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Anycubic Kobra 3 Combo

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Contenu avec la plus haute réputation dans 09/07/2023 Dans tous les contenus

  1. Beaucoup de tests dans cet hebdo mais aussi des nouvelles de BambuStudio et de l'impression 4D métal ! https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-392-20230709/
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  2. Salutation ! Une photo du truc a peindre pour avoir une meilleur idée ? Si l'on parle d'une impression FDM, et que tu a bien appliqué une sous couche d’accroche ( un "Apprêt" ) pour colmater les petit espaces et fissures entre les couches, alors éventuellement regarder ce que peut donner un "Wash" ( en gros, c'est une peinture dilué pour la rendre très fluide, affin quelle se diffuse/s'étale dans les creux et fissures ) Dans la vidéo suivante un exemple de "Wash" fait avec de la "peinture a l'huile" noir dilué avec du "White Spirit" (on peut en faire avec de l'acrylique dilué a l'eau ou "paint thinner" adapté comme diluant Bien noter q'un "Oil Wash" (peinture a l'huile et White Spirit) se diffusera plus facilement qu'un "Wash" a base de peinture acrylique ) ... le "Wash" car très fluide, s’étale dans les creux. (mais forcement pour avoir un truc bien "opaque" il faut laisser sécher et éventuellement en mettre plusieurs couche et il y aura éventuellement nettoyer/repeindre les bavures... et avoir une surface préparé avec un "Apprêt" car le liquide va se diffuser dans le moindre creux en contacte ...)
    3 points
  3. Salut, tu peux, par exemple, installer une SKR E3 mini V2 (ma préférence car possibilité d'utiliser une extension du lecteur µSD) ou V3. Tu auras des pilotes de moteurs silencieux et un microcontrôleur avec une mémoire qui n'est plus anémique. Ou alors, tu peux renvoyer ton CRtouch et acheter un BLTouch avec l'adaptateur pour carte Ender 3 8bits et peut-être le nécessaire pour installer le bootloader si il est absent. PS: n'hésite pas à ajouter le nom de ton imprimante dans ton profil, c'est pratique pour te répondre. (voir ce message pour plus d'explications)
    2 points
  4. Le connecteur n'est pas le seul problème, un BLtouch fonctionne sur la carte 8 bits d'une ender 3 avec un adaptateur qui se met sur la prise écran. Mais il me semble que le CRtouch ne fonctionne que sur les cartes 32 bits, les dernières ender 3 sont en carte 32 bits.
    2 points
  5. Non, les Pi3, 4 ne possèdent pas le mini-connecteur permettant d'ajouter une antenne. Sur ces matériels, c'est une antenne intégrée au PCB. Pour qu'elle fonctionne «au mieux» il vaut mieux éviter de recouvrir l'endroit où elle se trouve (certains boitiers métalliques bloquent en partie la réception). Il serait possible moyennant talents en soudure d’ajouter le connecteur sur un RPi (jamais tenté: talents insuffisants et vue plus adaptée même avec loupe de travail ). Seules les cartes Raspberry CM4 munies de la puce Wifi possèdent le mini-connecteur (dont je ne me souviens jamais du nom (pigtail ?)). Tu peux t'aider même si la tablette est différente de ce sujet de @Motard Geek :
    2 points
  6. @Model3D Tu as raison, c'est une valeur sure pour mettre dans un musée. Comme tu débutes ici, un petit conseil, évites de répondre à des messages d'il y a six ans qui n’intéressent plus personne même celui qui a écrit le message.
