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Contenu avec la plus haute réputation depuis 26/03/2024 Dans tous les contenus

  1. Bonjour à tous, J'ai terminé l'ébauche de la conception d'une imprimante 3D de type MSLA (il ne me reste plus qu'à améliorer la partie design). A première vue, avez-vous des remarques, ou voyez vous des problèmes de conception ? Merci beaucoup (fonctionnement sous RPI NanoDLP + Arduino Uno sous GRBL, lumière UV de 40W et écran 2K 5.5") J'ai été contraint de placer les vis du bac de résine en avant et en arrière de celui-ci par manque de place, car je veux pouvoir imprimer chaque pièces composant la machine. Budget estimé : un peu moins de 300 euros. Il y a un système de purification d'odeurs à gauche du profilé Z gauche, et un écran indiquant la température de certains composants sur la face latérale gauche.
    7 points
  2. Il me reste encore quelques réglages, mais elle est déjà très bien. En tout cas j’ai aimé l’imprimer et l’assembler ! Bambucaster en PLA
    6 points
  3. La CAO et le BOM sont terminés, NanoDLP et GRBL sont installés sur la Raspberry et l'Arduino, et semblent bien fonctionner au vu des premiers tests. J'espère que la construction va commencer assez vite
    6 points
  4. Après son topic bien détaillé, le test de la Qidi Q1 Pro par @PPAC n'est pas moins complet pour tout savoir de l'imprimante fermée à chambre chauffée, compatible filaments haute température et vendue à un prix correct ! https://www.lesimprimantes3d.fr/qidi-tech-q1-pro-le-test-20240403/
    6 points
  5. Après avoir passé en revue la X4 Pro, @MrMagounet s'est occupé de l'imprimante Artillery Sidewinder X4 Plus pour la comparer à sa petite soeur. https://www.lesimprimantes3d.fr/test-artillery-sidewinder-x4-plus-20240405/
    5 points
  6. La présentation n'est pas encore terminée (c'est long ) La nouvelle imprimante, la K2 Plus a l'air francherment intéressante. Il faudra encore attendre fin juillet 2024 pour pouvoir réellement voir de quoi elle est capable. Aucun prix annoncé ou je l'ai zappé alors que pour la nouvelle Halot ou la Ender 3 V3 Plus les prix sont inférieurs à 500 $. Juste une capture d'écran pour un résumé des caractéristiques : En gros: impressions multi-couleurs auto nivellement «nouvelle génération» nouvel extrudeur ( Apus ), avec buse incluant le coupe chaleur (trois métaux) accélérations maximales de 30 m/s², vitesse max. de 600 mm/s nouveaux moteurs (FOC, closed-loop) volume de 350x350x350mm caméra «IA» chauffage actif de la chambre … Le système multi-couleurs est aussi annoncé pour être (ultérieurement) compatible avec les K1 et les nouvelles E3V3
    5 points
  7. 300x300x330 mm K2 plus, Edit : quelques précisions supplémentaires sur All3DP : https://all3dp.com/4/creality-announces-multi-filament-system-and-k2-plus-3d-printer/ 350 mm au cube de volume d'impression, Les CMS thermostatés 4 couleurs jusqu'à 16 couleurs avec RFID. En gros une Bambu labs XL !!!
    5 points
  8. Probablement nécessaire pour toutes les imprimantes situées dans une région sismique Au pifomètre, je dirais que dans la liste ci-dessous se cache la bonne définition: pluviomètre, galvanomètre, anémomètre, accéléromètre, voltmètre, ampèremètre, …
    5 points
  9. Vu au réveil sur la page Facebook du constructeur qui ne donne encore aucune information, pas même le nom de la machine ! A voir s'il s'agira d'une déclinaison de la Kobra ou d'une nouvelle appellation D'ailleurs ça pourrait tout aussi bien être une déclinaison de Predator puisque la photo laisse penser qu'il s'agirait d'une Delta A voir aussi si on pourra cumuler les "AMS" comme chez Bambu Lab par exemple La question de la rétrocompatibilité avec les modèles précédents peut également se poser. Enfin voila, plein d'interrogations, normal quoi
    4 points
  10. Salutation Je cherche à regrouper l'ensemble des techniques et méthodes ( et les bons mots pour les nommer ) pour le Multi-Couleurs en impression 3D. Je me focalise sur le côté modélisation et tranchage pour en une impression 3D FDM, obtenir un objet Multi-couleurs. Je mets donc de coté les techniques qui demande des posts-traitements comme Peinture, "hydro dipping", Anodisation, ... d'assemblage et collage en post-impression d'objet de différentes couleurs Utilisation de filament a dégradé ou rupture de couleurs ("Arc-en-ciel" ou ... ) ou de filament "Multi-Couleurs" (plusieurs couleurs dans une même section du filament) ( Et j'écarte aussi l'impression résine UV. Car sauf mettre en pause pour changer la résine ou ajouter au goûte a goûtes une résine d'une autre couleur ou un colorant lors de l'impression, pas d'autre méthode a ma connaissance que la peinture post-impression l'assemblage post-impression ou éventuellement pour une résine transparente, prévoir des cavités a