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Contenu avec la plus haute réputation dans 21/10/2025 Dans tous les contenus
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On imprimait du PLA sans plateau chauffant avec une bobine qui trainait dans un coin et aujourd'hui on dirait qu'on ne peut rien faire de propre sans caisson fermé + un dryer qui assèche les bobines !5 points
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Bonjour, J'ai commencé à coudre quelques pièces de tissu, notamment des accessoires pour mon sac à dos de randonné / photo. Je me suis contenté du point droit, les coutures sont un peu moches mais c'est solide Quand on fait de la randonnée seul, pour faire de la photo, plusieurs problèmes se posent : - il faut porter le matériel de façon confortable (un boitier reflex avec un bon objectif pèse lourd, il faut aussi un trépied pour les poses longues) - il faut pouvoir avoir accès à son matériel facilement - il est rare d'avoir à disposition un endroit propre où poser ses affaires. La façon la plus confortable de porter du poids, c'est sur les hanches. Il ne faut pas que le poids repose sur les épaules ou le cou. La ceinture abdominale du sac à dos est un élément stratégique. J'ai installé des plaques en alu pour fixer mes appareils photos avec des clips. C'est similaire à des holsters C'est pratique et très confortable. J'ai aussi ajouté des clips au niveau des bretelles, ce qui permet de fixer les appareils photos devant soit de telle sorte pour franchir les passages étroits. J'ai cousu une sangle avec un anneau demi-lune pour attacher mon trépied derrière le sac à dos, de telle sorte que je puisse l'accrocher et le décrocher du sac à dos sans avoir à enlever le sac à dos (il y a un mousqueton entre les pieds du trépied photo mais on ne le voit pas sur la photo) : J'ai cousu une petite sangle pour accrocher mon sac à dos à mon trépied photo : Sur la photo ci-dessus on voit le mousqueton permettant de fixer le trépied au sac à dos. Il est recouvert de morceaux de tuyaux en silicones pour éviter de faire du bruit (les "cling cling" des mousquetons c'est chiant quand on marche en pleine nature) En fait, le principe est simple : je peux utiliser mon trépied comme portemanteau ou plus exactement comme support pour poser mon sac à dos. C'est utile pour aller chercher des affaires dans le sac à dos, changement de vêtements, faire des étirement et se reposer, ect... Le trépied photo est utile pour poser ses affaires en pleine nature sans les salir. J'ai aussi cousu des attaches rapides sur des petites pochettes pour pouvoir accrocher divers petits objets facilement accessibles sur les côtés du sac : Chaque pochette possède une attache mâle. En bas au milieu sur la dernière photo on voit les petites sangles avec une boucle et une attache femelle, que je devrais fixer sur les côtés de la ceinture du sac à dos. Il y a aussi deux sangles "universelles" pour tout attacher n'importe où dans n'importe quel sens. Ayant la peau très fragile, je dois me protéger du soleil. J'ai recousu les protections latérales de mon chapeau entre elles jusqu'en bas (elles ne l'étaient pas avant et c'était pénible, ça volait au vent et je devais les rentrer dans le col de mon polo ou mon t-shirt) : Ce modèle de chapeau est devenu introuvable et je n'en ai qu'un seul. J'ai pu en acheter un autre mais sans les protections latérales ; grâce à la machine à coudre ce n'est plus un soucis, je peut coudre une protection latérale découpée dans le tissu d'un t-shirt anti-UV. La Necchi Q132A peut coudre plusieurs couches de tissu épais c'est bien pratique. On peut aussi coudre deux pièces de tissu avec entre les deux une couche de mousse pour faire une sacoche rembourrée. Prochaines étapes : - coudre des anneaux demi-lune à un endroit plus pratique sur une petite sacoche photo (plus près du bord en haut, pour qu'elle reste bien droite) - faire des ourlets aux pantalons de travail du boulot, qui sont beaucoup trop longs, et modifier une poche pour que mon appareil de mesure rentre dedans Bref, une machine à coudre c'est très pratique. J'ai souvent acheté du matériel que je n'ai pas beaucoup utilisé... ...mais la machine a coudre a vraiment été utile tout de suite. Je me demande comment j'ai pu vivre sans @Ironblue : étant donné que tu fais de la moto, des dioramas avec des figurines et que tu aménages un camion, une machine à coudre ça te serait super pratique. A bientôt3 points
