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Contenu avec la plus haute réputation depuis 30/08/2025 Dans tous les contenus

  1. Salutation à tous. Merci pour vos messages. Mes excuses à tous, je suis resté déconnecté du forum pour des raisons de santé et de deuil. J'ai, il y a quelque mois, fait un infarctus du myocarde. Mise en place d'un stent en urgence pour rouvrir une coronaire, suivi plusieurs jours au service d'urgence cardiaque, 3 semaines au centre de réadaptation cardiaque Bois Gibert, des médocs à vie, une hygiène de vie a revoir, car j'en ressors avec une insuffisance cardiaque avancée. Donc, le Shadok que je suis, pompe encore, mais la pompe a un moins bon rendement et il faut la surveiller de près. Et j'ai eu la tristesse du décès de mon père quelques jours après mon retour du centre de réadaptation cardio. Bois Giberts. Forcement cela m'a mis un coup au moral et j'ai eu besoin de me couper du forum afin de prendre soins de moi et me recentrer. J'espère être bientôt de nouveau plus actif sur le forum, et je vous souhaite une bonne continuation tous.
    16 points
  2. Personne ne s’est encore lancé dans la fabrication d’un vrai sécheur à bobines ? Je ne parle pas d’une simple boîte avec du dessicant pour assécher l’air ambiant, non, une vraie box active, avec chauffage intégré et tout le bordel. Bon, ben… je me lance. Ça fait des mois que ce projet traînait dans un tiroir, avec les pièces achetées et tout. Mais bon, la flemme, hein. Pas envie. Jusqu’ au jour où l’envie m’a pris comme… une envie pressante, quoi. Au départ, je voulais partir d’une boîte plastique du commerce mais vraiment trouvé ce que je voulais, alors j’ai tout fait de zéro. Matériel : Pour la boîte, je suis parti sur une plaque de Styroflex 1000×500 mm en 2,5 mm d’épaisseur, des cornières en PETG et du double face industriel pour l’assemblage. Pas n’importe lequel : du double face en rouleau de 31 cm, ultra-collant et résistant (toile tissée). Au début, je voulais juste réguler la température via une sonde, comme 90 % des boxes basiques du commerce. J’avais même acheté un module W3230, bien pratique, qu’on trouve partout. Sauf que… en cherchant le manuel pour proagrammer ce truc, je suis tombé sur un autre module bien plus marrant : le HX-M452. Lui, il gère à la fois la température et l’hygrométrie. Un truc très utilisé en Asie pour les couveuses, apparemment. Ni une, ni deux, j’ai switché. J’ai opté pour une box capable d’accueillir deux bobines. Dimensions : 250×210×250 mm. Comme d’hab, le plan est dans ma tête, pas de dessin au millimètre, pas de perte de temps à tout dessiner de A à Z. Et comme d’hab aussi, je me plante régulièrement. Je recommence trois fois les cornières en PETG, et puis tant pis. À mon âge, je change pas mes méthodes, je fais à l’arrache, et ça me va très bien comme ça. Les bandes de double-face coupé a la largeur des corniers J’ai découpé le Styroglass au cutter, rien de sorcier. Sur les quatre côtés, j’ai collé le double face à la largeur des cornières en petg. En théorie, sans mes traditionnelles conneries, ça m’aurait pris deux heures . En pratique ? J’y ai passé la journée. Pour une boîte... Le vrai souci, c’est qu’une fois la boîte montée, plus le droit à l’erreur. Et là, panique à bord, comment intégrer proprement le module ? Où placer les aérations sans tout faire péter ? Un trou mal placé, un coup de perceuse trop enthousiaste, et le Styroglass se fissure comme un biscuit sec. Un bon séchage sans aération active, ça n’existe pas. Franchement, je comprends même pas qu’on puisse vendre des boxes qui se contentent de laisser l’air humide stagner à l’intérieur. L’efficacité ? Douteuse, pour ne pas dire inexistante. Ma box, elle, va respirer, extraction forcée de l’air humide, point final. Bon, après le merdier des découpes et des trous, j’ai enfin réussi à intégrer la ventilation et le module. Je vous épargne les détailles, disons juste que ça a impliqué quelques jurons, un peu de bricolage créatif, et une prière pour que le Styroflex tienne le coup. A SUIVRE...
    7 points
  3. Simple OUI, Gratuit OUI, Efficace pas tout à fait : ce piège capture TOUT, sans aucune sélectivité, et tous les insectes meurent noyés. C’est pour cela qu’il a fallu trouver une solution, réfléchir à ne capturer que le frelon asiatique sans piéger les autres insectes. Les pièges-bouteilles sont à bannir totalement : ils nuisent énormément à la biodiversité. Quand on se lance dans la fabrication d’un piège, il y a 3 caractéristiques essentielles à prendre en compte : La sélectivité : des entrées ni trop petites, ni trop grandes Les sorties des insectes : dimensionner les issues pour ne retenir que le frelon asiatique L’appât protégé : pour attirer et surtout éviter que les insectes s’y noient Si on n’en tient pas compte, cela devient un piège à biodiversité, contre-productif et dangereux pour la nature.
    6 points
  4. "Les émancipations sont toxiques à forte concentration dans un environnement confiné." Sûr, mettez 50 jeunes libres de faire ce qu'ils veulent dans une cave et observez le résultat...
    6 points
  5. Petite collection de figurines luminescentes fallout
    6 points
  6. Bonjour, Je pensais ne plus trouver grand chose d'original en électronique... Mais voici trois projets d'horloges assez surprenants, créés dans le cadre du challenge "One Hertz" du site Hackaday https://hackaday.io/project/172231-the-electromechanicalanalogdigitalclock/details https://hackaday.io/project/202170-bezicron https://hackaday.io/project/203763-deriving-1-hz-from-candle-flame-oscillations Il y a plein d'idées originales et d'astuces. J'aime bien celle consistant à faire tourner un moteur pas à pas d'un tour par seconde en l'alimentant juste avec le secondaire d'un transformateur et deux condensateurs. A bientôt !
