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electroremy

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  1. Si tu as imprimé de l'ABS et du PETG, pour imprimer ensuite de nouveau en PLA, tu imprimes certainement avec une température de buse plus basse en PLA qu'avec le PETG et l'ABS. Il pourrait y avoir des résidus de PETG ou d'ABS dans la hotend... Essaye d'abord de nettoyer les dents des molettes de l'extrudeur qui entrainent le filament. Il faut unloader le filament, nettoyer les molettes avec une petite brosse ou un petit outil pointu, en aspirant en même temps avec un aspirateur pour ne pas mettre des "copeaux" partout. C'est plus ou moins facile en fonction de la façon dont est fait l'extrudeur (il faut peut être l'ouvrir), pour bien nettoyer il faut faire plusieurs "passes" et entre chacune commander manuellement la rotation du moteur de l'extrudeur pour arriver à nettoyer chaque molette en entier. Le mieux est de consulter la notice de ton imprimante, il doit y avoir un paragraphe qui explique comment faire ce nettoyage. En effet, quand la buse est bouchée, l'extrudeur force et n'arrive plus à pousser le filament, conséquence : les molettes de l'extrudeur finissent par limer le filament, leurs dents se colmatent peu à peu, ça patine, ce qui amplifie le problème. Si l'imprimante possède un réglage de la force d'appui des molettes de l'extrudeur (sur la mienne, des ressorts comprimés par des vis), vérifie que cette force est correcte (le manuel doit expliquer comment faire, par exemple en mesurant la longueur des ressorts ; il peut y avoir aussi un réglage d'écartement entre les molettes) Une fois ce nettoyage fait, essayes de purger la hot end de la façon suivante : - chauffe la buse à 250°C voire un peu plus - charge du PLA - faire plusieurs load filament Bien sûr après la purge il faut remettre la buse à la température habituelle, puis refaire un load filament pour éliminer le PLA qui aura trop chauffé. Sur mon imprimante, entre différentes marques d'ABS, qui ne s'impriment pas toutes de façon optimale à la même température, j'ai déjà eu le cas de figure... Le truc c'est que dès que l'extrusion ne se déroule pas bien, l'extrudeur force et les molettes se colmatent ce qui amplifie vite le problème. Un autre facteur peut faciliter le "limage" du filament par l'extrudeur : une rétraction trop élevée. J'ai eu le cas avec le filament Polycast, le taux de rétraction préconisé par le fabricant du filament était trop élevé. Mais comme tu arrivais bien à imprimer avant, et que tu n'as à priori pas touché à la rétraction, ça ne devrait pas être en cause du problème. A bientôt
  2. Super et en effet ça à l'air compatible A bientôt et merci
  3. Bonjour, Voulant imprimer une pièce avec ma Prusa i3 MK2s Original, la calibration au lancement plantait... Je me suis vite rendu compte que la courroie de l'axe Y n'était plus tendue. Elle a sauté d'un cran dans la pièce qui l'attache au support du bed (y-belt-holder), et qui sert en même temps à régler la tension à la main au moment de placer la courroie dedans. J'ai remis la courroie en place, en ajoutant une petite cale en papier car il y avait un peu de jeu. Je me demande s'il n'existe pas une nouvelle version de cette pièce plus solide, ou mieux, avec un véritable dispositif de réglage de la tension de la courroie. Il s'agit de cette pièce : A bientôt !