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Mintion nous avait envoyé pour test la caméra Mintion Lasercam. Cette caméra, spécialement étudiée pour la gravure laser, a plusieurs cordes à son arc : la surveillance à distance du graveur et la création de vidéos timelapse, le placement d'objet à graver. Elle peut également servir d'interface entre l'ordi/téléphone et le graveur par câble USB ou via le Wifi et pour mettre en réseau un graveur laser qui n'en est pas capable d'origine. La Lasercam de Mintion est sortie sous 2 versions : La Lasercam V1 qui je trouve était mieux équipée que la V2, elle avait un trépied et un détecteur d'incendie en plus du bras permettant de fixer la caméra au graveur : La V2 qui comporte un bras plus solide et moins sensible aux vibrations. On peut également remarquer qu'elle est plus petite et n'a pas d'antenne extérieure, celle-ci est placée dans le boitier : Nous allons donc nous concentrer sur la V2 car bien que la V1 soit toujours en vente sur certains sites, elle n'est plus au catalogue de Mintion. Spécificités de la Lasercam : Une résolution 1080p Deux bandes WiFi de 2,4 et 5 GHz Fréquence d’images jusqu’à 25 par seconde Angle de prise de vue de 170° Focus manuel de 400 mm Vision de nuit en noir et blanc et en couleurs Compatible avec les graveurs de protocole GRBL et les logiciel LightBurn et LaserGRBL Dans le colis bien protégé par de la mousse, nous allons trouver : La Lasecam 2 câbles USC-C de 2 mètres, l'un servira pour l'alimentation, l'autre pour le transfert de données 1 câble USC pour la brancher au graveur laser 1 alimentation 2A Le bras en aluminium Un support pour la caméra Un support en T pour fixer le bras sur des profilés aluminium Un jeu de clés Allen De la visserie pour monter le bras Une carte micro SD de 32 Go Un guide d'installation et de fonctionnement Une feuille de calibration Le montage mécanique et le branchement sont très simples et très rapides : Pour la mise en route de la camera Mintion Lasercam, vous devrez installer l’application BeagleEngrave, créer un compte et se connecter au WiFi. Une fois les paramètres entrés, vous pourrez alors visualiser les images sur cette application et ainsi surveiller votre graveur depuis la pièce d'à coté. Une fois le graveur connecté par câble USB, vous pourrez interagir avec lui. Vous pourrez également sur un PC vous connecter à votre Lasercam via son adresse IP. Si votre graveur n'est pilotable qu'avec une liaison Bluetooth, vous allez pouvoir utiliser le WiFi de votre Lasercam pour piloter votre graveur à distance avec Lightburn. Avant de commencer, il faut rappeler que la Mintion Laser Cam est faite pour un graveur avec une zone de gravure de 40x40 cm. Mon premier essai a été sur le Sculpfun S30 Ultra qui est de grande taille (60×60 cm) et le bras d’origine de la Lasercam est trop court. Il faudrait un bras d’au moins 80 cm de haut pour pouvoir visualiser la totalité de la zone de gravure mais à cette hauteur, l’image est trop déformée par le grand angle de la caméra. Pour pouvoir utiliser le placement d'objet, la prochaine étape est de calibrer, aligner et régler le focus de la webcam. Plus qu'un long discours, ces vidéos de Mintion montrent le déroulement de ces opérations Après la calibration de la camera, il est nécessaire de faire l'alignement de la caméra. Et pour terminer, régler la mise au point de la camera. Voilà la Lasercam est paramétrée, vous allez pouvoir maintenant l'utiliser pour placer vos objets à graver dans Lightburn et ainsi, les gravures vont se faire aux endroits que vous avez défini par le logiciel. Enfin, c'est dans le meilleur des mondes car dans la réalité ce n'est pas aussi "simple". Première constatation si vous avez un atelier et que vous ne bougez pas votre matériel, les réglages vont normalement rester bons mais si comme moi vous déplacez votre matériel pour l'utiliser et le ranger, vous devrez refaire les réglages de la caméra à chaque fois. La Lasercam V1 a un bras relativement flexible (on peut le voir dans la première vidéo ci-dessus), la V2 est quand même beaucoup plus stable mais le moindre coup sur le bras ou la camera va fausser le résultat et donc les réglages