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@electroremy nous a fait un tutoriel très complet pour convertir sa Prusa MK2S en MK2S+ avec caisson en polystyrène avec chauffage et extraction, sonde Superpinda, capteur de filament, arrêt automatique en fin d'impression, correction du bug d'affichage M117, alarme externe avec de l'électronique et un firmware personnalisé https://www.lesimprimantes3d.fr/prusa-mk2s-upgrade-en-mk2s-plus-tutoriel-diy-20251107/7 points
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En temps d'impression, c'est plutôt rapide, car il n'y a pas de changement de couleur dans une couche. QidiStudio : Donc, plus de filament «gâché» en purges (≃7 g) et tour de purge (≃ 7,5 g) que pour le Benchy seul (≃11,3 g). Je n'ai, pour le moment, effectué aucune «amélioration» dans le trancheur. Pour un Benchy, réellement multicouleur, imprimé sur la Anycubic Kobra S1, le temps d'impression avec le nombre de permutations de couleurs est stratosphérique (14 h 45 min en tout) : Seules les imprimantes munies de plusieurs têtes sont capables de produire moins de déchets.6 points
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INSTALLATION DE LA QIDI BOX L'assemblage des éléments constituant la réhausse (riser) est décrit dans le manuel et au début de la vidéo (gif extrait de la vidéo de Qidi) : Il y a deux modifications à apporter à l'imprimante. Une feuille annexe décrit la procédure ( Q2-accessoires.pdf) 1- Retirer le racleur de filament et le remplacer par le nouveau fourni dans un des sachets : 2- Remplacer le détecteur de filament par celui livré : Reste à retirer l'ancien tube PTFE et à le remplacer par le nouveau fourni. Pourquoi ce remplacement ? Le coupleur de tubes PTFE originel provoque des blocages du filament lors de changements. Le nouveau tube PTFE, lui, est d'un seul tenant pour relier le coupleur (hub) à la tête : Ces modifications matérielles faites, on positionne la réhausse sur le haut de la Q2, puis on installe le nouveau PTFE (attention lors de l'insertion à ne pas plier le PTFE de 3 mm de diamètre interne (parois de 0,5 mm)‘ : La vitre est remise en place, la Qidi box est placée au-dessus de celle-ci. Les dernières étapes consistent à installer le répartiteur (hub) de tubes PTFE, puis à connecter les quatre tubes PTFE du hub à la Qidi box : Maintenant reste à brancher les câbles de connexion (un du hub vers la QidiBox, l'autre de la QidiBox à la Q2), ensuite le cordon d'alimentation secteur : Avant d'alimenter la QidiBox en filaments, placer les sachets de dessicant (toujours pas trouvés dans le colis ) dans les compartiments internes et mettre les «amortisseurs» des rouleaux d'entrainement (j'ai eu bien du mal à réaliser cette manipulation (mauvaise vue, doigts trop gros, … )) : L'interrupteur marche / arrêt est basculé en position, son voyant rouge signale que le courant passe. Les LEDs (blanches) dans le boitier s'illuminent. Le système détecte qu'une Qbox est installée, Klipper redémarre pour la prendre en compte (le firmware doit avoir été mis à jour en version 1.0.9 pour que les fichiers de configuration aient été ajoutés). L'écran tactile se réactualise ainsi que l'interface Web (Fluidd). L'insertion d'une bobine de filament est simple. Introduire le filament non coupé en biseau dans l'orifice métallique. Un dispositif détecte l'introduction et met en marche le moteur d'entrainement. Le filament va jusqu'au hub où il est détecté. Le moteur rembobine un peu le filament (≃ 5 cm), puis celui-ci est à nouveau renvoyé au hub. Le moteur rembobine alors le filament une vingtaine de centimètres avant le hub en attente d'utilisation. À noter : l'entrainement du filament est très sonore à cause (grâce ?) aux roues libres des moyeux d'entrainement moteur (système anti-retour). L'accès au paramétrage du boitier multifilaments peut se réaliser soit via l'écran tactile, soit via l'interface Web Fluidd. Écran tactile Quand une QBox est détectée, l'écran principal de la Q2 l'indique par un dessin / bouton en bas à droite : En cliquant sur ce bouton, on accède directement à la fenêtre de paramétrage : (1) permet de configurer le comportement général (faire défiler l'écran pour accéder à toutes les options): Détection à l'insertion : lecture des informations du filament nouvellement inséré (≃ 20 s). L'affichage automatique du type et sa couleur ne fonctionne qu'avec des bobines Qidi munies de tags RFID (je n'en ai pas encore) Détection au démarrage : lecture automatique des bobines présentes dans la QidiBox à chaque allumage de l'imprimante (au moins une minute (plutôt deux)) Rechargement automatique : à l'épuisement d'une bobine, si une identique (même matériau ET même couleur) est présente alors elle est utilisée pour continuer l'impression (2) affiche le taux d'humidité actuel : (3) réglage de la température de chauffe du filament : (4) Boutons permettant d'agir sur une bobine préalablement sélectionnée : [Remove] pour retirer complètement une bobine. On ne peut, une fois du filament inséré dans la Box, le retirer manuellement. Conseil: être à portée de la bobine retirée car le filament n'est pas freiné au moment où il sort de l'orifice => risque d'enchevêtrement de spires. [Load] charge le filament jusqu'à la tête. La buse est chauffée à la température du matériau