    6 points
  7. On continue l'exploration des entrailles de la Q2. Alimentation électrique L'alimentation électrique est située sous l'imprimante. Sa puissance de 350 W (24 V / ≃ 15 A) est suffisante pour alimenter les cartes électroniques, les ventilateurs, les moteurs et le lit chauffant. Son ventilateur tourne constamment et est audible machine à l'arrêt (idle). Une plaque de protection permet, une fois retirée d'accéder au câblage. Contrairement à bon nombre de ses concurrents, Qidi utilise encore des alimentations où la tension secteur est commutable via un sélecteur à deux positions (230 V / 120 V). Une étiquette sur la façade arrière de la Q2 indique la tension de l'imprimante réglée en usine, mais rien n'empêche d'aller la vérifier (on n'est jamais trop prudent, brancher l'imprimante sur du 230 V alors que l'alimentation est en 120 V conduira l'utilisateur à des déboires (l'inverse sera moins destructeur )). Le chauffage de l'enceinte est lui directement connecté au secteur (230 V en France) piloté par un SSR. Qidi a obtenu une certification MET. Le label MET indique que la sécurité du produit a été évaluée par un laboratoire indépendant agréé conformément aux normes nationales nord américaines. Les équipements électriques et électroniques testés et certifiés peuvent être utilisés en toute sécurité sur le lieu de travail (USA / Canada). Si j'ai bien compris, pour nous, Français, ce serait le label CB qui assure la conformité (toutefois, je ne suis pas un spécialiste, donc à prendre sous toutes réserves). Électronique La gestion de Klipper est assurée par plusieurs cartes électroniques propriétaires. Pour plus d'informations sur Klipper, je vous renvoie vers ce tutoriel. Carte OS (unité de calcul) L'accès à cette carte se fait à l'intérieur de l'enceinte, côté gauche, sous une protection plastique au-dessus du chauffage de l'enceinte (deux vis à retirer). Cette carte contient le système d'exploitation (Debian Bullseye (v11)) installé sur une eMMC de 32 Go. C'est par l'intermédiaire de liaisons série que la communication s'établit avec : la carte contrôleur gérant les matériels de l'imprimante, la tête d'impression, la Qidi Box branchée sur une platine fixée sur la façade arrière. La sérigraphie indique le modèle : X-9-1 (v1.5). Qidi n'a pour le moment fourni aucune documentation quant à celle-ci. On y trouve plusieurs composants électroniques : un processeur Rockchip, modèle RK3305B-S refroidit par un gros radiateur (vert) (datasheet: C2928030.pdf), une puce de mémoire vive (RAM) Winbond de 512 Mo (1 Go aurait été mieux), une puce eMMC soudée de 32 Go, taille suffisante pour accueillir l'OS et les fichiers gcodes / timelapses, une puce Wifi Realtek RTL8821cs (datasheet: RTL8821CS-Realtek.pdf). Cette puce fournit une connectivité Wifi sur les bandes 2,4 et 5 Ghz ainsi que le Bluetooth, une prise pigtail sur laquelle est connectée l'antenne Wifi (collée à l'intérieur sur la paroi gauche), un connecteur pour l'Ethernet (prise RJ45 déportée), un connecteur pour la nappe allant vers l'écran tactile, un connecteur pour la caméra (USB), un connecteur pour la liaison vers la carte contrôleur, … Sous réserve, en attendant que Qidi fournisse des schémas de câblage et d'attribution des broches, comme cela s'est fait pour les autres modèles, mon analyse : Carte contrôleur (unité de contrôle) L'accès à cette carte se fait après avoir retiré la façade arrière. Pour enlever complètement cette façade, il est nécessaire de déclipser le connecteur de tube PTFE (retirer le clip bleu, presser la collerette du pneufit noir, sortir le PTFE) : Une fois la façade retirée, les composants électroniques se trouvent dans la partie basse. Cette partie ne possède pas d'ouverture sur l'intérieur de l'imprimante, ce qui est une bonne chose pour éviter des transferts de chaleur. À noter que les moteurs (X et Y) sont, eux aussi, placés hors de l'enceinte, ce qui devrait leur assurer une meilleure longévité. On peut noter, en tout cas par rapport aux modèles de la Serie 3, qu'un effort a été réalisé pour le cheminement des câbles. La sérigraphie sur le PCB de la carte indique X-9-3 (v1.3.0). C'est elle qui gère les éléments matériels via le firmware Klipper installé dans la mémoire du microcontrôleur STM32. Les composants électroniques principaux : microcontrôleur STM32F407 @ 168 MHz, quatre pilotes moteurs (drivers) TMC équipés de gros radiateurs : 2 TMC2240 (axes X et Y), 2 TMC2209 (axes Z1 et Z2 indépendants) quelques MOSFETs De nombreuses prises (certaines non utilisées) pour connecter : ventilateurs moteurs thermistances : lit chauffant chauffage enceinte … La connexion de cette carte X-9-3 (unité de contrôle) avec la carte X-9-1 (unité de calcul) se fait en mode série (le serial:/dev/serial/by-id/usb-Klipper_QIDI_MAIN_V2_1.0.0_52A832373534350534343539-if00 de la section [mcu] du printer.cfg). Qidi n'a pas encore fourni le schéma électronique de cette carte avec les attributions de broches (pins). Sous réserve, en attendant que Qidi fournisse des schémas de câblage et d'attribution des broches, comme cela s'est fait pour les autres modèles, mon analyse : Carte fille (tête d'impression) L'accès à cette carte (A-10) s'effectue en retirant la trappe à l'arrière de la tête : Elle communique avec la carte X-9-1 en mode série. Ce n'est pas à proprement parler de l'USB, car la tension qui passe dans les câbles d'alimentation est de 24 V. Une fois la machine éteinte, les prises déconnectées, je peux accéder aux trois vis qui maintiennent le PCB sur l'arrière de la tête. De nombreuses puces sont recouvertes d'une grosse goute de vernis qui ne facilitent pas la lecture des inscriptions à l'aide de mon microscope électronique (amateur). Sous réserve, en attendant que Qidi fournisse des schémas de câblage et d'attribution des broches, comme cela s'est fait pour les autres modèles, mon analyse (face composant, face pistes) : Pour l'accéléromètre (LIS2DW), je ne suis pas certain de son emplacement . Écran tactile 4,3" Là, honnêtement, je n'ai pas eu le courage de désassembler la carte de son boitier. Les seules infos proviennent des sorties de dmesg : le tactile : input: Goodix Capacitive TouchScreen as /devices/platform/ff070000.i2c/i2c-3/3-005d/input/input0 communication apparemment via un framebuffer (fb) : rockchip-drm display-subsystem: [drm] fb0: rockchipdrmfb frame