seront aussi à refaire… Deuxième constatation, que vous utilisiez l'application mobile ou l'accès à la camera par son adresse IP via votre navigateur, je trouve l'interface un peu brouillon et peu pratique. Ca ne s'est d'ailleurs pas arrangé entre la V1 et la V2, j'ai eu également pas mal de problèmes de connexion Wifi qui ont été résolus par la réinitialisation de la caméra. J'ai même essayé de downgrader le firmware mais sans amélioration. Devant ces problèmes répétés, la complexité de calibration, d'alignement et d'utilisation, j'ai préféré utiliser la Lasercam comme caméra de surveillance et non pas pour disposer mes objets à graver. Dans cette utilisation plus simple, je n'ai pas eu de soucis particulier. Pareil pour prendre des photos, le grand angle déforme l'image mais c'est acceptable. L'autre point positif c'est la possibilité de réaliser des timelapses, trois modes sont disponibles : Le mode "Clean Timelapse Video" : 1 image toutes les 5 secondes mais la tête laser sera parquée de manière à ce qu'elle n'apparaisse pas sur la vidéo, le temps de gravure sera multiplié par 3 ou 4. le mode "Normal Timelapse Video" : 1 image toutes les 5 secondes mais la tête laser apparaitra sur la vidéo. Le mode "Timer Timelapse Video" : permet de faire des vidéos même sans se connecter au graveur, vous pourrez vous même définir le timing de prise de vue. Conclusion La Mintion Lasercam est un accessoire pratique et j'ai apprécié la résolution vidéo de 1080p en noir et blanc, en couleurs ou en faible luminosité, la double bande Wifi 2,4 / 5 GHz, la possibilité de faire le pont Wifi entre l'ordinateur et le graveur, les timelapses et la surveillance à distance. Par contre, je ne suis vraiment pas fan du placement des objets à graver que je n'ai pas réussi à faire fonctionner correctement et le fait d'être obligé de refaire les réglages fastidieux lorsque je déplaçais le graveur a achevé mes tentatives d'essais sur cette fonction. Un regret sur la V2, l'absence du détecteur d'incendie car il fonctionnait vraiment bien sur la V1 et l'absence du trépied permettant de placer facilement la Lasercam à coté du graveur pour faire des timelapses, des photos ou de la simple surveillance. Question tarif, il faut actuellement compter plus d'une centaine d'euros pour la Lasercam V2. Je trouve ce prix élevé car la V1 peut encore se trouver au même prix avec plus d'accessoires, mais avec l'inconvénient d'un bras moins rigide. Cette caméra de Mintion est donc adaptée aux graveurs laser ouverts de format 40 x 40 cm au plus large.2 points
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Bonjour à tous, J'avais envie de m'acheter une machine à coudre, pour compléter ma panoplie de bricoleur / maker. Une machine à coudre, c'est utile : - pour réparer des vêtements - pour fabriquer des déguisements (carnaval, cosplay) - pour habiller des figurines imprimées en 3D avec du vrai tissu - pour faire des rideaux, des tissus d'ameublement pour la maison ou la voiture - pour adapter des sacoches (photo, randonnée, ceintures à outil...) Suivant les conseils du forum, j'ai acheté une machine à coudre mécanique de marque Necchi, la Q132A. Un peu occupé en ce moment, la machine attendait dans son carton depuis le mois de juillet J'ai pu enfin la tester. Une précision : je n'ai jamais utilisé de machine à coudre. Je connais toutefois le principe de fonctionnement ; certains de mes clients ont des machines à coudre industrielles sur lesquelles je suis intervenu pour des questions liées à l'ergonomie et la sécurité au travail. Ces machines servent à fabriquer des sièges automobile ou des matelas. Certaines sont à commande numérique et entièrement automatiques, d'autres sont manuelles et utilisées par des ouvrières qualifiées. Je connais donc aussi les dangers liés à ces machines. Ayant l'habitude d'utiliser des machines à bois - avec quelques frayeurs au compteur - j'avais une certaine appréhension sur ce nouveau domaine. Première étape : RTFM : lire le mode d'emploi en entier. Cribbio! il manuale è in italiano Alors que la machine a été acheté sur le site DARTY français, ce n'est pas conforme hein, vous allez vous prendre un scud de Que Choisir Je télécharge la VF et je l'imprime avec une reliure spirale. Ce sera plus pratique, le manuel restera ouvert à la bonne page. Je n'ai pas coupé