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ScotchE67

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  1. Le seul problème de cet ordre que j'ai eu avec ma BambuLab et dans une moindre mesure avec ma Prusa était sur des filaments mal stockés. Après un tour dans le sécheur c'était mieux, mais quand même moins bien qu'un filament plus "frais". Sur la BambuLab j'ai même du baisser la vitesse de la première couche avec ces filaments pour avoir une bonne adhérence. Sinon il y a la solution "magique" du coup de laque sur la plaque lisse qui permet de bien sauver les filaments pénibles. Je suis assez de cet avis et j'ai tendance à avoir moins de stock mais de meilleure qualité, quitte effectivement à louper les promotions bien tentantes ou les fournisseurs exotiques.
  2. Pour sortir une sonde collée par les résidus sans avoir à remonter le tout dans l'imprimante, j'avais utilisé un fer à souder pour chauffer la zone problématique et c'est venu assez facilement (en tout cas sans rien casser).
  3. @SR-G je ne me fais pas trop de soucis sur le protocole de contrôle et l'impression intégrée. Avec les gammes croisées et asynchrones qui pour le moment tout du moins reposent sur ce protocole il y a fort à parier que même dans les futures versions de slicers on conserve les fonctions existantes et avec un peu de chance une bonne partie des nouvelles. C'est justement l'une des forces de Bambulab qui décline une méthode de développement assez propre et logique.
  4. J'ai rencontré un problème similaire après avoir imprimé un filament chargé et c'était un problème mécanique. Malgré tous les ajustements logiciels je n'avais pas réussi à compenser la sous extrusion. Après avoir fait une bonne maintenance : nettoyage / graissage axes tension courroies (rien à voir avec le problème, mais autant en profiter) nettoyage de la buse et du hot-end (avec aiguille spéciale pour enlever les résidus des anciens filaments) Tu n'es pas obligé de tout faire, mais si ton problème est effectivement apparu après l'utilisation de filaments un peu spéciaux, je te recommande de bien tout nettoyer. Sur la X1 je ne connais pas la procédure de nettoyage de la buse et du hot-end mais tu dois trouver tout cela sur le wiki. Cela m'est encore arrivé récemment avec du filament "bois" et j'ai choisi la solution de facilité en dédiant un ensemble hot-end + buse pour ça.
  5. Je pense que tu n'utilises pas le meilleur de outils pour faire cela. Si tu n'as pas trop de connaissances en modélisation je te recommande l'outil gratuit : https://makerworld.com/en/makerlab/makeMySign
  6. Même après la fin du support je pense que les améliorations logicielles coté slicer seront toujours supportées. A moins d'une révolution le format GCODE a encore de beaux jours devant lui, surtout pour son coté simple à comprendre et sa compatibilité avec énormément de machines. A mon sens le point d'inquiétude serait plus sur la disponibilité des pièces détachées spécifiques.
  7. Pour moi un PETG de bonne qualité avec des réglages adaptés sera une bonne solution pour une visière. Idéalement une buse de 0.8, des vitesses basses et des températures bien calibrée, cela donne un résultat correct. Si en plus ton modèle permet une impression en mode vase tu auras de meilleurs résultats. Je te recommande de faire des essais sur de petites plaques pour voir les écarts.
  8. Pour moi (je suis client des deux marques), il y a une notable différence entre la qualité/fiabilité du transport Prusa (qui bosse avec des prestataires orientés pro) et BambuLab (qui au final fait livrer ses colis par La Poste). Donc je pense que pour les commandes qui se passent bien la différence fait mal, mais quand il y a un gros bug de transport Prusa (et le client) doivent moins laisser de plumes qu'avec La Poste. Dans le même ordre d'idée j'échange beaucoup de colis pro avec le reste de l'europe en utilisant UPS et à ce jour je n'ai jamais perdu d'argent sur une casse de transport ou un perte de colis (car cela arrive avec tous les transporteurs). Par contre je ne compte plus le nombre d'heures (voir de journées) de travail perdues avec des transporteurs plus orientés vers les particuliers ou même des pros qui n'en ont que le nom.
