Classement
Contenu populaire
Contenu avec la plus haute réputation dans 12/09/2024 Dans tous les contenus
-
4 points
-
Bien évidemment. La première chose que ma femme m'a demandé, y'a les bonbecs avec ?3 points
-
Si vous avez un graveur laser xTool P2 et que vous trouvez qu'il est trop lent, voici le P2S ! Les deux modèles ont la même apparence, la même puissance et la même surface de travail. Toutefois, le P2S est doté d'un ventilateur d'extraction plus puissant, d'une pompe à air à pression plus élevée, d'un indicateur de trajectoire optique et de plusieurs améliorations destinées à faciliter l'entretien quotidien, notamment le bouton du ventilateur à dégagement rapide, le miroir laser à l'épreuve des erreurs et l'écran filtrant facile à nettoyer. Ce qui change : Air Assist 200 kPA double cylindres Ventilation plus puissante Bouton d'ouverture rapide du ventilateur, écran filtrant magnétique, miroir laser à l'épreuve des erreurs Ce qui ne change pas : Puissance de laser 55W CO₂ Laser Surface de travail : 600 x 305 mm Dimensions et poids : 100 x 64 x 27 cm / 45 kg Vitesse de travail : 600 mm/s max LIDAR, 2 caméras, autofocus WiFi et USB XCS et LightBurn Le design : Le prix ne change pas non plus, le P2S est affiché à 3999 $, comme le P2 aux Etats-Unis. En France, le P2 est à 4299 €, on peut donc en déduire le prix de lancement chez nous. La fiche produit et la commande n'est pas encore disponible en France ou en Europe. Les accessoires du P2 sont compatibles avec le P2S (honeycomb panel, RA2 Pro, Smoke Purifier, convoyeur...). Page d'informations ➡ https://li3d.fr/xToolP2S-US-XTO2 points
-
Pare choc arrière et caches latéraux remonté, traitement plancher et plafond fait, je vais pouvoir commencer le remontage intérieur. J'ai aussi remplacer les galets de la porte latéral, vu l'état de ceux qui étaient en place je me demande comment la porte pouvais encore s'ouvrir..... Après réglages, il n'y a plus de fuite comme avant. J'ai aussi "réparée" le feux arrière car la porte qui était mal réglée frottait dessus et il s'est fendu, un peu de résine transparente, des UV et s'est étanche.2 points
-
Mieux! J'ai gagné? PS: nous serons en spectacle dans toute la France en début d'année prochaine, venez nombreux2 points
-
Tu ne crois pas si bien dire, elle me fait déjà suer. Surtout que le kilo de gummy bear de la xl a déjà disparu. Ca a pris un bon mois tout de même, ce qui est un record notable en soi.2 points
-
1 point
-
Je propose de cacher les bonbons ou d'en acheter un gros paquet en plus par sécurité. Pour éviter le drame de se retrouver sans bonbons lors de l'assemblage.1 point
-
Merci pour l’info Julien. Ce qui serait intéressant serait qu’il y ait un kit de mise à niveau, mais je n’y crois pas beaucoup. Je trouve qu’Xtool fait parti des quelques marques qui innovent en permanence avec des produits bien pensés et surtout de bonne qualité et beau. Pour que l’ensemble soit parfait, il faudrait seulement que le soft qui est très pratique et facile d’utilisation soit plus complet. Cela va peut-être arriver car la version actuel est encore estampillée en béta.1 point
-
Jolie évolution ! Des améliorations plutôt bienvenues pour les nouveaux acheteurs, notamment au niveau de l'ajustement des miroirs, ça va leur économiser pas mal de temps de SAV je pense (quand je vois le nombre de demande d'aide pour ajuster les miroirs sur les groupes FB xTool) Et suffisamment peu d'évolution pour ne pas regretter d'avoir déjà acheté une P2 je trouve, en tout cas pour ma part1 point
-
Je ne sais pas comment est le porte-clefs, Si le modèle est gratuit par exemple de thingiverse https://www.thingiverse.com/ tu peux mettre le .stl en pièce jointe dans un post ou au moins une photo du stl dans le trancheur (slicer) Comme c'est là j'ai l'impression que tu as mis un radeau (raft) inutile et mettre dans le trancheur la partie plate de la pièce sur le plateau. Après on ne voit pas trop comment c'est fait.1 point
-
Notons que c'est une MK4S en "kit" qui demandera quelques efforts avant d'en profiter1 point
-
