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Premiers ressentis L'imprimante a trouvé sa place dans mon bureau. À côté de «grosse Bertha» (ma XMax3 libérée), elle paraît toute petite : Esthétiquement, je la trouve jolie avec sa combinaison de coques plastique «aluminium anodisé», verre (porte/capot) / plexiglas (façades des côtés) teinté en bleu/violet. La façade arrière, elle aussi en plastique, est de couleur noire. L'écran, une fois installé, peut s'incliner légèrement de 45° vers l'arrière. Les deux tiges filetées trapézoïdales sont couvertes de graisse (aucun risque qu'elles ne s'oxydent même après un long séjour en milieu humide ) : Après plusieurs montées / descentes du plateau, il va falloir penser à retirer ces surplus : Le bas du caisson est muni d'une échancrure, ce qui facilitera le nettoyage des résidus de filaments tombés au fond (la Xmax3 n'en était pas munie, pire, il y avait un creux à l'avant qui accumulait les scories ). Une sérigraphie sur le capot indique qu'il peut coulisser vers l'arrière pour faciliter l'impression de filaments comme le PLA et le PETG, sans devoir le retirer complètement. Des verrous permettent d'éviter que ce capot ne bascule. Étant en verre, sa rencontre avec le sol lui serait sans doute préjudiciable. Sous le capot, sur le pourtour de la coque plastique est collée une bande d'étanchéité, de même pour la porte (exceptée au niveau de l'échancrure). Ces bandes d'étanchéité devraient réduire les déperditions caloriques. Un article ultérieur reviendra sur les éléments utilisés sur cette Q2. Mise en route L'imprimante est installée. Les films plastiques protégeant les plexiglas des côtés, de la porte et du capot (il est protégé sur chaque face) retirés, il reste à brancher la fiche secteur (j'ai vérifié, malgré la présence du sticker sur l'arrière indiquant que cette imprimante est paramétrée pour du 230V, que le sélecteur de tension sur l'alimentation est bien positionné) et le câble Ethernet relié à un de mes switchs réseau. Qidi via son Wiki montre le déballage (vidéo + texte avec photos). C'est parti, l'interrupteur d'alimentation passe de O à I, l'écran s'allume sur le logo Qidi. Après une grosse minute, celui-ci est remplacé par l'écran de choix de la langue d'affichage. Je reste dans un premier temps en anglais (les traductions en français laissant parfois à désirer). Une fois la langue sélectionnée, un didacticiel prend en main l'utilisateur en lui montrant les manipulations à faire. retirer les quatre vis immobilisant le plateau au fond du caisson valider via l'écran le retrait des vis, le plateau s'élève permettant d'ôter les cales de mousse au-dessous débloquer la tête et l'axe X en coupant les colliers Rilsan enlever le carton de protection de la tête, libérer l'axe X en retirant la cale de mousse, finir en introduisant le tube PTFE sur la tête Une fois validées ces manipulations sur l'écran, un ensemble de tests et vérifications sont effectués test de chauffe de l'extrudeur test de chauffe du lit test de chauffe et ventilateur de l'enceinte test du ventilateur de refroidissement test du ventilateur de refroidissement auxiliaire test du ventilateur d'extraction d'air auto-nivellement compensation de résonances (input shaping) Pour un débutant, le bruit engendré par ce test peut faire «peur». Rien d'anormal, le laisser aller à sa fin . Une fois ce dernier test réalisé, valider pour avoir le dernier message de félicitations L'ensemble de ces vérifications, tests prend une bonne quinzaine de minutes. Seuls l'auto-nivellement et la compensation de résonances seront à refaire de temps en temps. En résumé, à partir d'un extrait de la vidéo de déballage de Qidi, j'ai fait une image animée rappelant ces étapes (on peut apercevoir au tout début du didacticiel les étapes montrant comment retirer la QidiBox de l'intérieur de la Q2 quand le modèle est la Q2Combo) : L'imprimante est prête à imprimer. Dans un premier temps, j'utilise les gcodes pré-tranchés enregistrés dans la mémoire de l'imprimante. J'utilise un reste de filament d'une vieille bobine de PLA Eryone Galaxy silver (gris) juste stockée dans un sac hermétique avec un sachet de dessicant. Test du Benchy (annoncé pour dix-sept (17) minutes d'impressions, il a fallu plus de ving-cinq minutes en ajoutant la phase (longue) de mise à l'origine, nettoyage de la buse, auto Z, nivellement, …). Le résultat ne présente pas de défaut majeur (je referai des photos rapprochées plus tard) : La vidéo timelapse : On continue par le torture-test KickStarter : Je n'ai pas encore calculé le score total des différents tests, mais hormis pour certains pontages qui se sont affaissés, les autres parties sont très bonnes. Et on termine aujourd'hui par le cube Voron. Là encore qualitatif. En résumé de ces premières impressions, aucun problème de nivellement, la buse est parfaitement nettoyée de toute scorie (mais ça prend du temps). Les pièces se sont imprimées sans se décrocher et une fois le plateau redescendu sous les trente (30) degrés, elles se sont décollées facilement. À bientôt pour la suite (qui arrivera bientôt )5 points
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Nouvelle version Bambu Studio 2.2.1 La V2.2.1 est une mise à jour mineure basée sur la V2.2.0, ajoutant la prise en charge de Bambu Lab H2S et corrigeant plusieurs problèmes connus. 1. Correction d’un problème à cause duquel l’onglet d’étalonnage disparaissait lorsque la fonction multi-appareils était activée. (#7697) 2. Correction d’un problème qui empêchait la taille du pas d’être définie sur 0,001 lors de l’étalonnage dynamique du débit. (#7882, #7850) 3. Correction d’un plantage potentiel lors de l’importation de fichiers 3MF créés pour des imprimantes tierces. (#7639) 4. Correction d’un problème qui empêchait le déplacement de la barre latérale pour certains utilisateurs. (#7939) 5. Correction d’un problème où le chargement de la bobine externe était désactivé dans certains cas sur les imprimantes des séries P et A. (#7888) 6. Correction d’un problème qui empêchait l’enregistrement des couleurs personnalisées dans la palette de couleurs. (#7854, #5441) 7. Correction d’un problème à cause duquel le comportement de la fonction d’orientation automatique était incohérent entre la ligne de commande et l’interface graphique. (#6092) 8. Correction des erreurs de centrage et d’espacement causées par le nouvel outil de texte. (#7842, #7835, #7893, #7828) 9. Ajout de plusieurs préréglages de filaments Fiberon pour H2D, avec tous nos remerciements à @Pepe-Polymaker pour la contribution.4 points
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Houlaaaaaaa ! Tu as affaire à un retraité, il ne faut pas être si pressé3 points
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Échauffement Le contenu du colis du «koikesse» ayant été découvert, je relaterai dans ce sujet ma découverte de cette imprimante, la Q2, avant de publier le test final sur le blog du site. En échauffement, un petit rappel : le colis pèse 24 kg, l'imprimante elle-même ne pesant qu'un peu plus de 18 kg. La marque Qidi est moins connue que d'autres constructeurs asiatiques. Elle n'est pas pourtant pas récente dans le monde de l’impression 3D puisqu’elle a entamé ses activités en 2014 sous le nom Qidi Tech devenu Qidi fin 2024. Qidi développe ses propres outils matériels et logiciels, par exemple un trancheur (slicer) maison dérivé de BambuStudio pour ses modèles les plus récents. Cette société possède un support technique spécialisé via un Wiki et également via une chaine Youtube. Sur le site de Qidi, la Q2 est présenté ici. C'est une imprimante «rapide» à l'instar des modèles d'autres constructeurs : vitesse maximale de 600 mm/s, accélérations de 20 000 mm/s². Les caractéristiques techniques sont décrites dans le comparateur du forum. Je rerprends ici les principales : SPÉCIFICATIONS Q2 Caisson fermé à chauffage actif Cinématique CoreXY Volume d'impression de 270x270x256 mm Températures maximales : 370 °C (buse), 120 °C (lit), 65 °C (enceinte) Compatibilité avec de nombreux matériaux, y compris les plus techniques Autonivellement à l'aide d'une jauge de pression située dans la tête d'impression Système de filtration de l'air 3-en-1 (préfiltre, HEPA, charbon actif) Wifi (2,4Ghz) et Ethernet Écran capacitif de 4,3" Caméra interne (surveillance, timelapses, détection des problèmes d'impression) Certifications (MET, IECEE CB, CE, …) Tous ces points seront bien évidemment testés et vérifiés lors du test. Comme la majorité des imprimantes rapides actuelles, Klipper est le firmware faisant fonctionner celle-ci. Trop souvent ce n'est pas la version pure («vanilla») de Klipper, mais une version modifiée par le fabricant, sans remise au pot commun de ces modifications, enfreignant la licence originelle GPL v3.0. Nous y reviendrons lors de l'examen du système d'exploitation et de l'écosystème Klipper utilisé. Pour rappel, Klipper se compose de deux éléments : un firmware installé sur la carte contrôleur, gérant uniquement les éléments matériels (unité de contrôle) «klippy» installé sur un Small Board Computer (SBC), en français, on parle d'ordinateur monocarte, chargé lui de l'impression (unité de calcul) Pour plus de détails sur Klipper je vous renvoie à ce sujet du forum. Déballage Le Wiki de Qiditech permet d'accéder à un document texte accompagné de photos ainsi quầ une vidéo de déballage : À l'intérieur du carton, se trouvent deux manuels papier, un plus complet en anglais d'une dizaine de pages, le second plus succinct en six langues (Anglais, Chinois, Italien, Français, Espagnol et Allemand), quatre pages par langue (à noter que le titre de la première page du français est en italien «introduzione alla stampante» ). Quelques photos L'ouverture du carton donne accès au manuel, à la vitre supérieure, le support de bobine, le carton contenant l'écran et la clé USB : Ce premier étage de polystyrène est bien protégé aux quatre coins, une fois celui-ci extrait, on aperçoit la Q2 dans son emballage plastique. Une étiquette nous explique comment sortir l'imprimante du carton : Ne reste plus qu'à sortir l'imprimante de l'emballage plastique et retirer les dernières protections (encore du plastique) : Au fond du carton se trouvent deux petites boites (tool box 1 et 2) : La boite 1 contient un câble Ethernet de 2 m, une clé plate de 7, un jeu de clé Allen (1,27/1,5/2,0/2,5/3,0) et quelques pièces de remplacement (coupe-filament, essuie buse, fusible). L'autre boite (2) contient le câble d'alimentation secteur, un tournevis plat, une spatule, l'axe support de bobine et un échantillon de filament (20 g) : Avant de poursuivre, un examen du capot arrière m'intrigue. Une étiquette indique que cette imprimante est configurée pour fonctionner sur la tension secteur 220-240 V. L'alimentation ne serait donc pas auto-configurable comme sur la plupart des concurrentes ? L'accès à l'alimentation au-dessous de l'imprimante le confirme. Il est de ce fait préférable de bien vérifier que la tension a bien été paramétrée : Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Il me reste à monter l'imprimante jusqu'à mon bureau à l'étage, lui trouver une place, la brancher et lancer les premières impressions… ce sera l'objet du prochain article. À suivre… bientôt.1 point
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Bonsoir tout le monde, un très très grand merci @pjtlivjy @JoOj @MrMagounet. Il a fallu faire un choix rapidement finalement, c'est bien, ça oblige à se décider. Et puis j'ai discuté avec les vendeurs, et ils n'étaient pas inquiets sur la H2S et le fait qu'elle arrive juste, comme c'est un dérivé de la H2D. Donc je suis parti sur le combo, avec un ams 2 pro supplémentaire. Plus pas mal de consommables !1 point
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Mince . Un bug d'affichage à remonter à Qidi. Sinon, c'était bien 25 min au total. Il faudra que je vérifie pour de prochaines impressions de moins d'une heure si ça se reproduit. Au moins, ça fait plaisir de voir que certains lisent scrupuleusement .1 point
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Toutafé . En plus, ce qui prend le plus de temps, ce n'est pas de réaliser des tests d'impression. Le plus chronophage est de prendre des photos, les recadrer, les nommer, écrire le texte, le relire, le corriger, l'amender, le peaufiner, le recorriger, le rectifier, le compléter … Il y a tout de même une suite, à voir ici.1 point
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Tout-à-fait, il faut mettre en regard les infos et les besoins. J'ai pas non plus dit que c'était sans faille (Non, je ne sors pas, il pleut)1 point