    2 points
  7. Je crois que non mais je ne suis pas un spécialiste de Java. @PPACest bien plus pointu dans ce domaine. Salutation ! Cela fait un moment que j'ai pas fait de serveur/client, en java et/ou JavaScript(JS), mais pour moi ( a l'époque ), Si l'on parle bien de ce qui se passe dans un navigateur (coté client), alors "Java" et "JavaScript" sont normalement indépendant et l'un n'a pas besoins de l'autre pour fonctionner. ( Aussi, coté client (dans un navigateur web), de nos jours, ll semble plus simple de tout faire avec du JavaScript.( Sauf quand on a besoin d'accéder a des ressources (du client) spécifique non accessible en JavaScript ) Car les navigateurs embarque de quoi interpréter et exécuter du "JavaScript". Alors que pour du "Java" il faut installer sur le client une "machine virtuelle JAVA" ( JVM ) ce qui donne un truc plus complexe et lourd a mettre en place, maintenir et sécuriser. )
    2 points
  8. Salut @greguy ! Subjectivement, elle est moins bruyante, ou plutôt, elle est bruyante différemment. Objectivement, je ne peux pas me prononcer, je mettrais une MK3s à côté pour comparer. Car là elles sont dans un placard de mon bureau, alors que la MK4 est sur une table en massif dans ma véranda (mais à fond les ballons elle arrive quand même à secouer cette table de 80kg ) L'input shaper n'est pas vraiment impactant sur le bruit, c'est surtout le profil d'impression plus rapide qui lui est associé qui rend la machine plus bruyante car elle bouge vite, et accélère fort. Mais dans des conditions équivalentes, le bruit de la MK4 est plus... feutré. C'est pas évident à décrire, les sons sont plus sourds (un comble ), quand ça "tape" ça fait "donk" là où la mk3 fait "kling". Ce sont globalement les mêmes bruits mais plus étouffés, amortis. Faut bien que ça serve tout ces bouts de caoutchouc et stickers thermique un peu partout. En parlant de thermique, j'ai testé le PC Blend (Prusament) afin de pousser un peu la hotend. Alors côté ventilateur heatbreak, c'est assez rigolo, on l'entend faire un petit yoyo. Même avec la buse à 275°C il tourne autour de 30 et 35% pour un heatbreak à 45°C. On peut dire que le refroidissement est efficace. Oui beaucoup de soleil au plafond... Mais l'écran reste bien visible en vrai. Fait intéressant, je l'ai vu (et entendu) monter à 50% lorsque la bande de soleil est arrivée au niveau de la tête. Faut dire que ça tape vite sous un plafond vitré. Du coup je me suis fait une remarque, je pense qu'il ne s'agit plus d'un ventilateur Noctua comme sur l'ancienne génération. Car quand il tourne à 50% on l'entend, contrairement à celui de la MK3 lorsqu'il tourne à 100%. La régulation de vitesse permet de le rendre silencieux tout en gardant la possibilité de souffler plus fort qu'un Noctua si besoin, dans un enclosure par exemple. Concernant l'impression du PC blend, j'ai fait quelques essais. Le plateau de bouchons RJ45 qu'on voit si dessus puis le même en ayant retourné les pièces et utilisé du support "snug". Je trouve rendu bien plus joli car la partie supportée est invisible une fois installé, et l'impression moins risquée. Pour l'aparté, ça se monte très bien sur mes switchs, parfait pour "bloquer" les ports sur des VLAN que je ne voudrais pas utiliser par inadvertance. Je ne compte pas m'en servir pour la soi-disant poussière (encore que sur un switch ventilé ça se discute), je préfère laisser le switch respirer. Et puis ça m'a donné une bonne excuse pour les faire en PC, je devais tester ce filament sur la MK4, et ça résiste bien à la chaleur tout en gardant son élasticité dans le temps. Du coup j'ai pu voir une chose étonnante, au début de la seconde impression, la buse bavait beaucoup (préchauffage à 250°C pour le homing avec du PC). Et lors de la phase de nettoyage de la buse, au lieu de faire deux ou trois petits points comme d'habitude, elle m'en a fait deux rangées : (La ligne de purge arrive après.) Ca prouve que le load celle est très sensible, et qu'il est capable de détecter que la buse n'est pas propre. Cependant, lors du levelling, j'ai eu tout le quadrillage de petits points, on en voit d'ailleurs deux juste au dessus des rangées sur la photo précédente. Ces points sont juste impossible à enlever avant l'impression. Mais une fois le plateau refroidi et nettoyé, ça ne laisse pas de trace. Mais clairement, il ne faut pas avoir peur de "rayer" son PEI lisse en frottant avec le côté vert de l'éponge. Du coup, j'ai refait une tentative, mais en modifiant la température de préchauffage, à 200°C, ce qui est suffisant pour avoir un PC mou mais qui ne bave pas. C'est une valeur au pif que j'ai déterminé d'après mon expérience. Et pour le coup, si on prend soin d'avoir une buse propre avant le homing, il n'y a plus aucune trace du tout, pas le moindre petit point sur le plateau. J'ai constaté la même chose avec d'autres filaments, et globalement je pense que Prusa à utilisé des réglages très conservateurs (fool proof) pour que le homing puisse fonctionner tout le temps, même avec une buse sale. C'était déjà quelque chose que l'on connaissait avec la MK3S, où la buse était préchauffée à la température d'utilisation avant de palper. Ca se corrige moyennant une toute petite modification du start g-code. Changement de buse Pour faire suite à l'interrogation de @jcjames_13009, voici comment on change de buse sur la nouvelle hotend de la MK4. J'ai suivi la procédure du manuel => https://help.prusa3d.com/fr/guide/comment-remplacer-la-prusa-nozzle-mk4_421215 On commence par "ouvrir" le ventilateur : Puis on enlève le capot supérieur, qui protège la LoveBoard : Ensuite on déconnecte la cartouche chauffante et la sonde de température : On desserre les molettes et on fait coulisser la hotend, en guidant les cables pour qu'ils puissent sortir de leur logement : Et voilà l'ensemble hotend : Ensuite on utilise les outils fournis pour démonter la buse : On dévisse à froid et la buse sort toute seule : Pour le remontage, on repend les mêmes étapes en sens inverse, pas besoin de serrer comme un dingue, il n'y a pas serrage à chaud ni de fuite possible. La buse est directement maintenue par les molettes. Le bloc alu est très bien maintenu par les cables rigides. Donc même si ça se desserre, ça ne peut pas tourner. Très ingénieux comme système, qui résout les problèmes de fuites et de précision. Son point faible se situe au niveau des molettes, si elles se desserrent, l'ensemble peut glisser verticalement. Vérifier le serrage de temps en temps, surtout après les impressions violentes (comme le bonkers benchy) semble être une bonne précaution. C'est rapide à faire, pousser le ventilo, checker les molettes, remettre le ventilo. Aucun outil nécessaire. En parlant des molettes, pour le remontage de la hotend je conseille de démonter complètement celle du haut, ça donne un accès bien plus aisé aux câbles : A bientôt.
