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Salutation à tous. Merci pour vos messages. Mes excuses à tous, je suis resté déconnecté du forum pour des raisons de santé et de deuil. J'ai, il y a quelque mois, fait un infarctus du myocarde. Mise en place d'un stent en urgence pour rouvrir une coronaire, suivi plusieurs jours au service d'urgence cardiaque, 3 semaines au centre de réadaptation cardiaque Bois Gibert, des médocs à vie, une hygiène de vie a revoir, car j'en ressors avec une insuffisance cardiaque avancée. Donc, le Shadok que je suis, pompe encore, mais la pompe a un moins bon rendement et il faut la surveiller de près. Et j'ai eu la tristesse du décès de mon père quelques jours après mon retour du centre de réadaptation cardio. Bois Giberts. Forcement cela m'a mis un coup au moral et j'ai eu besoin de me couper du forum afin de prendre soins de moi et me recentrer. J'espère être bientôt de nouveau plus actif sur le forum, et je vous souhaite une bonne continuation tous.16 points
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Bonjour, @Motard Geek l’Unimog est presque terminé véhicule tout terrain en 4X4 suspension oscillante Panhard. La plaque du film Tamya 0.4mm est en rupture de stock pour réaliser le pare brise! Je dois encore installer le moteur linéaire pour manœuvrer le corps de la benne basculante. La qualité de fabrication 3Dsets est parfaite; la carrosserie est facile à assembler la Plus 4 fait bien son travail. Je recommande de passer un filament de nettoyage entre le passage du filament PETG et le PLA+ au risque d'un colmatage (c'est du vécu) La partie éclairage reste un gros travail. Entre-temps, j’ai une belle récolte de noix ! Bonne chance à vous... !13 points
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Juste pour information Peut-être que d'autres connaissent déjà le logiciel Printventory. C'est un outil permettant de gérer une collection de fichiers d'impression (stl, 3mf, obj). Une fois installé, il suffit de lui indiquer quels répertoires contiennent les modèles. Il scanne ensuite ces emplacements pour afficher, après un certain temps, les vignettes des fichiers. Ça, c'est la partie la plus facile. Restera ensuite à les taguer, les grouper si on veut pouvoir les retrouver ultérieurement. Pas mal de possibilités, mais attention, c'est encore en phase beta et quelques bugs pourraient être rencontrés (pas eu pour le moment malgré une collection récoltée de-ci de-là au fil des années (+18000 fichiers)).13 points
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Cela fait maintenant environ deux semaines qu’on me demande par message privé, que ce soit sur Makerworld ou sur Facebook (où je partage beaucoup), comment imprimer avec plus de 4 couleurs lorsqu’on ne dispose que d’un seul AMS. En effet, les modèles que je partage, notamment les Mystery Box, nécessitent souvent plus de 4 couleurs. Cela pose problème aux propriétaires de A1 et A1 Mini, ainsi qu’à ceux qui n’ont qu’un seul AMS à leur disposition. J’ai donc décidé de rédiger un tutoriel accompagné d’un test simple. Pour reproduire un cas réaliste, j’ai débranché mon deuxième AMS afin de ne pas interférer avec le processus, et j’ai déclaré seulement 4 couleurs dans l’AMS. Il faut savoir qu’avec Bambu Studio, les AMS sont prioritaires. Lors du slicing, les AMS seront automatiquement pris en compte, quelle que soit votre configuration. Dans un premier temps, il faudra une plaquette comportant 6 carrés, dont l’un est de la même couleur que le modèle de base. Cela permet d’utiliser un total de 6 couleurs. https://makerworld.com/en/models/1019717#profileId-1000733 Etape 1: Importer le modèle et ajouter des filaments Etape 2: Atelier peinture Une fois les nouveaux filaments ajoutés, il faut peindre les carrés correspondants. Vous pouvez : Cliquer directement sur l’icône du pot de peinture. Passer de la vue Globale à Objets pour assigner les couleurs où vous le souhaitez. Etape 3: Changer les paramètres du plateau Par défaut, l’ordre d’impression des couleurs est en mode automatique, ce qui peut rendre le processus imprévisible. Vous devez basculer vers le mode personnalisé. Ainsi dans cette ordre là, les couleurs s'imprimeront dans l'ordre "Croissant" très important pour la suite. Les 4 premières couleurs sont celle actuellement dans l'AMS, par contre il va falloir déclarer les deux nouveaux bleu. Les 4 premières couleurs sont celles actuellement présentes dans l’AMS. Vous devez ensuite assigner les nouvelles couleurs aux emplacements déjà utilisés. Par exemple : Bleu foncé à la place du jaune. Bleu ciel à la place du rouge. Ainsi, l’imprimante imprimera dans cet ordre : Jaune → Rouge → Vert → Beige → Bleu foncé → Bleu ciel L’imprimante ne fera pas de pause entre les changements de couleurs. Vous devez donc être attentif. Une fois que le jaune et le rouge sont imprimés, remplacez immédiatement leurs bobines par vos deux bleus ou les couleurs de votre choix. Voici le résultat obtenu : J'ai également fait le test avec mes deux AMS, conçus pour 8 couleurs, et j'ai réussi à atteindre les 12 couleurs. En fonction de la complexité du modèle que vous feriez ça peut être plus ou moins long, mais en tous cas ça fonctionne très bien lorsqu’on a compris le principe même. En tous cas j’espère que cela vous sera utile.11 points
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Mon projet de 17 mois , ou j ai realisé toute electronique pcb , shemaset programmation ect.... j ai aussi dessiné pas mal de chose , drive courroie , une grosse partie du lift , les tft sur le body et periscope . je me suis bien eclaté .11 points
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Échauffement Le contenu du colis du «koikesse» ayant été découvert, je relaterai dans ce sujet ma découverte de cette imprimante, la Q2, avant de publier le test final sur le blog du site. En échauffement, un petit rappel : le colis pèse 24 kg, l'imprimante elle-même ne pesant qu'un peu plus de 18 kg. La marque Qidi est moins connue que d'autres constructeurs asiatiques. Elle n'est pas pourtant pas récente dans le monde de l’impression 3D puisqu’elle a entamé ses activités en 2014 sous le nom Qidi Tech devenu Qidi fin 2024. Qidi développe ses propres outils matériels et logiciels, par exemple un trancheur (slicer) maison dérivé de BambuStudio pour ses modèles les plus récents. Cette société possède un support technique spécialisé via un Wiki et également via une chaine Youtube. Sur le site de Qidi, la Q2 est présenté ici. C'est une imprimante «rapide» à l'instar des modèles d'autres constructeurs : vitesse maximale de 600 mm/s, accélérations de 20 000 mm/s². Les caractéristiques techniques sont décrites dans le comparateur du forum. Je rerprends ici les principales : SPÉCIFICATIONS Q2 Caisson fermé à chauffage actif Cinématique CoreXY Volume d'impression de 270x270x256 mm Températures maximales : 370 °C (buse), 120 °C (lit), 65 °C (enceinte) Compatibilité avec de nombreux matériaux, y compris les plus techniques Autonivellement à l'aide d'une jauge de pression située dans la tête d'impression Système de filtration de l'air 3-en-1 (préfiltre, HEPA, charbon actif) Wifi (2,4Ghz) et Ethernet Écran capacitif de 4,3" Caméra interne (surveillance, timelapses, détection des problèmes d'impression) Certifications (MET, IECEE CB, CE, …) Tous ces points seront bien évidemment testés et vérifiés lors du test. Comme la majorité des imprimantes rapides actuelles, Klipper est le firmware faisant fonctionner celle-ci. Trop souvent ce n'est pas la version pure («vanilla») de Klipper, mais une version modifiée par le fabricant, sans remise au pot commun de ces modifications, enfreignant la licence originelle GPL v3.0. Nous y reviendrons lors de l'examen du système d'exploitation et de l'écosystème Klipper utilisé. Pour rappel, Klipper se compose de deux éléments : un firmware installé sur la carte contrôleur, gérant uniquement les éléments matériels (unité de contrôle) «klippy» installé sur un Small Board Computer (SBC), en français, on parle d'ordinateur monocarte, chargé lui de l'impression (unité de calcul) Pour plus de détails sur Klipper je vous renvoie à ce sujet du forum. Déballage Le Wiki de Qiditech permet d'accéder à un document texte accompagné de photos ainsi quầ une vidéo de déballage : À l'intérieur du carton, se trouvent deux manuels papier, un plus complet en anglais d'une dizaine de pages, le second plus succinct en six langues (Anglais, Chinois, Italien, Français, Espagnol et Allemand), quatre pages par langue (à noter que le titre de la première page du français est en italien «introduzione alla stampante» ). Quelques photos L'ouverture du carton donne accès au manuel, à la vitre supérieure, le support de bobine, le carton contenant l'écran et la clé USB : Ce premier étage de polystyrène est bien protégé aux quatre coins, une fois celui-ci extrait, on aperçoit la Q2 dans son emballage plastique. Une étiquette nous explique comment sortir l'imprimante du carton : Ne reste plus qu'à sortir l'imprimante de l'emballage plastique et retirer les dernières protections (encore du plastique) : Au fond du carton se trouvent deux petites boites (tool box 1 et 2) : La boite 1 contient un câble Ethernet de 2 m, une clé plate de 7, un jeu de clé Allen (1,27/1,5/2,0/2,5/3,0) et quelques pièces de remplacement (coupe-filament, essuie buse, fusible). L'autre boite (2) contient le câble d'alimentation secteur, un tournevis plat, une spatule, l'axe support de bobine et un échantillon de filament (20 g) : Avant de poursuivre, un examen du capot arrière m'intrigue. Une étiquette indique que cette imprimante est configurée pour fonctionner sur la tension secteur 220-240 V. L'alimentation ne serait donc pas auto-configurable comme sur la plupart des concurrentes ? L'accès à l'alimentation au-dessous de l'imprimante le confirme. Il est de ce fait préférable de bien vérifier que la tension a bien été paramétrée : Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Il me reste à monter l'imprimante jusqu'à mon bureau à l'étage, lui trouver une place, la brancher et lancer les premières impressions… ce sera l'objet du prochain article. À suivre… bientôt.10 points
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@DataPocalypse : on se calme svp. Si tu es dans le juridique et qu'on applique mal la "loi", tu peux nous MP. Si tu bosses à 60 millions de consommateurs, tu peux nous MP. Si tu as envie de partager ton expérience avec Prusa ou autre chose, tu peux nous MP pour organiser ça. Mais à quoi te sert de crier sur ce topic alors que : - la mention de liens affiliés est indiquée sur toutes les pages du site (en footer) - même mention sur le forum, dans le menu de droite - les mentions légales le soulignent aussi L'article que tu critiques n'est absolument pas sponsorisé ou je ne sais quoi. C'est Pascal qui a souhaité faire un retour d'expérience volontaire sur des produits qu'il a lui-même achetés. Il n'y a absolument rien de trompeur à publier du contenu, qu'il soit d'ailleurs poussé par un fabricant ou non. Mais là, tu te plantes de cible. C'est son avis en tant qu'humain, non professionnel, avec son expérience passée. Comme tu le lis dans son texte, il possède d'autres imprimantes pour comparer. Aucun de nos tests n'est 100% objectif car chacun a sa propre expérience et son ressenti du produit. Ca dépendra toujours de la personne qui s'en charge. Et on n'a pas les mêmes attentes. Surtout si l'on a de l'expérience avec Prusa ou avec Bambu Lab, on ne voit pas forcément les choses de la même manière. Tu peux ne pas être d'accord, partager ton point de vue, mais en restant courtois et en écoutant les autres. Dans le retour d'expérience Bambu Lab de Pascal que tu incrimines, il y a des liens vers du contenu (interne au site) qui propose des liens affiliés pour acheter les produits dont on parle. Ok, et alors ? On ne dupe personne, le produit n'est pas vendu plus cher, on liste d'ailleurs les revendeurs pour acheter au moins cher selon les réductions et codes promo du moment. C'est du boulot de le faire et c'est dans le but d'aider un acheteur à trouver le meilleur prix / revendeur de son choix parmi ceux qui proposent ces références. Encore une fois : c'est mal ? Tu penseras aussi à aller râler chez Auto Moto parce qu'ils ont reçu une voiture en essai pour leur émission. Et chez Les Numériques parce qu'ils reçoivent plein de produits pour en faire des tests. Et sur tout le web + la télévision, en fait ? Sans oublier ton supermarché qui bénéficie de réductions sur le volume et de marges arrière pour t'inciter à acheter le yaourt Y ou la farine F, sans que tu sois au courant ? On a assez dévié du sujet.10 points
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Je découvre le travail de DHR Engineering via leur chaine YouTube et c'est impressionnant. Vous pensiez être un pro de l'impression avec vos 3 FDM supervisées par une bête caméra et des prises connectées ? Jetez un oeil à ça : La gestion des filaments est incroyable aussi : Et ils savent aussi automatiser l'impression 3D résine + wash + cure .. + livrer le print9 points