sélectionné. [Unload] décharge le filament jusqu'à sa position d'attente (≃ 20 cm avant le hub) (5) Sélectionne la voie (A, B, C, D) contenant une bobine de filament : un appui sur le cercle fléché actionne le préchargement. Le filament va au hub, puis recule en position d'attente le crayon permet de modifier les caractéristiques d'un filament : type : fabricant : Qidi / générique), matériau (PLA, PETG, …) couleur températures d'extrusion chauffage du boitier (6) Si plusieurs boitiers multifilaments sont connectés, permet de sélectionner celui sur lequel modifier les paramètres Le séchage du filament en cours d'impression, se paramètre via l'écran ou via le profil de filament dans le trancheur (slicer). Sécheur de bobines Pour sécher des bobines de filament, hors impression, on peut utiliser soit l'imprimante Q2 quand on n'a pas de Qidi Box, soit la Qidi box. Dans les deux ca, cela n'est pas possible de manière autonome, car la Q2 doit être allumée. L'onglet Tools (Outils) permet de gérer cette possibilité : (A) Filament Drying utilise les chauffages de la Q2 (lit + enceinte) pour sécher une bobine. Le plateau chauffant est d'abord abaissé (170 mm). Après confirmation, il faut placer la bobine sur le plateau, fermer porte et capot, puis choisir le type de matériau : Après confirmation, l'écran affiche le conseil de retourner la bobine toutes les six heures. On peut arrêter le séchage à tout moment en utilisant le bouton STOP (B) Box Drying utilise le boitier multifilaments pour sécher les bobines à l'intérieur. Chaque bobine doit être déchargée, car tout le long du séchage, elles vont tourner pour permettre un séchage uniforme La première étape est le choix du matériau, la température de séchage et la durée : En appuyant sur START, l'écran suivant rappelle de décharger les filaments : Fluidd Quand la QidiBox est allumée, les panneaux de l'interface de Fluidd sont complétés : 1- deux températures sont ajoutées (heater temp A box1 et heater temp B box1) : 2- un ventilateur de refroidissement de la carte contrôleur apparait : 3- un panneau Contrôle des Matériaux s'affiche : La vue Système est, elle aussi, complétée pour le MCU en charge de la QidiBox : Fluidd : Contrôle des matériaux Ce panneau permet de gérer les filaments. On peut évidemment, après avoir sélectionné une bobine, préciser le type de matériau et sa couleur : à compléter D'autres boutons permettent de paramétrer le comportement de la Box. Config (3) : Détection à l'insertion : lecture des informations du filament nouvellement inséré (≃ 20 s). L'affichage automatique du type et sa couleur ne fonctionne qu'avec des bobines Qidi munies de tags RFID (je n'en ai pas encore) Détection au démarrage : lecture automatique des bobines présentes dans la QidiBox à chaque allumage de l'imprimante (au moins une minute (plutôt deux)) Rechargement automatique : à l'épuisement d'une bobine, si une identique (même matériau ET même couleur) est présente alors elle est utilisée pour continuer l'impression Auto (1) : Active ou désactive la fonction de rechargement automatique (un message indique si les prérequis sont atteints) Humidité (2) : Comme je n'ai aucune bobine de filament Qidi munie de puce NFC, la console de Fluidd s'en fait écho : Sur les quatre bobines introduites dans le boitier, deux ne possèdent aucune puce ( 1A / 1B did not recognize the filament ), deux possèdent une puce, mais c'est une puce Anycubic ( unrecognized label read in 1C/1D ). Les voies d'alimentation sont nommées xA…xD avec x correspondant au numéro de la QidiBox (quand il y en a plusieurs… jusqu'à quatre au maximum). Encore une fois, c'est tout pour cette fois. La suite bientôt… Probablement un petit examen technique, mais sans démontage approfondi. En attendant, quelques premières impressions multicolores :5 points
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PRÉAMBULE Fin août, pour le test de l'imprimante, j'avais reçu en même temps que la Qidi Q2, une Qidi Box dans un colis annexe. Malheureusement cette version n'était pas du tout fonctionnelle malgré tous mes efforts pour la faire fonctionner. Qidi en avait été informé. Qidi s'est alors remis au travail pour l'améliorer matériellement et logiciellement. Cette nouvelle version de la Qidi box m'a été livrée au moment où le test paraissait sur le blog. Nous allons voir si cette fois-ci tout fonctionne comme attendu. DÉBALLAGE Le colis reçu possède un sticker indiquant que cette Box est dédiée au modèle Q2. La Qidi Box prévue pour le modèle Plus4 utilise probablement le même boitier, seuls les accessoires pourraient être différents (à vérifier pour ceux qui recevront ce boitier «Plus4»). Les pages du Wiki pour la QidiBox actuellement ne sont adaptées qu'à la Qidi Plus4, ce sera sans doute amendé au fil du temps. En même temps que la réception du colis, j'ai reçu un lien GoogleDrive apportant quelques documentations et vidéos. La chaine Youtube de Qidi propose une vidéo du déballage de ce boitier pour la Q2 : Parmi les fichiers du lien Gdrive, se trouvent les manuels au format PDF (un en chinois, un en anglais, un multilangue en onze langues (anglais, espagnol, allemand, français, russe, brésilen, italien, turque, japonais, coréen, chinois)). Voilà la partie en français : BOX-Guide-Q2_FR.pdf Sortie des composants à l'intérieur du colis : comme souvent, le contenant est bien protégé des aléas du transport par des cales en polystyrène le premier étage de protection contient une réhausse à assembler. Une fois retiré, on accède à la Qidi Box. L'étiquette donne les instructions pour sortir le boitier multifilaments du colis il n'y a plus rien dans le carton Une fois sorti de l'emballage, d'autres éléments sont stockés à l'intérieur du boitier : Un film plastique, à retirer (moment ASMR ), protège le matériau en plexiglas : Le loquet (une glissière) permet d'ouvrir la QBox afin d'accéder aux accessoires. Une grande pochette plastique renferme : le manuel en anglais et deux pochettes de tube PTFE une avec quatre tubes de 700 mm (jonction Qbox / boitier répartiteur (hub)) une avec un tube de 750 mm muni d'un pneufit déjà inséré et d'un autre qu'il faudra utiliser lors du montage décrit dans le manuel Les cales en mousse contiennent : le câble d'alimentation secteur les câbles de connexion (répartiteur vers Qbox, Q2 vers Qbox) les cornières de la réhausse un carton Le carton contient : une notice de montage des petits accessoires (explications non présentes dans le manuel papier ou PDF) le boitier concentrateur (hub) des sachets renfermant : une pièce en métal remplaçant celle collée pour la purge de filaments un détecteur de fin de filament deux fixations des quatre tubes PTFE quatre pièces en mousse à insérer sous les rouleaux d'entrainement du filament J'ai eu beau chercher, nulle part, je n'ai trouvé les sachets de dessicant dont parle le manuel . Pas trop gênant, j'en ai un gros stock. Quelques photos de la QidiBox vide : Extérieurement, peu de différences avec la première version (non fonctionnelle chez moi). Les entrées de filament métalliques sont juste un peu plus grande et surtout le fond du boitier est démontable… ce qui devrait faciliter la maintenance éventuelle. LA RÉHAUSSE C'est un ajout par rapport à ma première version. Ce sont des éléments à assembler. Chaque pièce est clairement identifiée par des étiquettes permettant un montage facile (avec un peu de force tout de même). Le manuel indique les étapes à franchir : Juste une remarque : un peu plus de cohérence dans les abréviations utilisées ne nuirait aucunement (B pour Back, OK, mais LR / RR auraient été plus explicites avec LB / RB… je suis parfois pointilleux (L=> Left / gauche, R => Right / droite (ou Rear / arrière ?), B => Back / arrière, F => Front / avant…). Voilà, c'est tout pour cette fois. Une prochaine étape consistera à monter la QidiBox sur la Q2. À bientôt4 points
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Après cette première impression, d'autres suivront qu'elles sont les nouveautés de la P2S ? Le nouveau ventilateur additionnel et la filtration Il est situé sur la droite de la machine par rapport à la P1S ou il était situé à gauche, c'est plus qu'un simple ventilateur additionnel c'est le système d’air adaptatif Active Airflow, il est équipé de 2 volets permettant de soit amener l'air frais pour des filaments genre PLA et de maintenir une température acceptable pour ce filament ou soit de recycler l'air chaud de l'intérieur de la machine permettant ainsi de garder et de faire monter la chaleur pour des filaments technique ou pour l'ABS/ASA, d'après la documentation ce système permettrait de monter la température de la chambre à 55°. Bonne nouvelle, le ventilateur est relativement silencieux et pour le PLA ça permet de laisser la vitre du dessus et la porte fermée, résultat également intéressant la machine est moins bruyante. Avec un lit à 55° et après une impression de 4 heures la température interne était de 32° et le capteur de température est tout en haut de la machine à l'endroit le plus chaud . Au niveau filtration, un filtre à charbon de bonne taille à été installé, à ce stade du test, je n'ai pas encore imprimé d'ABS ou d'ASA pour voir ou plutôt sentir si ce filtre est efficace. La caméra et l'éclairage Une nouvelle caméra 1080P sans doute héritée de la série H2 a pris place à l'avant gauche, les images et les vidéos timelapse sont de très bonnes qualités, le défilement est fluide c'est vraiment une bonne surprise par rapport à la P1S. L'éclairage à led a été amélioré et on y voit très bien par rapport à d'autres machines que j'ai testé4 points
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Qidi a tease l'arriver d'une nouvelle machine au Formnext donc dans 3 semaines, la photo fait bien voir un machine bien plus grosse que la Q2 et que la Plus4, on peut donc pense à Max 4 avec un volume de 350x350x350 au moins En voila une annonce intéressante j'ai jamais tester de Qidi mais les machines de cette marque on bonne réputation et voir arrivé une machine de la taille des K2 Plus et H2 série, qui en tout logique intégrera une hotend 370°c et plateau a 120°c avec caisson chauffant comme pour les plus 4 et Q2 m'empli de joie, en espérant qu'il auront profiter de leur Q2 et Plus 4 pour nous sortir une machine 100% finalisé compatible avec leur Qidi Box, bien que je dois le reconnaitre le box multi filament perde grandement de l'intérêt avec les machines multi tools heads qui arrive. Etes vous intéressé par une machine technique grand volume comme ce qui semble arriver ?4 points
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Peut-être est-ce la première machine conçue par IA ?4 points
