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electroremy

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  1. Les magasin Tandy, ça date, il devait y en avoir un à Nancy, ils ont fermés au début des années 1990 Mais surprise, la marque existe toujours, il y a même un site de vente en ligne en Français https://www.tandy-electronique.com/ Le catalogue n'est pas très fourni, certains produits sont obsolètes, il y a des images absentes, certains catégories sont mêmes vides... C'est à se demander si l'entreprise existe encore ou alors ils sont payés d'avance l'hébergement du site qui reste en ligne
  2. Les news de Prusa sont intéressantes. Malgré la concurrence féroce de BambuLab, ils ont encore des choses à proposer Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais la Prusa CORE One L avec le système multi-tool INDX de Bondtech risque de "tuer" la Prusa XL Certes la Prusa XL peut imprimer du silicone... Mais en plus de son prix très élevé, la XL n'a pas d'enceinte permettant d'atteindre les températures requises pour les filaments techniques. J'aurai préféré que Prusa trouve comment imprimer du silicone avec la Core One, ça aurait fait de cette imprimante la meilleure ! La version "critique" de la Core One est bienvenue... c'est positif d'avoir un appareil qui ne soit pas un énième objet connecté vulnérable. Pour les clients pros, c'est un argument qui peut compter face à BambuLab. Bref, la "vielle Europe" est encore dans la course ! J'ai hâte de découvrir le test de la Core One avec le système INDX sur le forum
  3. Bonjour, ça fonctionne merci @jcjames_13009 En fait même pas besoin d'accorder la hauteur des trous dans le STL avec le nombre de couches Voici mon STL : Les couleurs sont dégeu mais c'est pour mettre en évidence les différentes parties dans la vue 3D Les cinq trous non débouchant dans le socle ont une profondeur de 4 mm. Après importation dans Prusa Slicer puis tranchage en mode spiral vase : Ca a fait ce que je voulais, la base ne fait que 4 couches d'épaisseur. Bon à savoir en tout cas Merci ! Maintenant je fais le test en modifiant le nombre de couches : Après tranchage, ça fonctionne, j'ai un socle plus épais avec la forme d'origine du STL : J'essaye avec un taraudage, ça fonctionne... ... en revanche, avec cette façon de faire, le socle a un remplissage de 100% (ce n'est pas très gênant s'il n'est pas trop épais) La solution idéale aurait été de pouvoir imprimer le socle avec un remplissage au choix, mais l'usage du mode spiral vase impose un remplissage de 0%, le socle étant alors 100% solide. On va dire que c'est à moitié résolut Je vois, cette solution revient à transformer la pièce en "coque" unique Cette solution risque de laisser une couture visible à l'endroit de la fente (ce qui est justement ce qu'on cherche à éviter lors de l'emploi du mode spiral vase) Lors de mes recherches, certains proposaient comme solution de fusionner à la main deux fichiers GCODE : - la partie basse d'un GCODE classique - la partie haute du GCODE en mode spiral vase Il ne faut pas se planter sinon la buse va bourrer dans la matière ou alors elle va imprimer dans le vide. C'est étonnant que cette fonction n'ai pas été prévue dans les slicers, c'est pourtant une demande qui date...