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Bonjour amis makers, Je sais je sais... J'ai mis un titre racoleur, mais j'espère bien lui faire honneur. Avec toute l'effervescence qu'il y a eu sur le topic d'annonce de la CORE One, on sait que ce test est très attendu. Et moi aussi je suis attendu au tournant car je fais partie des makers à avoir critiqué cette machine, en bien ou en mal. Prusa nous donne la chance de pouvoir savoir ce qu'il en est réellement, alors on va en profiter. Voici donc venu le temps des premiers pas avec cette machine. Précisons qu'il s'agit de la version assemblée, elle tient dans un gros carton. Lorsqu'on l'ouvre on découvre assez peu d'éléments comparé à un kit. On y retrouve grosso modo : Un courrier de remerciement Un ticket de test production (tout OK évidemment) Un manuel sur l'impression 3D (excellent pour les débutants soit-dit en passant) Un cordon d'alimentation secteur Une clé USB Deux bandes servant de pieds anti-vibration Un plateau PEI lisse Un bobine de 1kg de PLA (Galaxy Black) Et heureusement, les Haribo ! Il manque encore des éléments qu'on verra plus tard. Après avoir retiré tous les éléments, on commence par retirer la mousse supérieure. Il suffit de suivre les premières étapes qui sont inscrites dessus. L'étape suivante consiste à replier le carton pour former les poignées et sortir la machine (qui est sur le flanc). Elle pèse son poids (de mémoire dans les 22kg), il vaut mieux être deux, même si on peut s'en sortir seul. On remarque au passage que le carton est très bien renforcé, le mien est arrivé avec tous les coins intacts. A partir de là j'ai été un peu perdu, je pensais bien qu'il fallait coller les patins avant de redresser la machine, mais il me manquait les instructions (ici en FR). Spéciale dédicace @pjtlivjy Après avoir redressé la machine, un carton est tombé de l'emplacement bobine, il contient les éléments manquants : L'écran xLCD Un kit d'entretien Des rivets de rechange (on y reviendra une autre fois) Un ensemble d'outils Le système de fixation de l'écran est assez astucieux, il se monte sur une partie amovible de l'imprimante, partie qui est fixée par des aimants. L'intérêt est que si l'imprimante est basculée en avant, lors d'un déplacement par exemple, l'écran ne casse pas mais peut librement pivoter contre la table (j'essaierai de le montrer en photo plus tard). L'étape suivante est le retrait des films de protection. Cette étape est assez pénible pour deux raisons : il n'y a pas de languette pour attraper un coin, et le tour des rivets n'est pas prédécoupé. Ce dernier point spécifiquement est déjà en cours de traitement chez Prusa, Jo himself l'a assuré. Détail important à ne pas oublier, éviter les projections d'IPA sur les vitres. Dernière étape, le flashage du firmware et l'auto-calibration. En effet l'imprimante arrive sans firmware, il faut insérer la clé USB contenant le dernier firmware au moment de la livraison. C'est astucieux pour permet de livrer facilement les imprimantes à jour sans avoir à les flasher en usine. La calibration elle-même est pratiquement autonome, il faut simplement suivre les indications, tapoter la buse, charger du filament. A savoir que sur la version assemblée il n'est pas nécessaire d'effectuer la calibration de la gearbox du Nextruder. On peut éventuellement connecter la machine au Wifi à ce moment là. Et c'est fini la machine est prête. Afin de faire un test rapide pour vérifier que tout va bien j'ai d'abord lancé un petit benchy 8 min. Puis j'ai lancé une première impression slicée moi-même. Une belle tulipe avec un joli petit challenge au niveau de la tige fine (et creuse) qui supporte longtemps la fleur avant qu'elle ne rejoigne la feuille. Imprimé sans le fuzzy skin, profil 0.20mm STRUCTURAL, tous les réglages par défaut. Deux heures d'impression plus tard voici le résultat sorti du four. Elle est magnifique, en cherchant bien on distingue légèrement des irrégularités de couches en lumière rasante par endroits sur la seconde photo. Mais honnêtement c'est top, surtout la partie où la fleur a rejoint la feuille, et donc ne tenait qu'à un fil, on ne voit pas de jointure du tout. J'en espérais pas tant lorsque j'ai lancé l'impression. Je reviendrai lorsque j'aurai eu un peu de temps pour faire quelques essais. D'ici là, n'hésitez pas à me faire part de vos questions et idées de tests, j'essaierai d'y répondre. Mais je peux d'ores et déjà donner une première info qui m'intéressait : oui le bouton marche / arrêt est à l'arrière et n'est pas accessible depuis l'avant, même avec un long bras (il nous manque un second coude). Et la machine "en veille" (c'est à dire allumée sans rien faire) consomme 16.9W. Pour ma part elle est déjà branchée sur une prise connectée pour palier à ce problème. A+9 points
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hier, j'étais au salon Global Industrie à Lyon et j'ai pu discuté avec des gens de Bambulab Europe discussion tout à fait passionante mais ils ont fini par lâcher quelques infos sur la future qui est imminente, on parle de 1 à 2 mois max à priori volume 350 x 350 x 420 chambre chauffante tête double extrusion à bascule d'un système multifilaments 2 x 2 pas eu moyen d'en savoir plus mais ça fait déjà rêvé9 points
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Le 13 janvier le livreur UPS m'appelle pour me dire qu'il a un colis pour moi je lui réponds qu'il y a une erreur car je n'attends rien et il insiste fortement car le colis est bien à mon nom, je lui dit que je le prend et là surprise il me donne 21 kg d'Elegoo Centauri Carbon En fait 2 petits cachotiers ont oublié de me prévenir, comme ils veulent garder l'anonymat je les appellerai J & M La Centauri Carbon est la première core XY de la marque et dans cet article et dans le test qui suivra sur le blog nous allons découvrir si ils ont réussi cette machine. Voilà en vrac mes premières constatations : lit chauffant en 240v avec plaque magnétique un côté texturé et un côté lisse 256x256x256 un seul moteur pour les 3 axes Z avec courroie qui les relies dans l'embase guidage par tiges lisses et roulements capteur optique pour l'axe Z capteur de nivellement dans le lit chauffant carte mère de style inconnue avec touts les composants soudés dessus un gros MOSFET en 240v pour alimenter le lit alimentation 24v 2A sans ventilateur, un seul ventilateur dans l'embase pour refroidir les drivers prise 240v à l'arrière avec le bouton on/off en haut système classique de courroies d'une core XY buse apparemment bi métal acier et laiton cheminée vers l'arrière pour l'éjection des purges et nettoyeur de buse, coupeur de filament dans la tête, détecteur de filament et support de bobine sur le côté droit de la machine un ventilateur d'extraction d'air avec un filtre à charbon un autre ventilateur pour refroidissement supplémentaire des pièces pas vu de chauffage d'enceinte caméra avec éclairage wifi mais pas de RJ45 pas vu de prise pour le branchement d'un AMS sauce Elegoo écran tactile porte et vitre du dessus en verre fumé Page Elegoo Centauri Carbon sur notre comparateur : https://www.lesimprimantes3d.fr/comparateur/imprimante3d/elegoo/centauri-carbon/ Page Elegoo Centauri Carbon sur le site officiel : https://li3d.fr/ElegooCentauriCarbon-ELE Le test sur notre site : https://www.lesimprimantes3d.fr/test-elegoo-centauri-carbon-corexy-20250219/ Donc une machine bien équipé, elle est livrée avec dans un carton : un petit bout de filament Rapid PLA+, ils disent un échantillon, j'appellerai plutôt ça une chute... 4 clés 6 pans 2 tournevis un essuyeur de buse de rechange un outil de débouchage de buse une lames de raclage un stick de colle un tube de graisse une clé USB 8Go avec modelés de test, manuel de montage, vidéo de montage, ElegooSlicer un manuel multilingue dont le français Le déballage Il ne pose pas de problème, la machine pesant 17.5 kg je préconise de mettre le carton sur le coté et de faire glisser la machine pour la sortir Le montage La Elegoo Centauri Carbon est vraiment simple à monté, en 5 minutes c'est fait : l'écran à brancher et à "clipser" le support de bobine à visser (un quart de tour) sur le coté de la machine les trois vis de fixation du lit chauffant à enlever un collier zip à couper et le carton à enlever de sur la tête d'impression un morceau de mousse à enlever dans la cheminé poser la vitre du dessus et le plus dur, brancher le câble d'alimentation8 points
