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Posté(e) (modifié)

le lien que j'avais oublié de mettre Printdry

pour les plus anciens dans l'impression 3D, Printdry avait sorti ça en 2017 via Kickstater

image.thumb.png.cd6f1578572022cc47293dcf0ab0abb3.png

Modifié (le) par pjtlivjy
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Posté(e)

De mes souvenirs, Printdry étaient les premiers à avoir vendu un sécheur de filaments. C'était un déshydrateur d'aliments modifié pour accueillir une ou deux bobines. Il était possible avec leur matériel d'imprimer tout en séchant.

🙂

Posté(e) (modifié)
il y a 41 minutes, fran6p a dit :

De mes souvenirs, Printdry étaient les premiers à avoir vendu un sécheur de filaments. C'était un déshydrateur d'aliments modifié pour accueillir une ou deux bobines. Il était possible avec leur matériel d'imprimer tout en séchant.

🙂

j'ai ce souvenir aussi et à l'époque ça paraissait high tech 😉 c'était aussi une campagne Kickstater de 2016

 

Capture d’écran 2024-12-30 à 14.58.19.png

faudra que je recherche ou je l'ai rangé mais je n'ai pas souvenir d'avoir imprimé avec 

il y avait ces préconisations de fournies avec

 

Capture d’écran 2024-12-30 à 15.01.30.png

Modifié (le) par pjtlivjy
Posté(e)

j'encourage les participants à mettre ici des exemples perso ou collecter sur la toile avant / après séchage 😉 pour permettre à tous lecteurs de réaliser l'utilité du séchage et de reconnaître également des défauts d'impression lié à un filament non sec

il serait intéressant d'indiquer les conditions de séchage

voilà le cas d'un TPU de chez Extrudr plutôt souple puisque d'une dureté shore 85A

il a nécessité 3 heures de séchage à 60 degrés

Capture d’écran 2024-12-31 à 08.08.59.png

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Posté(e)

Très bon exemple. J'avais posté un commentaire à ce sujet sur Printables https://www.printables.com/make/532252

J'en parlais (écrivais) également là :

Depuis je sèche systématiquement mes bobines de TPU et imprime avec la bobine dans le sécheur

Ici ma dernière impression en TPU Fillamentum Flexifill TPU 98A (Le pneu pour une roulette de valise) sur la PS1 avec la bobine dans mon sécheur Sunlu :

Tire.thumb.jpg.be884bd590af09217fd440e80f1545cb.jpg

A=

JC

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Posté(e) (modifié)

merci @jcjames_13009 pour ton retour d'expérience 👍

alors on va continuer certes sur un matériau un peu moins courant mais qui n'aime pas non plus les ambiances tropicales, le PMMA

l'impression filament non étuvé à gauche (vous l'aviez tous reconnu🤣) et étuvée à droite pendant plus de 6h h à 80 degrés

entre celui du milieu et celui de droite, juste un changement de hauteur de couche 😉

Capture d’écran 2024-12-31 à 17.13.54.png

Modifié (le) par pjtlivjy
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Posté(e)

Le Petg filament connu pour faire du stringing. Souvent on va essayé de régler la rétractation et pourtant là aussi un filament sec tout simplement fera la différence 😉

Sur ces photos, les filaments avaient été stocké dans une ambiance particulièrement humide (RH > 85 %) résultat il aura fallu 6 h à 65°C.

image.thumb.png.6b2dbf12f929fef25b064a8c09ea006f.png

image.thumb.png.36d4d2598488634193fb86f30d0e22ac.png

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Posté(e)

Inintéressant, je n'aurais pas attribué le stringing au PETG. Du coup, avant une prochaine impression au PETG, hop, passage au sécheur !

Merci @pjtlivjy

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en fait @2cv001 l'humidité de manière générale influence toutes les matériaux et ça nous le savons pourtant, viendrait il à l'idée d'un menuisier de travailler un bois humide 😉 une fois que l'on regarde les choses sous cet angle on en fait un préambule à toute impression

bon allez faut que j'aille soigner mes rhumatismes, il fait humide aujourd'hui 🤣 

 

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Posté(e)

voilà du nylon, plus exactement du PA6

mais avec cet exemple on entre dans quelque chose de plus subtils puisque contrairement aux exemples précédent les 2 filaments ont été séchés pendant 24 h mais pas à la même température 😉

à gauche 65° degrés et à droite 85 ° degrés

pour information, m'appuyant sur les résultats des tests fait au boulot, je sèche le nylon suivant le type et la marque entre 90 et 95 degrés

et là on se trouve face à un sacré problème 😵‍💫

on trouve toutes les températures et tous les temps de séchage, personne n'est d'accord alors certes on peut accorder plus de crédit à certaines sources mais là aussi ça ne simplifie pas les choses et il faut s'en remettre à ses propres tests et mesures

il faut rappeler une règle élémentaire, sécher un filament à 60 degrés pendant 4 heures n'est pas l'équivalent d'un séchage à 40 degrés pendant 6 heures !