  4. Bonjour, Je teste actuellement le mode spiral vase pour imprimer des objets plus ou moins transparents en PVB Il ne faut pas modéliser le vase... mais au contraire un STL contenant un volume simple plein sans trou ni volume concave, et avec le mode spiral vase le slicer imprime uniquement une coque composée de la face inférieure (celle en contact avec le bed) avec toutes les faces latérales sous la forme d'un seul périmètre en spirale. Le volume interne n'est pas imprimé, ni la face supérieure. On obtient un vase à partir du volume initial qui a été, en quelque sorte, creusé ou démoulé. J'aimerais que la partie basse de la pièce (le socle, en contact avec le bed) soit un pièce "normale" de forme quelconque (avec des trous, ou des taraudages, etc.) et que l'objet soit imprimé en mode spiral vase qu'à partir d'une certaine hauteur. En effet je ne cherche pas à imprimer des vases, mais plutôt des petits objets décoratifs avec un éclairage à l'intérieur. Le socle doit permettre la fixation de cet éclairage, le passage des fils, et pouvoir contenir un petit circuit électronique avec des piles éventuelles. Bien sûr je peux imprimer le socle à part, mais il restera le problème de la fixation du socle à la pièce imprimée en spiral vase. On peut toujours percer la pièce imprimée en spiral vase, mais ce n'est pas une solution très élégante Il n'y a pas d'impossibilité technique, n'importe quelle imprimante 3D est capable de réaliser un tel objet ; reste à trouver comment générer le GCODE avec le slicer. Sur Internet j'ai trouvé des demandes similaires à la mienne, en anglais, mais sans solution. Ces messages sont cependant anciens. Je n'ai tout simplement peut-être pas utilisé les bons mots-clefs, ignorant comment s'appellent la ou les fonctions-qui-vont-bien éventuelles. Est-ce possible avec la version actuelle de Prusa Slicer ? Merci A bientôt
  5. Les Amiga sont très recherchés J'en avais 3, en panne... Ayant besoin de faire de la place, et manquant de temps pour les remettre en état, je les ai mis sur le Bon Coin, les gens se sont presque battus pour me les acheter !
  6. Le célèbre Hebdogiciel et sa liberté de ton légendaire - qui en a inspiré bien d'autres (comme Le Virus Informatique et Pirates Mag')
  7. Merci aux modérateurs pour le temps qu'ils passent à gérer le forum et à leur patience Comme dirait l'autre "Souriez ! Demain sera pire"
  8. L'Atari ST et l'Amiga étaient des machines assez proches du point de vue hardware, beaucoup de jeux avaient été développés sur l'un et portés sur l'autre. L'Atari ST, avec ses deux ports MIDI, était très prisé des musiciens comme le dit la vidéo. Les instruments de musique et le matériel audio coutait encore très cher, l'achat d'un Atari ST avec un logiciel MIDI était très rentable car cela remplaçait beaucoup de matériel bien plus couteux et encombrant. L'Amiga était plus performant, notamment grâce à ses coprocesseurs graphiques et sonores assez bien conçus qui épaulaient efficacement le processeur 68000. Malheureusement, seul une partie des jeux exploitaient pleinement le potentiel de l'Amiga (les éditeurs préféraient créer des jeux pouvant être portés facilement sur différentes consoles et ordinateurs, au détriment de l'optimisation pour chaque machine) Mon premier ordinateur, acheté en 1993, était un Amiga 1200. Il était bien plus puissant que l'Amiga 500 : 2 Mo de RAM au lieu de 512ko, processeur 68020 au lieu du 68000, port PCMCIA, meilleure carte graphique, on pouvait aussi installer dessus une carte accélératrice, des extensions de mémoire et même un disque dur IDE... Mais il ne n'est pas bien vendu... beaucoup de jeux auxquels je jouais étaient conçus pour l'Amiga 500 nettement moins puissant. Mais c'était de super jeux quand même ! Avantage de l'Amiga : les jeux avaient souvent des bandes son magnifiques. Exemple avec le jeux de plateforme Yo! Joe! : Il y avait enfin et surtout pas mal de "démos", dont on trouvait des compilations sur disquettes dans les magazines. Ces démos étaient réalisées par des hackeurs ou des petits studios indépendants, ils avaient à cœur d'exploiter les capacités audio et graphique de la machine. Toute une époque
  9. Bonjour, Une petite vidéo Youtube nostalgique sympa sur quelque chose qui a révolutionné la création musicale amateur dans les années 80/90 C'est génial car il y a des démonstrations avec le matériel et les logiciels de l'époque A bientôt !