buffer device [drm] Initialized rockchip 3.0.0 20140818 for display-subsystem on minor 0 Dans le dossier utilisateur (mks), le dossier QD_Q2 contient le binaire (client) gérant l'affichage. Les images de l'écran (format .bin) ne sont pas directement lisibles. Elles se trouvent dans ~/QD_Q2/access. On peut y trouver quelques GIFs. mks@linaro-alip:~$ ls -al QD_Q2/ total 16 drwxr-xr-x 4 mks netdev 4096 Jan 15 2025 . drwxr-xr-x 19 mks netdev 4096 Aug 24 10:50 .. drwxr-xr-x 24 mks netdev 4096 Aug 23 18:14 access drwxr-xr-x 2 mks netdev 4096 Aug 23 18:14 bin mks@linaro-alip:~$ ls -al QD_Q2/bin total 13072 drwxr-xr-x 2 mks netdev 4096 Aug 23 18:14 . drwxr-xr-x 4 mks netdev 4096 Jan 15 2025 .. -rwxr-xr-x 1 mks netdev 13372952 Aug 20 10:50 client -rwxr-xr-x 1 mks netdev 181 Aug 20 10:50 start.sh mks@linaro-alip:~$ ls QD_Q2/access add_icon.bin box_two_icon.bin extruder_icon.bin layer_icon.bin popup start_logo.bin type_icon.bin adjust chamber_icon.bin extruder_red_icon.bin leveling preview startup weight_icon.bin back_pre.bin chamber_red_icon.bin file main printing stop_icon.bin z_offset_icon.bin back_rel.bin common flow_icon.bin multi_color printing_setting sub_icon.bin boot_logo.bin confirm_icon.bin home multi_colored_icon.bin setting switch_default.bin box_dry consumables hotbed_icon.bin multi_colored_icon_hot.bin setting_icon.bin switch_off.bin box_four_icon.bin control hotbed_red_icon.bin navi speed_icon.bin switch_on.bin box_one_icon.bin dry keyboard others start_error.bin switch_selected.bin box_three_icon.bin exclude_object language pause_icon.bin start_icon.bin time_icon.bin La prise USB sur le côté droit de l'écran permet le transfert de fichiers tranchés (gcode) et également la mise à jour du système (les fichiers de mise à jour sont alors placés dans un répertoire nommé QD_Update à la racine de la clé). Caméra Située à l'intérieur du caisson à droite, elle permet d'avoir une vue d'ensemble du plateau. Il faut juste ne pas oublier de retirer le film de protection de la lentille . Sa résolution fixée en usine à 640x480, peut être augmentée en modifiant le fichier crowsnest.conf. Pour ma part je l'ai passée à 1280x720 et 10 fps. Pas eu le courage de la démonter pour accéder à ses entrailles. lsusb et la lecture du périphérique indiqué dans le fichier de configuration indique une puce de la société chinoise icSpring (modèle CH9221) : Je compléterai ce sujet au fur et à mesure de mes découvertes (ou pas). D'ici là, un peu de patience pour la suite
    6 points
  8. Perso je suis pour le partage, mais il faut bien gagner sa vie aussi, n'as tu jamais rien vendu ?une impression, un vieux truc que tu ne voulais plus? je trouve aussi que le prix de cet appareil est un peu élevé, je pense qu'il aurait plutôt dû vendre les fichiers complet à 2 ou 3 euros, il aurait eu la même marge et sans prise de tête. Comme l'a dit Pascal plus haut, je vous trouve un peu excessif, notre forum n'as pas par habitude de défoncer les gens comme ça, j'espère que ce n'est qu'un mauvais passage...
    5 points
  9. Nouveau projet en cour, j'ai tous les fichiers mais je vais faire que le casque, je vais y ajouter de l'éclairage et modélisé le lampe qui manque. Il y a déjà quelques impressions de faites
    5 points
  10. Normalement tu peux faire une réduction mais te dire quel pourcentage c'est difficile, par contre bien vérifier que tu appliques le même pourcentage à toutes tes pièces Par contre je préfère lorsque je créé des pièces qui s'emboite, l'astuce que j'utilise pour vérifier l'emboitement c'est de n'imprimer que la partie des pièces que je veux contrôler
    5 points
  11. Qui est en mauvais état ? l'imprimante ou l'ami ? Zatiz ze kesstion.
    5 points
  12. Je ne veux pas savoir ce qu'il fait avec les Hobbits...
    5 points
  13. Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit mais y'a de l'idée. Je pense qu'il y a deux moyens de faire vivre un projet OpenSource : le dévouement et le mécénat. Pour le premier, solo ou communautaire où il n'est pas question d'argent ça peut être une équipe de passionnés par un projet, qui ne pense qu'à en faire profiter la communauté sachant pertinemment qu'ils n'en feront pas de business suffisant pour en vivre ça peut être également des jeunes qui vivent encore chez papa maman, qui développent sans compter leurs heures de codage nocturne avec pour seul objectif d'apprendre et de relever des défis Pour le second, ce sont des entreprises qui payent des employés pour écrire du code OpenSource, dont le patron adhère lui-même à cette philosophie. C'est à double tranchant car les concurrents en bénéficient aussi. On le voit très bien dans les imprimantes 3D à tous les niveaux, mécanique, firmware, slicer... Dans les deux cas l'OpenSource c'est un état d'esprit qu'on a ou qu'on a pas. Lorsqu'on l'a, il est difficile à maintenir devant les "injustices", mais dont on sait dès le départ qu'elles nous pendaient au nez. Pour le pékin moyen, l'OpenSource est bien souvent la première option. Dans ce cas là ça ne peut être qu'une activité secondaire, il faut bien payer ses factures pour vivre. Or après quelques années de vie active, on commence à voir le temps comme des euros et le temps libre coûte cher. Beaucoup font le constat que ces heures "travaillées" gratuitement pourrait être payées. Ajoutons à cela ceux qui font de l'argent sur ton propre travail alors que toi rien, et on arrive ici. La seconde option c'est l'entreprise qui fera du business grâce au projet OpenSource, ça permet au développeur de payer ses factures en produisant de l'OpenSource, tout en ayant la possibilité de bénéficier des contributions de la communauté. C'est un plan gagnant-gagnant à tous les niveaux entreprise/employé/communauté/projet si toutefois l'entreprise ne se fait pas bouffer par la concurrence qui piochera grassement dans le travail commun. Bien sûr tout n'est pas blanc ou noir, il y en a toujours qui arrivent à faire un peu de business de leurs productions, mais de là a en vivre c'est un autre métier... Pour en revenir à mon intervention, je suis dans la catégorie pékin moyen. Je fais toujours de l'OpenSource mais je n'y passe plus des nuits blanches comme lorsque j'étais jeune. Tout au plus je contribue à un bugfix ici ou là. En revanche je favorise toujours l'OpenSource lorsque c'est possible en perso comme en pro, on ne se refait pas.