remplir en post-traitement avec une autre résine. ) Pour l'instant coté trancheur, (si j'écarte les machines avec des têtes d'impression qui permettent de mélanger plusieurs filaments avec par exemple une "buse diamant multicouleur" ) il semble n'y avoir que deux approches que l'on peut éventuellement mixer lors d'une impression (mais les trancheurs comme Orca Slicer ne permettent pas encore le mix). Changement de filament au changement de couche ( donc une couche sera entièrement imprimé avec une seul couleur. ) Il faut avoir un trancheur qui permet en début ou fin d'une couche d’insérer un changement de filament selon la couche ou hauteur Z. (HueForge génère des modèles 3D à trancher avec des couches de l'ordre de 0.08 mm pour arriver a des nuances de couleurs selon les transparences des filaments utilisés) Si l'on regarde l'impression par transparence certains enchaînements de couleurs, ne fonctionne pas, on obtient des mélanges non souhaités ( Il faut préférer commencer par les teintes blanches, puis en dernier les teintes noirs) Changement de filament par objet ou sous-objet d'un modèle ( donc une couche pourra être composé de plusieurs couleurs) Il faut avoir un trancheur qui permet d'affecter un filament à un objet ou sous objet sur le plateau. Et un système qui automatise les changements de filament devient vite indispensable. Là par transparence comme il n'y a pas de superposition de couleurs selon la couche, si les purges sont suffisantes lors des changements de filaments durant l'impression, il n'y a pas de risque de "mélange" Avez-vous d'autres approches ? ( même dans celles que je mets de côté, par exemple prévoir que l'on va couler de la résine UV de couleur dans un sous-relief, ... ) et les bons mots et termes pour nommer chaque méthode ? ( Je ne sais pas si il faut par exemple écrire "multicouleur" ou "multi-couleur" ) (Edit > Il me faut ajouter la technique où on imprime avec un filament blanc que l'on teinte, ou encore, celle où après chaque couche, on passe un feutre de couleur, ou encore où l'on utilise une tête d’imprimante jet d'encre pour colorer le filament ou la couche terminé.) Merci.
    4 points
  11. Ce matin, j'ai reçu pour test la SK1 de Two Trees Cette machine est une core XY avec une surface d'impression de 256x256x256 fonctionnant sous Klipper https://www.lesimprimantes3d.fr/comparateur/imprimante3d/two-trees/sk1/ Voici sa présentation en image : Après ces images alléchantes, nous allons voir maintenant si la SK1 tiens ces promesses Le déballage de la SK1 ne pose pas de problème elle est très bien protégé, les axes X et Y sont bloqués par des morceaux de plastique et vis, sauf que sur celle que j'ai reçu les plastiques ont glissé d'un coté mais comme l'autre coté était encore en place rien n'a bougé. Une fois ces protections enlevées, il reste l'écran à monter et l'antenne du Wifi à visser et c'est fini, elle est prête à "démarrer". Une fois sous tension on doit faire le calibrage de la machine, tout est automatique, excepté le Zoffset ou il faudra sortir la feuille de papier. Après le calibrage, l'impression, j'ai lancé le fameux Benchy qui était sur la clé USB fournie avec la machine et là c'est très rapide, en 18m et 2s nous avons un Benchy de bonne qualité, un comme ça il y a quelques années à 50mm/s j'aurai été à genou prêt à croire au miracle. Après ce premier test (je sais j'ai mis la charrue avant les bœufs mais j'étais pressé de lancer une impression ) , je vais revenir sur la calibration de la SK1, il y a 4 étapes : Le Leveling C'est une procédure automatique qui va jouer sur les trois tiges hélicoïdales qui soutiennent le lit, le capteur inductif de la tête d'impression va parcourir le lit en trois points, klipper va ainsi ajuster la hauteur du lit sur ces 3 tiges en plusieurs passes jusqu'à ce que le nivellement soit optimal et va sauvegarder les valeurs. Le bed mesh Automatiquement, le capteur inductif va parcourir le lit en 36 points et enregistrer les valeurs, ce système est maintenant connu sur bon nombres d'imprimantes. Zoffset Là le réglage est également connu et consiste à régler l'écart entre la buse et le lit avec une feuille de papier. L'Input Shaping Ce réglage va se faire automatiquement et sans rentrer dans les détails le système va calculer la résonance de l'imprimante en faisant vibrer les axes et va corriger les vibrations parasites qui faisait apparaitre sur nos pièces des traces "fantômes". Une fois la calibration effectué on peut lancer les impressions, j'ai imprimé les 2 autres fichiers présents sur la clé USB, ce sont 2 cubes identiques mais les réglages de vitesses ne sont pas les mêmes enfin si, la seule différence c'est la vitesse des couches extérieurs l'un des cubes est à 200mm/s et l'autre 300mm/s et franchement je ne vois pas de différence.
