Aller au contenu

Classement

  1. SR-G

    SR-G

    Membres


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      520


  2. fran6p

    fran6p

    Modérateurs Globaux


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      15 943


  3. MrMagounet

    MrMagounet

    Membres


    • Points

      2

    • Compteur de contenus

      9 133


  4. PPAC

    PPAC

    Modérateurs Globaux


    • Points

      1

    • Compteur de contenus

      10 540


Contenu populaire

Contenu avec la plus haute réputation dans 16/07/2023 Dans tous les contenus

  1. Pour ma part j'ai regarde lors de l'apparition de ce fichier j'y figure bien en early bird 1 mais a priorie arrivé prévue pour mi Aout au plus tot, quand je les avais contacté il m'avait dit Début Aout mais que cela dépendait des aléas d'expéditions.
    2 points
  2. Les buses de + grandes tailles (0.6, 0.8) ont historiquement deux justifications : - permettre d'imprimer + vite (en augmentant la hauteur de matière imprimée à chaque couche) - de permettre d'imprimer des matériaux "mix" (du PLA avec particules de bois, ou du PETG-CF avec des particules de carbone, etc.) - les ajouts de matières dans le filament ont tendance à boucher les buses 0.4, d'où le 0.6 conseillé Le premier point n'a à priori pas de raison d'être sur les Bambu (tous les retours semblent indiquer que les optimisations de vitesse de la machine en elles mêmes annulent l'intérêt de passer de 0.4 à 0.6 (ou +). Conclusions : - le changement de buses n'est pas nécessaire / utile sur les Bambu pour accroître la vitesse d'impression - normalement la buse 0.2 n'est quasi pas nécessaire (la 0.2 permettant déjà d'imprimer en 0.1mm) - la buse 0.8 n'est quasi jamais nécessaire (la 0.6 suffisant en général pour les filaments bois, carbone, ...) - la buse 0.6 reste obligatoire pour ces filaments enrichis
    2 points
  3. L'impression 3D se déplace de plus en plus vers les imprimantes rapides. La technologie est suffisamment mure pour le permettre aujourd'hui dans le domaine grand-public à des prix abordables, même si encore élevés pour le plus grand nombre. La vitesse d'impression est l'un des points noirs de ce type de machine. Quand une impression ce compte en dizaines d'heures, voir en jours, cela en rebute plus d'un. C'est tout l'intérêt de ces nouvelles machines qui viennent diviser par 3,4, voir 5 le temps d'impression tout en gardant une qualité équivalente. QIDI X smart 3 se place sur ce créneau avec, en plus, un prix défiance la concurrence. Un petit test en français de la smart3 de Qidi que l'on peut trouver aujourd'hui a 399€ en livraison europe tout compris. Un petit match tout aussi rapide entre la Qidi a 400€ et la Ender 3 S1 pro qu'on trouve a un prix souvent plus élevé aujourd'hui. Bon ok, le plateau de la Qidi est plus petit 175*180*170mm, mais c'est pas pour moi un critère déterminant suffisant, surtout a coté autres qualité de la Qidi. Pour finir venant toujours de la même chaine youtube. la bataille smart3 PETG.
    1 point
  4. Cette semaine on parle #automobile #mariage #lithophanie et on revient sur les nouvelles imprimantes 3D sorties ! https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-393-20230716/
    1 point
  5. Aussi, l'auteur du soft a une chaîne YouTube https://www.youtube.com/@hueforging Et plus je regarde, plus je me dis que je vais payer les 12 USD d'une licence pour usage perso a vie, histoire de jouer avec.
    1 point
  6. Je n'ai pas encore regardé, mais 3DPN a fait une vidéo à ce sujet y'a 2 jours :
    1 point