surtout qu'il ne faut pas perdre de vu que rater une impression avec du PLA à 10 € le kilo c'est une chose, jeter du PAHT-GF à 95 € le kilo ça commence à ressembler à un sport de riches 🤣

Capture d’écran 2025-01-01 à 17.37.34.png

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Posté(e)

Allonger la durée de séchage à 70°c peut suffire (mais pas avec une valeur trop basse, on est bien d'accord).
Bientôt on nous expliquera qu'il faut monter à 120°c ... (pour rappel, l'eau bout à 100°c sous pression normale)

Et le rôle de l'altitude qui fait varier la pression ??? 😇

Posté(e) (modifié)
Il y a 1 heure, RFN_31 a dit :

Et le rôle de l'altitude qui fait varier la pression ??? 😇

c'est bien pour cela que certaines étuves peuvent être mises sous vide et ça aide bien

Il y a 1 heure, RFN_31 a dit :

Bientôt on nous expliquera qu'il faut monter à 120°c ... (pour rappel, l'eau bout à 100°c sous pression normale)

il ne s'agit pas que d'une simple évaporation auquel la température d'ébullition ou de vaporisation de l'eau suffirait. L'humidité étant piégée en profondeur, il faut transférer assez d'énergie pour qu'elle arrive à s'extraire et à se vaporiser 😉

En chauffant au delà de 100 degrés on augmente la pression de l'eau et c'est ce qui lui permet de s'extraire du matériau

il faut nécessairement rester en deçà de la température de ramollissement du filament à sécher bien sûr.

un exemple concret, le PC ou polycarbonate se sèche entre 120 et 140 degrés !

Il y a 2 heures, 2cv001 a dit :

Mince ma sécheuse Creality ne monte qu'à 70°c max.

avec le développement des filaments techniques la quasi totalité des sécheurs n'atteignent pas des températures assez élevées, ils faut donc préparer les filaments autrement mais ces sécheurs gardent une utilité lors de l'impression, empêchant le filament de reprendre de l'humidité 😉

Modifié (le) par pjtlivjy
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Posté(e)

Ce qui m'a choqué, c'est ta notion de règle élémentaire... qui n'est pas si élémentaire que cela 😉

Posté(e)
il y a 2 minutes, RFN_31 a dit :

Ce qui m'a choqué, c'est ta notion de règle élémentaire... qui n'est pas si élémentaire que cela 😉

c'est à dire ? comme tu le dis on sent bien intuitivement qu'il faut se rapprocher du point d'ébullition mais on sait également que certains matériaux ne supporteront pas une telle température 😉 alors qu'elle est la bonne température

il y a certainement quand je m'exprime sur les matériaux un part de déformation professionnelle 🤣  

Posté(e)
il y a 27 minutes, pjtlivjy a dit :

avec le développement des filaments techniques la quasi totalité des sécheurs n'atteignent pas des températures assez élevées, ils faut donc préparer les filaments autrement mais ces sécheurs gardent une utilité lors de l'impression, empêchant le filament de reprendre de l'humidité 😉

A part mon four de cuisine (mais bon, je ne veux pas divorcer), si je fais :
sachet étanche + sachet dessicant comme stockage, et impression sous sécheur de filaments, ça marche ? Ou les sachet n'arrive pas à déshumidifier le nylon, juste à les conserver ?

Posté(e) (modifié)
Il y a 4 heures, 2cv001 a dit :

A part mon four de cuisine (mais bon, je ne veux pas divorcer), si je fais

on a tous les mêmes problèmes 🤣

Il y a 4 heures, 2cv001 a dit :

sachet étanche + sachet dessicant comme stockage, et impression sous sécheur de filaments, ça marche ? Ou les sachet n'arrive pas à déshumidifier le nylon, juste à les conserver ?

en théorie ça marche si le nylon n'a pas repris de l'humidité, les sachets n'arriveront pas à déshumidifier en profondeur mais on empêche la situation de s'aggraver

je vais faire une analogie avec la chaîne du froid pour l'alimentaire, tant que la chaîne du sec n'a pas été rompu on est bien 😉

Modifié (le) par pjtlivjy
Posté(e) (modifié)

Une première revue du sécheur de Sunlu E2 (modèle « pré-série ») :

 

Le prix pique tout de même pas mal 😞, même si en plus de pouvoir sécher les filaments, il est possible de les recuire. 20 min pour atteindre 100 °C, 40 pour 110 °C (pas vraiment linéaire 🤔) et une belle consommation électrique.