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Bonjour à tous, Avec un peu de retard, je partage la pièce que j'ai réalisée cette année aux Journées du Partimoine à Montagney-Servigney. Nous avons fait cette année de la fonderie aluminium, et j'ai eu envie de tester à nouveau le procédé "lost-foam". C'est un procédé dans lequel on créé un modèle en polystyrène, qui est ensuite placé dans un moule avec du sable fluide. Le métal en fusion est coulé directement dessus et prend la place du polystyrène. Ce procédé a été mis au point par Peugeot dans les années 60 pour couler des culasses de moteur, il est encore utilisé aujourd'hui. Un de mes clients, en Franche-Comté, possède une ligne de moulage loast foam pour fabriquer des disques de frein et des tambours de freins de poids lourds en fonte. Je fabrique un modèle, avec une forme volontairement compliquée pour tester les limites du procédé. Je n'ai pas trouvé de quelle façon ajouter des canaux pour faciliter l'évacuation des gaz, donc la pièce sera probablement incomplète. Le but de l'expérience est de connaitre la profondeur limite possible sans canaux. La pièce a été taillée dans un morceau de polystyrène extrudé servant à l'isolation des bâtiments. J'ai utilisé des techniques plus ou moins barbares - d'abord une perceuse à colonne avec un mèche à bouchonner pour faire un gros trou non débouchant assez profond - une scie circulaire de table, avec un support bricolé avec un tube pour réaliser le "tournage" de la partie cylindrique extérieure par sciages successifs - ensuite, une ponceuse oscillante de table pour tailler le pied - enfin, un système à fil chaud pour réaliser les trous Voici les outils utilisés sur place : une caisse en bois pour le moule, un enduit réfractaire avec un pinceau, un couvercle avec un poids (le morceau de rail de chemin de fer) et un maillet pour vibrer le sable La pièce est recouverte de deux couches généreuses d'enduit réfractaire (c'est une mixture à base d'alcool et de poudre d'alumine) : On laisse sécher une bonne demi-heure. La pièce est placée dans le moule qu'on remplit de sable : Le cul de la pièce a été peint en noir pour être bien visible par rapport au sable qui est blanc. C'est indispensable car lors de la coulée, les opérateurs portent une visière de protection, et ils sont aveuglés par l'éclat du métal en fusion. On place le couvercle avec le poids par dessus et on vibre en donnant des coups de maillet : Le moule est prêt pour la coulée. A côté, on peut voir d'autres moules réalisés de façon traditionnelle, avec des modèles en bois qui ont été retirés : La coulée de aluminium liquide : Le polystyrène se consume rapidement en dégageant une fumée épaisse : On laisse refroidir : On démoule. Comme je m'y attendais, la pièce n'est pas complète, mais le résultat est pas mal : De retour chez moi, quelques travaux de nettoyage et de finition. Je dois notamment creuser la pièce au tour à métaux car, même en ayant vibré soigneusement le sable, il n'a pas rempli complétement le fond de la pièce en haut (je rappelle que la pièce est coulée la tête en bas) Même si la pièce est incomplète, elle est en fait très jolie, et même plus jolie que si elle avait été complète. C'est, en quelque sorte, un échec réussi On se rend compte de la finesse des détails qui sont rendus par le procédé, l'état de surface du modèle en polystyrène est très bien rendu. Bien sûr, la pièce à des défauts également. On remarque aussi que j'ai percé la pièce au tour à métaux. Il y a deux raisons : - faciliter l'usinage - permettre le passage de fils électriques pour alimenter un éclairage LED Si on place une petite bougie à l'intérieur, le résultat est vraiment sympa : A bientôt !8 points
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ca fait un bail que je n ai plus posté , voila mon dernier tres gros projet qui a durée 17 mois8 points
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Bonjour, Je vous présente un Unboxing & Test du Scanner 3D de chez Creality, un CR-Ferret Pro. Modèle qui existe en plusieurs déclinaison, Standard & SE & Pro Cela fait maintenant trois semaines que je l’ai reçu (test non sponsorisé, payé de ma poche, bien sûr). Pour des besoins personnels, et étant un peu perdu dans la conception organique, j’ai décidé d’acquérir ce scanner abordable compte tenu des options qu’il propose. Ayant été technicien en fabrication additive pour un fabricant d’imprimantes 3D, j’ai eu l’occasion de tester plusieurs modèles de scanners 3D (d’ancienne génération et très coûteux). J’ai donc pris la décision de me procurer un modèle pour un usage personnel et semi-pro. Sachez une chose : si vous êtes un peu perdu et que vous ne savez pas comment vous y prendre, je tâcherai de répondre à vos questions le plus précisément possible. Le scanning 3D ou la photogrammétrie de manière général et un métier à part entier, c'est à dire que des personnes sont formé et qualifié pour cela, et c’était notre cas, la ou je travaillé avant, nous avions une personne dédiée à cette tache. Donc n'ayez pas peur d’essuyer les plâtres au début de votre acquisition et ne soyez pas décourager si cela vous semble difficile. Toutes fois pour que le scan ce passe dans les meilleurs conditions il y aura des pré-requis à respecter. Dans un premier temps le matériel. Aujourd'hui avoir un rendu 3D va demander des ressources parfois phénoménale et mettre à rude épreuve votre matériel informatique. Tout ceux qui modélise sous Blender3D par exemple pourrons vous le confirmer, un rendu 3D selon le matériel peut prendre plusieurs heures. Un PC avec un bon processeur "Monothread" Fréquence d'horloge élevée (Creality Scan) est gourmand au niveau processeur de la même manière que Fusion360, une carte graphique, mais surtout de beaucoup de RAM le reste de votre configuration doit suivre également SSD Nvme, USB 3.0 etc... Dans le cas de ce modèle précis de scanner, il vous faudra un smartphone au minimum de milieu de Gamme. Une première expérience dans un logiciel de conception ou modélisation 3D est un énorme plus (Nettoyer votre pièce,Exporter/Importer votre fichier