  10. Bonjour, Petite mise à jour du firmware : pour permettre un cold pull, la température de la buse est réglable sur les valeurs suivantes : - 0° - 75° à 175°C par pas de 5°C - 180°C et plus par pas de 1°C Concrètement, lorsque la température est à 0°C, quand on tourne le bouton on passe directement à 75°C et ensuite la température augmente de 5°C à chaque cran, puis une fois 180°C atteint, elle augmente de 1°C par cran. Idem en sens inverse, la température baisse de 1°C par cran jusque 180°C puis ensuite de 5°C par cran jusque 75°C pour ensuite passer directement à 0°C. La sécurité suivante est inchangée : si dans un fichier GCODE, la température de la buse pour une impression est définie à une valeur inférieure à 180°C, une erreur avec l'alarme se déclenche ; l'imprimante proposer de continuer avec une température de 180°C ou de faire un reset. Le firmware peut être téléchargé ici (il faudra téléverser le fichier \Prusa-Firmware-3.2.3_V21\Firmware\Firmware.ino.rambo.hex avec PrusaSlicer) https://drive.google.com/file/d/145ZriQaOqmTB5HvawsoLqUVb58-flieK/view?usp=sharing A bientôt
  11. Merci aux modérateurs d'avoir rouvert le sujet. Tâchons d'être positifs et constructifs. Je vais en toucher un mots aux élus de ma région lors des cérémonies de voeux (bon il y a 0,1% de chance que ça marche mais ça coute rien d'essayer ) Lorsque la taxe sera en place, nous pouvons nous organiser sur le forum pour réaliser des commandes groupées : la taxe ne s'appliquant que par catégorie de produit, indépendamment du nombre d'exemplaires ; également, si le colis dépasse 150€, il sera taxé de façon classique ça pourra être plus intéressant aussi. Re-Bonjour, Sur le site officiel des Douanes Françaises, on trouve des informations qui contredisent l'article de Que Choisir : en particulier, la taxe Française de 5€ pourrait s'appliquer dès le 1er janvier 2026, si le Projet de Loi de Finances 2026 est adopté. https://www.douane.gouv.fr/actualites/taxe-sur-les-petits-colis-point-dinformation-sur-sa-mise-en-oeuvre Si vous avez du temps à perdre, du courage et que vous n'êtes pas allergique aux accronymes administratifs, vous pouvez regarder le webinaire : https://webinaire.bbb-dinum-scalelite.visio.education.fr/playback/presentation/2.3/05ba300f521397952a07ac9dd0f4a96ff61c5a3a-1765981451337 On découvre que c'est beaucoup plus compliqué que prévu... (hum comme c'est étonnant ) : il va y avoir différentes taxes Françaises et Européennes qui vont s'appliquer puis être remplacées - ou pas - par d'autres taxes selon un calendrier de 2026 à 2028. Le webinaire montre que les membres de l'administration et des transporteurs sont plus ou moins en panique avec les délais d'applications et des modalités pratiques du shmilblick. Plusieurs participants ont répétés "qu'ils ne seraient pas prêts" pour l'entrée en vigueur de la taxe. Les représentants de la logisitique parlent même "d'une mauvaise réglementation, pleine d'incertitudes, prise sans discussion préalable avec les différents acteurs de la logistique". Plusieurs participants ont des doutes sur la capacité des systèmes de gestion à supporter le flux de transactions à traiter Le représentant d'UPS a posé une question intéressante : comment seront traités les colis commandés avant le 1er janvier mais livrés après le 1er janvier ? L'administration a répondu que "la taxe s'applique au moment du dédouanement" => Conséquence pratique possible pour nous : il pourrait y avoir des "régularisations", c'est à dire qu'on pourrait nous réclamer une taxe et des frais un certain temps après avoir reçu un colis... Si vous avez commandé un produit maintenant mais qu'il n'est livré qu'en janvier, vous aurez peut être la taxe à payer. Le représentant d'UPS a aussi demandé comment seront traités les retours des colis refusés par les importateurs (c'est dire si on refuse de payer la taxe) => l'administration n'a pas répondu à la question, dommage, il faudra faire un test en refusant un colis pour voir comment ça se passe Il y a aussi des questions sur les failles du dispositif, car les autres pays Européens ne feront pas la même chos que nous (par exemple si le