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Bonjour, Les tests et les modifications de l'imprimante sont terminées Le résultat est présentée en détail sur ce post : A bientôt1 point
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Bonjour, J’ai terminé les modifications physiques de mon imprimante Prusa Original I3 MK2s, après avoir modifié son firmware. Je peux donc vous présenter maintenant ma « MK2s+ »1 point
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Pareil j'ai une différence d'environs 10% entre les 2 capteurs. Ils sont pas du tout au même endroit, je pense que c'est pour ça. A cette heure j'ai même 18% d'écart, 10 sur le capteur Chinois et 28 sur le Sunlu. Mais le Sunlu est dans sa phase d'arrêt, il remonte tout doucement jusqu'à 30% et il devrait redémarrer. Dans les 3 autres AMS, avec juste le gel déscicant j'ai entre 14 et 20...1 point
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Le débit n'a jamais posé de souci, pourquoi faudrait que j'y touche maintenant ? Après j'ai pas testé une autre buse alllllllllllllllélouya https://vod.crealitycloud.com/vod-20ec1a/original/workflow/4e4ce94b-19a0dc25414-0007-1366-d9c-c8a99.mp41 point
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Oui sauf que depuis la Sortie de la A1 BBlab indique par exemple car je l'avais poser cette question a eux a l'époque que c'est prise sont un format de prise pour des accessoires il n'a jamais été question que ce soit une solution exclusive pour du multi filament, c'est la réponse que BBlab n'avait rétorqué a l'epoque quand je leur avait demande a la sortie des A1 Mini puis A1 si les machines aurait des upgrade a venir pour supporter 2 AMS Lite, BBlab m'avait clairement dit ce n'est pas prévue par contre sont prévue d'autres accessoires qui seront compatible. Je comprend a 100% l'idée que tu as de te dire si il mettent cette prise alors il y aura bien un AMS Like a venir, sauf que certaines série l'on pas d'autre l'on ce qui causerait toujours une frustration de certains par rapport a d'autres d'un côté, mais surtout je te parle de mon expérience avec la M1 Pro elle a elle aussi un port 4 plots a l'arrière elle est censé recevoir un MCM (du moins que que Artillery avait dit sur les com marketing produit) sauf que si l'on regarder du côté de Creality ou BBlab c'est un connecteur 6 pins utilisé car 4 pins ne suffisent pas a alimenté en electricité les AMS et CFS et a fait transiter les infos, et la sur la M1 Pro on a un connecteur 4 pins si l'on retire la plaque arrière on y voit un emplacement vacant pour un connecteur 6pins en plus mais vide, et la machine a été livre a ceux qui ont preco la machine avec un kit LED, ventilo, bouton et carte electronique de pilotage alimenter par un cable relié au connecteur 4 pins de la M1 Pro. Quand j'ai reçu la machine ma première réflexion c'est, merde y a un truc qui va pas la on le raccorde ou le futur MCM la machine semble pas équipés pour sauf si alimentation externe, puis j'ai vue le kit d'upgrade led ventilo et la j'ai dit non y bien un truc qui va pas on offre un cadeau qui ce plug sur la 4 pins ce qui indique qu'il alimente en 24v ce kit donc le MCM peux pas être raccorder dessus sa va pas. J'avoue oui la Com est pas top sur ce coup de Elegoo, mais je te dirais que côté résine ils nous ont fait un truc pareil, la Saturn 4 normale pas de soucis (je l'ai donc je sais de quoi je parle), mais la Saturn 4 Ultra la machine est pas aboutie le système d'écran qui bascule c'est assez dangereux a mon sens pour les composant mais ok, mais les capacité d'impression sont pas stable et c'est vraiment pas top, pour nous sortir un S4 Ultra 16k quelques mois après qui le 16 apporte rien en soit côté résolution, mais cette machine a une bonne stabilité sur l'impression et un système de chauffe de la cuve pas mal, la on a eu une machine bien fini. Il y a pas eu d'excuse de Elegoo sur l'echec de la S4U, ils ont sortie un S4U 16k pour dire le 16k etait plus pour moi de base un argument marketing pour dire on a sortie un machine plus perf alors non c'est qu'ils ont sortie une machine entièrement fini la. Par contre en effet Pascal, si Elegoo sorte réellement un AMS Like pour les CC1 qui est différent du IFS like de la CC2 alors la bien je pense que même eux sont perdu et ne savent plus vraiment ou