    5 points
  14. Moi, je trouve ton résultat très bon dans notre monde d'amateur
    5 points
  15. Composants matériels La structure est constituée d'un solide cadre acier associé à des parois en matière plastique. Une porte et un capot en verre fumé bleu/violet complètent l'habillage. Ces parois plastiques incorporent un retardateur de feu, d'après le fabricant. Cinématique CoreXY La tête d'impression se déplace dans le plan à la fois en X et en Y, les deux moteurs agissent de conserve. Plus d'explications techniques à propos de la cinématique CoreXY ici. Les avantages théoriques de cette cinématique CoreXY : espace réduit (le lit chauffant ne se déplace que de haut en bas), structure cubique permettant de fermer celle-ci afin d'obtenir une enceinte étanche, les deux moteurs pas à pas se complètent pour réaliser les mouvements X/Y, rapide et précis lorsque utilisé avec une tête d'impression légère Mais peut aussi présenter quelques inconvénients : la tension des courroies est critique, nécessite un cadre parfaitement rigide et d'équerre, le système de poulies et la longueur du cheminement des courroies La tête d'impression est située sur l'axe X, un rail de guidage (MGN12) permet les déplacements (gauche - droite) : Cet axe X est guidé sur l'axe Y via une tige linéaire de diamètre 8 mm associée à une douille à billes LMU8UU (une tige et douille de chaque côté). Le déplacement de la tête utilise des courroies de 7 mm de pas 1,5 mm assurant d'après Qidi plus de précision et moins de phénomène de VFA (Ellis ' Guide). Ces courroies peuvent être retendues si nécessaire (voir le Wiki de Qidi pour les explications), après avoir dévissé un peu (pas complètement ) les quatre vis pour chaque moteur, on déplace la tête suivant le parcours préconisé puis on resserre toutes les vis. Chacun des tendeurs est muni d'un ressort assurant la bonne tension. Les vis (4) qui maintiennent les moteurs en position sont vissées directement dans le plastique. Éviter de procéder fréquemment à la re-tension des courroies. Plateau d'impression Le plateau chauffant (24 V) est constitué d'une plaque d'aluminium de 3 mm recouverte d'une base magnétique. Il peut atteindre la température maximale de 120 "C. De chaque côté, celui-ci est guidé par deux tiges linéaires de 10 mm associées à des douilles à billes LMU10UU. La montée / descente est réalisée par une vis trapézoïdale également de diamètre 10 mm. Un tour complet monte / descend le plateau de 4 mm. La vis mère est de type T10/4 (pas de 2 mm, 2 filets). Le paramètre rotation_distance de la section [extruder] du fichier printer.cfg, a pour valeur 4 (pas_vis * nombre_de_filets), elle permet d'atténuer la descente du plateau par gravité lorsque les moteurs Z ne sont plus alimentés. Un moteur pour chaque tige trapézoïdale permet d'ajuster de manière indépendante l'inclinaison du plateau. Cet ajustement est réalisé au départ de chaque nouvelle impression (Z_TILT_ADJUST), contribuant à une meilleure adhérence. Le maintien de la plaque de tôle flexible et amovible sur le plateau chauffant se fait en la positionnant sur la plaque magnétique collée sur le lit chauffant. Le support du plateau est muni à chaque coin arrière de rebords assurant le centrage de la tôle. Au cas où l'utilisateur oublierait de repositionner la tôle recouverte de PEI, un rappel est inscrit sur la base magnétique. Rappel qu'il vaut mieux respecter afin d'éviter toute déconvenue . Sous le plateau chauffant, il n'y a aucun isolant thermique. Cela permettrait d'assurer une répartition plus homogène de la température. Les déperditions caloriques contribuent toutefois au chauffage interne du caisson. Ventilation De nombreux ventilateurs permettent le refroidissement ou l'évacuation de l'air interne. À l'intérieur de l'enceinte, trois ventilateurs : Un axial 8025 à l'arrière, permet d'évacuer l'air «vicié» à l'extérieur du caisson. Un filtre HEPA+charbon actif filtre les émanations( Wiki, comment le remplacer). Il est possible de monter un conduit d'évacuation vers l'extérieur, les trous de fixation d'un adaptateur préexistent : Sur le côté droit, le ventilateur de refroidissement du filament auxiliaire, probablement un radial de 120 mm (pas eu le courage de le démonter ) Sur le côté gauche, le ventilateur de chauffage de l'enceinte (un radial de 92 mm). Il aspire l'air en haut et le rejette en bas, créant un flux de circulation. Le chauffage PTC est alimenté par la tension secteur via un SSR / Mosfet), capable de chauffer l'enceinte jusqu'à 65 °C, il est muni d'une sécurité anti-emballement thermique. À l'arrière de l'imprimante, la carte contrôleur est refroidie par un