vendeur est en Allemagne et que le produit arrive de Chine), et les Chinois risque de frauder sur le type de déclaration. Chose intéressante : le représentant des entreprises de vente à distance (FEVAD) demande à ce que chaque vendeur ou plateforme puisse choisir comment facturer ou pas la taxe => cela veut dire que dans certains cas, la taxe sera intégrée au produit et payé lors de la commande, mais dans d'autres cas, ce sera le livreur qui vous demandera de payer la taxe en plus. => Conséquences pratiques pour nous : - il sera plus difficile de comparer les prix, certains sites afficheront le prix total avec la taxe et d'autre sans, il faudra être très vigilant au moment de chercher les tarifs et de passer commande - on risque de découvrir au moment de la livraison qu'il faut payer une taxe alors qu'on pensait l'avoir déjà payé Les entreprises extra-européennes immatriculées au guichet IOSS (cela sert au paiement de TVA après arrivée des marchandises en UE) dans un autre pays de l'UE que la France auront maintenant besoin en plus d'avoir un représentant fiscal en France. Les entreprises extra-européennes devront donc s'immatriculer une deuxième fois en France, uniquement pour pouvoir régler cette taxe et être en règles avec la France. Un participant fait remarquer que cette loi est contraire à l'esprit de tous les accords de libre échanges qui ont été signés. Devant les incertitudes et les contraintes, certains pays (comme le Canada) ont annoncé vouloir arrêter leurs flux vers la France. => Conséquences pratiques pour nous : concrétement, les délais de livraison de certains produits risquent d'être prolongés, peut être aussi que les marchands concernés vont suspendre les commandes. Bref, demain, pour acheter des produits hors UE, il faudra être joueur
  12. Je parlais de ces mails automatique qu'on reçoit genre "Yves Rocher vous souhaite un bon anniversaire"
  13. Existe-t-il une fonction dans le forum pour avoir son "anniversaire" ?
  14. Bonjour, Je vais encore encombrer la rubrique blabla Brandt, c'est fini. Cela concerne aussi les marques Vedette, Sauter et De Dietrich. Comme l'explique Que Choisir, il sera difficile de trouver des pièces détachées. https://www.quechoisir.org/actualite-liquidation-judiciaire-de-brandt-les-consequences-pour-les-clients-n173290/ Les machines et les moules seront revendus aux enchères... Des questions de droits empêcherons certainement la production de pièces... Tout "espoir" n'est pas perdu. D'abord, beaucoup de pièces sont faites par des sous-traitants qui produisent aussi pour d'autres marques. On trouvera toujours ces pièces en cherchant bien. Pour les pièces spécifiques, pourquoi ne pas demander que les plans et/ou les fichiers 3D soient rendus publics pour permettre aux makers de les fabriquer ? Une rubrique sur les sites de partage de STL peut même être créée à cette effet. Cela permettrait aussi à la communauté maker et open-source de proposer une bonne action et se mieux se faire connaitre du grand public. Bon je sais c'est encore une idée *utopique* Mais peut être qu'un miracle de Noël va arriver A bientôt
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  15. Pour en revenir au sujet initial, Que Choisir a publié un article en libre accès sur cette taxe. Mauvaise nouvelle, cette taxe concernera tous les pays hors UE (y compris les USA, ou la Suisse donc) et risque d'être élevée. Pour résumer : Dans 6 mois, l’ensemble des petits colis en provenance de pays hors de l’Union européenne (UE) dont la valeur est inférieure à 150 € seront taxés. Les ministres des Finances de l’UE viennent en effet de s’accorder sur l’instauration d’un droit forfaitaire de 3 €, à partir du 1er juillet 2026, pour chaque paquet. Si le colis contient plusieurs exemplaires d’un même article, les 3 € ne seront prélevés qu’une fois ; s’il contient des produits différents, il faudra payer 3 € par produit. Une seconde taxe, de 2 € à 5 €, concernant spécifiquement la France, a en outre de bonnes chances de s’ajouter. Il s’agirait de frais de traitement, eux aussi appliqués par catégories d’articles. Les taxes seront en principe collectées à la livraison