA et le PETG, sans devoir le retirer complètement. Des verrous permettent d'éviter que ce capot ne bascule. Étant en verre, sa rencontre avec le sol lui serait sans doute préjudiciable. Sous le capot, sur le pourtour de la coque plastique est collée une bande d'étanchéité, de même pour la porte (exceptée au niveau de l'échancrure). Ces bandes d'étanchéité devraient réduire les déperditions caloriques. Un article ultérieur reviendra sur les éléments utilisés sur cette Q2. Mise en route L'imprimante est installée. Les films plastiques protégeant les plexiglas des côtés, de la porte et du capot (il est protégé sur chaque face) retirés, il reste à brancher la fiche secteur (j'ai vérifié, malgré la présence du sticker sur l'arrière indiquant que cette imprimante est paramétrée pour du 230V, que le sélecteur de tension sur l'alimentation est bien positionné) et le câble Ethernet relié à un de mes switchs réseau. Qidi via son Wiki montre le déballage (vidéo + texte avec photos). C'est parti, l'interrupteur d'alimentation passe de O à I, l'écran s'allume sur le logo Qidi. Après une grosse minute, celui-ci est remplacé par l'écran de choix de la langue d'affichage. Je reste dans un premier temps en anglais (les traductions en français laissant parfois à désirer). Une fois la langue sélectionnée, un didacticiel prend en main l'utilisateur en lui montrant les manipulations à faire. retirer les quatre vis immobilisant le plateau au fond du caisson valider via l'écran le retrait des vis, le plateau s'élève permettant d'ôter les cales de mousse au-dessous débloquer la tête et l'axe X en coupant les colliers Rilsan enlever le carton de protection de la tête, libérer l'axe X en retirant la cale de mousse, finir en introduisant le tube PTFE sur la tête Une fois validées ces manipulations sur l'écran, un ensemble de tests et vérifications sont effectués test de chauffe de l'extrudeur test de chauffe du lit test de chauffe et ventilateur de l'enceinte test du ventilateur de refroidissement test du ventilateur de refroidissement auxiliaire test du ventilateur d'extraction d'air auto-nivellement compensation de résonances (input shaping) Pour un débutant, le bruit engendré par ce test peut faire «peur». Rien d'anormal, le laisser aller à sa fin . Une fois ce dernier test réalisé, valider pour avoir le dernier message de félicitations L'ensemble de ces vérifications, tests prend une bonne quinzaine de minutes. Seuls l'auto-nivellement et la compensation de résonances seront à refaire de temps en temps. En résumé, à partir d'un extrait de la vidéo de déballage de Qidi, j'ai fait une image animée rappelant ces étapes (on peut apercevoir au tout début du didacticiel les étapes montrant comment retirer la QidiBox de l'intérieur de la Q2 quand le modèle est la Q2Combo) : L'imprimante est prête à imprimer. Dans un premier temps, j'utilise les gcodes pré-tranchés enregistrés dans la mémoire de l'imprimante. J'utilise un reste de filament d'une vieille bobine de PLA Eryone Galaxy silver (gris) juste stockée dans un sac hermétique avec un sachet de dessicant. Test du Benchy (annoncé pour dix-sept (17) minutes d'impressions, il a fallu plus de ving-cinq minutes en ajoutant la phase (longue) de mise à l'origine, nettoyage de la buse, auto Z, nivellement, …). Le résultat ne présente pas de défaut majeur (je referai des photos rapprochées plus tard) : La vidéo timelapse : On continue par le torture-test KickStarter : Je n'ai pas encore calculé le score total des différents tests, mais hormis pour certains pontages qui se sont affaissés, les autres parties sont très bonnes. Et on termine aujourd'hui par le cube Voron. Là encore qualitatif. En résumé de ces premières impressions, aucun problème de nivellement, la buse est parfaitement nettoyée de toute scorie (mais ça prend du temps). Les pièces se sont imprimées sans se décrocher et une fois le plateau redescendu sous les trente (30) degrés, elles se sont décollées facilement. À bientôt pour la suite (qui arrivera bientôt )1 point
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Je crois plutôt qu'il veut dire que la Yumi n'est pas comparable à la Snap1 point
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Bon alors des news... De mon coté ça a l'air de s'arranger (je touche du bois !)... Avant de revenir à une MAJ antérieure j'ai voulu tester un truc, j'ai changé l'ordre de mes AMS, vu qu'ils sont en série, j'ai juste passé le premier de la chaine en dernier... Je l'ai débranché de la P1S et j'ai connecté celui qui était en bout de chaine sur la P1S. Et depuis 2-3 impressions, RAS, tous semble être revenu à la normale... Vu que j'ai pas changé de câbles, j'en conclu que mon souci venait de la prise du 1er AMS... Je croise les doigts...0 points