aller. Elegoo pour moi leur seul voie est de présenter des excuse a la communauté expliquer que pour la CC1 des choses allait pas et de faire amende honorable en permettant un remise pour un client CC1 qui veux aller vers CC2, ou de proposer un kit d'upgrade pour rendre le CC1 compatible avec leur IFS like, Creality a bien réussi ce tour de force sur les K1 alors que la machine avait pas été conçu pour. On verra bien ce que cela donnera, mais on en revient a une discussion que j'avais eu en OFF avec @Julien et on partage le même avis sur ce point, trop de fabriquant de nos jours font des machines a l'arrache et ce servent des premier client comme beta tester pour avoir les retours constructif et surtout leur permettre d'occuper le terrains en sortant des machines qui malheureusement sont pas fini ni firmware ni parfois matériellement parlant. Et de plus en plus de monde en on ras le bol, aujourd'hui j'ai répondu a Snapmaker la chose suivante après avoir vue leur comme sur le fait que 15 nouveaux utilisateur on reçu une machine de la première production pour avoir une analyse fine des machines finie, qui avait déjà ete amélioré suite au beta tester initiaux pour voir si il y a encore des choses améliorables avant l'envoie des premières séries, et je leur est dit bravo les gars sa fait plaisir de voir une entreprise qui fait appel a des utilisateur pour des test beta mais aussi finaux avant de faire un envoi des machines ont vois le sérieux et j'espère que cela influencera certain constructeur a faire de même.1 point
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Pour pouvoir utiliser Klipper, il faut d'abord l'installer sur le RPi (rappel : acronyme indiquant simplement le matériel informatique accueillant le système d’exploitation Linux), La Palice n'aurait pas mieux dit L'installation de Klipper est très bien décrite sur la page d'accueil du projet. En gros : récupérer le «programme» sur le dépôt Github, l’installer en fonction de la distribution du système d’exploitation (OS) utilisé. Une fois cette installation réalisée, avant de pouvoir utiliser Klipper avec l’imprimante, trois étapes sont nécessaires : Configuration, compilation et flashage du microgiciel adapté à la carte de l'imprimante (unité de contrôle), «make menuconfig, make, …» Configuration de Klipper sur le RPi afin de gérer l’imprimante : «printer.cfg» (déclaration des éléments physique / électronique permettant le pilotage de l’ unité de contrôle) Gestion de l’imprimante «klipperisée» via l’écran LCD, une interface Web (Octoprint, Mainsail/Fluidd) et/ou une interface «autonome» (Klipperscreen). La partie essentielle est la préparation du fichier «printer.cfg» du point 2, c'est là que se font les étapes de configuration, réglages, paramétrages et étalonnage. Pour en revenir à l’installation de Klipper sur le RPi, plusieurs manières de le faire sont possibles : manuellement (à partir d’un système d’exploitation Linux minimal (les commandes ci-dessous sont celles adaptées à une distribution basée Debian), puis utilisation d'un terminal pour saisir les commandes (pas de «clicodrome» donc) : mise à jour du système de base ( apt update && apt upgrade), installation du programme «git» (apt install git), clonage des dépôts Github souhaités (Klipper, Octoprint, Moonraker, Fluidd, Mainsail, …) puis utilisation de scripts shell (bash, généralemen) pour finaliser … «automatique» : récupérer une image système complète incluant tous les éléments nécessaires (MainsailOS, FluiddPI, Octopi, OctoKlipperPi, …) et installer cette image sur une carte SD. semi-manuelle ( semi-automatique ? ) à partir d’un système d’exploitation Linux minimal (ex: Debian) : mise à jour du système de base ( apt update && apt upgrade), installation du programme «git» (apt install git), clonage du dépôt KIAUH puis utilisation de celui-ci pour installer les éléments voulus. Il y a quelques années, afin de passer ma CR10-V2 sous Klipper, j’avais relaté cette installation dans ce sujet. Cette fois-ci, je vais utiliser une autre méthode à l’aide de l’outil « clé en main » : KIAUH. Une fois l'installation d'un système minimal (Raspbian nue (lite)) effectuée, le reste des installations se fera avec l'aide de KIAUH ("Klipper Installation And Update Helper"). KIAUH, qu'est-ce que c'est ? KIAUH est une collection de scripts (jeu / liste de commandes) utilisés dans un shell Unix permettant : d’installer automatiquement Klipper (une ou plusieurs instances), d’installer une (ou plusieurs) interface utilisateur : Octoprint, Mainsail, Fluidd, A noter que Mainsail / Fluidd, nécessitent l’installation d’un composant nommé Moonraker effectuant la liaison entre Klipper (klippy (les scripts Python) = unité de calcul ) et ces interfaces Web. de mettre à jour tous ces éléments installés : Klipper, etc, ainsi que le système d’exploitation sous-jacent (Octoprint possède lui son propre mécanisme de mise à jour), de faciliter / alléger quelques tâches d’exploitation / maintenance (sauvegardes, …) … Pour plus d'informations à propos de scripts shell : https://developpement-informatique.com/public/index.php/article/476/introduction-au-programmation-shell-scripts-shell Le script shell le plus fréquent est «bash» (ce n'est pas le seul, il en existe bien d'autres (ash, zsh, oh-my-zsh, …) y compris pour Windows (la ligne de commande, Powershell). Allez, c'est parti. Préparation du système Linux accueillant les programmes (exemple avec une Raspberry Pi) Matériel nécessaire : une RPi (3, 4, 0V2, CM4, …), une carte μSD : capacité à votre convenance (minimum 8 Go), marque reconnue (Sandisk, Kingston, Samsung, …), classe 10 un logiciel capable de préparer l’image système sur la carte SD : Raspberry Pi Imager, Balena Etcher, … un peu de temps, quelques neurones fonctionnels et votre boisson favorite à portée de main Partie 1 : préparation de l’image système Prérequis : une connexion internet fonctionnelle, le logiciel Raspberry Pi Imager, préalablement téléchargé et installé, boisson favorite (café pour ma part), musique (ou pas) en fond sonore (n’importe quel album de Frank Zappa par exemple), … 1) Démarrage de RPi Imager : 2) Choix du système d’exploitation. Si le débit de la connexion Internet est correct, inutile de télécharger au préalable une image système, il suffit de sélectionner celle voulue dans la liste, Raspberry Pi Imager se chargera de la récupérer au moment de l’écriture sur la carte SD. Ici, je pars d’une Raspberry Pi OS lite, 64 bits : 3) Choisir la carte SD sur laquelle écrire le système : 4) Avant de lancer l’écriture, il faut au minimum déclarer un utilisateur (pi ou autre nom) et son mot de passe. D’autres paramètres peuvent évidemment être pré-réglés (SSH, Wifi, nom de la machine, localisation (timezone, clavier), …). Ne pas oublier d'enregistrer ces paramètres pour qu'ils soient pris en compte ( [SAVE] ) : 5) Démarrer l’écriture, une vérification de celle-ci sera effectuée. A la fin du processus, ne restera plus qu’à démonter la carte SD proprement, l’introduire dans la RPi, allumer celle-ci, patienter un peu, le temps que les paramétrages soient réalisés et se connecter en SSH sur celle-ci pour continuer l’installation ASTUCE: Si vous pensez refaire une installation à l'identique, vous pouvez éviter l'étape de personnalisation de la distribution en récupérant deux fichiers situés dans la partition FAT32 (la seule lisible sous windows), /boot : cmdline.txt firstrun.sh Il suffira de recopier ces deux fichiers dans la partition /boot d'une nouvelle carte préparée pour appliquer vos modifications. Opération à effectuer avant le premier démarrage sinon l'un sera effacé (firstrun.sh), l'autre sera modifié (cmdline.txt). Je vous conseille la lecture du magazine HACKABLE (novembre/décembre 2022, n"45 ) pour en apprendre plus. Le reste des installations se fera sur le RPi via ssh. Pour pouvoir le faire, il faut évidemment connaitre l'adresse IP du RPi Pour se connecter en ssh sur le RPi, je vous laisse le choix de votre programme favori (PuTTY, MobaXterm, le ssh natif de Windows, …). Linux étant mis à jour régulièrement, la première étape consiste à vérifier que c’est bien le cas : $ sudo apt update && sudo apt upgrade -y Installation du programme «git» au cas où il ne soit pas déjà présent dans le système, programme dont on aura besoin pour la suite : $ sudo apt install git -y Installer et exécuter KIAUH avec ces commandes: $ cd ~ $ git clone https://github.com/th33xitus/kiauh.git $ ./kiauh/kiauh.sh ou encore après le «git clone« $ cd kiauh $ ./kiauh.sh Vous êtes maintenant dans le menu principal de KIAUH (version 4.x), qui ressemble à ceci (première utilisation, aucun