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Ça marche aussi (n'ayant pas de matériels Stevejobesque, je le suppose ). J'avais testé plusieurs solutions (Klipperscreen avec RPi0v2 additionnel et écran BTT HDMI (ce que j'utilise actuellement), Klipperscreen sur XM3 + VNC, CYD (Cheap Yellow display), ancien smartphone avec Fluidd, …)… tous fonctionnels1 point
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Oui, car sinon il aspirerait de l'air chaud et ne durerait pas longtemps. Comme tous le ventilos de hotend d'ailleurs.1 point
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Dans le même style que OctoEveryWhere, il y a Obico (anciennement nommé Spaghetti Detective). Il y a également Simplyprint (pas testé). Les deux (OEW et Obico) que j'utilise, font à peu près les mêmes choses, mais pour être réellement fonctionnels demandent un très bon éclairage sans trop d'ombre. Aucun de ces dispositifs n'est garanti à 100 %, car ils nécessitent un apprentissage en continu. Quand un plat de pâtes est détecté, normalement l'impression est mise en pause (avec un délai à cause du traitement distant) et attend de l'utilisateur une manipulation. Est-ce concrètement un souci ou un faux-positif ? En confirmant ou infirmant, la base de détection est mise à jour (apprentissage). Il y a un délai entre la détection (supposée) et la mise en pause de l'impression, car le traitement (l'analyse) est fait dans le Cloud (sur un ordinateur qui ne nous appartient pas donc). Seul Obico, à ce jour, permet d'installer sur son propre serveur la partie «IA», mais cela nécessite un matériel informatique un peu costaud (bonne carte graphique ou matériel type Jetson de Nvidia). Obico possède aussi une fonctionnalité d'analyse de la première couche (nécessite une caméra de buse), exemple que j'utilise sur ma Qidi XMax3 que je trouve plutôt efficace. Comme le traitement se fait là encore à distance (le Cloud), après analyse, l'impression débute. Ce qui demande si le résultat de la première couche n'est pas top d'arrêter manuellement l'impression contrairement à la mise en pause «auto» si/quand plat de spaghetti détecté .1 point
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Je viens de publier un tutoriel Openscad (logiciel de CAD, conception assistée par ordinateur). Je l’utilise pour la plupart de mes modèles. https://www.thingiverse.com/thing:7128248 Le tuto existe en français et en anglais et supporte un apprentissage par la pratique. Dans la progression, on est très vite capable de créer un objet simple, et de générer un fichier STL à imprimer.1 point
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De nouveaux viaducs TGV ou de nouvelles versions: https://www.thingiverse.com/thing:6921956 https://www.thingiverse.com/thing:7035073 https://www.thingiverse.com/thing:6920945 https://www.thingiverse.com/thing:70432591 point
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Une blinde ! c'est du pro. Ce n'est pas du lithophane mais de l'impression résine multi couleur.1 point
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Bonjour, Nouvel inscrit sur ce site, je pratique impression FDM et résine. Voilà voilà. :-)1 point
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Bon Alors je vais donné aussi mon avis @JoOj @pjtlivjy pour @Martin.D, alors concernant de Vortek la H2C elle sera pour moi a un tarif supérieur a la H2D donc le prix va piqué, il faut savoir que les H2D et H2S devrait être compatible avec le Vortek et un kit devrait être proposé mais cela demandera pas mal de travail pour le mettre en place ;). Pour ce qui est du système Vortek je tiens juste a rappeler que c'est pas nouveau et pas un creation de Bamblab, de 1 cela fait plus de 15 ans que ce système existe dans l'industrie, mais il est vraie pas sur les machine grand public, mais il y a un machine sous kickstarter qui arrive et qui a fait l'annonce d'un machine avec un carrousel de 12 buses en volume 300x300x300, mais surtout il a y a depuis un bon moment le projet OpenSource ANC de VZbot qui existe et BBlab c'est inspiré de cela, le choix de cette solution peu paraitre logique