  4. Il est pas mal cet article Par rapport à cette image nous avons eu le cas concret avec le composant XZ : https://www.minimachines.net/actu/la-menace-xz-ou-comment-le-ciel-a-failli-tomber-sur-nos-tetes-125967 XZ est une petite brique de OpenSSH, un élément qui sert à gérer la compression des données de manière sécurisée. XZ a été développé et maintenu par une seule personne. Lasse Collin, un développeur qui lance ce projet de compression de données sécurisé en 2000, tout seul et de manière totalement désintéressée. Il travaille dessus en le mettant à jour, l’améliorant, le faisant évoluer tout aussi bénévolement pendant deux décennies. Vous avez bien lu, une partie de la sécurité du web mondial, le truc qui permet de piloter des ordinateurs à distance de manière fiable, tient en partie au travail d’un unique et obscur bénévole sur son temps libre. En juin 2022, Lasse Collin craque. Il annonce qu’il a besoin d’aide pour continuer à s’occuper de XZ. Il est usé. Il annonce ne plus avoir l’énergie pour gérer cette brique d’OpenSSH. Son appel ne reste pas lettre morte et un volontaire se présente alors pour venir reprendre le flambeau. Son pseudo/nom est Jia Tan et si on peut s’interroger sur la motivation d’une personne à s’intéresser bénévolement à une telle « galère » Début 2023, il prend du galon et teste des nouveautés qu’il apporte lui même au code de XZ. Relâchant la pression sur son mainteneur principal. Peu à peu, il fait « ce qu’il veut » de XZ pendant que Lasse Collin s’efface et prend du repos. Plus personne ne vérifie le code en amont avant que cela soit implémenté dans XZ en général. Et donc personne ne contrôle ce qui a, petit à petit, basculé dans la « suite » OpenSSH. En mars 2023, un changement important est fait, l’ancien email de contact du projet passe de Lasse à Jia. Désormais les requêtes, bugs et autres questions seront remontés directement vers lui. Le flambeau est passé. Plus tard dans l’année les choses avancent dans l’ombre. Des éléments sont modifiés dans le code de manière à rendre opaques de futures manipulations, des fichiers dont la vocation n’a plus rien à voir avec l’objectif de XZ sont ajoutés. Ils servent à préparer quelque chose mais cela reste totalement sous le radar. En février 2024, avec des stratagèmes techniques élaborés2, Jia Tan implante dans le code de XZ une porte dérobée permettant de trouer la sécurité d’OpenSSH. Les fichiers sont cachés et chiffrés. Ils sont très difficiles à débusquer car ils fonctionnent comme un poison dont on obtiendrait les effets qu’en mélangeant deux éléments à la préparation. A l’état natif, dans le code source de XZ, ils sont inoffensifs. Ils ont été ajoutés petit à petit au code dans la durée de mise à jour en mise à jour. Pour que personne ne se rende compte du changement, puisque le code est open source et publié sur Github, la méthode employée se doit d’être d’une discrétion absolue. Ce n’est pas tous les matins qu’un programmeur émérite se lève en se disant « Tiens si j’allais auditer du code OpenSource !? » mais il suffirait qu’un curieux se penche sur le code pour que tout le plan tombe à l’eau. Autant utiliser des subtilités techniques. Le code de XZ est donc totalement propre. Il ne s’infecte que lorsqu’il est mis en place sur un serveur. XZ va alors piocher dans des fichiers annexes et se modifier pour devenir dangereux une fois en place. Vous pouvez analyser XZ de fond en comble sans rien trouver mais une fois intégré sur une machine dans OpenSSH, XZ devient la porte d’entrée du pirate. Comment cette faille a-t-elle été découverte est un miracle. OpenSSH est utilisé en permanence à travers le globe, les banques, sites de eCommerce, organismes publics, armées et autres utilisateurs privés comme public emploient ce système en permanence. Et malgré cela, la faille a été découverte par « hasard » via un développeur. Si le web est gigantesque et utilisé par des milliards d’individus, le nombre d’internautes capables de trouver cette faille XZ est évidemment beaucoup plus restreint. Et, sur le total d’utilisateurs du web, un seul a su la déceler : Andres Freund. Andres est un salarié de Microsoft, il est développeur évidemment, et c’est quelqu’un de vraisemblablement très attentif. Il travaille à l’amélioration d’un logiciel et effectue des tests variés pour cela. En faisant une mise à jour de OpenSSH – elles sont régulières – il note que sa connexion sécurisée est plus lente qu’avant. Alors pas vraiment beaucoup plus lente mais Andres est quelqu’un d’attentif et il a les outils pour le remarquer. Avant la mise à jour, la connexion sécurisée était 500 millisecondes plus rapide. Cette évolution vers la lenteur le surprend et il cherche à savoir ce qu’il se passe. En analysant méticuleusement OpenSSH, il découvre que XZ a été modifié et qu’il contient désormais la fameuse porte dérobée mis en place par « Jia »3. Devant l’ampleur du problème, il rédige d’abord un message d’alerte à la communauté sur OpenWall qui sert à alerter les divers responsables réseau et webmestres du monde entier. Ce type de message d’alerte critique fait vite le tour du monde et des mesures de sécurité sont immédiatement prises. Deux versions de XZ sont concernées, la 5.6.0 et la 5.6.1. Et elles ne sont pas déployées en masse. Les responsables réseaux prenant en général le temps de vérifier le bon fonctionnement des mises à jour avant de basculer les machines de production. Cette mise à jour de février n’a pas été énormément installée. « Jia » comptait probablement sur une dissémination plus ample avant de passer à l’attaque. Andres publie également sa découverte sur Mastodon. Github qui héberge le code de XZ le désactive très rapidement pour éviter qu’il ne soit exploité ou installé inopinément. Le résultat de cette découverte évite donc le pire, les serveurs qui avaient basculé vers les dernières versions de XZ rétropédalent. Les particuliers sous une distribution Linux infectée font un retour en arrière et tout rentre dans l’ordre… On l’espère tout du moins.