🙂

Modifié (le) par fran6p
Posté(e)

et voici un comparateur de filaments techniques (humide/sec ...) https://fiberon.polymaker.com/material-comparison/

il y a 43 minutes, fran6p a dit :

Le prix pique tout de même pas mal 😞, même si en plus de pouvoir sécher les filaments, il est possible de les recuire. 20 min pour atteindre 100 °C, 40 pour 110 °C (pas vraiment linéaire 🤔) et une belle consommation électrique. 🙂

ah oui ... c'est le prix d'une Q1 Pro 🤔

 

Capture d’écran 2025-01-02 à 18.22.15.png

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A ce prix là, autant essayer de trouver une petite étuve ou four "technique" qui permettra de sécher des filaments mais aussi faire autre chose comme sécher des pièces en tournage bois, ou faire sécher certaines colles ou vernis.

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Posté(e)

J'imprime souvent avec de l'ASA et j'envisage de passer au PC.

J'ai lu que le PC était plus sensible à l'humidité.

Habituellement, je sèche mes bobines avec le lit chauffant et un couvercle dans ma P1S, mais cela monopolise l'imprimante. Sinon, je les mets au four.

Pensez-vous qu'il serait plus intéressant d'investir dans un sèche-filament comme le Space Pi, qui revient souvent dans les recommandations, ou est-ce que le lit chauffant ou le four suffisent et font correctement le travail ?

 

Posté(e)

J'ai acheté récemment un Space Pi pour les raisons suivantes :

D'après ce que j'ai lu le four fonctionne si on le fait préchauffé avant, mais le laisser en route 6 ou 8h d'affiler, je trouve ça pas top et à mon age, un divorce n'est pas souhaitable et coute cher 😆 Et du coup, on ne peut pas faire de gâteaux pendant plusieurs jours par mois.

Le prix finalement n'est pas cher et c'est très pratique. Ca ne prend pas beaucoup de place et on peut finir de sécher tout en imprimant (pass essayer avec le four, mais un trou bien placé dasn le four et on doit pouvoir faire pareil. Comment ? ... Ha oui le divorce

Reste le lit chauffant. Là mon cerveau est encore branché CR10 et pas encore Q1 pro et sur ma CR10, je n'aimerait pas laisser l'imprimante en route pendant 8h juste poyr le Bed. A tord peut être, ,mais électriquement, j'ais eu des problèmes de jonctions de câbles qui chauffaient au point de cramer.

Posté(e)
il y a 52 minutes, electroremy a dit :

A ce prix là, autant essayer de trouver une petite étuve ou four "technique" qui permettra de sécher des filaments mais aussi faire autre chose comme sécher des pièces en tournage bois, ou faire sécher certaines colles ou vernis.

effectivement un four de laboratoire de 46 litres qui monte à 250 degrés se trouve neuf à partir de 450 € et permet plus de choses

il y a 35 minutes, Newton.m a dit :

J'ai lu que le PC était plus sensible à l'humidité.

Habituellement, je sèche mes bobines avec le lit chauffant et un couvercle dans ma P1S, mais cela monopolise l'imprimante. Sinon, je les mets au four.

Pensez-vous qu'il serait plus intéressant d'investir dans un sèche-filament comme le Space Pi, qui revient souvent dans les recommandations, ou est-ce que le lit chauffant ou le four suffisent et font correctement le travail ?

le sécheur permet de maintenir l'état du filament pendant l'impression et ton four si il est électrique est plus efficace que le plateau de l'imprimante surtout avec du polycarbonate qui se sèche efficacement à partir de 120 degrés

@2cv001

l'utilisation d'une imprimante pour sécher un filament pourquoi pas mais pas pour 1 seule bobine et dans le cas de nos Q1 Pro par exemple on arrivera au max à 65 degrés dans la chambre

Posté(e)

on continue les exemples, probablement le filament le plus utilisé le PLA

à gauche nous avons un filament qui pendant 3 jours a été dans une atmosphère à 70% d'humidité et à droite sécher à 55 degrés pendant 6 h

alors 70% vont dire certains ça n'est pas réaliste, en réalité si dans un garage, dans une pièce mal isolée la nuit, le matin on peut mesurer un tel niveau

 

 

Capture d’écran 2025-01-03 à 13.54.14.png

  • Merci ! 1
Posté(e)
Il y a 7 heures, pjtlivjy a dit :

alors 70% vont dire certains ça n'est pas réaliste, en réalité si dans un garage, dans une pièce mal isolée la nuit, le matin on peut mesurer un tel niveau

En été, quand il faut chaud et humide dehors et plus frais à l'intérieur (sans forcément avoir de climatisation) on dépasse très facilement les 70% d'humidité relative

Un sous sol utilisé comme atelier peut être très humide.

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