car cela permet de continué a utiliser les AMS et AMS2 Pro etc... tout en ayant l'interet de ne plus avoir de perte de matière mais pour le temps d'impression si l'on gagne un peu sur la purge les changement de buses et de filament via l'AMS continue de maintenir une durée bien plus important que les solutions tools changer comme la snapmaker U1 et Wonder Maker ZR Ultra. Au vue du prix de la H2S je trouve le placement tarifaire correcte si l'on compare a la concurrence comme la K2 Plus c'est pas déconnant, je la trouve plus interessant que la H2D dont le prix ce justifiait pas pour moi, l'AMS 2 Pro reste pour moi la plus grosse erreur de produit de BBlab le produit est nul au possible je trouve l'apporte par rapport a l'AMs 1 est mini car pour moi la fonction dryer est inexploitable vue que l'on peu pas l'utilisé machine etainte ni machine en print c'est une hérésie totale pour moi, après Les H2 sont propose en combo que avec l'AMS 2 Pro on est donc prix en otage d'un produit vendu plus chers mais a la porté limité, mais cela ne retire rien au qualité de la H2S (sur papier en tous cas car je ne l'ai pas tester n'y vue tourner de mes yeux). Pour la H2C le principe du vortek je suis curieux de le voir tourner par curiosité voir les pièce en mouvement doit être sympa a voir, mais la U1 a un gros avantage sur son principe de fonctionnement qui sera bien plus rapide, plus simple a dépanner et entretenir aussi au vue de l'accessibilité et de la réparabilité de la U1 qui me semble excellent de ce que je vois, choses bien moi vraie sur la série H2 qui demande beaucoup d'effort pour y arriver.1 point
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N'oublions pas les services externes style https://octoeverywhere.com qui fonctionnent plutôt bien, le service gratuit limité à quelques impressions par jour et le service payant plus complet1 point
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Beh je dirais que, pour cette taille, elles sont de toute manière pas beaucoup sur le segment : la K2 Plus et elle Et du fait de l'AMS2 et de la chambre qui chauffe pour de vrai, je dirai que cette H2S est au dessus de la K2 plus. Personne ne l'a encore vue en fonctionnement. En temps normal ça me freinerait. Mais dans l'absolu, c'est une H2D avec une seule tête : donc elle devrait avoir les qualités de la H2D tout en ayant corrigé les quelques soucis qu'il a pu y avoir au démarrage de la grande sœur. Mais as tu envisagé une autre option (ouais, désolé, je remet une pièce dans la machine ^^) : prendre 2 imprimantes plus petites pour quasiment le même budget ? Avec deux Qidi Plus4, tu peux imprimer 2 fois plus vite qu'avec une seule H2S, sur une surface à peine plus petite. Et sans aucun compromis sur les matériaux imprimables puisque la fiche technique est assez comparable aussi (sur ce point). Avec deux Qidi Q2, tu peux garder un énorme budget pour du consommable (ca part vite !) Avec un mix Qidi plus 4 et imprimante ouverte (une Hi combo, ou une A1 combo), tu garde des sous ET tu varies les plaisirs en ne mettant pas tout tes œufs dans le même panier Point de vue "écosystème" (App, cloud, etc), c'est un confort (réel), et Qidi est en train de se rattraper là dessus, mais on peut s'en passer (vraiment). Le fait de ne pas avoir ces écosystèmes n'ajoute pas de complexité.1 point
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Tu veux pas attendre Q4, et avoir le prix de la version avec le système Vortek installé ? Bon, OK, on attend on attend et au final on prend jamais rien Mais le système annoncé est réellement une sacré innovation.1 point
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Le travail avec la probe s'avère quasiment obligatoire si l'on retravaille des pièces... Mais celle-ci n'est pas pratique avec un axe de 4mm car elle nécessite le changement de collet par deux fois avant le début d'un travail... Je devais faire quelque chose... J'ai commandé une deuxième probe pour la modifier... La modification est simple : réduire le diamètre de l'axe pour le passer de 4mm à 3.175mm de façon à pouvoir utiliser le collet 1/8 de pouce que j'utilise avec toutes les fraises que j'ai à ma disposition. Cela nécessite juste une seconde probe pour palper la position de l'axe précisément. Une fois l'origine du travail définie, le reste est super simple : un contour extérieur de 3.175mm jusqu'à la profondeur requise Et on a maintenant un axe de probe qui fonctionne avec le collet 1/8 de pouce.1 point