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Et bien voilà, gros weekend sur ma cnc. Samedi, pointage soudure, redressage et contrôle de la mécano. J'ai pris énormément de précautions tout au long des soudures, je n'ai eu que les deux poutres longitudinales qui se sont cintrées d'un millimètre que j'ai pu redressé avec un cric hydraulique, pas de gauche sur la planéité des appuis des rails. Sur la mécano mobile, j'ai eu un peu de gauche sur la planéité d'appui des patins, avec un peu de calage, tout était OK. J'ai pu donc faire un montage à blanc de la partie Y avec les rails et les vis à billes, j'ai vérifié la course, les butées mécaniques sur les vis. J'ai contrôlé la perpendicularité de l'appui X, à l'équerre ça parait parfait, au niveau numérique 0.2°, je verrai si je cale la table X pour si peu de défaut. J'ai pu faire bouger l'axe Y avec CNCJS, c'est une grosse étape, j'ai du mettre des connecteurs sur les moteurs Y et des câbles blindés jusqu'au contrôleur. Dimanche, contreperçage des plaques supports des vis à billes, pour les futures goupilles. Démontage de toutes les parties mécaniques. Dégraissage et mise en peinture avec un apprêt en bombe. Direction Casto, pour la planche 80*120 cm qui va recevoir la CNC, j'ai prévu quelques insert M8 pour la mise en place de brides de serrage. Découpage des plaques de plexiglas qui serviront à réduire les projections de copeaux. Première couche de peinture et c'est bon pour ce weekend.4 points
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je ne sais pas si c'est déjà passé, mais y a un teardown complet de la P2S...4 points
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Cette semaine dans l’actu 3D : Bambu Lab lance son Black Friday avec jusqu’à 300 € de remise, Prusa enchaîne avec la Core One L, la Signature Oak en bois et même une tête pour imprimer du silicone sur la XL ! De son côté, xTool prépare le F2, Nike sort une Air Max 95000 imprimée en 3D, pendant qu’on reste vigilants face aux scams sur MakerWorld. On termine avec le test complet de la Qidi Q2 signé @fran6p. https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-513-20251102/4 points
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Déballage de la P2S Le déballage est facile et la machine est très bien protégée en haut et en bas par des morceaux de polystyrène, sur les cotés par un renfort en carton et des plastiques à bulles, la P2S avec L'AMS pesant environ 18 kg je vous conseille de pencher le carton sur le coté et de les sortir en les faisant glisser. Une fois sortie la P2S est encore protégé par un plastique, une fois celui ci enlevé on constate que la vitre du dessus, la porte sont protégées par des plastiques et maintenu par des rubans adhésifs armés Au dessus et dans l'imprimante on trouve deux cartons contenant les accessoires, les câbles de branchement, les tubes PTFE et le support bobine externe et l'écran. Il va falloir ensuite sortir l'AMS 2 pro de l'imprimante, il faudra précédemment retirer les deux vis qui le maintiennent puis le tirer vers le haut, il restera à enlever 3 vis qui tiennent le berceau supportant l'AMS pendent le transport, les nombreux morceaux de mousse ainsi que trois colliers zip qui maintiennent l'axe X et la tète d'impression. Sur le Wiki de Bambu Lab on peut trouver toutes les explications ainsi que cette vidéo du déballage de la P2S combo4 points
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Aussi impressionnant que technique et bien expliqué, chapeau @electroremy et merci pour le partage3 points
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Ce débit volumétrique max est potentiellement fourni par le fabricant. Mais surtout il se détermine (notamment) pour un filament donné et une température d'impression donnée avec une pièce de calibration. Ce débit peut brider les vitesses d'impression selon les hauteurs d'impression et tailles de buses utilisées. Donc déterminer un débit max est intéressant pour obtenir le meilleur compromis entre vitesse et qualité. Cela étant dit, la encore une machine BBL sur un filament BBL aura un profil d'impression naturellement très bien optimisé pour la plupart des situations. Pour compléter un peu : si tu dois imprimer une ligne de 0,2mm de haut, pour 0,4mm de large, à 300mm/s : la ligne que tu imprimes en 1 seconde représente 24 mm3. Il faudra donc un filament et une tête d'impression capable de délivrer 24mm3/s. Si le débit volumétrique max de ton filament est de 18mm3/s, alors ton slicer va naturellement "brider" les vitesses. Dans notre exemple, l'imprimante ira à 225mm/s maximum. Si le débit volumétrique max de ton filament est de 30 mm3/s, alors ton slicer va se limiter à la vitesse max qui aura été renseignée dans le slicer (selon que ce soit un remplissage, périmètre, etc.) Et pour complexifier un peu tout ca : tu vas avoir les limites "physique" de la machine (une Ender 3 c'était autour de 150 mm/s je crois ?), puis des phénomènes de vibrations qui seront compensés jusqu'à une certaine vitesse par le Software, mais pas à l'infini non plus. Sans parler de la température d'impression qui peut faire varier le comportement en débit de ton filament, de ta tête d'impression qui va être capable (ou pas) de pousser un tel débit, etc etc. C'est aussi pour tout ca qu'on est globalement bien contents (moi en tout cas) de pouvoir s'appuyer sur des profils déjà optimisés à l'avance par certains constructeurs ^^. Sur les machines de la génération d'un ender 3, sur du PLA, les vitesses d'impression efficaces de dépassaient pas 70/80 mm/s. La plupart des filaments suivait sans aucun souci.3 points