  5. Réflexion intéressante... Il y a des brevets bloquants qui scandalisent tout le monde mais aussi le besoin pour une équipe de se faire rémunérer pour son travail... Il est intéressant de comparer les règles qui encadrent les brevets avec celles du droit d'auteur. Le droit d'auteur est bien plus protecteur pour les auteurs : il s'arrête 70 ans après la mort de l'artiste (pour que les ayants droits puissent bien en profiter). De plus, déposer un brevet valable à l'international est complexe et cher. Les petites structures ou les personnes ayant inventé quelque chose seul dans leur coin ont du mal à protéger leur invention. Dans certains domaines techniques, les tests de conformité pour obtenir le droit de commercialiser le produit sont tellement longs qu'en pratique, le brevet ne protège le produit que pendant une durée relativement courte après sa commercialisation. Cependant, le droit d'auteur n'empêche pas d'autres personnes de faire des remix, des hommages ou des parodies. Dans le domaine logiciel, il aurait pu être intéressant de mettre en place un système à mi-chemin entre les brevets et les droits d'auteurs. Le cas de figure des maladies "non rentables", montre qu'il est important de maintenir une recherche publique désintéressée.
  6. En fait c'est la situation normale pour beaucoup d'appareils et de machines. Avec l'impression 3D grand public nous avons eu la chance d'avoir de gros fabricants proposant quelque chose basé sur l'open source. Mes clients sont amenés à faire de la réparation ou du rétrofit d'anciennes machines. C'est souvent la galère lorsque le fabricant d'origine n'existe plus et que certaines pièces sont spécifiques. Cela se complique avec les cartes électroniques et composants programmables ; ce qui était purement mécanique avait l'avantage d'être plus facilement reconstruit à l'identique. La rétro ingénierie n'est pas facile à faire, y compris pour "seulement" maintenir une machine en l'état. Lorsque les machines fonctionnent en étant associées avec un logiciel ça peut être coton. Il faut avoir fait des sauvegardes, maintenir en état de fonctionnement un ancien PC avec un OS compatible, et lorsque le logiciel est protégé avec un dongle sur port parallèle, prier pour que celui-ci ne tombe pas en panne. Certains utilisateurs sont vraiment coincés car ils ont créé un gros volume de fichiers dans le format propriétaire d'un logiciel obsolète dont l'éditeur n'existe plus... perdre l'usage de ce logiciel signifie perdre toutes ses données. Nous sommes plutôt chanceux avec l'impression 3D. Et l'esprit open source de l'impression 3D s'est aussi mis en place sur les graveurs lasers et fraiseuses CNC amateur et semi pro, tant mieux pour nous.
  7. Prusa proposait même des kits de mise à niveau Mais c'est lié à leur concept d'imprimantes en kit à monter soit même, on ne peut pas trop reprocher à Bambu de ne pas faire pareil puisqu'ils vendent des produits prêt à l'emploi sortit du carton. Se pose le problème de la garantie après mise à niveau impliquant un démontage et remontage par l'utilisateur...
  8. Le pire c'est que ce genre de truc serait possible si des pirates arrivaient à diffuser une mise à jour vérolée C'est de cette façon que les USA auraient détruit des centrifugeuses d'uranium en Iran
  9. @divers : est-ce qu'il est possible qu'un moule pour presse à injecter le plastique soit réalisé en laiton ou en bronze ? Si oui, faut-il appliquer un produit de démoulage pour éviter que la pièce en plastique obtenue (ABS, PETG, voire PLA) reste collée à l'intérieur ? Bien sûr, ce serait pour une presse à injecter "expérimentale", pas une vraie machine professionnelle Lors des journées du patrimoine, avec des bénévoles nous réalisons des pièces en bronze. J'ai pu obtenir quelques pièces sympa à partir de modèles imprimés en 3D ayant servit à confectionner un moule sable pour couler du bronze dedans. En panne d'inspiration pour l'édition 2024, je me dit que je pourrais : - modéliser en 3D un moule - l'imprimer en 3D avec mon imprimante FDM (ou ma SLA qui souffre de ne pas être utilisée depuis un certain temps) - ensuite j'utiliserais ce moule imprimé en 3D pour faire un moule sable - pour obtenir le moule initialement imprimé en 3D en bronze - il y aura un travail d'usinage notamment pour que les deux parties du moule s'ajustent bien entre elles (je pense surfacer le plan de joint, puis percer les deux parties ensemble aux quatre coins pour ensuite y placer des piges de centrage) - et, finalement, tenter de faire expérimentalement un moulage de plastique par injection - j'ai vu des amateurs réaliser la buse et la vis sans fin d'injection avec un gros tube et une mèche à bois, ça pourrait être intéressant à tester Bien sûr la pièce à obtenir sera simple (juste un plan de joint, pas de paroies minces, pas de noyau, pas de tolérance sévère sur les dimenssions) ; par exemple un bouton de tiroir ou une médaille souvenir relativement épaisse ça devrait le faire.