par le transporteur (La Poste, DHL, UPS, etc.) auprès du destinataire, ou pourront s’ajouter aux frais de livraison lors de la commande. => Il risque donc d'y avoir des "frais de traitement" en plus facturés par les transporteurs (!) - Ceux-ci peuvent être élevés, il y a quelques années DHL m'avait facturé dans les 20 € (!) Si le double dispositif s’applique comme prévu, dans 6 mois, tous les biens à très petit prix, c’est-à-dire vendus entre 1 € et 3 €, devraient perdre la très grande partie de leur attrait. Comme la taxation est forfaitaire et non proportionnelle, ils seront en effet ponctionnés de la même façon que les marchandises plus chères, c’est-à-dire entre 5 € et 8 € par article. Pas sûr que tous les milliers de petits produits vendus moins de 3 € (bijoux, maquillage, accessoires pour la maison ou le bureau, etc.) trouveront encore preneur, trois ou quatre fois plus chers ! À moins bien sûr de commander de nombreux produits identiques, la taxe ne s’appliquant qu’au premier article dans la même catégorie. Commander trois pantalons à 8 € serait facturé autour de 30 €, au lieu de 24 € aujourd’hui. Mais si l’on effectue des achats regroupant des produits de catégories différentes, le surcoût commencera à devenir sensible. Par exemple, acheter quatre vêtements différents (pantalon, pull, chemise, tee-shirt) revient aujourd’hui, en moyenne, à 35 € ou 40 €. Cela pourrait coûter demain plus de 70 €. Le caractère forfaitaire de cette taxe, qui en plus s'applique sur chaque référence d'article, peut aboutir à des montants délirants ! Commander des pièces détachées ou des composants électroniques hors de l'Union Européenne sera hors de prix - à moins d'acheter de nombreux exemplaires d'une seule référence, mais on ne fait pas ça quand on répare quelque chose. Cela aura d'autres plusieurs conséquences. Il faudra se méfier au moment d'acheter un appareil ou une machine ; si les consommables ou les pièces détachées ne sont pas disponibles chez un revendeur en UE, alors son usage risque d'être très couteux. De façon plus sournoise, cela pourrait réduire la durée d'utilisation de vie des appareils. Quand un appareil n'est plus commercialisé, de moins en moins de personnes l'utilisent (les appareils finissent par tomber en panne ou bien par être remplacés par un autre modèle plus récent). Le volume de pièces détachées et de consommables achetés diminue donc, et ils finissent par ne plus être distributés. Il faut alors se fournir directement auprès du fabriquant, s'il est en dehors de l'UE, il faudra payer toutes ces taxes. Faute de pouvoir trouver des consommables et des pièces abordables, beaucoup d'appareils en bon état risquent d'être jetés. Chez les distributeurs en Union Européenne, le prix et les délais de livraisons de certaines pièces détachées risque aussi d'augmenter fortement. En effet, la taxe va s'appliquer aussi sur les colis commandés par les entreprises. Or, les distributeurs en UE n'ont pas en stock toutes les références de tous les composants. Quand une pièce ou un composant n'est pas commandé souvent, il est géré en flux tendu, concrétement le distributeur l'achète au fournisseur à chaque commande. Le tarif sera élevé. Ou alors, le distributeur attendra d'avoir un nombre suffisant de commandes avant de faire un achat groupé au fournisseur. On risque de devoir attendre des semaines ou des mois... Cela aura aussi un impact sur le tarif : ces commandes groupées devront être déballées en Europe pour être reconditionnées pour chaque client final, ce qui implique de la main d'oeuvre et des déchets d'emballage en plus. Cette taxe risque de ne même pas atteindre son objectif principal : lutter contre la fast fashion. Le volume de vêtements acheté est tel que Shein, Temu et les autres vont ouvrir des entrepôts et des magasins en Europe. En revanche, le bricoleur ou le hobbyiste qui a besoin d'une pièce pour réparer ou fabriquer quelque chose sera taxé... Article complet ici : https://www.quechoisir.org/actualite-shein-temu-aliexpress-les-petits-colis-bientot-taxes-en-europe-n173386/ Joyeux Noël quand même
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