    4 points
  12. Info sans doute un peu passée sous le radar, mais BAMBU vient de confirmer implicitement qu'il ne reste plus longtemps à vivre pour la X1C : le site officiel affiche désormais la date à partir de laquelle les modèles n'auront vraisemblablement plus de MAJ de firmware. Après difficile de savoir ce qui se cache derrière le "guaranteed" (çà dit clairement que jusque là, pas de soucis, après, c'est quand même moins clair) (sans doute "plus de nouvelles fonctionnalités", peut-être encore "quelques patchs de sécurité", et au bout d'un moment sans doute l'incompatibilité de la X1C avec les versions de Bambu Studio les plus récentes et l'obligation de rester sur une version + ancienne) Pour la X1C, il ne reste donc plus que pile une année de MAJ garanties ! (c'est loin et proche à la fois) (nul doute que dans l'intervalle une X2C apparaîtra)
    4 points
  13. L'électronique est terminée et est entièrement fonctionnelle après beaucoup d'heures passées dessus, c'était la première fois que j'utilisais une carte Raspberry La Raspberry donne les instructions gcode au shield et gère l'écran tactile + l'écran d'impression par HDMI. Le shield Arduino s'occupe du moteur, de l'endstop et de l'allumage des UV en PWM (commande M3 S///). (l'écran semble noir car le rétro-éclairage a été enlevé, mais il est parfaitement fonctionnel) Niveau configuration : Grbl v0.9 modifié sur le shield Arduino v3, et NanoDLP sur la Raspberry PI 3B, écran tactile Nextion 2.8" et écran 2k 5.5" (LS055R1SX04) J'ai eu beaucoup de problèmes pour faire fonctionner l'écran tactile et encore plus de problèmes pour faire fonctionner l'écran d'impression par HDMI. Les paramètres à modifier sont principalement dans le "config.txt" du raspberry. Je le poste ici au-cas-où, vu que c'est un écran assez commun mais avec peu de documentation pour NanoDLP. Je ferais sûrement un tuto complet sur l'installation de NanoDLP sur Raspberry une fois que mon imprimante sera construite, car ça a été très complexe pour un novice comme moi Grosso-modo pour l'électronique, soit on utilise CreationWorkshop et un pc doit être branché en permanence à l'écran HDMI et au shield, soit on utilise une Raspberry pour remplacer le pc. L'avantage du Raspberry c'est qu'on a pas besoin d'un pc dédié à l'imprimante (oui, merci...), mais surtout qu'on peut lancer des impressions hors-réseau, sans slicer supplémentaire vu que NanoDLP en comporte un. On peut directement lancer des impressions depuis l'écran tactile, avec un .stl présent sur une clé USB, c'est ce que je voulais absolument pour mon imprimante. --- EDIT: Une station de lavage (agitateur magnétique) et une station de polymérisation ont aussi étés modélisés
    4 points
  14. 3D Systems annonce l’autorisation de la FDA pour les implants crâniens en PEEK imprimés en 3D 16 AVRIL 2024 10:00 La FDA a fourni l’autorisation 510(k) pour la solution d’implant crânien imprimée en 3D et spécifique au patient de 3D Systems - VSP PEEK Cranial Implant. Développer Systèmes 3D L’implant crânien VSP PEEK comprend un flux de travail complet approuvé par la FDA comprenant un logiciel de segmentation et de modélisation 3D, l’imprimante 3D MED EXT 220 de 3D Systems, l’Evonik VESTAKEEP i4 3DF PEEK (polyétheréthercétone) et un processus de production prédéfini. En utilisant des solutions de fabrication additive, cette technologie permet de produire des implants crâniens spécifiques au patient avec jusqu’à 85 % de matériau en moins que les implants similaires produits par usinage traditionnel, ce qui peut entraîner des économies de coûts pour une matière première coûteuse comme le PEEK implantable. De plus, l’architecture de l’imprimante basée sur une salle blanche, combinée à des flux de travail de post-traitement simplifiés, en fait une technologie permettant de produire des dispositifs médicaux spécifiques aux patients sur le site de l’hôpital avec un délai d’exécution plus rapide tout en maîtrisant le coût global. « Les plaques crâniennes en PEEK imprimées en 3D sont une solution innovante qui peut améliorer les soins aux patients et élargir les possibilités d’une neurochirurgie précise et individualisée », a déclaré le Dr Johannes Pöppe, chirurgien principal du service de neurochirurgie de l’hôpital universitaire de Salzbourg. « La solution est en train de révolutionner le domaine. La combinaison de la technologie d’impression de 3D Systems, conçue de manière unique pour les environnements stériles, et des propriétés mécaniques du PEEK aide les chirurgiens à repousser les limites. Au sein de notre hôpital, nous avons déjà réalisé plusieurs interventions chirurgicales réussies à l’aide de ces technologies. Je pense que le potentiel des plaques crâniennes PEEK personnalisées est important pour intégrer l’impression 3D dans la pratique clinique de routine. L’implant crânien VSP PEEK est le premier implant PEEK approuvé par la FDA et fabriqué de manière additive destiné aux procédures de cranioplastie pour restaurer les défauts du crâne. Le PEEK présente une biocompatibilité « excellente », une résistance aux fluides corporels et une stabilité dans une large gamme de températures. De plus, sa radiotransparence garantit un minimum d’interférences dans l’imagerie médicale, ce qui facilite une évaluation plus claire du site chirurgical et de l’intégrité de l’implant. « En tant que leader de l’innovation en matière de dispositifs médicaux, 3D Systems est fier de ses avancées pionnières qui profitent à la fois aux chirurgiens et aux patients », a déclaré le Dr Gautam Gupta, vice-président principal et directeur général, dispositifs médicaux, 3D Systems. « L’obtention de l’autorisation de la FDA pour notre solution d’implant crânien VSP PEEK est une étape importante dans notre parcours. Notre système d’impression EXT 220 MED a déjà permis la production de près de 40 implants crâniens à l’appui de cranioplasties réussies dans toute l’Europe. Grâce à cette autorisation de la FDA, nous sommes désormais en mesure d’introduire l’implant crânien VSP PEEK aux États-Unis, établissant ainsi une nouvelle norme d’excellence pour ces procédures. Nous nous tournons maintenant vers les prochaines applications de cette technologie, qui comprend des implants de fusion intersomatique de la colonne vertébrale imprimés en 3D, du PEEK renforcé de fibres de carbone pour les applications de placage en traumatologie et en fixation, et des polymères biorésorbables pour les applications ossales et craniomaxillo-faciales de grande taille. 3D Systems travaille avec des chirurgiens depuis plus d’une décennie pour planifier plus de 150 000 cas spécifiques aux patients et fabriquer plus de deux millions d’implants et d’instruments pour 100+ dispositifs marqués CE et approuvés par la FDA à partir de ses installations de classe mondiale, enregistrées auprès de la FDA et certifiées ISO 13485 à Littleton, Colorado et Louvain, Belgique. Cette autorisation FDA permet à 3D Systems d’élargir son portefeuille de produits PEEK grâce à la plate-forme EXT 220 MED. On s’attend à ce que l’utilisation d’implants crâniens imprimés en 3D s’accélère en fonction de la disponibilité de technologies de pointe. Selon un rapport d’Acumen Research and Consulting de février 2023, la taille du marché des implants crâniens en 2021 était d’environ 1,2 milliard de dollars et devrait approcher les 2,1 milliards de dollars d’ici 2030. Les implants crâniens peuvent répondre à un large éventail d’applications, y compris les traumatismes, les défauts et la reconstruction. L’innovation continue dans les matériaux et les méthodologies de fabrication telles que l’impression 3D devrait permettre à de nouvelles solutions de catalyser la croissance de ce marché.