  7. Toutafé C'est d'ailleurs le gros inconvénient des cartes contrôleurs possédant des connecteurs spécifiques permettant l'utilisation de nappes. L'autre inconvénient provient du fabricant (Creality) qui ne fournit aucun schéma électronique, ça oblige à faire de la «rétro-ingénierie» en sondant ces câbles (et franchement c'est hyper ch…nt probablement à cause de ma vue qui n'est plus celle de mes 20 ans ). Certes, ces nappes permettent de réduire l'encombrement mais introduisent d'autres problèmes dont la fragilité n'est pas le moindre car non prévues originellement pour être « pliées / dépliées » fréquemment. Il existe bien des nappes prévues pour ce fonctionnement (ex: les imprimantes 2D) mais elles supportent rarement l'intensité permettant de chauffer la cartouche). Le sujet dédié à la transformation / modifications (électronique et matériel) est en approche.
    1 point
  8. Une image plus grande serait plus visible.
    1 point
  9. Bonjour a tous. Je reviens vers vous non pas car j' ai un problème mais tout simplement pour dire que je suis toujours aussi heureux d utiliser mon imprimante.pour l instant je multiplie les prints sans problème et je suis ravi.je pense d ailleurs un jour passer a une plus rapide et une fermé pour pouvoir imprimer du pla et aussi une direct Drive .mais en attendant je suis content de celle ci ...
    1 point
  10. Merci pour ce retour positif . Bonne continuation.
    1 point
  11. J’ai réussi c’était la mise à jour de l’écran qui posait problème ;-).
    1 point
  12. Bonjour a Tous Après quelques dizaines d'impressions avec T° plateau à 35°, perso je trouve que l'utilisation de la colle n'est pas des plus confortable. Pour des impressions de grandes pièces, il faut veiller a ce qu'il y ai de la colle de partout sur la zone où sera imprimé la pièce. J'ai eux quelques prints où par malchance la partie fine de la pièce se situait a un endroit du plateau ou il manquait de la colle, et j'ai eu quelques décollements de la première couche a cet endroit précis. Ensuite, après plusieurs impressions qui laissent à chaque fois des marques sur la plateau, on ne sais plus trop ou il y a assez de colle et ou il faut en remettre pour la prochaine impression et le plateau devient vite un peu dégeux et pégueux. Pendant plus de 3 ans, j'ai imprimé des pièces en PLA de chez Grossiste 3D sur mon Alphawise U20 où il n'a jamais été question de colle avec une température de plateau de 50 ou 55 degrés, sans avoir aucun problème. Alors je viens de faire quelques essais avec un plateau a 55°, sans colle et sans mettre le couvercle de l'imprimante, et tout s'est imprimé nickel. Comme quelqu'un la deja dit dans le forum, il suffit de laisser un peu refroidir le plateau a la fin de l'impression, et la pièce se détache sans problème. Pour nettoyer le plateau correctement de toute colle, j'ai juste utilisé le scrapper tenu bien vertical et raclé progressivement par passes successives de droite à gauche sur toute la hauteur. Ça a entièrement enlevé la colle présente et j'ai retrouvé un plateau dans l’état d'origine. Voila, je vous fait part juste de mon expérience, sans volonté de convaincre quiconque. Si j'ai bien compris, c'est l'esprit de ce forum
    1 point
  13. Il serait préférable de le faire (60-65°) car il est rare que la température de consigne corresponde à celle de la surface du verre / miroir. La vitesse de la première couche doit être faible (=< 20/25mm/s) afin de «garantir» une bonne accroche.
    1 point
  14. Des verres transparents, il y en a des tas, de qualité diverses, ça se dilate dans n'importe quel sens.... Si tu veux un verre prends, un verre, mais rien ne garantit qu'il sera mieux que ton plateau actuel. Des verres de bonne qualité coûtent cher. Un miroir, de par sa conception, il doit rester plan tout le temps (sinon l'image qu'il renvoie serait déformée.). Pour ma part, je ne mets rien sur mes plateaux, mais je paramètre au mieux ma première couche pour qu'elle soit bien écrasée. (pour du pla bien sûr) Si tu joues bien pour l'accroche, ça va très bien. et surtout le décrochage se fait tout seul en refroidissant (d'où l'utilité d'avoir deux miroirs.)
    1 point
×
×
  • Créer...