Hello, Comme écrit dans le titre, je suis un noob en impression 3D Je me suis commandé une Artillery SD X4 pro, qui ne devrait plus tarder à arriver, j'ai hâte comme un gamin !!!! J'ai déjà parcouru pas mal le forum et surtout les 53 pages concernant cette machine, vu quelques vidéos sur les réglages, etc. J'ai téléchargé Orca Slicer, mais mon pc est un peu vieux pour afficher la 3d... à voir pour en trouvé un autre un peu plus récent. Je suis en Loire-Atlantique. Je vais y aller pas à pas, d'abord contrôler tous les serrages, la buse, tension courroies, etc. Ce forum est une mine d'or, merci à tous pour ça A moi de découvrir un nouveau monde qui je pense devrait beaucoup m'intéresser !1 point
-
1 point
-
D'après le schéma de la carte-mère MKS Gen_L V1.0_008 SCH.pdf, il suffit d'inverser les 2 fils de gauche ou de droite sur le connecteur côté carte-mère. Tu peux suivre cette vidéo pour enlever les fils du connecteur. Bizarre, c'est écrit en anglais Je ne sais pas si tu as vu la méthode pour flasher la carte-mère, mais si on (MrMagounet ) te fournit le fichier, ça reste assez simple (voir par exemple cette vidéo) La seule chose à éviter, c'est la coupure d'alimentation pendant l'opération . Si ça arrive, ce ne sera pas la fin du monde, ce sera réparable mais légèrement plus compliqué .1 point
-
Tu aurais pu contrôler la température effective de la buse durant le print qui était surement de 220° Je pense que la plage sert notamment à définir la compatibilité entre différents filaments lors d'un print multimatériaux1 point
-
Je pense que la T° de ramollissement est seulement une indication au même titre que le prix. En général la T° de ramollissement indique la température à partir de laquelle la matière perd ses caractéristiques générales (c'est indiqué sur les fiches matières). La T° recommandée te donne la plage mini maxi sur laquelle tu peux régler ta température de buse. Si tu sors de cette plage tu risques des problèmes.1 point
-
1 point
-
Malheureusement, c'est le cas de tous les fabricants actuellement. Leur but est de vendre et faire acheter de nouvelles machines plutôt que les faire évoluer (à part peut-être Prusa qui propose des évolutions de ses modèles). C'est le principe même du système économique capitaliste qui régit / gouverne le monde actuellement1 point
-
Github a quelques dépots : https://github.com/rdudhagra/Sand-Table https://github.com/DIY-Machines/Kinetic-Sand-Art-Table (https://www.diymachines.co.uk/kinetic-sand-art-coffee-table-self-drawing) … J'ai même trouvé un dépôt de motifs (patterns) pour ces automatismes : https://github.com/fly115/Sandtable-patterns Printable a au moins ce pas à pas : https://www.instructables.com/Sand-Table/ Une recherche avec « github sand tables » retourne d'autres propositions.1 point
-
Et quand bien même ils offriraient leurs heures de travail en fournissant les sources de leurs modélisations, ça n'est jamais pile poil adapté, il faut souvent beaucoup reprendre et ça peut être pénible si le dessin n'est pas bien conçu dès le départ ou bien simplement parce qu'on a pas la logique du concepteur en tête. Pour peu qu'il ne soit même pas paramétrique, ou carrément fait dans un logiciel qu'on ne possède pas ou ne maîtrise pas ça peut vite devenir galère. La nécessité de reprendre un design existant vient du fait que chacun a un besoin légèrement différent, une exigence de qualité différente, ou simplement parce que la modélisation tient souvent compte des contraintes de l'impression 3D et surtout des limitations de l'imprimante du dessinateur. A titre perso lorsqu'il s'agit de dessin technique, je passe pratiquement toujours par l'étape de re-modélisation car je ne suis jamais 100% satisfait du design original. Parfois (souvent) ça ne tient qu'à l'ajout d'un petit chanfrein qui rend l'objet tellement plus agréable à manipuler qu'un angle dur.1 point
-
Ah bon ? https://www.lesimprimantes3d.fr/forum/topic/54453-de-la-sécurité-suite-à-lincident-«bambulab»…-les-«experts»-donnent-leurs-avis/#comment-5574431 point
-
Et non ce ne sont pas des PLA Basic. ( un poil au-dessus pour l'un des packs 5 x 1 kg et un poil plus "rapide" pour l'autre pack de 5 x 1 kg ... j'en ai bien trop dit ) Oui ! bingo ! (4/5) Mais il n'y a pas de "Clear". Il manque la couleur qui est un mélange de blanc et de noir1 point
-
1 point
-