    4 points
  15. Elle est en vente sur le site (passée de 499$ à 549$, plus si ajout des plexi, écran HDMI 5", …), livraison début juin pour l'Europe On trouve déjà quelques vidéos de ce modèle qui me semble très intéressant (ici et là et encore là et probablement ailleurs) Je ne comprends pas bien la «polémique» sur cette imprimante très inspirée des Voron 2.4. Leur modèle est totalement Open source, Sovol n'a pas réalisé une pure copie / clone mais a repris la structure (Quad Gantry) et utilisé des pièces plastique injectées… Si c'est un moyen de faire connaitre plus l'univers Voron sans avoir besoin de sourcer les pièces (il existe de nombreux kits par se faciliter la tâche) ni y passer quelques jours de montage, je ne vois pas ou est le mal
    4 points
  16. En lisant sur le forum l'arrivée prochaine de la Créality K2 Plus en 350x350x350 accompagnée de ses magasins 4 bobines servant de sécheur, je pense que BAMBU vont mettre le turbo pour sortir leur propre version XL dans les mêmes dimensions (si possible en 400 je préfèrerais) et ajouter le séchage sur l'AMS (si possible par logement ce qui serait plus pratique avec des matières différentes). J'ouvre les paris : Je suis optimiste : Annonce de la nouvelle Bambu XL en Juin pour une livraison en Décembre 2024 Qui dit mieux ou moins bien.
    4 points
  17. Salut, Je sais: C'est un truc pour les fins de mois difficiles: Pour joindre les deux bouts !
    4 points
  18. Ca a l'air curieusement intéressant. Une imprimante SLS (poudre + laser) assez innovante sur plusieurs points : Tarifs "abordable" ("seulement" 3000€ - versus 15-30k€ pour les modèles les moins chers en industriel - ce qui n'est que le double du Bambu Lab X1C ...) Une chambre facilitant la préparation / maintenance (pas besoin de nettoyer la chambre à chaque fois + facilitation du retrait de la poudre résiduelle sur les pièces imprimées) Meilleure contrôle de chauffe (15 min versus une heure sur les autres modèles) etc. A venir dans quelques mois. Ce serait intéressant que Bambu se penche sur la technologie pour leur prochain modèle
    4 points
  19. Comme ce n'est pas une Prusa, de dirai plutôt annonce en mai et livraison en juillet (2024 bien sûr)
    4 points
  20. je connais mieux l'injection haute pression que nos petites machines FDM. Avec de l'ABS le taux moyen de rétraction en injection est de 0,6% que ce soit en longitudinal comme en transversal, donc les moulistes appliquent ce coefficient multiplicateur pour usiner l'empreinte dans le moule. Suivant la matière (PP, PA, ABS, PC, etc.), le taux varie de 0% à 3% et avec les charges ajoutées (exemple; fibre de verre, fibre de carbone, bille, talc), les taux sur une même matière peuvent être divisés par 3 ou 4 et en plus avec une différence entre transversale et longitudinale causée par l'orientation de fibres dans le flux d'injection. Comble de bonheur, les producteurs de matière craignant les procès ne donnent plus que des "indications possibles" des taux de retrait. Ça c'est la partie la plus simple du problème, ce qui déforme nos pièces (en injection comme en impression) est causé par la différence de temps de refroidissement suivant les épaisseurs des parois, une paroi fine va se figer rapidement alors une paroi épaisse va poursuivre sa rétraction plus longtemps et donc va s'opposer à la partie déjà froide, ces contraintes internes créent de fortes déformations de la pièce. Maintenant avec les logiciels de rhéologie on arrive à prédire ces déformations et les corriger en ajoutent, par exemple, des réseaux de nervures qui remplacent les fortes épaisseurs ou en créant des canaux préférentiels aidant au maintien de la pression d'injection lors de la première phase de refroidissement dans le moule ou en injectant de l'azote à forte pression aux endroits problématiques lors du refroidissement (nous avons un générateur d'azote qui le comprime à 180 bars). Pour l'impression FDM la meilleure façon de limiter les déformations des pièces entrainant leur décollement est de changer les épaisseurs de parois ou d'ajouter des nervures Concernant le retrait global sur des pièces en FDM, il ne peut y avoir de généralité car le refroidissement se fait dés le dépôt du fil sur la pièce et il ne faut pas rêver, la température interne de nos petites bécanes (40 à 50°) et avec des plateaux à 100° permettent seulement de maintenir la pièce en place. Personnellement, je ne m'amuse jamais à mettre un coefficient multiplicateur sur mes pièces imprimées, ce n'est pas utile.