petit ventilateur axial 4010, fixé sur la paroi. Celui-ci est régulé par la mise en marche des pilotes de l'axe Z. Qidi, les active dès le démarrage de la machine, il souffle donc tout le temps. Il n'y a qu'à la fin d'une impression, qu'ils sont désactivés, ce qui stoppe le refroidissement de la carte contrôleur. Au-dessous de l'imprimante se trouve l'alimentation secteur munie d'un ventilateur. Non régulé, il souffle constamment. Les derniers ventilateurs de cette Q2 sont situés dans la tête d'impression. Un 5015 radial refroidit le filament et un 2510 axial refroidit le radiateur quand la température de la buse passe au-dessus de 50 °C. Tête d'impression (extrudeur / tête de chauffe) La tête d'impression de cette Q2 est plutôt compacte : 54 x 88 x 120mm (largeur x profondeur x hauteur). Son capot avant est facile à enlever (faire levier en bas du capot pour déboiter les magnets, puis lever pour le sortir des deux ergots de maintien). Comme aucun ventilateur n'y est attaché, on peut le poser où on veut . À l'arrière, une trappe coulissante permet d'accéder au PCB de la carte électronique. Pour des dépannages, il n'y aura donc aucune vis à retirer . En plus des ventilateurs déjà vus, la tête d'impression est composée de deux principaux éléments : l'extrudeur, la tête de chauffe. Entre les deux se trouve le coupe-filament, actionné par un levier quand la tête vient en butée sur l'avant gauche de la Q2. Avec cette tête, c'est la buse à l'aide d'une jauge de pression qui fait office de détecteur de fin de course. Ce système oblige à avoir une buse parfaitement propre. La présence d'un résidu de filament fausserait la mesure. Raison pour laquelle, même si le processus de nettoyage semble long, qu'il soit réalisé régulièrement et méthodiquement. Extrudeur L'engrenage d'entrainement du filament consiste en deux roues dentées en acier durci (ce qui devrait être plus durable avec des filaments chargés (fibre de carbone ou verre, …)). Le double entrainement est effectué via un moteur Nema14 circulaire. Au-dessus de ces roues d'entrainement, on trouve un interrupteur détectant la présence (ou l'absence) de filament, mais pas de détection d'un filament bloqué . Tête de chauffe La tête de chauffe autorise une température jusqu'à 370 ”C. Températures permettant l'impression de filaments techniques (PET, PA, PPS, PC, …). Elle se compose : d'un radiateur (zone froide) refroidi par le ventilateur précédemment vu, d'un corps de chauffe en céramique, d'une buse «tout-en-un» de longueur ≃ 53 mm et d'une chaussette en silicone pour protéger cette partie chauffante. La buse est légèrement plus longue que celle de la Qidi Plus4 (51,5 mm). Qidi l'indique d'ailleurs sur son site de vente des accessoires : En haut une buse pour la Plus4, en bas celle de la Q2 : Elle est constituée de quatre parties : buse proprement dite incorporant une pointe en acier durci (longueur ≃ 30 mm) transition en céramique ( 3 mm) heatbreak (≃ 10 mm) tube d'entrée du filament (≃ 10 mm), c'est lui qui est un peu plus long sur la Q2 Sur le haut du radiateur se trouve la jauge de pression, le mécanisme détectant par contact quand la buse est au niveau de la surface d'impression. On y reviendra lors de l'examen de la plaque PCB de la tête d'impression (sans trop divulgâcher, la puce électronique (convertisseur ADC) est une CS1237 (déjà vue sur les Anycubic Kobra S1) . Nettoyage / purge filament Le nettoyage de la buse s'effectue sur la partie arrière de l'imprimante. Ce nettoyage doit être le plus parfait possible. Tout résidu de filament restant sur la buse fausserait les mesures de la jauge de pression utilisée pour détecter le point 0 du plateau. Trois zones sont utilisées pour le nettoyage du filament : parking de la tête sur l'éjecteur de purge une lamelle métallique un racloir des lamelles en silicone la tôle flexible (PEI) possède un débordement. C'est là que se positionne la buse lors des montées / descente de températures utilisées pour le nettoyage un tapis silicone permettant de nettoyer la buse (mouvement de va-et-vient) De gauche à droite, la tête positionnée aux différents endroits utilisés lors de la procédure de nettoyage et purge du filament (parking, PEI, brosse silicone) : Vidéo du processus de nettoyage de la buse ; Voilà, c'est fini… pour aujourd'hui Cette partie matérielle sera poursuivie par l'examen de l'électronique. À bientôt
    5 points
  16. On organise un concours avec Creality pour gagner une K2 Combo avec son CFS ou des bobines de filament ! Ca se passe sur Instagram et expliqué dans cette vidéo : https://www.instagram.com/p/DPGzr2SifpX/ Résultat du tirage au sort le 9 octobre !