  9. ScotchE67

    L'affichage sur P1S

    L'impression 3D reste encore une technique qui demande un investissement significatif pour la compréhension des concepts et de son fonctionnement. Ta demande est plus générale sur les impacts d'un changement de température de plateau. Pour rester dans ta logique automobile, c'est un peu comme demander au constructeur de ta belle auto de t'indiquer comment passer un rond point. Le Wiki est vraiment très bien fait en plus d'être évolutif et actualisé, je te recommande sa lecture et si tu n'es pas à l'aise en anglais, il existe un support vraiment sympa chez Prusa "Impression et modélisation 3D pour les débutants" qui n'est pas spécifique à leurs imprimantes et te donnera de bonne bases.
  10. Aucun regret, je suis plus que satisfait de ma P1S. Elle enchaine les impressions de différents types sans passer de temps aux réglages, on peut en quelques instants basculer d'un PLA bien fin pour de la déco à une pièce technique en ASA avec plateau à 100° et le résultat est parfait. Mes seules hésitations étaient liées au LIDAR et à la caméra, mais l'écart de prix et la disponibilité ont été déterminants. J'ai profité de l'écart de prix pour prendre une buse en acier trempé, une autre plaque d'impression. Mais l'efficacité de la plaque PEI texturée est bluffante, je n'ai même pas encore testé la plaque haute température que j'avais prise en prévision de l'ASA. Pour revenir sur la caméra, ce n'est effectivement pas du cinéma, mais elle m'a déjà été utile pour voir un décollement en début d'impression et stopper à distance pour éviter le gâchis.
  11. Ouvrir le fichier puis : En mode esquisse Dans la barre d'outil : MODIFIER -> Echelle de l'esquisse Sélectionner les entités à modifier Sélectionner le point central de la mise à l'échelle Ajuster la taille Attention, pour les élément importés les entités sont bloquées par défaut (courbes vertes et non pas bleues). Il faut donc commencer par sélectionner les entités puis faire un clic droit et bloquer/libérer
  12. A première vue ton fichier n'est pas imprimable, il y a des zones vides ou mal définies dans le modèle. Probablement des extrusions surfaciques au lieu de volumiques. En explosant le modèle (séparer -> en objets) le tranchage fonctionne. Stop pub_1.3mf
  13. L'assemblage d'objects dans le slicer n'est jamais idéal. Néanmoins, tu peux modifier la hauteur du modèle bicolore pour le rendre un peu plus haut que le bloc noir, les aligner parfaitement puis utiliser l'outil d'addition booléenne pour en faire un seul objet. Ainsi lors du slice tu auras la bonne hauteur + la couche en blanc pour le changement de filament.
  14. Franchement non, pour moi c'est tout sauf de la folie. Cette imprimante te permettra de débuter et de poursuivre en te focalisant sur les modèles, filaments et réglages. Le coté fiable est certes un peu moins geek, mais quel plaisir de lancer un print sans se poser la question de l'aléa de fonctionnement. Bien sur cela reste une machine, il faut donc avoir la patience de la prise en main et l'apprentissage du fonctionnement, mais pour moi ce n'est pas une folie. Bien sur tu peux commencer pour beaucoup moins cher et avoir des modèles tout aussi bien imprimés, mais dans ce cas il faut aimer le coté technicité de l'impression 3D et des machines à améliorer soi-même.
  15. Effectivement à première vue l'écart est énorme. Les paramètres de vitesse / qualité / remplissage sont-ils identiques ? Si oui je serais curieux de connaitre les raisons de cet écart plus que significatif.