    4 points
  21. Alors qu'on attend plutôt la réponse de Creality aux Bambu Lab AMS (lite), Prusa MMU, Phrozen Arco et la version Anycubic, c'est peut-être une évolution des K1 et K1C que l'on peut découvrir aujourd'hui. Creality K1 Max SE La dernière version stable de Creality Print est la 4.3.8 du 12 décembre 2023. Elle ne propose que les profils pour K1, K1C et K1 Max. Sur le GitHub de Creality, on peut télécharger la pre-release Creality Print 4.3.9 encore en bêta, datée du 26 décembre 2023. Rien de plus récent et je n'avais pas essayé de l'installer avant mais il suffit de le faire pour découvrir le profil d'une imprimante inconnue au bataillon de Creality : la K1 Max SE avec volume affiché de 300 x 300 x 300 mm, comme la K1 Max (ce qui est donc logique). Un profil qui n'a cependant rien d'extraordinaire par rapport au reste de la gamme K1. On n'a jamais vu de teasing ou de leak sur une potentielle K1 Max SE, ni une K1 SE d'ailleurs. Les "SE" récentes sont les Ender-3 V3 SE et CR-10 SE. Creality K2 Plus Mais sur un groupe Facebook dédié à la Phrozen Arco, quelqu'un a partagé une photo d'un Creality Print qui affiche le profil d'une K2 Plus. Ce n'est pas impossible mais surprenant de voir une incrémentation suivie d'un suffixe encore non utilisé dans la gamme K1 (ou "série K"). Pas une "K2" ou une "K2 Max", mais une "K2 Plus" au volume de la K1 Max -> 300 x 300 x 300 mm. On remarque un design différent des K1* avec le nouveau logo Creality et un écran sur la partie supérieure du caisson. Pour l'instant, pas d'info au sujet de la version du logiciel mais une option multi-couleurs semble être disponible dans ce même Creality Print :
    4 points
  22. J'ai essayé de tout résumer ici https://www.lesimprimantes3d.fr/les-nouveautes-pour-les-10-ans-de-creality-20240410/
    4 points
  23. Merci. C'est une chose que j'aurais dû mettre dans les points négatifs. (Mais sur le moment je n'y avais pas pensé.) Car oui, sur cette Q1 Pro, ce n'est pas le plus pratique a l'usage si l'on a plusieurs changements de filament a faire, avec ce tube PTFE qui guide le filament jusqu’à l’extrudeur direct drive, et le fait qu'il n'y a pas de levier pour débrayer le mordant de l’extrudeur. ( Actuellement je fais des impressions de PixelArt avec changement de filament (en manuel car je n'ai pas de machine avec MMU ou AMS, ni de "Palettes".) et définitivement même si cela donne un légèrement moins bon résultat que sur la Q1 Pro, je les imprime sur la E3V3SE ou KE, plutôt que sur la Q1 Pro. Car l'extrudeur "Sprite" direct-drive avec levier et sans tube PTFE de guidage du filament sur les E3V3SE et KE, facilite grandement le changement de filament manuel. Par contre coté trancheurs, QIDISlicer (v1.1.2) dérivé de PrusaSlicer permet facilement l'ajout d'une demande de changement de filament a une couche (et donne un aperçu qui en rend compte ) Alors que, Creality Print dans sa version actuelle (v4.3.8), ne permet pas cela (Je n'ai pas trouvé si c'est possible, ni comment on demande sous Creality Print, un changement de filament ... ). Et cela m'oblige a ajouter a la main la/les lignes avec le g-code de demande de changement de filament dans le fichier d'impression. )
    4 points
  24. "Des fuites" sur une imprimante résine c'est pas l'idéal ! ( Surtout quand c'est des fuites de résine ... cela demande beaucoup de temps de nettoyage...)
    4 points
  25. Les pièces imprimées sont arrivées aujourd'hui... Il y a tout pour construire le prototype Hunter, à l'exception de l'aileron que j'envisage d'imprimer en TPU... Les pièces noires sont en Nylon MJF, les blanches en Nylon SLS, et le grises en metal SLM Le chassis et noir tout comme l'arceau cage (qui passera probablement en peinture, mais sans certitude sur la couleur à cet instant) Les Motor covers sont ici dans les deux version 380 et 540... Le gear cover est en plusieurs pièces (la seconde base est posée sur le chassis avec l'arceau cage) Les pièces blanches sur la première photo seront teinte en couleur claire à définir, et les gear sets ne sont pas une nouveauté... J'ai imprimé un tableau de bord et un pare brise pour compléter la carrosserie splitté imprimée en FDM... Le pare brise était super facile à obtenir avec un beau résultat. Pour le tableau de bord, l'impression filament fondu est un cauchemar : quelle que soit l'orientation choisie, les supports sont nécessaires et il y en aura beaucoup à ôter. Au final le résultat n'est pas trop mal malgré tout... Voici la carrosserie complète. Je vais devoir imprimer un arceau cage pour aller dessus, maintenant Mais ce n'est pas tout. Avec les pièces du Hunter, j'ai aussi commandé un print résine de cette carrosserie : il me fallait voir par moi même si c'était possible, car certains m'ont posé la question. Pour la science, j'en ai fait imprimer une... et elle est vraiment belle... Le logo Mitsubishi est clair et lisible (mais pas facile à voir sur la photo, il faudra attendre pour la peinture) Pas grand chose de plus à dire, à part que pour la peinture, le ponçage n'est pas absolument nécessaire et que l'apprêt peut être appliqué directement après dégraissage... Le tableau de bord est aussi superbe et très détaillé (une fois encore, la peinture sera nécessaire pour que cela soit visible sur les photos) La résine utilisée est la 8228 Light Green, choisie pour la stabilité dimensionnelle et la solidité. Il y a un poil de déformation sur la partie arrière, mais rien de majeur, et je suis vraiment content du résultat. Cela confirme la faisabilité en impression résine, pour un cout bien inférieur à aux option MJF ou SLS...