les marges, mais cela offre un espace confortable sur chaque page pour écrire des notes. Bien que mécanique, la machine possède beaucoup de fonctions et d'accessoires. La machine sera polyvalente, mais j'ai peur que la prise en main soit longue. Je dois me procurer des consommables. Le mode d'emploi indique quels fils et quelles aiguilles utiliser avec quels tissus. Grâce à Google on comprend qu'il faut prendre du fil polyester si on ne veut pas trop de problèmes. Avec mes machines à bois, ma fraiseuse et mon imprimante 3D, j'ai appris une chose : il faut des consommables de qualité, surtout quand on débute ! J'achète donc du fil GUTERMANN et des aiguilles SCHMETZ : C'est pas donné par rapport aux autres produits sur Amazon. Mais c'est le prix de la tranquillité. De plus, les assortiments de fils Gutermann ont des couleurs "utiles", c'est à dire qui correspondent aux couleurs des vêtements "normaux" Car dans un lot de fil aux couleurs arc-en-ciel, le rose ou le jaune fluo risquent de ne jamais être utilisé Je reprends le mode d'emploi, et suit les étapes dans l'ordre. Le mode d'emploi est bien rédigé, les illustrations sont claires, les différentes manipulations sont faciles à réaliser, même avec mes doigts d'homme et ma vue qui baisse La machine est fournie avec une housse de protection en tissu, sachant que le grand sac en plastique pouvait aussi jouer ce rôle : Voilà la bête : Une partie se démonte pour coudre des manches, cette partie est aussi une petite boite remplie d'accessoires : Les accessoires permettent de faire de nombreuses coutures, y compris les trous de boutonnière, la couture des boutons et des fermetures Eclair. Il y a aussi un coupe fil et des canettes La machine est aussi fournie avec une table, pratique pour travailler les grandes pièces de tissus : Il y a des boutons et leviers de réglages de tous les côtés, c'est normal pour une machine mécanique car ces pièces doivent être à l'endroit où elles agissent sur le mécanisme : La seule partie électronique est le variateur de vitesse qui doit se trouver dans la pédale, qui reçoit également le câble secteur : Avec cette machine, on ne sera pas emmerdé avec des pannes de cartes électroniques (une difficulté majeure y compris sur les machines industrielles) Une remarque sur la sécurité : la pédale n'a pas de capot, et elle a un peu de mal à ne pas glisser du sol. Je fabriquerais un support de pédale avec un capot et une fixation pour l'attacher aux pieds de la table sur laquelle la machine à coudre est posée. La machine possède un éclairage LED bien conçu, très utile pour bien voir ce que l'on fait : Bonne nouvelle : la machine possède un accessoire automatique pour remplir la canette avec le fil que l'on utilise pour l'endroit. Cela évite de devoir acheter des canettes de fil, et cela permet d'avoir exactement le même fil pour l'endroit et l'envers (diamètre, matériaux et couleur du même bain) Rien n'empêche de mettre un fil de couleur différent sur la canette, cela permet de mieux examiner la couture pour ajuster les réglages. C'est d'ailleurs ce qui a été fait avec l'échantillon de tissu qui a servi à tester la machine en usine : Le fil de cannette est jaune, le fil de l'endroit en rouge ; photo de l'envers : et de l'endroit : Prochaine étape : installer la canette ; aucune difficulté, tout est bien expliqué dans le manuel ; le capot en plastique est juste un petit peu chiant à remettre Maintenant, il faut passer le fil de l'endroit dans la machine, et le passer à travers le chas de l'aiguille. C'est le genre de truc super pénible à faire... ... mais là aussi, la machine possède un accessoire bien conçu qui permet de passer le fil dans le chas facilement et du premier coup : Vient le moment fatidique : la couture. je prends un chiffon pour les tests (une manche d'un ancien pyjama en coton) C'est facile, la machine coud sans problème. Avec la pédale, on peut vraiment ajuster la vitesse, il n'y a quasiment pas d'inertie, on peut ralentir et même arrêter à n'importe quel moment. Il est possible de coudre au ralenti. On peut aussi tourner manuellement le volant à droite pour actionner le mécanisme. Le système d'avance automatique du tissu fonctionne bien, il est facile de guider le tissu ; il faudra cependant de l'entrainement pour coudre bien droit. Le contrôle de la vitesse