Dans le monde de l’impression 3D, le microgiciel (firmware) Klipper devient de plus en plus populaire. Peu d’imprimantes en sont équipées d’origine, l’exception étant les machines Voron ou Ratrig (RatOS) qui ne sont pas vendues telles quelles : il faut d’abord sourcer toutes les pièces nécessaires, attendre la livraison d’icelles et finalement procéder à leur assemblage / montage / calibrage. Heureusement, quelques fabricants d'imprimantes 3D commencent à produire et vendre des imprimantes fonctionnant avec ce microgiciel Klipper au lieu de l’habituel Marlin : Flsun avec sa V400 , Biqu / Bigtreetech avec sa Hurakan et d'autres à venir. Avant de céder à cette « mode », un petit rappel me semble nécessaire afin d’éviter toute déconvenue et/ou désillusion. Qu'est-ce que Klipper ? Klipper est le logiciel pilotant l’imprimante 3D à l’instar de Marlin. Le microgiciel (firmware) Marlin actuellement équipe la majorité des imprimantes 3D amateurs. L’imprimante pour peu qu’elle soit équipée d’un écran de contrôle est entièrement autonome. Un matériel informatique peut toutefois être relié à l’imprimante via un câble USB pour permettre de la contrôler plus agréablement. Klipper, contrairement à Marlin, ne s'exécute pas uniquement sur la carte de l'imprimante, mais répartit le travail entre un matériel informatique et la carte mère de l'imprimante. Sans ce matériel informatique supplémentaire une imprimante «klipperisée» ne peut fonctionner seule. Dans les dessins ci-dessus, tout ce qui est encadré en vert correspond à des compléments facultatifs, les éléments indispensables et suffisants sont eux encadrés en rouge. Dans la suite de ce document, j’utilise l’acronyme RPi en lieu et place de RaspberryPi pour indiquer simplement le matériel informatique accueillant le système d’exploitation Linux (unité de calcul ci-dessus). Ce matériel informatique peut être une Raspberry Pi (actuellement difficilement trouvable à cause de la pénurie de composants électroniques actuelle) ou n’importe quel autre matériel informatique « récent » : autres SBC (Small Board Computer), AndroidTV, PC (terme générique pour Personal Computer indépendamment du système d'exploitation), un smartphone Android, des tablettes « tout-en-un » genre Flsun SpeederPad ou Creality SonicPad, … Un RPi possède plus de mémoire et plus de puissance de calcul qu’une simple carte d'imprimante 3D munie de son microcontrôleur. Le système d’exploitation sous-jacent est une distribution Linux. Ce qui offre plus de possibilités que ce qu’offre le système de gestion des cartes à microcontrôleur de nos imprimantes 3D. Linux offre : un accès au système de fichiers, l’utilisation de langages de programmation (python, …), une connexion réseau (Ethernet et/ou Wifi), la gestion du multitâche, … NOTE IMPORTANTE Pour tout système Linux, au moins un utilisateur possédant des droits élevés est nécessaire à l’accomplissement de certaines tâches sur le matériel (mises à jour du système, installation de logiciels, …), nommé «root» (un peu l’équivalent de l’administrateur système de Microsoft Windows). Cet utilisateur « privilégié » est tout-puissant à l’intérieur du système, il peut donc faire tout ce qu’il souhaite y compris des dégâts ; raison pour laquelle quand des tâches potentiellement « dangereuses » doivent être réalisées, il faut les faire en toute connaissance de causes en précédant ces commandes du terme «sudo» ( ex : « sudo rm -rf / » (commande à ne pas tenter évidemment)). Le mot de passe sera alors demandé avant d’exécuter la commande. Ces capacités avancées d’un RPi sont utilisées par Klipper (langage Python) pour effectuer une analyse GCODE plus approfondie ainsi qu’une planification plus précise des mouvements basée sur des modèles cinématiques. Aucune carte 32 bits de nos imprimantes même équipée de plus de mémoire et de puissance CPU ne peut rivaliser. La partie microprogramme de Klipper (microgiciel) de la carte de l'imprimante contient un très petit noyau de traitement. Microgiciel qu'il faudra flasher (installer) sur la carte de l'imprimante. Celui-ci est chargé de gérer les périphériques (moteurs pas à pas, chauffage, écran LCD, ventilateur, capteurs de température, etc.). Cela correspond à l’unité de contrôle (dessins ci-dessus). Avantages de Klipper Les mouvements de l'imprimante semblent plus fluides et plus rapides. Même avec de simples pilotes Allegro A4988, le bruit du moteur est réduit, cependant pas autant qu'avec des pilotes TMC (2208, 2209, … par exemple). La configuration de l’imprimante est facilement