Autre revue, plutôt honnêtes généralement.
Il parle des 2 points soulevés négativement préalablement :
les bouchages de buse (qui ne sont pas débouchables par les méthodes précédentes, vu les nouvelles buses aimantées) : en fait il y a un mécanisme de "cold pull" où on retire le tube PTFE de la tête, pour pousser manuellement juste un filament. A priori ça fonctionne pas mal.
l'uniformité calorifique du plateau : lui n'a pas constaté le problème (et il n'en n'aurait pas eu l'info si on ne lui en avait pas parlé en commentaires de ses vidéos), donc pas un sujet pour lui.
Ses points "durs" (bon ça reste des points plutôt mineurs) sur la H2C :
Spaghetti detection (avec des faux positifs, il désactive du coup complètement la fonction)
Un souci après une mise à jour de firmware (a nécessité une recalibration)
Des premières couches vraiment moches au début (notamment parce qu'il utilisait la version N-1 du slicer)
Les buses d'impressions qui ont vite tendance à se déboîter (quand on retire une pièce imprimée en fin d'impression, juste en les effleurant de la main, etc.)
Un bruit curieux sur le système Vortek (apparemment un problème connu)
Un point qu'il n'avait pas anticipé : la capacité à avoir des buses de tailles différentes (0.2, 0.4, 0.6) toujours prêtes à l'usage, c'est quelque chose qu'il utilise maintenant sans arrêt (= un confort du genre de ce qu'apportait l'AMS non pas pour des impressions multi-couleurs, mais juste pour avoir N spools prêts à l'emploi, sans manips). Mais il aurait souhaité que ça fonctionne pour les 2 buses (apparemment il n'est pas le seul à faire cette demande), vu que la H2C ne permet pas d'imprimer avec 2 buses différentes entre la position "fixe" et celle issue du Vortek.
Sa conclusion : la H2C c'est vraiment pour ceux qui veulent imprimer du multi-couleurs sans perte (bon c'est le but du Vortek à la base), sinon la H2D voire la H2S (toutes deux moins chères et avec plateau légèrement plus grands) sont peut-être de meilleurs choix.