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  9. je ne sais pas si c'est ce sujet, mais il est aussi question de l'impression bi/multi-colore notamment avec ta technique si j'ai bien compris.
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  10. @mich0111 SI tu veux que cela reste à la même hauteur, il est possible d'user d'une astuce. Il faut deux fichiers stl, Le premier, d'une hauteur de 0,2 mm, comporte le texte (en noir on dira) Tu l'imprimes en miroir afin que le texte soit à l'endroit quand tu retourneras la plaque.. Puis tu le recouvres d'une nouvelle pièce (en blanc) dont la première couche fait 0,3mm. Elle passe donc au dessus du premier objet qui est le texte. (Il faut bien sur que le plateau soit nickel et aussi parfaitement aligner les deux objets). On a déjà abordé le sujet ici mais je n'arrive pas à retrouver. J'éditerai mon message quand je trouverai à moins que qq'un retrouve avant moi Pour info, je me suis déjà fait des cartes de visite avec cette astuce. Il n'y aucun quasiment aucun relief.
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  11. Le refroidissement du filament se fait uniquement sur l'avant , ton défaut vient du manque de refroidissement. Ce problème est moins fréquent quand on imprime plus lentement mais avec la tablette Klipper, généralement les vitesses sont plus élevées. Seules solutions: imprimer moins vite (ce qui laisse plus de temps au filament pour refroidir) en perdant l'avantage d'être passé sous Klipper changer le refroidissement originel par d'autres modèles (sur cults3d, les modèles de Zuff ou sur printables d'autres modèles (ceux avec des 5015))
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  12. C'est bien de préciser BTT pi (tu avais utiliser le raccourci «pi» raison pour laquelle cela m'a «enduit» d'erreur ). Généralement il vaut mieux préciser le SBC utilisé (RPi, BTT Pi, MKS Pi, OrangePI, BananaPi, …
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  13. La «bonne» adresse du dépôt Github : https://github.com/CrealityOfficial/E3-Free-runs-Silent-Motherboard
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  14. Ca ressemble beaucoup à une V4.2.7 avec un microcontrôleur STM32F401RET6 d'après les photos de cette page, avec les pilotes en UART (d'après cette page) et peut-être avec une fiabilité accrue, même si je me méfie des infos commerciales. Il suffit de suivre l'adresse vers les sources: on a un joli "error 404" LOL
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  15. Si ça peut te rassurer, on est tous passé par cette phase Au bout d'un moment plus ou moins long, on arrive à mieux comprendre comment ça fonctionne, on prend de plus en plus d'assurance. On ne deviendra pas des experts mais des amateurs «éclairés» capables de se dépatouiller souvent seul ou à l'aide d'autres plus expérimentés. Même l'informatique reste un apprentissage (essais /erreurs) et ce n'est qu'en mettant les mains dans le cambouis (pas vraiment approprié car c'est plutôt propre comme environnement) que l'on progresse. En tant que procrastinateur «pro», je ne peux qu'approuver Bravo, maintenant tout fonctionne… Alors que le filament coule à flot
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  16. exactement du PLA, ça adhère sur n'importe quoi à partir du moment où c'est chaud (j’exagère évidemment ), c'est pas comme ton ABS de malheur . Je me dis que si on arrive à imprimer des pièces sur un plateau en verre, pourquoi pas sur un film transparent qui résiste à la température si il est prévu pour passer dans une imprimante laser avec son four à plus de 180°C
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  17. Alors le résultat était pas fou,mais en bassant de 10 degrés j'ai une nette amélioration, je vais faire une tour de température
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  18. Le klipper_mcu n'est à installer qu'une seule fois car il est lié au matériel SBC (le RPi) Ce n'est absolument pas normal que ton /us/r/local/bin soit vide. Normalement quand tout se déroule correctement en suivant la procédure décrite (en français) ici 1- Installer le service (daemon) 2- Construire et installer (compiler, «flasher» (voir le script flash-linux.sh qui effectue le travail de copie au bon endroit ( "#!/bin/bash # This script installs the Linux MCU code to /usr/local/bin/ " ) La documentation dit de faire un simple make flash … (sans sudo make …) car le Makefile «Linux» le fait pour l'utilisateur : Tester la présence du klipper_mcu dans /usr/local/bin Si en suivant la procédure, le fichier est absent, je soupçonne la carte SD qui accueille le système (OS). Ces cartes SD n'apprécient que moyennement l'extinction du RPi sans passer par la procédure shutdown (halt -h now). Juste par curiosité une raison particulière de ne pas avoir utilisé l'utilisateur habituel «pi» ?