    4 points
  26. @dupouy je déplace ton post dans la bonne section car tu n'es vraiment pas au bon endroit Par contre si tu veux que l'on t'aide, il va falloir nous en dire plus car là on va demander à Mme Irma de sortir de sa retraite
    4 points
  27. J'ai du imprimer les mirroirs deux fois. Les supports sont difficile à ôter, et ce, quelle que soit l'orientation du print. Une impresssion à base de poudre sera définitivement mieux adaptée, avec potentiellement la possibilité de travailler avec du propylène qui donnera beaucoup de flexibilité à la pièce... Les fichiers pour les clusters sont déjà prêts. J'ai aussi préparé des masques pour les fenêtres, je partagerai le fichier quelque part (cults3D avec les fichier stl?). Ensuite : nettoyage de la carrosserie, masquage et peinture. Je en suis pas sûr de pouvoir faire cela pendant ce week-end, mais la cible c'est de faire ça très bientôt...
    4 points
  28. Plus simple, juste un autocollant "Attention 220V" ( voir éventuellement "Attention c'est chaud", "Ne pas manger", "Ne pas prendre son bain avec", "Ne pas utiliser comme sèche cheveux", ... )
    4 points
  29. Bingo ! Ca va servir de "cabine" de peinture T'inquiète on dirai pas comme ça mais soulever une machine de 80 kilos, je le fais avec un seul bras, suffit de manger des épinards le midi
    4 points
  30. Test et vidéo sur l'imprimante 3D résine Elegoo Mars 4 Max 6K avec son écran 35 µm qui rivalise avec des machines encore plus précises ! https://www.lesimprimantes3d.fr/test-elegoo-mars-4-max-6k-20240419/
    3 points
  31. Salut a tous !... Et bien comme toujours... le forum et ses membres sont de tres bon conseils !!!... Le projet a été accepté et cela fait 2 semaines que la bette... que dis-je... , le Monstre... est arrivé dans l entreprise ! Et c'est officiel !... je suis sous le charme et je prévois un budget pour m en payer une !!! Je suis carrément bluffer par sa capacité a bouffer du filament technique !!! Par exemple, le PC-PTFE de Nanovia s'imprime sans aucunes difficultés des la sortie du carton !!! Je kiff !!!! Et la machine est déjà rentabilisée pour l entreprise en une seulle impression avec une pièce qui coûte habituellement plus de 900€ !!!! C est démoniaque !!! Il n'y a pas d'autres mots !!! Vivement le mois prochain que je commande ma perso !!!
    3 points
  32. Non mais ce n'est pas des perles, c'est juste la façon normale de parler quand on est Lorrain : - "Monter en haut" - "Descendre en bas" Autres particularités : - triplement du pronom possessif : "C'est son sien à lui" - oublier le prénom de son interlocuteur : "Comment ça va David ?" se dit "Comment que c'est, gros ?" ou encore "la mère machin" ou "le fils du père la goutte" (= le fils dont on a oublié le nom du père dont on a oublié le nom qui distille de l'eau de vie mirabelle) - au collège (en milieu rural) lors d'une dictée il y avait une phrase dont le sujet était "La nièce" et bien nous avions tous écrit "L'Agniès" ; la prof de Français qui était une bourgeoise de la ville était choquée - quand on se souvient du prénom, mettre LE ou LA devant : "La Céline a dit que le François s'est scrounché en mobylette" Lorsqu'on quitte sa Lorraine natale pour aller travailler "chez les Français du centre" cette façon de parler est perçue comme choquante, et peut consituer un handicap en milieu professionnel - un temps d'adatation est nécessaire
    3 points
  33. La semaine dernière Creality fêtait ses 10 ans en annonçant des nouveaux produits comme ont aussi pu le faire Bambu Lab, Anycubic et BigTreeTech ! https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-432-20240415/
    3 points
  34. Moi je pense qu'ils peuvent nous faire, en moins d'un mois, une "nouvelle" sortie d'un ancien modèle d'imprimante, mais avec des beaux autocollants ( des flammes , des arc-en-ciel , des cœurs , ... ) et/ou une couleur de boitier et/ou châssis différent (Rose, Bleu pailleté, ... ) sans oublier d'ajouter deux "Googly eyes" sur la tête d'impression ( <- indispensable pour faire exploser les ventes )
    3 points
  35. Début de remise en marche des flèches, à l'origine c'est des électroaimant linéaire qui fait relever les flèches mais malgré le fait que ça fonctionne sur l'établie, sur la voiture, cela me fait cramer le faisceau électrique....pourquoi j'en sait rien donc j'ai cherchée une autre solution. J'ai trouvé des micro actionneur linéaire à moteur qui rentre tout pile dans le boitier de la flèche et qui ont le bon débattement, j'attends de recevoir les pilotes des moteurs pour l'arduino mais j'ai déjà fait des essais, j'en ai montée un et ça fonctionne bien reste le deuxième à faire. J'en ai profitée pour refaire les cabochons qui sont pourri, j'ai que du pla en orange, va falloir que j'achète du petg car j'ai peur qu'il se déforme avec la chaleur et que le orange perde sa couleur avec les uv (déjà qu'il est pas terrible comme orange..) L'origine Le moteur linéaire Moteur monté dans le boitier après quelques petits ajustements. Et en fonction Restera le plus chiant à faire la programmation de l'arduino... Je veux y mettre en plus un buzzer pour indiqué que les flèches sont en fonction et j'ai aussi achetée 2 commutateur de proximité à effet Hall, un pour mettre sur le frein à main et un pour mettre sur le levier de vitesse et faire sonner un buzzer si les 2 sont sur "on" (car on oublie souvent le frein à mains en roulant....).