de sortie, savoir comment inversé les Normal, refermer votre pièce etc..) Un environnement contrôler, (Lumière, exposition, reflet, et prise en main du scanner en général) Enfin sachez une dernière chose, le Scanner 3D dans l'ensemble, n'est pas une photocopieuse de fichier, il y a parfois un lourds post-traitement en amont à réaliser, pour beaucoup de pièce parfois ça va plus vite de redessiner la pièce que la scanner et la post-traiter. Bien ceci étant dit, nous pouvons passer à la suite. Caractéristique de ce scanner 3D et particularité. Scanner 3D Mobile (Pour une utilisation Nomad Intérieur & extérieur) Stabilisation: qui est une sorte d'anti-tremblement. Creality nous promet également que nous n'avons plus besoin de spray matifiant, ça j'y crois moyen 'Par expérience'). Fusion de scan, possibilité de scan un objet en mode nomad puis de le terminer en mode fixe Possibilité d'importer vos scan nomad directement sur PC en sans fil. Exportation avec un ratio de 1:1 Pour ce test j'utilise en matériel. Une Tour PC Windows 11 pro ( Processeur: Ryzen 5, 3,6Ghz, Carte Graphique Nvidia 3060TI 12Gb Vram, 64Go RAM DDR4, NVME 2.0 1To ) Iphone 14 Pro Max (Pour l'application Creality Scan sur ios) https://apps.apple.com/fr/app/creality-scan/id6463372516 Creality Scan (PC, MacosX) https://www.creality.com/pages/download-cr-scan-ferret Lors de la réception, le colis est bien emballé et reçu dans un carton "Neutre", puis dans ce carton ce trouve également le carton du Scanner. A l'ouverture de celui-ci nous y trouvons, la pochette de transport, qui pour le coup me plaît beaucoup, car elle est bien pensée et elle est surtout coqué, ce qui permet de la protégé en cas de choc. Et à l'intérieur évidemment nous y retrouvons le scanner ainsi que ses accessoires. Les accessoires Le scanner Le boîtier Wifi 6 Le trépieds (Avec Batterie de 5000mAh) 2h30 d'autonomie. Support Smartphone Support Scanner Notice en plusieurs langues dont le Français, Câbles et pastille marqueur Après avoir tout monté et démarré le scanner 3D, lorsque le témoin lumineux bascule au vert c'est que la connexion doit être configurer (Un nouveau wifi apparaît sous l'appellation de Ferret-XXXX), il faudra donc vous connecter dessus afin de procédé à sa configuration. Une fois fait, le témoin lumineux bascule en bleu. Nous voyons également le pourcentage de batterie directement sur le manche du trépieds Rappel, un appuie simple pour l'allumer, deux appuie simple pour l’éteindre. Dans ce test, je montrerais seulement 2 Scans, l'une d'une figurine 'Organique' et le second d'une plaque d'égout circulaire. Pour la figurine il s'agit d'un modèle que j'avais imprimé l'année dernière pour mon fils et qu'ont voit ici modèle de 19cm de haut et 15cm de large en multicolor. La définition est vraiment génial ! Cependant ce scan ma pris pas loin de 20 000 Frames et 45min de scan, et quasiment une heure de rendu sur mon PC (Pour vous situez au niveau du temps que cela peut prendre) La première partie de ce scan à été réalisé d'abord sur iPhone, puis il à été importé et complémenté sur PC, le nettoyage de la pièce s'est faite sur Creality scan directement. Et ont le voit au niveau des pattes ça n'as pas été optimisé. Et voici le rendu réel sur BambuStudio, prêt à être imprimer. Pour la plaque d'égout, là aussi j'ai été très agréablement surpris, j'ai volontairement fais ce scan car cette plaque d'égout est dans un endroit très sombre avec une faible lumière naturel, évidemment compte tenu de sa forme 2 coups de pied à coulisse m'aurais suffit pour prendre les mesures, toute fois ce qui m’intéressais ici était l'éclairage naturel. Et là le scanner à fait son boulot et même bien ! c'est à dire qu'avec seulement une vue du "dessus" et à une 60aine de centimètres et une faible lumière, il à été capable de prendre non seulement la forme mais également la profondeur de l'égout. Ce fichier obtenue ma permis d'obtenir une excellente base pour y venir travailler dessus est modéliser un couvercle qui en un "One Shot" à fonctionné et jeu inclus. Il ne s'agit pas de la pièce définitif, le propriétaire de cette plaque d'égout voulait, une plaque rentrant contrairement à celle d'origine qui est sortant, et pour cause de l'eau stagnante lors de forte pluie. Donc il est pas impossible que le design de cette pièce change dans les jours à venir. J'ai également commencé a me scanné moi même, mais étant seul la tache étant trop difficile bien sur. L'exportation de votre fichier terminé. La ici Creality Scan nous offre la possibilité d'exporter notre scan sous 3 formats: STL évidemment le plus connus mais pas le plus qualitatif. OBJ Celui que vous devriez privilégier si jamais vous travailler avec des logiciels de conception tel que Fusion 360 et retravailler votre fichier. PLY format le plus répandu est quasiment propre au scanner 3D c'est un peu l'équivalent du STEP des scanner. Exportation direct sous Creality Print et Halo Box (Résine) ce sont deux slicer propre à Creality, l'exportation se fera au ratio 1:1 Conclusion: Qu'est-ce que j'en pense de ce scanner 3D ? Franchement, j’en suis hyper satisfait actuellement. Il remplit vraiment bien son rôle pour ce qu’on lui demande, et compte tenu du prix de ce scanner, je suis même très étonné qu’il fonctionne aussi bien. Ça me rappelle l’esprit de Creality à ses débuts, lorsqu’ils avaient émergé avec les Ender 3 : des machines très peu chères qui fonctionnaient malgré ce qu’on pouvait en penser. Il est également idéal pour celles et ceux qui voudraient se lancer dans le monde du scan, puisqu’il offre une grande mobilité et permet d’être utilisé en mode "nomade". Le côté hybride, avec la possibilité de démarrer un scan sur mobile et de le finir sur PC, m’a également beaucoup plu. La communication ainsi que le transfert de fichiers se font rapidement grâce à sa box Wi-Fi 6 (vous scannez un QR Code sous Creality Scan, et l’importation est automatique). Il est évidemment inaudible Sa sacoche de transport renforcée est également un gros plus. Concernant l’application sur iOS, je la trouve assez bien conçue et plutôt intuitive, même si elle manque encore d’options et de guides. Son prix : ce scanner est vraiment très abordable (moins de 400 € à l’heure où je rédige cet article), à condition d’être déjà équipé en matériel informatique et smartphone. Sinon, la note risque de s’alourdir. Et si tel est le cas, pourquoi ne pas aller voir directement chez la concurrence ? Concernant la colorimétrie des pièces scannées, je me souviens qu’avec de vieux scanners, je devais faire très attention aux couleurs et aux finitions (mat, brillant, etc.) des objets scannés, car la définition pouvait varier d’une couleur à une autre. Ce n’est plus vraiment un problème avec ce scanner, sauf pour les objets transparents et très chromés, qui poseront assurément des soucis. Le tracking est excellent. De temps en temps, le scanner peut se perdre dans