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C'est exactement ça Un guide de couture aimanté. Il se positionne indifféremment à droite ou à gauche du pied de biche Il y a 2 aimants à l'intérieur Testé et validé le weekend dernier pour sauver un sac d'aspirateur/souffleur de jardin. J'ai remplacé la fermeture éclair HS par une bande velcro cousue sur le sac L'apéro, c'était après A+ JC3 points
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Entre le lancement de la P2S et le Black Friday, ils ne doivent pas chômer à l'usine et à l'expédition !3 points
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Voici un sujet dédié aux différents soucis rencontrés sur les imprimantes Artillery M1 Pro. J’y ai listé la plupart des problèmes fréquents qui ont été remontés par la communauté ou que j’ai personnellement rencontrés sur mon modèle. N’hésitez pas à partager les problèmes que vous avez rencontrés, ou à poser vos questions. Le but ici est que tout le monde soit informé des éventuels défauts ou limitations de cette machine, afin de mieux les identifier et, si possible, les résoudre ensemble. Artillery M1 Pro – Récapitulatif des problèmes rencontrés par la communauté 1. Problème de planéité du plateau Le bed présente une variance importante pouvant atteindre 1,4 mm, ce qui est considérable pour un plateau de 260×260 mm. Le cadre de support du plateau comporte de petites languettes périphériques trop proéminentes, qui soulèvent les bords. Les découper pour réduire leur hauteur améliore significativement la planéité. 2. Capteur de fin de filament Le capteur intégré à l’extrudeur fonctionne via un capteur à effet Hall, activé par une bille métallique poussée par le filament, et remise en place par un ressort. Bien que le principe soit bon, certains ont dû remplacer la carte du capteur. Dans mon cas, la bille s’avance trop dans le conduit, rendant le chargement initial du filament difficile. 3. Bourrages fréquents de filament Dès la sortie de carton, l’extrudeur provoque des bourrages toutes les 25 à 30 heures, nécessitant un démontage de la tête. Cela est dû à : Une qualité moyenne des engrenages et un mauvais alignement. Une configuration slicer et firmware non adaptée : rétractions trop longues et trop rapides. 4. Qualité des vis Certaines vis sont de qualité douteuse : après quelques démontages, les empreintes s’abîment, obligeant leur remplacement. Cela concerne : L’extrudeur Le système de tension des courroies 5. Système de tension des courroies Le système est mal conçu : Aucune vis de réglage dédiée Il faut desserrer deux vis, pousser le tendeur à la main (ou avec un outil difficile à trouver), puis resserrer en maintenant la tension. Cela nécessite quatre mains pour être fait correctement, et le plastique du tendeur est trop tendre, risquant d’être endommagé. 6. Problème de câblage du bed Un courant de fuite peut apparaître côté bed, provoquant : Des interférences Un Z-offset variable selon l’environnement électrique Ce problème est documenté par la communauté Klipper, et une correction firmware est disponible. 7. Layer shift permanent Sur mon modèle, un décalage de couches permanent est apparu après 60h d’utilisation, rendant l’impression impossible. Le problème semble venir d’un driver 2209 X ou Y défectueux sur la carte M-Drive. Ce souci semble rare, mais réel. 8. Déconnexions USB entre la carte Pi et la carte M-Drive Certains utilisateurs rencontrent des déconnexions USB entre : La carte Pi (dans le caisson) La carte M-Drive (à l’arrière) Ce problème survient surtout avec des filaments techniques nécessitant une chauffe du caisson, qui met en défaut le chip USB. La sonde de température du caisson est mal calibrée, affichant une température inférieure à la réalité. Solutions proposées : Déplacer la carte Pi hors du caisson Recalibrer la sonde sous Klipper 9. Macros et configuration Klipper Les macros de configuration sont souvent mal conçues et doivent être revues. De nombreux paramètres doivent être ajustés, mais la communauté a largement corrigé ces problèmes. L’outil PrinterPatcher pour la M1 Pro permet de les corriger facilement. Manque de support de la part d’Artillery La M1 Pro donne l’impression d’être un prototype non finalisé, mal testé par Artillery. La fiabilité est douteuse, et le comportement de la machine est erratique. Le SAV est inexistant : Dans mon cas, 8 jours pour une première réponse, non adaptée. Après plusieurs relances, plus aucun retour. D’autres utilisateurs ont dû se battre pendant des semaines pour obtenir des pièces de remplacement, certains pendant 1 à 1,5 mois. Artillery n’a apporté aucune correction firmware récente, mis à part des modifications de licence sur les outils IA, qui ne fonctionnent pas. N.B. : Après plus d’un mois d’attente et de relances multiples, voici enfin la réponse que le SAV ose me fournir — une réponse que d’autres utilisateurs ont également reçue. Réponse envoyée au SAV Je leur ai donc répondu deux choses : 1. 