est sécurisant, rien à avoir avec une machine à bois où il faut anticiper le fait que la machine ne peut pas s'arrêter rapidement, et qu'on doit tenir la pièce du début jusqu'à la fin avec un outil qui tourne à plein régime et qui peut te trancher un doigt en un instant. Je teste différents points : Les réglages sont intuitifs. La marche arrière est très pratique pour rendre plus solide le début et la fin d'une couture (mais c'est un peu moche) La machine à un coupe fil intégré pour retirer le tissu, encore un accessoire très utile. La machine est bien pensée, on a besoin d'aucun autre outil en plus pour coudre, c'est très appréciable, on n'a pas une tonne d'accessoires à acheter en plus. Je teste les coutures, elles sont solides, même avec le fil que j'ai utilisé qui est le plus fin (le numéro 100) Je teste ensuite la fonction "manchette" en essayant de faire un ourlet avec ma manche de pyjama : Bon j'ai raté le raccord entre le début et la fin de la couture mais c'est parce que j'ai guidé le tissu à la main complétement à l'arrach Pour faire un ourlet il faut bloquer le tissu avec des épingles, qu'on retire au fur et à mesure. Reste à savoir comment faire les nœuds et couper les fils qui dépassent, de manière à ce que ce soit solide : Je ne regrette pas cet achat. La prise en main est rapide, même si bien sûr je ne vais pas faire de la haute couture tout de suite Maintenant, je sais que je peux réparer un vêtement et surtout faire du sur mesure pour adapter un vêtement, une sacoche ou n'importe quel objet en tissu. A bientôt1 point
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La Il faut regarder le calendrier, ça sera pas avant le 30 novembre. On a tous hâte1 point
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Salut J'avais raté ton message. Je n'étais pas trop connecter ces 4 derniers jours pour un long weekend en Espagne Pas sûr de comprendre ce que tu veux faire entre l'ABS, le PETG et le PLA Dans cette astuce décrite ici, le principe est d'utiliser un matériau différent juste pour l'interface des supports. C'est ce qui se passe lorsque tu actives l'option "Support/raft interface" L'imprimante va faire un changement de bobine au niveau des interfaces et tu obtiendras un truc comme ça. Impression en PETG Noir y compris les supports et utilisation du filament support for PLA juste pour l'interface Pour que ça se détache facilement et avoir un bel état de surface, il faut que les filaments ne "collent" pas entre eux. Exemple avec le PETG et le PLA Je ne sais pas quel filament utiliser avec l'ABS. Perso, je testerai avec du PETG. Il faut faire attention à ce que l'écart de température d'impression entre les deux filaments ne soit pas trop important. Auquel cas, tu auras le message que tu as déjà eu. l'autre point important est de bien purger la hotend après avoir utilisé le filament d'interface et avant de reprendre l'impression de la pièce. Voir le post de @pascal_lb A+ JC1 point
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Je viens d'avoir un problème avec le S1, les gravures étaient tremblotantes donc très moche. J'ai contrôlé les axes, pas de défaut, le laser propre, je l'avais nettoyé juste avant. En bougeant la tête j'ai constaté du jeu dans la partie basse de la tête. Je l'ai déposé et vérifié, rien aucun problème. Je me suis rendu compte qu'en plaquant le haut de la tête sur le support puis en serrant les deux vis j'avais du jeu dans le bas de la tête, donc j'ai écarté au maximum la tête avant de serrer les deux vis du dessus et là, miracle, il n'y a plus de jeu. (voir la photo jointe, l'écartement entre la tête dorée et le support inox). J'ai testé la tête IR qui n'est pas exactement identique et le phénomène ne se produit pas. Je ne sais pas si ce petit souci est uniquement sur ma bécane ou si vous risquez le même problème.1 point
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Ha ben pas tous mais une partie oui... J'ai pas essayé la desserte SUR l'imprimante tiens...1 point
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a bah en plus tu es de la régions parisienne donc si y avait de gros soucis et impossible de te guider a distance au pire y peu y avoir moyen que te m'amène la machine pour regarder de plus prêt je suis de Seine & Marne perso . Quand tu as la machine on regarde tu me dis ce que tu constate faudra voir ce qui est installer comme firmware si c'est celui d'origine on va lui donner un coup de neuf et on avise en fonction de ce que tu verras.1 point