l’espace. Petite astuce : placez soit des marqueurs, soit des objets banals pour l’aider à se repérer. Ce que j'ai le moins aimé. Ce scanner chauffe un peu et fait également chauffer votre téléphone. Il est très gourmand en ressources, au point que parfois l’application crash, que ce soit sur iOS ou sur PC, et ce, même avec du matériel puissant. (Je pense qu’il s’agit simplement d’un problème d’optimisation logicielle sur lequel Creality devrait se pencher.) Concernant le design du scanner, j’aurais aimé qu’il soit différent. Actuellement, il est très plat, et je pense qu’une chute à plat pourrait lui être fatale… Ils auraient dû mettre des bords plus épais afin de surélever l’écran en cas de chute, un peu sur le principe d’un "bumper". L’application PC est vide : elle manque cruellement d’étapes de guidage et de suivi, mais aussi d’options. Elle n’est ni ergonomique ni intuitive. On vous lâche dedans et vous devez vous débrouiller seul… (En espérant que cela s’améliore avec de futures mises à jour.). Je n’ai pas encore réussi à scanner un objet en dessous de 50 mm. Ce que j’obtiens n’est ni plus ni moins qu’une bouillie… (Est-ce ici sa limite ? ). Donc dans l'ensemble, ce scanner à moins de 400€ permet de réaliser des choses vraiment incroyable tout en tenant compte de sa mobilité, la ou certains scanner à 8000€ que j'ai testé n’était même pas capable de faire la moitié de ce scanner. Il vous permettra également de scanner une large plage de taille d'objet allant de petit objet jusqu’à de grand objet.8 points
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@electroremy nous a fait un tutoriel très complet pour convertir sa Prusa MK2S en MK2S+ avec caisson en polystyrène avec chauffage et extraction, sonde Superpinda, capteur de filament, arrêt automatique en fin d'impression, correction du bug d'affichage M117, alarme externe avec de l'électronique et un firmware personnalisé https://www.lesimprimantes3d.fr/prusa-mk2s-upgrade-en-mk2s-plus-tutoriel-diy-20251107/7 points
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Nous allons voir comment avoir des supports de qualité optimal sous Bambu Studio (Compatible avec d'autre machine qui ont des AMS-Like et d'autre slicer, normalement.) L'idée ici, est d'avoir des supports qui se retire facilement et surtout sans laisser aucune trace la ou ont été en contact la/les pièce(s) et les supports (Interface de support) Voici un exemple très parlant de différent résultat. Test réalisé en PLA + de Ariane Plast Vert Pomme. Le premier, toute à gauche est fait sans support (En réalité c'est un test de bridging donc prévue pour) Le second, il à été réalisé avec des supports par défaut, et son interface de support à été du PETG afin d'éviter une fusion entre les supports et la pièce c'est correcte mais ont peut mieux faire. Le troisième étant les paramètres que j'ai appliqué, comme vous pouvez le voir, c'est hyper lisse et aucune délamination des ponts ou autre défauts. Dans Bambu Studio, lorsque vous allez dans l'onglet support. 1 : Activez vos support en mode normal. 2: Basculer le "Style" qui est normalement mis sur "Défaut" par "Ajusté", cela à pour effet de ne pas avoir des supports qui dépasse de l'endroit ou il doit supporter la pièce. 3: Changer la base d'interface, par un filament opposé, (Si vous imprimer du PLA, alors vous devriez sélectionner du PETG et inversement. ) 4: Réduire l'interface en Z de la couche inférieur et supérieur, en effet, en temps normal et avec un seul filament ont cherche l'effet contraire, car si l'interface est trop proche ceci va la faire fusionné, cependant dans notre cas, nos deux filament ne fusionne pas ensemble par conséquent nous pouvons nous permettre de les faire coller ensemble. 5: Resserrer les lignes afin de consolider au maximum les supports. 6: Changer le motif d'interface, par du Rectiligne (Vous pouvez en tester d'autre cela va dépendre de la géométrie de votre pièce) mais cela à pour effet d'avoir un maximum de contact entre votre pièce et votre support. L'espacement va vous permettre d'avoir quelque chose de très linéaire et très plat afin d’accueillir votre pièce comme ci elle était imprimer sur un plateau Avant: Après: Voila, vous avez maintenant une bonne base de réglage en tous cas, et devriez avoir un dessous vraiment nickel. Hésitez pas à partager des photos de vos tests/pièces.7 points
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J'ai quelques Boost à distribuer, j'en ai déjà donnée pas mal aux makers qui ont fait quelque chose que j'ai bien aimée et qui est bien fait (c'est le but de ses boosts, récompenser les meilleurs conceptions) mais il m'en reste donc plutôt que de les distribuer au "hasard" de mes téléchargements, on pourrait peut être se les partager avec les membres du forum ? Donc mettez vos créations maker ici qu'on sache que c'est les vôtre et je donnerais mes boosts avant qu'ils arrivent à expiration (et si d'autres veulent en faire autant), mettez quant même quelque chose qui le mérite un minimum, même si j'ai des boost en trop, je vais pas les donner pour un truc piqué à la va vite ailleurs... Mon lien si quelqu'un veux aussi m'en donner (échange de bons procédés) : https://makerworld.com/fr/@Ironblue Edit : liste lien makerwold Ironblue: https://makerworld.com/fr/@Ironblue Moucklee: https://makerworld.com/en/@IIKenshiroII PPAC: https://makerworld.com/en/@PPAC37 pleinair37: https://makerworld.com/fr/%40pleinair37?orderBy=createTime silvertriple: https://makerworld.com/en/@marc_wecker Genii: https://makerworld.com/en/@genii2811 KiaVhar: https://makerworld.com/en/@KiaVhar Wapata: https://makerworld.com/fr/@Wapata jcjames_13009: https://makerworld.com/en/@jcjames_13009 leblond: https://makerworld.com/@mrlebl0nd71 xavax: https://makerworld.com/fr/@xavax Pastaga51: https://makerworld.com/fr/@Pastaga51 Oze: https://makerworld.com/fr/@Wargame_Terrain Charlie3D: https://makerworld.com/fr/@3DCharlie Fluxs: https://makerworld.com/en/@Fluxs Yannick4260 : https://makerworld.com/fr/@Yannouche4260 3xkirax3 : https://makerworld.com/fr/@3Dcadcraft drogendo : https://makerworld.com/fr/@drogendo Tofffd : https://makerworld.com/@Blackbird_CD kogenshi : https://makerworld.com/fr/@lofofora0027 points
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On imprimait du PLA sans plateau chauffant avec une bobine qui trainait dans un coin et aujourd'hui on dirait qu'on ne peut rien faire de propre sans caisson fermé + un dryer qui assèche les bobines !7 points