  10. Alors si on imprime la partie en blanc sans emprunte, ça force un peu et le blanc peut traverser les couleurs précédentes si les boudins de filament ne sont pas bien soudées entres elles. J'avais imprimé la dernière pièce en faisant des réservations dans la partie blanche, le résultat était meilleure, même si cela avait pour conséquence que le détourage des réservations ne donnait pas un fond homogène
  11. Il y a aussi cette technique de changement de couleur pour imprimer une face lisse côté bed :
  12. J'y suis allé une journée et ça n'a pas suffit - J'y suis retourné un 2e jour... on pourrait y passer la semaine pour prendre le temps de bien tout regarder Pareil pour le Bourget (penser à prendre la visite du Concorde et surtout à faire le planétarium c'est génial et les enfants vont adorer) Pas très loin de chez moi, le Musée de l'Aventure Peugeot qui vaut le détour aussi. Et... si un jour tu vas au Japon : le Musée ferroviaire de Kyoto. Gigantesque et absolument génial : non seulement de nombreux modèles de locomotives sont exposés, mais tous les aspects techniques de ce qui touche au ferroviaire sont présentés en détail, avec de nombreuses pièces détachées animées et pas mal de maquettes. Là aussi, on peut y passer plusieurs jours.
  13. Je ne suis pas d'accord, c'est caricatural. D'abord l'art et la technique ne sont pas "diamétralement opposés"... il y a de la technique dans l'art et aussi parfois de l'art dans la technique. Par exemple Léonard de Vinci... Beaucoup de grands scientifiques et de grands inventeurs étaient aussi des artistes. Dans la technique aussi on a besoin des deux, de l'ancien et du moderne, ça se complète très bien, et ça permet d'avoir plusieurs cordes à son arc. Car quand on n'a qu'un marteau, tout ressemble à un clou : - Un bricoleur allergique aux nouvelles technologies va tout faire avec des moyens classiques. - Quelqu'un qui n'a jamais bricolé mais a juste une imprimante 3D va tout faire avec - Si tu sais faire les deux, tu va utiliser judicieusement chaque technique. J'ai imprimé plusieurs pièces en 3D pour compléter un objet, un meuble ou une partie de la maison faite avec des techniques ayant pas mal d'années. Plus généralement, en pensant en dehors du cadre, on peut sortir d'une impasse en utilisant une technique autre que la technique principale du projet sur lequel on travaille : par exemple un projet au départ 100% mécanique peut finalement être sauvé en ajoutant un peu d'électronique dedans ; inversement, une machine avec une partie qui donne du fil à retordre à automatiser peut parfois trouver une solution mécanique simple. Il serait très utile que les élèves et étudiants en filière technique visitent le musée des Arts et Métiers, le musée du Bourget, et le chantier médiéval de Guédelon. Pas pour leur dire "c'était mieux avant", mais au contraire "voyez d'où nous venons, et regardez toutes ces trouvailles parfois un peu oubliées, ça peut vous être utile pour un de vos projets" Là aussi, les deux débats se complètent. Le progrès et la recherche d'utilité pour des solutions techniques n'empêche pas de réfléchir sur les mésusages possibles et les limites nécessaires. Si l'on écoutait les libéraux et patrons de startup il faudrait supprimer toutes les lois - sauf celles qui les protègent, bien entendu La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres. Réglementer est nécessaire pour équilibrer les rapports entre entreprises, clients, salariés, riverains ; et aussi les rapports client/fournisseurs entre différentes entreprises. Un monde sans normes pénaliserait beaucoup d'entreprises en faveur de quelques multinationales. Science sans conscience n'est que la ruine de l'âme. Je suis adepte des nouvelles technologies ce qui ne m'empêche pas de soutenir le travail de la CNIL et de la Quadrature du Net, et parfois de ne pas utiliser une nouvelle technologie dans un cas précis. Les mauvais usages peuvent aussi tuer une technologie, les mauvais utilisateurs engendrant inévitablement des restrictions qui pénalisent tout le monde.