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oui mais non ils ont clairement indiquer fin de semaine dernière que le formulaire est que qui conditionnera la plus l'envoie, en gros si tu as payer l'acompte le premier mais que tu tarde a le remplir que la personne être déclasser et faire parti d'un batch ultérieur. Après je m'en fait pas forcement pour toi tu as réussi a te placer dans le premier batch et le premier batch de Octobre sera celui ou il vont tous faire pour assurer et éprouver le système donc on devrait avoir l'ensemble des colis expédier en 1 semaine de delta entre nous tous donc on va pas ce mentir on va nous les petits FR du forum recevoir toutes nos machine dans un mouchoir de poches1 point
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salut Cela vraiment dépendre du coup des réparation sur ta machine . Pour moi un upgrade sera trop chère a première vue. Sachant que tu trouvé une x4 neuve pour 160 euros par exemple ici.1 point
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Une question de puissance 24V 30A délivre 720 Watt en 12V 360W, Pour la même puissance en 12 V (720W) il faudrait 60 Ampères et des gros câbles.1 point
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Bonjour, Suite au super descriptif de fran6p, j'ai craqué pour cette imprimante moderne. Après l'installation et les x mises à jour, j'ai lancé ma première impression ce matin, accompagnée d'une prière afin que tout se passe bien ! Je ne suis pas très à l'aise car je constate un saut technologique important par rapport aux machines que j'ai utilisé jusqu'à présent. J'utilise Cura que je maitrise (à peu près), mais le slicer Anycubic Next c'est autre chose ! Je découvre ....1 point
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Ah, interessant cette ligne d'affichage du seam ! Non, je n'ai pas fait la Pressure advance, je regarde ça tout de suite PA réglée, valeur 0.084 au lieu du 0.02 d'origine! Merci1 point
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Bonjour à tous, Avec un peu de retard, je partage la pièce que j'ai réalisée cette année aux Journées du Partimoine à Montagney-Servigney. Nous avons fait cette année de la fonderie aluminium, et j'ai eu envie de tester à nouveau le procédé "lost-foam". C'est un procédé dans lequel on créé un modèle en polystyrène, qui est ensuite placé dans un moule avec du sable fluide. Le métal en fusion est coulé directement dessus et prend la place du polystyrène. Ce procédé a été mis au point par Peugeot dans les années 60 pour couler des culasses de moteur, il est encore utilisé aujourd'hui. Un de mes clients, en Franche-Comté, possède une ligne de moulage loast foam pour fabriquer des disques de frein et des tambours de freins de poids lourds en fonte. Je fabrique un modèle, avec une forme volontairement compliquée pour tester les limites du procédé. Je n'ai pas trouvé de quelle façon ajouter des canaux pour faciliter l'évacuation des gaz, donc la pièce sera probablement incomplète. Le but de l'expérience est de connaitre la profondeur limite possible sans canaux. La pièce a été taillée dans un morceau de polystyrène extrudé servant à l'isolation des bâtiments. J'ai utilisé des techniques plus ou moins barbares - d'abord une perceuse à colonne avec un mèche à bouchonner pour faire un gros trou non débouchant assez profond - une scie circulaire de table, avec un support bricolé avec un tube pour réaliser le "tournage" de la partie cylindrique extérieure par sciages successifs - ensuite, une ponceuse oscillante de table pour tailler le pied - enfin, un système à fil chaud pour réaliser les trous Voici les outils utilisés sur place : une caisse en bois pour le moule, un enduit réfractaire avec un pinceau, un couvercle avec un poids (le morceau de rail de chemin de fer) et un maillet pour vibrer le sable La pièce est recouverte de deux couches généreuses d'enduit réfractaire (c'est une mixture à base d'alcool et de poudre d'alumine) : On laisse sécher une bonne demi-heure. La pièce est placée dans le moule qu'on remplit de sable : Le cul de la pièce a été peint en noir pour être bien visible par rapport au sable qui est