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Simple OUI, Gratuit OUI, Efficace pas tout à fait : ce piège capture TOUT, sans aucune sélectivité, et tous les insectes meurent noyés. C’est pour cela qu’il a fallu trouver une solution, réfléchir à ne capturer que le frelon asiatique sans piéger les autres insectes. Les pièges-bouteilles sont à bannir totalement : ils nuisent énormément à la biodiversité. Quand on se lance dans la fabrication d’un piège, il y a 3 caractéristiques essentielles à prendre en compte : La sélectivité : des entrées ni trop petites, ni trop grandes Les sorties des insectes : dimensionner les issues pour ne retenir que le frelon asiatique L’appât protégé : pour attirer et surtout éviter que les insectes s’y noient Si on n’en tient pas compte, cela devient un piège à biodiversité, contre-productif et dangereux pour la nature.7 points
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"Les émancipations sont toxiques à forte concentration dans un environnement confiné." Sûr, mettez 50 jeunes libres de faire ce qu'ils veulent dans une cave et observez le résultat...7 points
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Personne ne s’est encore lancé dans la fabrication d’un vrai sécheur à bobines ? Je ne parle pas d’une simple boîte avec du dessicant pour assécher l’air ambiant, non, une vraie box active, avec chauffage intégré et tout le bordel. Bon, ben… je me lance. Ça fait des mois que ce projet traînait dans un tiroir, avec les pièces achetées et tout. Mais bon, la flemme, hein. Pas envie. Jusqu’ au jour où l’envie m’a pris comme… une envie pressante, quoi. Au départ, je voulais partir d’une boîte plastique du commerce mais vraiment trouvé ce que je voulais, alors j’ai tout fait de zéro. Matériel : Pour la boîte, je suis parti sur une plaque de Styroflex 1000×500 mm en 2,5 mm d’épaisseur, des cornières en PETG et du double face industriel pour l’assemblage. Pas n’importe lequel : du double face en rouleau de 31 cm, ultra-collant et résistant (toile tissée). Au début, je voulais juste réguler la température via une sonde, comme 90 % des boxes basiques du commerce. J’avais même acheté un module W3230, bien pratique, qu’on trouve partout. Sauf que… en cherchant le manuel pour proagrammer ce truc, je suis tombé sur un autre module bien plus marrant : le HX-M452. Lui, il gère à la fois la température et l’hygrométrie. Un truc très utilisé en Asie pour les couveuses, apparemment. Ni une, ni deux, j’ai switché. J’ai opté pour une box capable d’accueillir deux bobines. Dimensions : 250×210×250 mm. Comme d’hab, le plan est dans ma tête, pas de dessin au millimètre, pas de perte de temps à tout dessiner de A à Z. Et comme d’hab aussi, je me plante régulièrement. Je recommence trois fois les cornières en PETG, et puis tant pis. À mon âge, je change pas mes méthodes, je fais à l’arrache, et ça me va très bien comme ça. Les bandes de double-face coupé a la largeur des corniers J’ai découpé le Styroglass au cutter, rien de sorcier. Sur les quatre côtés, j’ai collé le double face à la largeur des cornières en petg. En théorie, sans mes traditionnelles conneries, ça m’aurait pris deux heures . En pratique ? J’y ai passé la journée. Pour une boîte... Le vrai souci, c’est qu’une fois la boîte montée, plus le droit à l’erreur. Et là, panique à bord, comment intégrer proprement le module ? Où placer les aérations sans tout faire péter ? Un trou mal placé, un coup de perceuse trop enthousiaste, et le Styroglass se fissure comme un biscuit sec. Un bon séchage sans aération active, ça n’existe pas. Franchement, je comprends même pas qu’on puisse vendre des boxes qui se contentent de laisser l’air humide stagner à l’intérieur. L’efficacité ? Douteuse, pour ne pas dire inexistante. Ma box, elle, va respirer, extraction forcée de l’air humide, point final. Bon, après le merdier des découpes et des trous, j’ai enfin réussi à intégrer la ventilation et le module. Je vous épargne les détailles, disons juste que ça a impliqué quelques jurons, un peu de bricolage créatif, et une prière pour que le Styroflex tienne le coup. A SUIVRE...7 points
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Tout est en ligne pour connaitre les détails de la Qidi Q2 et ses tarifs : 499 € la Q2 seule 649 € la Q2 Combo avec 1 Box Déduisez 5% grâce au code promo "QIDI-LI3D" sur la boutique Qidi Tech !7 points
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nouvelle petite création/impression... embouts de lattes de lit en TPU 85A pour réparer le sommier... Imprimé avec buse de 0,6 en couche de 0,3... super propre Introuvable dans le commerce ou en version double beaucoup plus cher que de l'imprimer https://makerworld.com/fr/models/1681265-bed-slat-end-cap#profileId-17811307 points
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J'ai enfin réussi a rendre mon réservoir en PETG étanche ! Voici les paramètres utilisés : - "hauteur de couche" : 0,2 - "nombre de parois" = 1, avec un remplissage à 100% (épaisseur de 1,6mm avec une buse de 0,4, voir l'illustration) : ce permet que le remplissage chevauche les murs/parois... - paramètre qualité : "position de la jointure" = aléatoire, et "rayon de fermeture du trou" = 0,001 - et surtout pour les paramètres du PETG : "rapport du débit" = 1,05 les vidéos à jour :7 points
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Suite à une conversation qui a commencé ici https://www.lesimprimantes3d.fr/forum/topic/60364-une-nouvelle-prusa-la-core-one-corexy/page/12/#findComment-625855 ou @electroremy posait la question de savoir s'il ne fallait pas sélectionner une série de STL pour tous les tests des imprimantes : "Et si on se faisait notre propre série de STL pour le forum ? Pas forcément besoin de créer des pièces spécifiques qui seront jetées, on peut prendre des objets "réels" qui nous ont donné du fil à retordre. Idéalement, on pourrait trouver des objets de test à imprimer qui soient aussi utiles ce qui évite le gâchis Par exemple : des pinces à linge, des outils, des accessoires pour la cuisine ou le bureau, un bloque-porte en TPU... avec une partie esthétique ou technique difficile à imprimer (et donc utile pour le test) tout en restant fonctionnel même s'il y a des défauts. Des objets qui ne finissent pas à la poubelle mais qui seront utiles chez nous ou bien pour un voisin ou quelqu'un de notre famille." Voilà la discussion est ouverte et ça permettra de libérer l'autre sujet qui je rappelle est réservé à la Prusa Core One7 points
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Bonjour, @fran6p @Jc2101 @Motard Geek @Julien J'ai fait du vide (vente de quelques antiquités )deux imprimantes GEEETECH une TENLOG et un laser afin de faire de la place afin d'accueillir une QIDI plus 4 Déballage facile et mise en fonction sans aucune difficulté. Je n'ai rien touché ou réglé quoi que ce soit et depuis le compteur horaire est à 600h Aucun Bug pas d'incident, j'ai tout imprimé PAL, PETG, ASA, PCTG, ABS PETG glis, PLA Carbone les impressions sortent Nickel Les tests se sont bien passés sauf pour l'ASA la pièce c'est décollée, j'ai remonté la température du BED à 105° ensuite aucun problème... Je suis très satisfait de cette imprimante il faut être patient pour la montée en température de la chambre environ 8 à 10 minutes c'est confortable. Voici en exemple une voiture RC une Sacura et un Caterpillar (chargeur sur chenille fonctionnel) impression en PETG violet, et PLA, ABS engrenages, et PCTG jaune superbe filament très solide pour le Caterpillar. Nota un peu déçu de la qualité du filament PETG métallisé en violet l'aspect n'est pas trop brillant en surface ! Je ne sais pas si la BOX sera un achat convoité mais pourquoi pas ! les possibilités sont intéressantes et le choix des couleurs sont fantastiques nous verrons bien. je pense que la machine de @Jc2001 à l'origine avait un problème de connectique sur la carte mère c'est souvent ce qui arrive avec le transport; les chocs et vibrations ne font pas bon ménage avec les composants.. A Vous relire Francis7 points