1. Comme déjà indiqué à plusieurs reprises, même une impression sans aucun support provoque systématiquement un décalage de couches (layer shift). 2. 2. J’ai également souligné que leur réponse est inadmissible : conseiller de ne pas utiliser de supports arborescents ou de ne pas dépasser 10 % de remplissage sous prétexte que cela pourrait provoquer des "scratchs" est une véritable insulte à leurs clients. Toute imprimante correctement calibrée est capable d’imprimer avec un taux de remplissage élevé ou des supports complexes sans aucun problème. Je le faisais sans souci avec mon ancienne Artillery Genius, comme avec toutes les autres machines que j’ai utilisées depuis. J’ai donc réaffirmé que le problème sur ma machine vient d’un driver défectueux, comme expliqué plusieurs fois. Je ne compte pas les lâcher, même si je doute désormais qu’ils agissent comme il se doit. Conclusion Le support Artillery est une véritable honte : 5 semaines pour répondre avec de telles inepties. Je ne comprends pas ce qui se passe chez eux depuis quelques mois. Le fait qu’ils aient remercié une partie de leurs équipes doit certainement y être pour quelque chose.3 points
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Cette vidéo me laisse juste pantois. Le niveau d'intégration est digne d'un APN numérique haut de gamme !!! Après 45 ans de réparation de divers matériels, je suis juste sur le cul tant le design est à ce point travaillé, on a l'impression que ce matériel est un fait du high tech destiné à un public hyper large avec les moyens qui suivent, mais non, on est dans une frange marginale du bricoleur qui aime l'impression 3D. Honnêtement, je n'en reviens pas, une débauche de travail d'engineering pour miniaturiser au maximum un produit qui n'est qu'une niche finalement. Je me demande comment ca peut être rentable !!! Rien que le temps de montage est impressionnant, personne en Europe ne peut rivaliser tant il y a de pièces dans un espace aussi compact ! J'ai arrêté de suivre l'évolution des imprimantes 3D il y a 6 ans mais sincèrement je reste estomaqué dun niveau d'intégration auquel est arrive Bambu Lab Je me disais que cette machine était un peu chère mais maintenant je sais pourquoi ! Parole de technicien, je reste sur le cul !!! Il y a 13 ans c'était cette technologie que je souhaitais réparer. Cependant l'absence d'acteurs majeur a fait que pas grand chose n'a avancé à la vitesse que j'imaginais. Epson y a travaillé, HP aussi mais rien n'est sorti, à part des machines de pro qui coutaient un bras sans pour autant proposer de bonnes performances ni même de fiabilité. A l'époque du covid il y a eu l'APHP qui a investi des centaines de milliers d'euros sur des imprimantes qu'ils ne savaient pas utiliser. Pndant ce temps, moi et mon groupe d'imprimeurs imprimions des valves pour assembler des respirateurs sans être véritablement pris au sérieux (mis à part les docteurs en réanimation).. D'un coté on a à le vénérable Prusa qui se bat depuis 20 ans comme un diable pour innover avec ses petits moyens et de l'autre on a Bambu Lab, illustre inconnu il y a peu de temps, qui nous sort une imprimante qui m'avait déjà séduit, et quelque temps plus tard cette merveille ! Je pèse soigneusement mes mots, on ne met pas tant d'argent sur un produit qui ne fonctionnera pas, c'est une certitude. Alors moi je suis par nature critique sur la technologie employée, archaïque, peu adaptée ou simplement trop frêle pour juste un aspect économique. Là ce n'est pas le cas, tout est pensé, analysé, et réalisé. Dans la vidéo rien ne m'a choqué, tout me semble bien pensé et bien réalisé. Tout ce que j'attendais à l'époque se réalise enfin, mais c'est encore l'Asie qui relègue tout le monde à la préhistoire. Il y a 13 ans j'écrivais sur mon forum, "Je vous donne rendez-vous dans 10 ans pour en reparler". Je n'ai rien écris dix ans plus tard faute d'avoir quelque chose à dire. Aujourd'hui les choses changent véritablement et je vais alors en parler avec quelque chose à dire...3 points
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Listons ici les nouveautés, déjà connues et celles envisagées, du Formnext 2025 qui se tiendra du 18 au 21 novembre. Anycubic Kobra S1 Max Un nouveau ACE Pro -> ACE 2 Pro Elegoo Centauri Carbon 2 Prusa Core One L Qidi X-Max 4 ou Max4 Qidi Box Snapmaker U1 Pas de stand xTool pour voir les F2 et F2 Ultra UV. On peut aussi s'amuser à chercher des pistes dans les entreprises qui seront représentées. Quelqu'un ici compte aller y faire un tour ? Pour archive, voici nos résumés Formnext de 2018, 2019, 2021, 2022, 2023 et 2024.2 points
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Table de multiplication ? Table -oïde ? Table -oqué la clef dans la serrure ? Bon... les tables à langer ou à repasser sont moins adaptées que les tables basses ou les tables à manger... y aurait-il un lien quelconque avec le fait de se restaurer ?2 points