modifiable (via un fichier « texte » : printer.cfg) sans devoir installer un nouveau firmware (compiler, flasher). D'autres avantages méritent d'être mentionnés, par exemple : la «Pressure Advance». À l’identique du «Linear Advance» de Marlin, il s’agit d'un modèle physique de commande du moteur de l'extrudeuse. En gros, cette modélisation tient compte du fait que l'extrusion réelle suit les mouvements du moteur en tenant compte de l’accumulation et de la diminution de la pression dans le filament liquide/rigide. Il est même possible de compenser, atténuer, voire supprimer, la résonance afin de réduire le "ringing", «ghosting» (≃ phénomène d’écho) via l’«Input Shapping». Ce paramètre peut être calculé manuellement ou bien automatisé via l’adjonction d’un composant électronique comportant des accéléromètres (ADXL345). Possibilité de gérer plusieurs matériels / cartes en même temps (mcu). La carte initiale n’a plus assez de sorties pour l’ajout de nouveaux moteurs, il suffit d’ajouter une deuxième carte et de paramétrer / compléter le fichier printer.cfg pour en tenir compte. Large compatibilité avec le GCODE des trancheurs courants (Cura, Superslicer, Prusaslicer, …). Ainsi le flux de travail habituel peut être maintenu. Utilisation de macros GCODE, que l’on peut assembler pour traiter des séquences de commandes à la manière d’un "script". Par exemple, réduire au minimum le GCode de démarrage ou d'arrêt (START_PRINT, END_PRINT), émuler des GCodes inexistants. Possibilité d’utiliser les paramètres transmis par le trancheur (par exemple, les valeurs de température dans le code de départ). Grâce aux Gcode étendus, Klipper permet de gérer facilement de nombreuses étapes d'étalonnage / calibrage : aide au nivellement du plateau, recherche des bons paramètres de pression-avance, … Dans de nombreux cas, c’est plus confortable que ce à quoi Marlin nous a habitué. Inconvénients de Klipper L'imprimante ne peut être utilisée qu'en conjonction avec un RPi. Ce qui signifie que l'imprimante perd son indépendance. Il reste possible de remplacer la carte contrôleur par une autre, incorporant les deux unités (calcul / contrôle, voir plus haut) comme : la Bigtreetech (BTT) Manta, la Mellow FLY-Gemini, la Mellow FLY-Puppet, la MKS SKIPR, la PandaPi, … Le port série (port USB) de la carte imprimante n'est plus disponible pour l'envoi de GCODE, ce port est nécessaire à la communication entre le RPi et la carte imprimante. Les écrans TFT, tactiles ou non, de plus en plus courants sur de nombreuses imprimantes 3D ne sont pas pris en charge. Si votre imprimante en est équipé, vous ne pourrez plus l’utiliser. Klipper ne gère que les écrans LCD simples avec encodeur à bouton (contrôleur graphique RepRap 2004 ou 12864 et ses variantes). Klipper n'est pas aussi répandu (actuellement) que Marlin. Le risque existe d'obtenir moins d'aide en cas de problème qu'avec la norme de facto Marlin. Klipper fournit une abondante documentation assez technique (en très grande partie en anglais, des traducteurs sont les bienvenus pour d'autres langues ) qui peut (pourrait) rebuter un novice. Passer de Marlin à Klipper nécessite un réel effort d’apprentissage, cependant de nombreux canaux permettent d’obtenir de l’aide (Github, Documentation, Discord, Discourse (forum), Reddit,…) Klipper fonctionne sur des systèmes équipés de Linux comme OS. Une connaissance et maîtrise minimale de Linux (ligne de commandes) est évidemment utile. La copie / recopie d’exemples proposés sur divers sites peut évidemment fonctionner, tant que l’on ne rencontre pas de problème. Je ne suis aucunement un expert, mais un simple amateur avec quelques connaissances / compétences dans plusieurs domaines (Linux, Klipper, Marlin, …), connaissances acquises par la pratique que je souhaite simplement partager. « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. » Proverbe africain En écrivant ces lignes, j’espère simplement accroître la popularité de Klipper auprès de la communauté de l'impression 3D et faire en sorte que le passage de Marlin à Klipper relève d’un « educated guess » (expression anglo-saxonne signifiant peu ou prou « en toute connaissance de causes ») plutôt que la poursuite d’une mode au risque de déceptions. Ce fil se poursuivra avec le test de plusieurs matériels « tout-en-un ».1 point