  16. Cela dépend des contraintes mécaniques que ton adaptateur doit encaisser. Souvent une combinaison de gorge / colle ou gorge collier de serrage peuvent fonctionner. J'ai un adaptateur pour mon Ryobi destiné au nettoyage du poêle à bois qui fonctionne depuis plus d'un an avec un emmanchement collé à la Patex. J'avais volontairement créé des stries et gorges pour avoir des surfaces de contact rugueuses et j'ai bien laissé sécher la colle. Parfois on a tendance à se compliquer la vie avec des impressions multi matériaux alors que même dans l'industrie l'utilisation de colle n'est pas forcément une aberration.
  17. J'ai expérimenté sans grand succès l'impression en une fois avec le changement de filament à une couche donnée. La fusion entre les couches de PLA et de TPU n'a jamais tenu bien longtemps. J'en ai été réduit à imprimer deux pièces avec un manchon de chevauchement dont j'ai renforcé la tenue avec de la colle. Il faudrait expérimenter cela avec une buse plus large que ma 0.4 d'origine et tenter dans les paramètres de mieux écraser la première couche de TPU sur le PLA, mais je n'ai pas poussé très loin mes expérimentations.
  18. ScotchE67

    NEWS - Bambu lab P1S

    Pour du pla il ne me semble pas nécessaire d'avoir plein d'accessoires d'avance. Effectivement un petit système d'ouverture du panneau supérieur est utile mais c'est facilement trouvable. Coté bruit et vibrations, je ne sais pas si je suis vacciné par les autres machines ou peu sensible, mais je trouve que la P1S est raisonnable sur ce sujet. En tout cas pour moi ce n'est pas un point de critique absolu. Peut-être que la machine fonctionnant trop bien, nous en sommes réduits à nous chagriner de choses que nous pardonnions à des machines moins fiables. Mon espace de travail pour l'imprimante est assez stable et lourd, il n'amplifie donc pas les vibrations. Mais même lors d'impressions conjointes les vibrations de la P1S n'ont pas été perturbatrices des autres machines.
  19. Pour moi il y a deux solutions simples si tu n'as que les fichiers STL et non pas les modèles originaux. en se basant sur le diamètre externe du pneu. imprimer le pneu à la taille souhaitée (taille à régler dans le slicer avec l'outil de mise à l'échelle) mesurer le plus précisément possible le trou intérieur du pneu redimensionner la jante à la bonne taille dans le slicer et imprimer en se basant sur le diamètre de la jante imprimer la jante mesurer le diamètre externe dans le slicer ajouter un cylindre modificateur pour ajuster le trou du pneu au diamètre de la jante (cela varie suivant ton slicer mais c'est facile sur les plus courants) imprimer le pneu et le monter Tu peux également en jouant avec les modificateurs réussir à conserver les diamètres de pneu et de jante.
  20. @brad.pitt le pense que l'usage de la S3 bien différent. Elle est top en production ou en prototypage de pièces fonctionnelles. Elle n'a pas été conçue pour du multicolore, même si elle s'en sort très bien avec deux matériaux identiques de couleur différente. C'est une vraie double extrusion, donc super efficace pour les pièces techniques avec besoin de support ou les mix de matériaux. J'ai pu faire des assemblages Nylon / TPU que je ne voyant pas comment faire avec des machines sans double extrusion. En bémol le volume de travail un peu plus restreint et la nécessité de prendre des filaments en 2.85mm Si tu peux l'avoir à un bon tarif pourquoi pas, mais attention quand même au prix de l'entretien, car les pièces adaptables ou compatibles sont quasiment inexistantes. En exagérant, c'est un peu comme acheter une Maserati d'occasion à un bon tarif sans avoir prévu le budget entretien et fonctionnement. Je n'ai pas encore fait fonctionner la P1S, mais je sais que la S3 est utilisable dans un atelier ou un bureau sans être pénible. J'ai une imprimante laser couleur qui fait plus de bruit