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Je vous mets un copier coller de la réponse du patron de la boutique hygie Méca ( sans leur faire de pub c'est une excellente boutique pour tous les produits de nettoyage de véhicules, pas avare en conseil et très très rapide pour l'expédition des produits) Bonjour, Bonne question ! Je ne pense pas que cela soit idéal et fonctionnera correctement, mais pourquoi pas tester ! Par contre je conseille un APC sans superflu, sans parfum… Donc si je dois en conseille un ça serait le Pulitutto https://www.hygiemeca.com/apc-all-purpose-cleaner/981-1024-pulitutto.html#/2-contenance-1l En produit plus adapté, plus économique et celui que je vous conseille, c’est le Sil ! Produit à tester avec une dilution 1 :4 (voir plus car il est très concentré et risque de blanchir la pièce avec cette dilution) prix au litre en 1 :4 = 2,4€ TTC https://www.hygiemeca.com/cleaner-ipa/993-sil-4260188683952.html Ipa à 99.99% qu’on vend en 5L = 6.55€ TTC https://www.hygiemeca.com/cleaner-ipa/1103-1165-ipa-cleaner.html#/3-contenance-5l Donc l’économie peut être sympa, par contre avec le sil comme il est à diluer l’évaporation est forcément plus longue. Bonne journée, Le sil de Koch Chemie semble vraiment très économique. Pour ceux qui ont du mal avec les dilutions vous avez l'application akkrodetailing. Avec le sil en dilution 1 :4 pour le bac de l'elegoo V3 il vous faudra pour 7,5l: 1,5l de produits et 6l d'eau soit un coût de 18€ pour remplir un bac + 3,6€ pour 6l d'eau déminéralisée. Donc 21,6€ pour 7,5l de solution donc une économie par rapport à l'IPA. À voir si cela fonctionne aussi bien. Je ferais le test dès que j'ai le matériel.2 points
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T'inquiète, c'est surtout BambuLab qui est un peu léger sur ce coup... Pas beaucoup d'infos de leur part, comme si ils voulaient nous pousser à prendre le combo et racheter des AMS pro ensuite ! Merci... Bon, P2S commandée ! Je l'ai pas prise chez BL, 26€ de FdP je trouve qu'ils abusent ! En plus pas dispo avant le 1er décembre... Je commanderai chez eux la buse en 0,2 et le hub, ce dernier n'étant pas encore référencé lors de ma commande là ou j'ai pris l'imprimante... Du coup j'ai revendu ma P1S trop rapidement, je vais être obligé de ressortir la vieille Artillery X1 en attendant ! A moi les joies du réglage de plateau à la main !2 points
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Bon je me réponds à moi même, visiblement il faut le nouveau hub P2S qui vient juste d'apparaitre au catalogue... https://eu.store.bambulab.com/fr/products/filament-buffer-p2s2 points
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C'est quoi comme unité, ? la longueur du doigt c'est bien : Sumer, pharaon... un peu vieux Affichage ? 3 digits 999 ou 111 4 9999 ou binaire.2 points
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Salut, Personne ne semble avoir relayé l'info ici, donc je le fais. La Prusa CORE One L vient d'être annoncée => https://blog.prusa3d.com/think-big-print-big-introducing-the-prusa-core-one-l_124294/ Au prix de 1700€ soit 350€ de plus que le premier modèle (assemblé), qu'il y a-t-il de nouveau ? L pour Large => le volume passe de 25x22x27cm à 30x30x33cm Le lit chauffant est totalement nouveau et devient une épaisse plaque d'aluminium avec une alimentation AC Cela implique de nouvelles steel sheet puisque la dimension n'est pas commune avec les autres machines Pas de chauffe partielle du lit comme sur la XL Seulement 10% plus large, pour 200% de volume et surtout 0.5kg en moins sur la balance Les parois latérales sont en aluminium Une camera 1080p temps réel Deux buses, une high flow et une renforcée Pour les autres points clés nous avons : La chambre monte toujours à 60°C malgré le volume plus important, et le lit chauffe 25% plus vite. La grille de ventilation est maintenant "automatique" Compatible MMU3 Ce qui confirme que la version INDX n'est pas prête d'arriver (plus d'infos au prochain FormNext) Pas de version kit Pas d'upgrade depuis une précédente machine (MK4 ou CORE One) Dans l'annonce ils mettent l'accent sur tout ce qu'on aime chez Prusa, le côté robuste, pensé pour une utilisation 24/7, firmware ouvert, sécurité, européen etc... Il y a aussi d'autres infos qui sont relayées, comme l'arrivée du NFC "Open Print Tag" standard qui sera d'office sur toutes les nouvelles bobines de Prusament, en espérant une adoption massive des autres fabricants de filament. Un support de bobine avec lecteur compatible devrait être proposé pour les MK4S, XL, CORE One et CORE One L. A+2 points
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La vidéo de la Core One L qui complète leur article de blog :2 points
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En vitesse car j’étais curieux: Pas de changement dans les config/macro klipper - qui sont pourtant les plus critiques... Le client LCD semble être au moins recompil...2 points
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Bienvenue dans un nouveau monde Du coup @pascal_lb va un peu avoir la pression pour finaliser le test de la P2S (Sans la casser) A+ JC2 points
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Merci pour votre aide et vos codes de réduc. J'ai donc passé commande de la P2S avec AMS pour un prix défiant toute concurrence... exactement celui marqué sur le site 749€ + 16€ de port 2013, notre première Witbox 1 gratuite en tant que revendeur et centre de maintenance, puis l'achat de ma première Prusa en 2014, c'est la seconde imprimante 3D que j'achète, 11 ans après ! Bien entendu, compte tenu de mon métier, j'ai eu aussi quelques Witbox 1 et 2, mais ca reste pour moi le véritable deuxième achat. Je vais garder ma Prusa avec sa buse de 0,2mm et ma Witbox 1 probablement par nostalgie...2 points