    4 points
  17. Salut Et voilà le résultat de la 1e impression 5 couleurs après l'upgrade Le seul défaut vient du blocage du filament gris clair à la fin de la bobine qui est resté coincé dans le moyeu. La machine s'est arrêtée avec un message d'erreur disant que le filament était bloqué. Mais c'était trop tard. Au redémarrage, il manquait quelques lignes. Défaut visible sur le côté gauche de l'impression. J'avais déjà eu le pb sur ma P1S et j'aurais dû penser à vérifier que ça n'allait pas bloquer. A part ça rien à redire si ce n'est de reprendre un peu le design du logo pour améliorer la qualité du rendu final Je n'avais pratiquement pas utilisé la XL avant ça. Et je trouve que c'est une belle machine bien conçue. Du Prusa quoi Le système de tool changer permet de gagner du temps et limiter les pertes de purge. De plus, l'accès aux différents éléments est très facile que ce soit pour remplacer des pièces, upgrader la machine ou même charger les filaments. A part l'inter marche/arret à l'arrière qui est un loin à atteindre. Mais ce n'est pas une exclusivité de la XL Il ne lui manque qu'une enceinte. Mais mes collègues vont sans doute en faire une maison. Je compare avec la P1S et son AMS. La surface du plateau est gigantesque. L'imprimante est équipée d'un plateau PEI satiné qui donne un bel état de surface à la pièce imprimée. Voilà la XL repart pour une longue vie d'impression en 5 couleurs et moi, je pars mardi prochain à la retraite A+ JC
    4 points
  18. Salut J'ai fait l'upgrade hier. Aucun souci notable et il m'a fallu 5h entre le début de la procédure avec le déchargement des filaments qui étaient encore chargés dans les 2 têtes et la fin de la calibration complète de l'imprimante. Comme souvent dans ce genre d'opération, il y a 2 règles à respecter. La 1e suivre à la lettre les explications et photos de la doc. La 2e suivre à la lettre les explications et photos de la doc. Il faut avoir aussi les bons outils qui sont fournis par Prusa. Avec ça aucune surprise Pour rappel, la doc en ligne et la version pdf sont dispo là : https://help.prusa3d.com/fr/manual/mise-a-niveau-de-loriginal-prusa-xl-double-tete-vers-cinq-tetes_2113 Quelques petites remarques cependant qui pour certaines apparaissent dans la doc 4 - Assemblage du bloc d'alimentation & de l'électronique - Etape 12: Placer l'inter de la 3e alim sur "On" avant de mettre le capot protecteur. Même si vu la forme du capot, je pense qu'en forçant un peu l'inter doit basculer sur "On" 4 - Assemblage du bloc d'alimentation & de l'électronique - Etape 17: Il n'y a pas beaucoup de place pour serrer les 2 vis du bas à cause du plateau. Prévoir éventuellement de les resserrer une fois l'imprimante remise en marche et après avoir remonté le plateau 4 - Assemblage du bloc d'alimentation & de l'électronique - Etape 20: Insérer les 2 vis dans les cosses avant de les monter sur la carte. Les trous sont un peu petits. 4 - Assemblage du bloc d'alimentation & de l'électronique - Etape 22: Ne pas hésiter à écarter délicatement les câbles déjà en place pour accéder au connecteur et brancher correctement le câble du 2e détecteur de filament Ne pas serrer les colliers plastiques au risque de finir par couper les câbles 5 - Assemblage du Nextruder & des accessoires - Etape 8: Comme annoncé par @Kachidoki j'ai un peu galéré pour monter les Nextruders. Surtout le premier. Pour les autres, ça a été plus rapide. A savoir que sur la version 2 têtes, il y a une vis dans le rail de fixation au niveau du Nextruder N°3. Laissez cette vis en place, ou resserrez là après avoir poussé le rail vers la gauche, elle empêche le rail de bouger. J'ai monté la tête N°3 en dernier après avoir fixé les 4 autres et après avoir enlevé la vis 5 - Assemblage du Nextruder & des accessoires - Etape 19: Il manquait le système de blocage du tube PTFE sur le capteur de filament droit quand il a été livré avec la XL. Impossible de connecter et maintenir le tube PTFE en place pour le Nextruder N°3 . Arès avoir contacté le support Prusa par chat, il m'envoie la pièce. Merci Prusa pour leur réactivité et leur "générosité". 3,85€ le bout quand même. En attendant, je l'ai fixé avec un bout de scotch 5 - Assemblage du Nextruder & des accessoires - Etape 31: Petit changement au niveau du connecteur du Nextruder pour répondre à la question de @Kachidoki. Il y a maintenant 2 vis qui le maintiennent en place. Je n'ai pas de photo. Sur la doc il y a encore l'ancienne version Et voilà une XL avec 5 têtes Je viens de lancer une impression en 5 couleurs pour faire un logo pour le boulot Rdv dans 2h30 pour le résultat final A+ JC
    4 points
  19. Absolument pas d’accord. Les hotends d’aujourd’hui sont infiniment plus simples à utiliser et surtout à remplacer, y compris, et surtout, en cas de bouchon. Ce n’est même pas comparable en fait. Ça a évolué, et dans le bon sens. Là, le problème n’est pas la machine ni la hotend, mais l’utilisateur et aussi la faute à pas de chance. Coince une hotend ou une buse entre une pièce et le châssis pendant un déplacement rapide, d’une manière ou d’une autre, tu auras des dégâts, E3D, Bondtech ou pas. Le dégât ne sera peut-être pas au niveau de la hotend, mais ailleurs, quand tu as un chariot qui se déplace à 500 mm/s, là où il y a 3 ou 4 ans les chariots se traînaient à 150 mm/s, ça change tout.
    4 points
  20. Je viens de publier le test de l'AMS Heater sur le blog : https://www.lesimprimantes3d.fr/test-sunlu-ams-heater-20250905/
    4 points
  21. Salut salut !! Comment allez-vous ? j’étais beaucoup moins présent sur le forum car j’ai subi de multiples opérations car j’ai eu pas mal de problèmes de santé dont un accident en plus et non responsable (fémur droit cassé…)... Depuis tout recommence à allez mieux mais mon travail dans le service médical me prend un temps fou... Pour vous dire je suis encore avec mon ancienne Anycubic Kobra Max... même si je rêve de me prendre une Bambu par la suite, j’attend de voir la H2C lol Mais je suis plus trop à la page pour aider les gens sur les dernier modèle actuelle... Va falloir que je prenne du temps pour m’instruire un peux sur les nouveauté Je collabore régulièrement avec quelques marques dans les aspirateurs robot (Mova, Dreame, Eureka...), plus particulièrement avec Mova, et je ne sais pas si vous êtes au courant, mais il lance un projet d’une imprimante 3D sous la marque AtomForm, je vous colle le lien pour voir les specs : https://atomform.tech. Niveau caractéristiques ça a l'air assez fou ! J’espère que de votre côté tout va bien ? À bientôt . Guillaume.S
    4 points
  22. Welcome back en pleine forme je l'espère (et te le souhaite) ! C'est de la folie cette Palette 300 sur le papier, j'étais complètement passé à côté de l'info (que j'ai ajoutée au récap qui vient de sortir sur le blog) ! On peut voir le système de changement de buse plus en détail sur Reddit :
    4 points
  23. On peut en ajouter. Le KAMP est déjà présent, mais pas activé. Comme le Klipper et le Moonraker ne sont ni up-to-date, ni officiels, l'ajout d'autres dépôt Git n'est pas forcément facile. Déjà, le logiciel git n'est pas installé Mais comme l'OS est basé sur une distribution Debian ancienne (bullseye), la mise à jour des dépôts logiciels provoque une erreur pour les dépôts «backports» Ça se résout en éditant le fichier sources.list avec l'adresse archive.debian.org au lieu de deb.debian.org. J'ai également modifié les adresses des dépôts Qidi qui pointent vers un miroir en Chine Un sudo apt update met à jour la liste (accès ssh => mks / makerbase), puis un sudo apt install git pour installer git Actuellement, j'ai complété l'écosystème Klipper avec Shake&Tune, KlipperBackup sans rencontrer de problèmes. KIAUH est installé, mais dans une version très ancienne (4.x) et également modifié par Qidi (je l'ai d'abord sauvegardé puis supprimé et réinstallé via la procédure officielle). Ne surtout pas faire de mise à jour de Klipper / Moonraker via son intermédiaire (impossible de toute façon, car ils ne sont pas considérés comme des dépôt git (l'historique a été supprimé (plus de dossier caché .git ). Via le KIAUH «officiel», j'ai mis à jour Fluidd. Mettre à jour via KIAUH Croswnest provoque une erreur et nécessite une intervention manuelle hors KIAUH (git stash, git pull, git stash pop) Ces derniers points seront l'objet d'un article plus fouillé dans cette revue.