blanc. C'est indispensable car lors de la coulée, les opérateurs portent une visière de protection, et ils sont aveuglés par l'éclat du métal en fusion. On place le couvercle avec le poids par dessus et on vibre en donnant des coups de maillet : Le moule est prêt pour la coulée. A côté, on peut voir d'autres moules réalisés de façon traditionnelle, avec des modèles en bois qui ont été retirés : La coulée de aluminium liquide : Le polystyrène se consume rapidement en dégageant une fumée épaisse : On laisse refroidir : On démoule. Comme je m'y attendais, la pièce n'est pas complète, mais le résultat est pas mal : De retour chez moi, quelques travaux de nettoyage et de finition. Je dois notamment creuser la pièce au tour à métaux car, même en ayant vibré soigneusement le sable, il n'a pas rempli complétement le fond de la pièce en haut (je rappelle que la pièce est coulée la tête en bas) Même si la pièce est incomplète, elle est en fait très jolie, et même plus jolie que si elle avait été complète. C'est, en quelque sorte, un échec réussi On se rend compte de la finesse des détails qui sont rendus par le procédé, l'état de surface du modèle en polystyrène est très bien rendu. Bien sûr, la pièce à des défauts également. On remarque aussi que j'ai percé la pièce au tour à métaux. Il y a deux raisons : - faciliter l'usinage - permettre le passage de fils électriques pour alimenter un éclairage LED Si on place une petite bougie à l'intérieur, le résultat est vraiment sympa : A bientôt !1 point
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Bonjour, j'ai oublié le plus intéressant : cette année, je suis venu avec mes deux appareils photos, et j'ai filmé en entier la coulée et le démoulage : https://www.youtube.com/watch?v=9cCtYBAZn9Y A bientôt1 point
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L'installation de l'évacuation centralisée est finie et son fonctionnement est efficace, mais cela reste bruyant. Le gros avantage, je n'ai plus de filtres onéreux à changer et la filtration laissait passer quelques odeurs. Le sélecteur (en bleu) remplit très bien sa fonction, il n'y a pas de fuite. La Makera est maintenant installée, mais toujours pas mise en service, car je n'ai pas le temps à lui consacrer (dommage, parce qu'elle ne plait bien cette petite bécane).1 point
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bonjour RFN_31 oui c'est bien une A1 je patiente un peu et c'est bon ! Sinon que du bonheur1 point
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Salut Didier ! Bravo et bon choix pour débuter Sur le décollage difficile, tu le sais peut être mais dans le doute je le reprécise : attend bien que ta plaque ai refroidi, sinon tu risques d'arracher un bout de plateau en retirant ta pièce.1 point
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désolé mais c’est efficace contre les vibrations transmises, ce qui entraîne une réduction du bruit. Mais dire que ce n’est "pas efficace contre les vibrations" est une contre-vérité : c’est précisément le rôle premier. En fait, tu confonds : Bruit aérien (le ronronnement du moteur ou le sifflement d’un ventilateur → pas vraiment atténué par un tapis). Bruit solidien (vibrations transmises au sol → très bien atténuées par un tapis).1 point
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Salut, Ce qui marche le mieux pour moi : Panneau solaire pour effacer la consommation et impression en journée, un panneau de 500Wc suffit à masquer complètement une imprimante et un sécheur de filament. Le retour sur investissement est d'autant plus rapide que l'électricité coûte chère. En période hivernale, imprimer "en même temps" ou juste avant les pics de chauffe des radiateurs. La chaleur produite par l'imprimante est de la chaleur que le chauffage n'aura pas à "cramer". Ne fonctionne que si on chauffe à l'électricité évidemment. Pour les autres options : Imprimer des filaments basse température (style PLA) L'isolation de l'imprimante peut être une option en effet, ça évite au plateau de trop compenser la perte de calorie. Acheter une imprimante économe, petit plateau ou capable du faire du chauffage partiel. Les anciennes imprimantes ne consommaient "que" 100-200W, les nouvelles machines vont jusqu'au kilowatt... Ne pas laisser la machine en veille lorsqu'elle est inutilisée.1 point