programme installé) : Depuis fin octobre 2022, «Moonraker» a introduit quelques changements importants, Kiauh est peu de temps après passé en version 5 pour en tenir compte. Le journal des modifications précise ces modifications >>> ici <<<. L'interface de Kiauh le rappelle via le lien https://git.io/JnmlX : Commençons par installer Klipper via le choix 1 [Install] puis à nouveau 1 [Klipper] Quelle version de Python veut-on utiliser (sachant que la version 2 n'est plus maintenue mais toujours fonctionnelle. Klipper fonctionne également très bien avec la version 3 de Python ), puis combien d'instances (imprimantes pilotées), on valide ensuite (la touche ENTRÉE du clavier permet de choisir l'option par défaut (Yes), la lettre en majuscules) : L'installation de certaines parties doit être réalisée en tant que super-utilisateur (root), le mot de passe de l'utilisateur (généralement «pi») faisant partie du groupe «sudo» sera demandé pour pouvoir continuer : Le menu d'installation se ré-affiche, on passe alors à l'installation de Moonraker. Moonraker est un serveur Web se chargeant d'effectuer la liaison entre Klipper et les interfaces Web (Fluidd / Mainsail), extrait du README : On confirme le choix d'installer Moonraker puis l'installation est enclenchée : Si plusieurs instances de Klipper ont été installées, Moonraker le détectera et vous demandera si vous souhaitez installer également plusieurs instances de lui-même. Ensuite retour à nouveau au menu d'installation pour choisir et installer votre interface de prédilection (Fluidd et/ou Mainsail), les deux pouvant être installées, seule l'une des deux sera accessible via le port standard «Web» (80), port que l'on peut omettre de l'adresse ( http://adr.ess.e-ip.interface-web au lieu de saisir http://adr.ess.e-ip.interface-web:80 ), l'autre devra être accédée via un autre port que vous devrez préciser (préférable de le choisir au-delà de 1024, ex: 1234, 6789, 8123, 18080, 65535 (max)). Exemple d'installation avec Mainsail : Il est également possible d'installer KlipperScreen si le RPi est muni d'un écran HDMI / DSI tactile ou si vous envisagez de réutiliser un smartphone ou une tablette. Une fois ces installations faites, retour au menu principal de KIAUH qui vous affichera ce qui est installé Kiauh permet également de faire les mises à jours des composants installés ainsi que du système d'exploitation via l'option 2 [Update] du menu principal (à gauche tout est à jour, à droite quelques composants peuvent être mis à jour) : Dans le cas où des mises à jour sont détectées, il suffit de choisir le numéro du composant à mettre à jour (1 pour Klipper, … 9 pour le système) ou l'option «a» pour tout mettre à jour. Exemple avec le choix 9 : Une fois les mises à jour réalisées: le menu [Update] s'affiche en tenant compte de celles faites (Installed = Latest)… du vert partout : Via Kiauh, il est possible de supprimer des installations (option 3, [Remove]). Il suffit de choisir le composant à supprimer du système, attention car certains composants dépendent d'autres, exemple Fluidd ou Mainsail nécessitent Moonraker) : Le menu [Advanced], option 4, section Firmware, permet de préparer et (ou pas) flasher le firmware adapté à la carte contrôleur (de l'importance de connaitre son matériel) Exemple option 2 (Build only), correspondant à la commande manuelle «make menuconfig suivie de make» : Choix par exemple des contrôleurs : Choix des variantes STM : Un dernier mot à propos de Kiauh: c'est un programme qui continue d'évoluer. De temps en temps, il est lui-même mis à jour et vous le signalera alors à sa prochaine exécution (./kiauh/kiauh.sh). Libre à vous de le mettre à jour (ou pas), c'est tout de même préférable de le faire Voilà, le système est prêt à fonctionner. Les interfaces Web (Fluidd / Mainsail) peuvent dorénavant être utilisées pour peaufiner la configuration. Il suffit dans votre navigateur préféré (Firefox, Vivaldi, … on évitera évidemment Internet Explorer ou Mosaic pour les plus âgés du forum ) de saisir l'adresse IP locale attribuée par votre routeur dans la plage d'adresse iP privées de votre (vos) réseau(x) (192.168.0.0/24, 172.16.0.0/16, 10.0.0.0/8). Ce post étant déjà long, nous verrons dans une prochaine étape le fichier de configuration de l'imprimante : printer.cfg A suivre…1 point