    4 points
  24. Découvrez Split3r, la Raise3D E3, la Secure Line d’UltiMaker, les promos d'anniversaire d'Elegoo, Biqu, et xTool et le test Kobra 3 Max. https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-506-20250914/
    3 points
  25. @paulnux On va bientôt ouvrir son carton
    3 points
  26. Je reviens un peu sur ce post, bon, après l’heure, j’imagine que l’initiateur du post fait déjà du montage vidéo sur le choix qu’il a fait. Juste pour vous dire que si vous avez un souci de ce côté, montage vidéo, si c’est raisonnable comme demande, donc si vous ne me demandez pas de vous former au montage vidéo gratuitement. Et bien je peux vous aider en cas de besoin. C’est mon travail, de former des pros et aussi des entrepreneurs qui communique sur internet, donc je maitrise un peu on dira. Par contre, je ne vous aiderai pas sur un logiciel que je ne préconise pas. Tout simplement parce que je ne veux pas à avoir besoin d’apprendre les bases de ce logiciel pour vous aider. Même à titre pro, je ne prends plus les demandes des centres de formation qui veulent que je forme les stagiaires sur un outil que je n’utilise pas, sous-entendu, que j’arriverais à répondre. Donc à titre bénévole ça va être pareil. Les outils sur lesquels je forme sont: DaVinci Resolve et pour un usage plus simple et sur un iPad, LumaFusion qui est d’ailleurs une merveille à ce niveau-là. Pour DaVinci Resolve même s’il est extrêmement puissant, c’est pour moi un logiciel logique. C’est-à-dire que c’est ordonné pour faciliter la compréhension. Vous n’êtes pas obligé de vouloir faire un film de cinéma pour l’utiliser, même en mode simple cela marche, et les outils IA des dernières versions sont tellement puissants qu’ils sauvent régulièrement mes stagiaires des erreurs qu’ils ont faites au tournage. Donc c’est en effet, si on a la machine pour le faire tourner correctement, le meilleur choix je trouve, et il a une version gratuite en plus. Pour Lumafusion, c’était un choix un peu différent. Il y a quelques années les personnes qui se mettaient au montage vidéo, n’avaient jamais d’ordinateur assez puissant pour faire des montages 4K par exemple. Il fallait une bête de course aussi bien sur Mac que sur PC. Et à moindre cout, l’achat d’un iPad permettait de faire du montage facilement même en 4K avec LumaFusion. Ça a été la première raison de mon intérêt pour ce logiciel. Aujourd’hui avec les puces Apple Silicon, même le portable le plus économique de la pomme permet de faire tourner Resolve correctement. Et les premiers portables Mac arrivent juste un poil dessus du prix d’un iPad, donc l’intérêt peut sembler moins évident. Avec les PC, les premiers prix ne feront pas forcément tourner correctement un Resolve. Un ordinateur déjà plus costaud le fera tourner très bien. C’est pareil pour Adobe Premiere, quasiment le même besoin de puissance. Par contre j’ai toujours des stagiaires qu’ils l’ont pour pouvoir si besoin le faire tourner sur leurs téléphones, même si faire un montage sur le téléphone est possible, mais bon, les tout de même chtiote le n’écran pour faire du montage. Bon, au final si vous avez une demande je me ferais un plaisir de vous aider. Je ne sais pas encore comment on tague une personne sur le forum, mais j’imagine que c’est possible et donc tague moi, et je reviendrai vers vous. Deux petites photo, pour vous rassurer sur mes capacités en la matières, un carte de visite formateur et une image d'un des montage de film que j'ai fait.
    3 points
  27. Salut Ca faisait longtemps Bambu Lab nous gratifie d'une nouvelle version de Bambu Studio la 2.2.2 https://wiki.bambulab.com/en/software/bambu-studio/release/release-note-2-2-2 Cette version est basée sur V2.2.1.60, en ajoutant la prise en charge de la fonction d'optimisation additive Helio et en fixant plusieurs bogues connus. Fraichement installée, mais pas encore testée Bonne découverte A+ JC
    3 points
  28. Bon j'ai craqué pour la Centauri Carbon, hâte de tester tout ça , encore merci pour les conseils.
    3 points
  29. Des fois l'impression 3d ça prends la tête... Mais des fois ça permet de finaliser des projets démarrés des années avant ! J'ai donc fini mon apareil Binaural, cela permets d'enregistrer des sons "en 3d" mais avec seulement deux micros. https://screenapp.io/app/#/shared/he1SNoCwJV enregistré il y a quelques minutes, a écouter avec un casque bien entendu.
    3 points
  30. Non, le carton à l'air en bon état oui je sors -> Par contre on sait que ça a été livré à CAEN et à qui ...
    3 points
  31. C'est assez flou Je ne dis pas qu'elle est volée, car c'est peu probable. Mais cela me fait penser aux téléphones et aux voitures connectées qui peuvent être bloqués en cas de vol ou de perte. Je me demande ce qu'il en est des imprimantes Bambu Lab : si une machine est déclarée ainsi, peut-elle être bloquée via le cloud (certes elle pourra toujours fonctionner offline) ?