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Dernière modélisation et impression du jour, une boîte de transport pour mon rasoir OneBlade : Bon, j'avoue la tentative de faire les dernières couches blanches avec 0,6mm d'épaisseur c'est pas le plus beau. Si certains sont intéressés, j'ai publié le modèle sur Makerworld : https://makerworld.com/fr/models/1367129-compact-transport-box-for-philips-oneblade-razor#profileId-14129857 points
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MotionEye Dans votre navigateur vous allez entrer cette adresse mon_adresse_IP:8765 il est bien entendu que vous allez mettre votre adresse IP à la place de mon_adresse_IP Vous allez arriver à l'interface de MotionEye, le login est : admin et pas de mot de passe Cliquez sur l'icone tout en haut à gauche avec les 3 traits, changez la langue de l'interface, enregistrez, ensuite cliquez sur "Vous n'avez pas encore configuré de caméra. Cliquez ici pour en ajouter une ..." Configurez la camera comme sur cette photo (pour peu que votre camera soit connecté en USB) après avoir fait Ok vous allez découvrir les nombreux réglages de MotionEye, vous pouvez changer entre autre la résolution de la camera et la fréquence d'image Vous pouvez accéder à la vidéo sans passer par l'interface avec mon_adresse_IP:9081 Voilà je vous laisse découvrir toutes les fonctions... Si vous avez des questions n'hésitez pas, par contre je n'ai aucun mérite, pour faire ce petit tuto je me suis inspiré de liens que j'ai trouvé sur le net https://raspberrytips.fr/installer-motioneye-sur-raspberry-pi/ https://github.com/motioneye-project/motioneye/issues/1022 https://github.com/motioneye-project/motioneye Au passage un petit merci à @fran6p qui m'a il y a un moment aidé dans mes premiers bidouillages sous Linux, comme on dit il m'a mis le pied à l'étrier Une dernière chose, dans l'état l'accès à MotionEye est juste sur un réseau local, si vous avez une idée pour l'ouvrir de l'extérieur, je suis tout ouïe car je n'ai pas encore potassé ça7 points
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Déjà, elle est énorme. Vraiment, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit aussi massive dans le coffre de la voiture… Bref ! Pour le déballage, rien de particulier, le grand classique à la Bambulab. Je ne vais pas m'étaler sur le sujet, tout est déjà très bien expliqué sur le wiki Bambu. Dans le 1ᵉʳ carton de pièces détachées, nous retrouvons la palette de couleurs, le support de bobine déporté, un "double" sachet de silice, 4 x PTFE de rechange pour l'AMS et enfin, la petite boite d'entretien machine ! (avec une buse de rechange !) Une fois déballée correctement et surtout tranquillement, je vais installer la machine dans mon bureau sur le plan de travail où se trouvent déjà les 2 x P1S. Premier constat : le plan fait 50cm de profondeur, la machine peine à passer dessus. Je suis obligé de tirer le plan et va falloir que je bricole un truc pour la goulotte à purge derrière la machine parce que je suis vraiment limité niveau place. Après avoir tout posé comme il faut, je démarre la machine, je lui laisse faire son étalonnage ~30 min. Ensuite, je branche l’AMS1 (le v2), puis sur la seconde tête, je branche un AMS2 (un gen.v1), j’insère une bobine dans chacun d’eux et je lance la calibration des AMS. La machine vient chercher le filament dans le 1ᵉʳ AMS et l’envoie jusqu’à la tête 1. Puis recule et relance la même étape sur la tête 2. Une fois terminé, nous avons accès à ce petit panneau de contrôle plutôt sympa. Au moment où je vous écris, la machine est en train de faire des mises à jour. Une fois terminé, je ferai une pièce test. Les trucs que je trouve dingues : La taille des axes ! La taille du plateau ! La qualité de la caméra ! La luminosité (d’origine sans kit led tuning) dans le caisson ! l’écran (pour les X1C/A1, je pense qu’il n’y a pas grand changement ; pour moi qui tourne sur P1S, c'est une nouvelle vie !) La suite au prochaine épisode ! Bonne soirée7 points
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Le prix augmente dans ma tete à chaque poste sur cette machine.7 points
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comme je le disais c'est assez méconnu et pourtant on obtient de merveilleux résultats, tu imagines bien que tous cela se calcule mais pour te donner un ordre d'idée on a au boulot des outillages en nylon carbone montées sur des presses hydrauliques de 150 tonnes pour former des tôles sandwich aluminium et composites de 4 mm d'épaisseur et 1 m de large pour le plaisir une petite vidéo7 points
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comme en ce moment je lis absolument tout ce qui sort sur la K2+, je suis tombé sur cet article qui date du 24 décembre 2024 qui confirme encore une fois qu'il ne faut jamais travaillé un jour de réveillon il s'agit d'une comparaison, je vous laisse apprécier l'objectivité de la chose et la véracité des informations ...7 points
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Progression actuelle sur ce qui est déjà fonctionnel sur les K2 : Fluidd (dernière build) sur le port 4408 et patch pour le flux natif de la caméra Mainsail (dernière build) sur le port 4409 et patch pour le flux natif de la caméra Flux WebRTC de la caméra sur le port 8001 Implémentation de SCREWS_TILT_CALCULATE pour ajuster correctement le plateau Script pour l'installation de Entware qui permet d'installer des packages Factory Reset via socket7 points
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Montage à blanc sans l'électronique, j'ai une pièce à réimprimer, j'ai un insert qui tourne dans le vide avec une vis bloquée dedans (c'est ma faute, j'ai visée la vis de travers...) et je vais surement réimprimer les cages qui maintiennent les rotules des "doigts" très légèrement plus petite (99%) pour avoir un maintient plus ferme, la ça bouge même visé à fond.7 points
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Etes-vous d'accord avec notre sélection pour élire la meilleure imprimante 3D 2024 en catégorie FDM (filament) ? https://www.lesimprimantes3d.fr/meilleure-imprimante-3d-fdm-filament-2024-20241217/7 points
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