  21. Pour les impressions exposées au soleil ou aux changements de température je trouve que le PETG résiste très bien. J'ai des accessoires montés sur mes vélos et motos depuis quelques années et sans traces de détérioration. Idem pour des bricolages de jardin qui passent une grande partie de l'année dehors. Le caisson de la P1S ne me semble pas inférieur à celui de la X1C. Et les différences de montées en température ne concernent pas les impressions avec les filaments classiques. Les plateaux ne sont pas si spécifiques que cela. Avec le texturé d'origine de la P1S je pense que tu peux quasiment tout faire. Le Lidar est plus dans l'analyse du débit et l'ajustement ultra-fin de la première couche. Il est possible de s'en sortir largement sans cela. A mon avis coupures de courant sont pénibles, surtout si elles sont longues et que tout a le temps de refroidir
  22. En lisant que tu utilises un navigateur sur tablette avec les traductions, je me permet de te recommander tenter la désactivation du traducteur en cas de problème. Sur plusieurs sites un peu techniques, mais pas forcément bien optimisés j'ai constaté que Chrome avait tendance à traduire une partie des échanges avec le serveur distant, y compris des chaines de paramètres lors des appels en Ajax. Cela peut conduire à des erreurs. J'ai eu le cas sur une application où Chrome sous Android en pensant bien faire remplaçait les paramètres "serial_number" par "serijas_numurs" et "nom" par "lietotājvārds" lors d'un appel au serveur. Il y a pourtant un paramètre spécifique qui fonctionne sur la version desktop et la majorité des versions mobiles, mais dans le cas présent la directive (translate="no") était ignorée par le navigateur. Le bug était totalement incompréhensible pour l'utilisateur, surtout que le même site fonctionnait sur la même tablette pour d'autres personnes (qui ne traduisaient pas la page). Je me doute bien que cela n'arrange en rien ton problème d'imprimante, mais cela explique peut-être ta difficulté à contacter le support Bambu Lab.
  23. Même en étant plus "expérimenté" le choix entre X1C et P1S n'est pas forcément évident. J'ai finalement opté pour une P1S avec quelques upgrades à venir car l'écart est facile à combler pour mon usage. J'adore imprimer avec du PETG mais je souhaite également imprimer ponctuellement des filaments plus techniques. Mais rien d'impossible avec la P1S. Je n'ai pas perçu d'écart de performance pour les impressions courantes avec la X1C. Pour moi le LIDAR n'est pas indispensable, car je suis rodé à la recherche de la bonne première couche avec mes autres imprimantes. La caméra moins performante suffira à la surveillance des prints. Je suis habitué à l'écran rustique de mes Prusa et autres, le grand écran n'est donc pas un critère pour moi. Et pour terminer l'écart de tarif me permet de prendre quelques accessoires utiles mais également un peu de stock de filament. Juste pour revenir sur les filaments techniques, certes le plateau, la buse et l'extrudeur d'origine de la P1S peuvent être limitants, mais c'est rapide, facile et pas cher à faire évolution. J'ai d'ailleurs ajouter des buses et un plateau haute température à ma commande. A moins d'aller dans des filaments très techniques, je pense que la limite sera plus dans l'utilisateur que dans la machine. L'impression 3D n'est pas qu'un loisir, cela peut devenir rapidement une belle machine à réparation. Il faut parfois se laisser le temps et il n'y a rien de dramatique à ne pas imprimer régulièrement. J'ai dans mon atelier des machines plus classiques dont je n'ai pas un usage quotidien mais que je suis ravi d'avoir pour des projets de bricolage.
  24. Hello, je viens de passer commande d'une P1S sur le site officiel. Je n'ai pas trouvé de tarifs ou de services justifiant le passage par un revendeur. Maintenant pour patienter je consacre ma Prusa MK3 à l'impression d'accessoires pour la P1S. Fabien
  25. D'après mon expérience, il est préférable d'avoir une hauteur de couche un peu inférieure au diamètre de la buse afin d'assurer une bonne adhérence. Pour moi les micro-pauses sont plus liées à un soucis de contrôleur débordé. En réduisant la vitesse le problème s'amplifie ou diminue ?
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