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merci ! c était mon câble qui crée le problème de l’extrudeur qui tremble1 point
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bien content d'apprendre cela @ThierryPoulet la résine Phrozen est une like si certes elle est intéressante c'est un piège marketing car elle ne contient aucune fibre de verre mais Phrozen induit l'idée qu'elle se rapprocherait de ... ce qui est faut il faut prendre une résine à très faible retrait et surtout laisser les pièces reposées avant de faire un assemblage1 point
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Personnellement, je te conseille fortement un upgrade et de passer à la nouvelle hotend Artillery. Voir là: Autre conseil, il y a des clones de cette hotend vendus 20€ sur Aliexpress. Je déconseille. J'en ai acheté un, et le filament ne passait pas dedans (mauvais usinage, on dirait)1 point
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Bonjour, Yvan. Tu ne peux malheureusement pas réparer les fils coupés. Les fils noirs c'est la sonde de température et les fils blancs c'est la cartouche chauffante en céramique. Oui ton lien sur Aliexpress est bien., Mais tu peux changer uniquement la sonde de température et la cartouche chauffante. Ils sont maintenus avec une petite "agraphe" métallique, à faire coulisser le long du corps de chauffe ( le rectangle en métal où ce visse la buse). Perso vu le prix, je prendrais un hot end complet ( ton lien Aliexpress) + 1 sonde de température et une cartouche de chauffe en plus. Maintenant pour ta buse avec la tête abîmé. Soit tu as de la chance et en dévissant le corps de chauffe du heatbreak ( le cylindre qu'il y a en le corps de chauffe et le bloc refroidisseur noir), la buse se devissera toute seule. ( Car la buse est serrée contre le heatbreak). Bien sûr tout ça à chaud 200°C. Soit ça ne marche pas, ( le heatbreak tourne dans le bloc refroidisseur noir), et là tu n'auras pas d'autres choix que d'utiliser des pinces pour en venir à bout. Et à chaud aussi, avec 2 Pinces et 1 briquet j'y suis déjà arrivé. Si tu as d'autres questions. Bon courage à toi.1 point
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Oui à la première question. Ca n'avait rien donné avec des adresse ip 192.168.1.... Pour la seconde question : j'ai bien la dernière version. Cela dit, en mettant le nom DNS et non l'IP au format 192.168.1.... Ca marche.1 point
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Bonjour, Heureux possesseur d'une Saturn 3 ultra depuis 2023, je constate depuis un certain temps des soucis d'accroche et de solidité de mes impression. J'ai mesuré l'intensité de la source (avec un matériel Chitu Systems dédié à l'impression 3D) sur le centre et les coins de mon écran, et j'arrive à 3,6 mW/cm2 au centre et 1,3 à 1,8 mW/cm2 dans les coins. La valeur normale semble être 4,2 mW/cm2, donc loin des résultats qui par ailleurs ne sont pas très homogènes. J'aimerais donc savoir si de votre point de vue mon écran est HS ou si il faut que je cherche ailleurs la source de mes problèmes, car je suis loin des 2000 heures annoncées pour la durée de vie de cet écran par Elegoo. Cordialement.0 points
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j'ai testé le seul truc que j'ai pas testé, essayer sans le mode Dynax (mode rapide), le temps d'impression a doublé, mais j'ai exactement les mêmes traces. du coup j'ai fait dessins pour le sav regardez bien, c'est incompréhensible. Les traces je les ai sur les parties rouges, donc au même endroit recto/verso. les parties vertes sont parfaites au même endroit recto/verso, c'est incompréhensible. J'ai mis une photo latérale pour l'inclinaison. Ce qui est encore plus dingue, c'est que l'inclinaison ne semble pas être le probleme, par exemple sur le demi cercle quasiement a plat en haut, j'ai les mêmes traces dans la zone rouge, et rien dans la zone verte...0 points