  14. @divers : dis donc, s'agissant du passé, tu bas tout le monde à plates coutures avec ta signature Ce n'est pas "mieux" avant, c'était juste différent Pour avancer on a besoin des deux : innovation actuelles + anciennes techniques Le bon exemple c'est Arduino : - le matériel est moderne et c'est tellement plus pratique, plus compact et moins cher que les anciennes cartes à microcontrôleur qu'on devait construire soit-même - les anciennes techniques de programmation sont utiles et parfois indispensables (tout faire avec du code moderne serait trop lent) C'est pareil dans plein d'autres domaines : mécanique, travail du bois, ... Même si les outils et technologies modernes sont utiles, il y a beaucoup de savoir faire et de trucs et astuces anciens qui sont très précieux. Se souvernir du passé évite surtout de réinventer la roue. Par exemple on veux retourner sur la Lune mais on se rend compte que ce n'est pas si simple que ça en a l'air. Les vielles archives des missions Apollo et la mémoire ce ceux qui ont travaillé dessus est utile. C'est un peu le dilemne de l'enseignement : il faut actualiser les programmes avec les nouvelles connaissances mais, forcément, on doit retirer des apprentissages plus anciens. J'ai, longtemps après mes études, redécouvert des connaissances techniques anciennes qui n'avaient pas été enséignées faute de temps. Ca m'a été utile. Il arrive, de temps en temps, qu'une ancienne façon de faire soit meilleure que les plus récentes disponibles. Le bon exemple c'est l'animation au Japon : - à l'origine tout était fait en 2D à la main - ils avaient testé les CGI puis la 3D, après le succès de Pixar - ils sont revenus à la 2D car le rendu était meilleur... - ...mais en fait c'est plus subtil que ça : ils ont gardé le meilleur de chaque technique : c'est de la 2D mais avec beaucoup d'informatique derrière ; il y a de la 3D mais pour les décors ou certaines animations complexes (ce qui fait gagner beaucoup de temps et donne plus de détails, avec des perspectives parfaites) tout en conservant un aspect dessiné comme si c'était fait en 2D. Et que dire de la musique ? Beaucoup de styles sont marqués par l'époque où ils sont apparus et on peut tout écouter aujourd'hui. Ne parlons pas des aspects sociaux (sujet originel de l'article) : oublier le passé est une catastrophe. Dans la signature de @divers la citation date de l'antiquité pourtant elle est d'actualité.
  15. J'utilisais l'antique WinUAE il y a des années Et je n'ai plus trop le temps pour jouer à des jeux Ah oui il faut les récupérer de façon plus ou moins officielle Alors oui tout à fait ! Le soucis c'est que les Amigas étaient conçus pour être branchés à une télévision. L'avantage c'est que le manque de nettetée faisait un antialiasing bienvenu pour les jeux (mais ce manque de netteté était chiant en revanche pour la bureautique) Les graphistes qui ont bossé sur les jeux Amiga en ont tenu compte. Voir des jeux Amiga sur un écran plat moderne c'est affreux on voit les gros pixels et ça pique les yeux Plutôt que de baisser la résolution il faudrait faire un upscaling avec un lissage, pour retrouver l'image de l'époque. Si j'achète un émulateur c'est pour moi une fonction essentielle. Regardes par exemple les vidéos que j'ai posté ; celle de Yo! Joe! rend bien mais celle de Shadow of the Beast est affreuse Mille fois d'accord ! Sur Arduino j'ai retrouvé le plaisir de la programmation à l'ancienne ! Du C/C++ avec quelques fonctions en assembleur. Même aujourd'hui, il n'y a rien de plus efficace. Et, ayant fait un logiciel de CAO/FAO 3D sur un ordi actuel en .NET, j'ai aussi dû optimiser mon code... c'est beaucoup plus de travail mais ça vaut le coup. Je trouve immonde les logiciels actuels qui sont lents et gaspillent du CPU et de la RAM... Si les programmeurs étaient restés avec la même exigeance, on pourrait continuer à utiliser aujourd'hui des PC de 15 voire 20 ans pour un usage courant. Et les logiciels seraient bien plus rapides sur nos machines actuelles.
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