    3 points
  32. Merci @3xkirax3 On continue... Pour l'extraction de l'air, tout comme l'entrée d'ailleurs, j'ai opté pour un système très simple à clapet que j'ai modélisé avec Tinkercad. Un ventilateur de 40mm (que j'avais en stock) se chargera de pousser le clapet via la pression d'air. A l'arrêt, le clapet ferme la sortie d'air. Un morceau de trombone servira d'axe. Les premiers tests sont concluants .. En attendant le radiateur (que je n'ai pas encore reçu), je n'ai pas pu résister. J’ai bidouillé un système de chauffage avec la seule lampe 40 W qui traînait. Résultat ? 35 °C max. Décevant. Alors, j’ai sorti........ les bougies. Au début, elles avaient tendance à s’éteindre ou à brûler comme un mourant en sursis (flamme famélique, quoi). Bon signe. Ça voulait dire que la box était presque étanche, et pourtant les trous de passage de câbles n’étaient même pas bouchés. Mais une fois le ventilo lancé, magie , la température a grimpé sec, et l’humidité a dégringolé. D’un côté, le ventilo qui extrait l’air humide comme un forcené. De l’autre, l’air frais qui s’engouffre par la sortie à contre-sens, comme un intrus qui forcerait le passage. C'est curieux à voir. En moins de 10 minutes, j’étais à 49 °C avec un taux d’humidité à 22 %. Prometteur, surtout que le brassage d’air est loin d’être optimal sans entrée d’air dédiée. Vivement le radiateur, parce que là, c’est du bricolage… mais ça marche.
    3 points
  33. Un carton reçu ce matin, je vous prévient ça n'est pas facile... je vous aide un peu c'est un accessoire deuxième indice le chat Grizzli n'est pas arrivé avec, mais il est comme @PPAC il adore les cartons
    3 points
  34. Un premier examen des matériels est en ligne : >>> ici <<<
    3 points
  35. Ça fonctionnera mieux si cet axe est perpendiculaire aux axes X et Y et parallèle à l'autre Z
    3 points
  36. A ce point là (casse matériel), ca ne m'est jamais arrivé et on en croise pas tous les matins non plus. La plupart du temps, la pièce bouge un peu, et l'imprimante fini dans le vide en te remplissant l'espace de spaghettis. C'est relou mais on bon coup de nettoyage et c'est reparti. Le bon conseil c'est celui de @MrMagounet : je check très régulièrement mon impression au moins le temps du 1er cm. Si j'ai aucun souci à ce stade, en général je suis quasiment certain de passer le reste de l'impression tranquille.
    3 points
  37. Début d'impression après quelques tests, Les parois droite et gauche avec la moitié de la base sur chaque coté est imprimés ainsi que le couvercle. Pour le moment tout s'emboite nickel. Je posterai des photos de l'impression fini de chaque pièce.
    3 points
  38. Plutôt que plafonner arbitrairement l'accélération, je me base sur les données issues des tests de compensation de résonances. Ayant installé, Shake and Tune, les graphiques indiquent pour chaque modèle de mise en forme, les accélérations maximales utilisées. Ensuite dans la section [printer] du fichier printer.cfg, il suffit de modifier la valeur de max_accel. Avec le Klipper de Qidi, basé sur une version standard de Klipper, il n'est pas possible, contrairement à Kalico, de différencier les accélérations par axe. Cela oblige donc à utiliser la valeur la plus petite de l'accélération maximale d'un axe (la plupart du temps, c'est le Y qui limite). Actuellement sur ma Q2 : [printer] kinematics:corexy max_velocity: 600 max_accel: 6400 max_z_velocity: 20 max_z_accel: 500 square_corner_velocity: 8 … #*# [input_shaper] #*# shaper_type_x = zv #*# shaper_freq_x = 52.0 #*# shaper_type_y = mzv #*# shaper_freq_y = 46.8
    3 points
  39. "Fusée de Tintin 1m50. Je cherche une idée pour y mettre un arduino dedans. - Une led dans le réacteur qui s’allume quand on pense devant ," GÉNIAL, j'aimerais connaitre la référence de l'Arduino qui réagit à la penser
    3 points
  40. Fusée de Tintin 1m50. Je cherche une idée pour y mettre un arduino dedans. - Une led dans le réacteur qui s’allume quand on pense devant , - Des flammes (en PLA ) qui sortent grâce à un cerveau moteur … ?
    3 points
  41. On ne parle pas de la même chose. Je réalise des découpes chimique dans du laiton de 0.5mm: Pour réaliser ça en Echelle O. On oublie donc la cisaille et la lime. En plus je grave en relief. La gravure photochimique est complexe, chronophage et toxique. Je voulais m'essayer au laser pour pallier à ça. Mais le coût d'une machine conçue pour cette application est très élevé, trop pour un loisir. Les petites machines Ir sont incapable de réaliser ce genre de travaux. Elles grignotent le laiton mais ne le coupent pas. J'ai donc abandonné l'idée.
    3 points
  42. T'habites pas dans une tour j’espère ?? (si vous me cherchez , je suis pas là....)
    3 points
  43. Test d'un accessoire Sunlu plutôt pratique pour l'AMS première génération de Bambu Lab https://www.lesimprimantes3d.fr/test-sunlu-ams-heater-20250905/
    3 points
  44. Le problème classique d' ICC (PEBCAK en anglais) s'applique dans bien d'autres domaines que l'informatique
    3 points
  45. Un petit dessin de Flock pour @PPAC d'actualité : https://next.ink/197783/25-milliards-dutilisateurs-gmail-compromis-non-mais-700-entreprises-potentiellement/
    3 points
  46. Si j'ai bien compris vos échanges, après des années euphoriques de la grande communauté maker d'amour et de partage, vous êtes tous maintenant pour l'OpenSource, mais chez les autres.
    3 points
  47. bonjour pascal_lb j'ai suivi votre conseil. plateau magnétique lavé très chaud avec du liquide vaisselle et essuyé au sopalin c'est reparti encore merci du conseil cdtl
    3 points
  48. Rentrée explosive dans l’impression 3D : Bambu Lab, AtomForm, Creality, Acmer, xTool, que de nouvelles machines cette semaine ! https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-504-20250831/
    3 points
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