    3 points
  36. Bonjour a tous, aujourd'hui à l'allumage de l'imprimante un nouveau firmware 2.6.5 m'a été proposé il ajoute beaucoup de chose dont je ne sais pas à quoi elles servent, il va falloir creuser : - support d'orca slicer en réseau.. jusque la on n'avait pas besoin de changement de firmware, je vais tester - support Flashforge Flash Maker : alors ça ajoute une Qrcode visiblement pour s'enregistrer. Ca sent bien ce dont @MrMagounet parlait- : l'application mobile - ajout d'une calibration du PID au même endroit que le nivellement et les vibrations. - la partie réseau aussi a été remaniée - l'interface, sur l'écran, d'information de l'imprimante a été complètement refait Par contre attention, depuis que j'ai installé cette mise à jour, je n'accès plus à la caméra
    3 points
  37. Dernièrement, Bambu Lab a lancé le "Parametric Model Maker" https://makerworld.com/en/makerlab/parametricModelMaker Qui offre la possibilité de faire du script OpenSCAD paramétrique avec une belle interface sur le site de Bambu Lab https://www.facebook.com/bambulab3D/posts/pfbid0smRaNhi4hTYsVzHJveDoBoHboNuJawVWNJStLvGzsS4nymGfpUU6y2zcHDvqREaPl J'aime déjà Même si je n'ai pas encore testé dans le détail. Cela semble accepter certains des scripts que j'avais réalisés ( Bon là, il n'a pas la police de caractères "Intro" donc il utilise une police par défaut ... mais sinon c'est globalement ce que j’attendais en résultat de mon script ".scad", qui chez moi donne en "preview" (qui permet de voir des couleurs, sinon "en rendu" c'est d'une seule couleur) et car j'ai la bonne police de caractère ) Définitivement la vue 3D navigable fera toute la différence face à la simple vignette d'aperçu de rendu sur le "Customizer" de Thingiverse. Ils semblent faire tourner cela avec la version "[2024, 3, 22]" de OpenSCAD ( Alors que le "Customizer" de Thingiverse utilise la version "[2015, 3, 0]" qui commence a dater.) Il me reste à faire d'autres essais pour trouver les limitations (et les fonts disponibles) en comparaison a cette même version d'OpenSCAD que l'on ferait tourner chez nous. Pour l'instant les trucs ou limitations, spécifique au "Parametric Model Maker" de Bambu Lab, que j'ai identifiés sont Seulement des rendus 3D. (Comme avec le "Customizer" de Thingiverse. Pas de possibilité de générer de la 2D pour par exemple faire un export ".svg") Si on clic sur "Download" de la vue 3D, on a le choix entre les formats ".stl" ou ".3mf" Pas d'affichage des couleurs (la vue 3D semble être, au sens OpenSCAD, "un rendu" donc sans les couleurs, et non un affichage d'une "Preview" qui permet des couleurs) ... Des petits détails sur la définition de paramètres dans un script OpenSCAD ( Je me base sur ce que document le "Customizer" de Thingiverse https://customizer.makerbot.com/docs#params // description du paramètre nom_parametre = valeur_par_defaut ; // expression_des_valeurs_possibles Bien noter que dans un script OpenSCAD un paramètre est plus un genre d'attribut ou d'argument, qui a une valeur constante tout le long de l’exécution du script OpenSCAD. Et n'est pas une variable de programmation comme en langage C/Java/..., car elle ne peut avoir qu'une valeur (avec la valeur de la dernière affectation si il y a plusieurs affectations dans le corps principal du script OpenSCAD) lors de l’exécution du script. Voir https://en.wikibooks.org/wiki/OpenSCAD_User_Manual/General#Variables pour plus de détails. ) Les "expression_des_valeurs_possibles" Drop down box ( Boîte déroulante ) Nombres : [0, 1, 2, 3] OK Chaînes : [foo, bar, baz] OK Valeurs étiquetées : [10 : Petite, 20 : Moyenne, 30 : Grande] OK Ne retire pas les guillemets si l'on a mis la valeur de l'étiquette entre guillemet. ( ex [10 : "Petite", ... ] Slider ( Glissière ) max (min est automatiquement mis à 0) : [100] OK min/max : [10:100] OK min/pas/max : [0:5:100] Il ne semple pas y avoir "le pas" de pris en compte pour l'instant. Boolean ( Valeur booléen Vrai ou Faux ) checkbox (Case a cocher) automatiquement si valeur par défaut "= true ; " ou "= false ; " Contrairement au customiser de Thingiverse qui ne savait pas interpréter les " = true ; " ou "= false ; " ( contournable en utilisant " = 0 ; " ( "0 == false" pour OpenScad cf https://en.wikibooks.org/wiki/OpenSCAD_User_Manual/General#Boolean_values ) ou " = 1 ; " et associer une étiquette pour ne pas perdre l'utilisateur, exemple " // [1:Vrai ,0:Faux] " ) Image To Surface [image_surface:100x100] Pas testée Image To Array [image_array:100x100] Pas testée Polygon Drawing Canvas [draw_polygon:100x100] Pas testée Pour faire le lien, un sujet des limitations que j'avais relevé sur l'app "Customizer" de Thingiverse
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  38. J'ai reçu une pièce d'histoire aujourd'hui... Il me fallait clairement prendre une autre photo, car une page de ce catalogue a inspiré l'un de ce projet... Une photo que je suis litéralement le seul à pouvoir faire à ce stade...