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Pas de roulement en haut sur la H2D : c'est libre. Le guidage est assuré par les tiges verticales et non par les tiges filetées...2 points
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Il faut surtout que tu arrêtes d'essayer de remédier aux conséquences de tes soucis, mais à la cause réelle du problème. Dans sa configuration d'origine et avec des paramètres standards et du filament de marque connue, cette bécane doit fonctionner correctement. Si tel n'est pas le cas, il faut contrôler chaque élément de la machine et surtout en tester ou modifier un seul à la fois pour mettre le doigt sur le problème. Exemple: pourquoi changer de plateau alors que les plateaux d'origines fonctionnent sur toutes les bécanes pour des utilisations normales.2 points
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Pour compléter ce que dit @Premium, ton plateau est déjà guidé de manière isostatique en translation. Si tu venais guider les tiges filetés via un roulement ou similaire sur leur partie haute, elles seraient contraintes en 3 points sur leur longueur (moteur, écrous au niveau du plateau et en haut). Comme aucun système n'est parfait, ta tige serait forcée de faire la banane car surcontrainte. Et si le plateau induit une flèche dans la tige, réciproquement la tige générera un effort sur le plateau qui générera des problèmes de planéité, Zwobble, etc. Bref, la solution adoptée par BBL est mécaniquement la plus noble, bien qu'effectivement ça peut surprendre de ne pas vooir les tiges guidées là-haut2 points
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Par expérience, guider le haut de la vis Z entraine inévitablement un Wobble par le fait qu'à cette distance du moteur la tige qui n'est jamais véritablement droite occasionnera un frein du moteur suivant son angle et donc du wobble sur les micros pas au moins. Par contre moi j'ai opté pour un simple guide à peine plus large que la vis qui ne touche donc pas l'axe mais évite que l'on puisse le tordre par inadvertance.2 points
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Salut Je suis avec intérêt le post du test de la P2S de @pascal_lb Hormis le fait qu'il semble fâché avec le verre sécurit j'ai remarqué dans la vidéo du déballage de la P2S Combo à 2:40, que les 2 tiges filetées de l'axe Z bougent (beaucoup ?) lorsque l'on enlève les cales de transport en plastique rouge. Comme si elles n'étaient pas guidées sur le haut. @pascal_lb as-tu remarqué ça aussi ? C'est normal ? Me tarde de lire la suite surtout quand tu vas la jeter par la fenêtre pour voir si la planéité du plateau bouge A+ JC2 points
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Ah ah, salut : j'ai retrouvé un paquet de 2 tubes bicomposants epoxy de... plus de 40 ans : he ben çà tient nickel chrome !!! Merci pour les infos.2 points
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Parmi les innombrables projets que j'ai en tête, il y en a un où j'ai déjà la carrosserie et les autocollants, ainsi que pas mal des éléments nécessaires... Cela fait quelques temps que je ne me suis pas penché dessus, et c'est l'envie du moment : le Marui Hunter au 1/20, en gros, l'idée est de faire 1/2 par rapport au 1/10 original... Cela nécessitera quelques adaptations, et j'ai décidé de commencer par un test print du chassis au 1/20, en ABS pour voir où cela serait susceptible de coincer... Je ne me suis pas basé sur l'auto orientation, mais sur ce qui me paraissait le plus logique par rapport à ma connaissance du chassis (et comme un pote australien a essayé l'impression du chassis en 1/10 dans cet orientation, cela me permettra de vérifier ses trouvailles... L'impression s'est déroulé parfaitement... Un endroit nécessitera de passer en arachnee (ce n'est pas le cas pour ce print) et je trouve que le résultat est pas mal malgré tout. Cette orientation n'est pas parfaite et il y a de quoi améliorer, possiblement avec un matériel différent pour l'interface de support... Dans les éléments à revoir: logements de cages de roulements : à adapter aux roulements et axes que j'utiliserai et qui ne seront pas en 1/2 par rapport à l'original intégrer des supports snapables pour l'arrière du logement de batterie afin d'éviter la déformation (je ne trouve pas de raisons pour celle-ci dans le slicing en lui même, en dehors du fait que rien n'assure l'intégrité à cet endroit en termes de hauteur, ce qui pose un problème du côté où la couche commence à cet endroit) le logement de batterie devra probablement être agrandi pour supporter une petite lipo (en fonction de ce que je trouverais). logement pour l'axe de couronne de transmission Pour le reste, c'est moins pire que ce à quoi je m'attendais... Plein de choses restent cependant à revoir pour s'assurer que ce soit jouable...2 points
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Non, là, c'est du luxe . Un Rpi3+ (512 Mo) ou un RPi0V2 permet de faire tourner Klipper. Mais le mieux est un RPi4 1 Go ou un 2 Go si l'on ajoute des fonctionnalités (Klipperscreen, Spoolman en local, OcotEvryWher ou Obico, …). Après, qui peut le plus, peut le moins (ou l'inverse ).2 points