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  39. Ils ont posté quelques photo de l'Ace Pro (AMS) : "changements de couleurs intelligents et maintient au sec durant l'impression" (chauffage intégré?)
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  40. Étant passé à Lightburn qui vaut ses moins de 60€ au départ (moitié moins cher lors du renouvellement des mises à jour annuelles sinon licence à vie), j'avais vite fait bien fait testé LaserGRBL pendant le test du graveur Sculpfun S9 (voir ici si ça peut aider… c'est une version ancienne de LGRBL donc peut-être y-a-t'il des différences avec les dernières versions).
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  41. Ou alors tu fais comme moi tu mets le graveur laser sur la plaque de cuisson et tu mets la hotte aspirante en marche c'est pas moi qui a eu l'idée c'est @isidon
    3 points
  42. Le grappes de Nylon PA12 MJF pour la carrosserie de Hilux 44B sont arrivées aujourd'hui... Comme d'habitude, la surface est un peu granuleuse, mais le résultat est superbe comparée à la FDM... Voici une comparaison pour les miroirs. Quelle que soit l'orientation choisie, des supports sont requis, à moins de splitter la pièce dans le plan du tube du miroir, ce qui n'est d'ailleurs pas parfait non plus poru d'autres raisons. Ici les pièces imprimées en FDM l'ont été avec la partie supérieure du dos du miroir sur le lit d'impression. Pour avoir un meilleur résultat, il faudrait poncer. Les pièces FDM ont été imprimée avec du PETG, en utilisant une épaisseur de couche adaptative. Le problème principal reste les supports. La grappe MJF a de son côté un résultat homogène et sympa, même si la partie mirroir pourra nécessiter un peu de travail de ponçage... Je vais devoir peindre la second carrosserie et reconstruire le second Hilux, la première ayant été remontée à base de pièces d'origine à l'exception de l'arceau J'ai quelques Super Wheelies à reconstruire, et certains d'entre ex avec des cages très abimées et incomplètes. J'ai commandé 3 set complets d'accessoire pour compléter les carrosseries. La cible est de reconstruire (en plus de la carrosserie Mitsubishi Résine) : - une CJ-7 noire pour ma fille - une Land Cruiser blanche - une Land Cruiser bleue - CJ-7 blanche Et une fois cela fait, il me restera à revoir l'ensemble des pièces restantes (pour être claire, je crois que j'ai perdu le compte des voitures incomplète accumulées sur ce projet).
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  43. Il serait question de septembre / automne pour la Kobra 3 Combo avec son AMS.
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  44. Je mets le lien vidéo pour ceux qui veulent aussi suivre en direct Creality Halot Mage S 14K Creality Ender 3 V3 Plus
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  45. Disons que le chiffre 6 ne porte pas malheur, contrairement au 4 (j'aime bien l'exemple de l'ascenceur sur ton lien ) (pas d'étage 4, 14 et 13, trop risqué) Ils ont peut-être pas osé sortir ce numéro car leur modèle de pré-série pourrait être complètement opposé à cette croyance
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  46. Suite du teaser ... ils soulèvent légèrement le drap ... ils dévoilent deux noms de machines "Kobra 3 Combo" et "Photon Mono M7 Pro" https://forum.makeronline.com/topic/More Room for Creativity ANYCUBICs Latest Innovations Await-224.html
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  47. Je ne savais pas qu'on pouvait à l'époque commandé un pied à coulisse dans le lot
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  48. Je vous ai parlé des premières impressions, maintenant je vais vous parler en vrac (je veux dire dans le désordre ce n'est pas moi qui suis en vrac enfin je ne crois pas) de la machine physiquement, c'est ma première core XY et bien que connaissant le principe là je découvre de visu le système et je signale au passage le bon point d'avoir mis des rails linéaires sur tous les axes. Le châssis est vraiment solide et stable, c'est du genre cornières boulonnées, je n'ai pas retrouvé l'image mais j'ai vu une personne monter debout sur le châssis pour montrer sa solidité, pour ma part je n'ai pas essayé mais je veux bien le croire. Coté motorisation, les 3 moteurs de l'axe z qui supportent le lit sont de taille classique, par contre les 2 moteurs des axes X et Y sont plutôt de taille imposante, même à 700 mm/s (pour le bency) pas de perte de pas et ils ne chauffent presque pas, cette après midi j'ai fait une impression d'une heure et demi à 300 mm/s les moteurs étaient à peine tièdes. La tête d'impression est équipée d'une résistance céramique, elle peut chauffer jusqu'à 300°, la mise en chauffe est rapide, environ 20s pour atteindre 220°, la buse est bizarrement petite et en acier. L'extrudeur est un direct drive dual gear, mais petit point négatif il n'y a pas de manette de débrayage. Lorsque j'enlèverai le capot de protection je vous en dirai plus mais je peux déjà vous donner une petite particularité le driver TMC 2209 n'est pas sur la carte mère mais dans dans la tète d'impression, j'ai hâte de voir ça.
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