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  19. J'ai fait le test et il à l'air de souffler au bon endroit
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  20. C'est moi ou les buses de la Creality K1 ressemblent terriblement à celle de la SV06 Plus ? Ce qui pourrait être une bonne nouvelle car on aura plus de choix et plus de marques qui en produiront. Surtout qu'actuellement Sovol semble en rupture !
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  21. Est ce que de simplement remplir le creux de peinture et laisser sécher ne suffit pas ? Ensuite je vois la solution d'imprimer en noir les premieres couches qui comportent le texte puis après de recouvrir de blanc. @hyoti a été plus rapide que moi a dégainer la réponse
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  22. Pourquoi pas faire un changement de filament (couleur) à la bonne hauteur de couche. Bon cela dépend de ton design et du style de lettre .
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  23. Le wifi en impression est une solution risquée. Pour regarder un film ou transférer des fichiers pourquoi pas mais se fier à ce système pour l'impression 3D avec les risques de sécurité inhérent je suis contre. En ce qui me concerne j'ai banni ce truc de chez moi, j'ai câblé toute la maison. Pour le BTT pi, qui a le même circuit wifi que le CB1, il est impératif de rajouter une antenne, sans cela la portée utile est de 1 ou 2 mètres en champ ouvert. D'ailleurs je crois que le pi est aussi livré avec une petite antenne comme le CB1. Il y a aussi le CPL mais ce n'est guère mieux que le wifi en sécurité de transmission. l'émetteur et le récepteur doivent être sur la même ligne électrique et sans barrette multiprise.
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  24. @fran6p Tu as raison pas besoin de Java pour faire tourner javascript, deux langages différents, du coup j'ai appris que javascript a été créé en 1995 pour Netscape 2.0 <HS> J'ai rangé mon vieux routeur WIFI rangemax netgear (ancêtre Mimo) quand les box se sont améliorées au niveau portée Wifi et administration, mais avec des switches à la place. <HS> @Poussin3D @fran6p Cet après midi j'ai remplacé la hotend de la S1 Plus par un creality heatbreak bimétal (Ti-Cu) 300°C, buse Cu plaqué. Pas de soucis, juste la petite modif adhoc du printer.cfg. en démontant la hotend du Sprite de la S1Plus, je me suis aperçu qu'il n'y avait pas de PTFE dans le heatbreak, donc apriori un full métal acier avec un diamètre d'entrée de l'ordre de 2.2 à 2.3 mm (pied à coulisse). Pas le même Sprite que sur la S1 ni que sur la S1 Pro. Pour le heatbreak j'ai mis de la Kryonaut thermal Grizzly comme pâte thermique. Elle est sensée résister à moins 250°C mais aussi à plus de 300°C Utilisable pour la résistance du corps de chauffe.
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  25. Je crois que non mais je ne suis pas un spécialiste de Java. @PPACest bien plus pointu dans ce domaine. <HS> Comme je l'ai dit (ou crois l'avoir dit) précédemment j'utilise ma Freebox en mode bridge, j'ai un «vieux» matériel qui me sert de passerelle / pare-feu (+autres joyeusetés) en entrée de mon réseau local (juste derrière la box), c'est ce matériel qui distribue le DHCP pour mes différents réseaux (quelques VLAN), la plage d'attribution dynamique est très restreinte (sauf pour le LAN Wifi «invité») cinq seulement. Tous les matériels se voient attribuer une IP statique grâce à l'adresse MAC des interfaces réseaux. Ainsi je vois précisément quels matériels sont présents sur les réseaux. </HS> Je soupçonne un soucis matériel avec le SonicPad (l'antenne interne n'est pas des plus puissantes). Pour savoir à quoi elle ressemble, on peut ouvrir le boitier ou se référer aux documents provenant de la FCC. Extrait d'un de ces documents PDF :
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  26. On est tous enclin à se plaindre quand on est pas satisfait. Mais je pense que c'est bien aussi de partager quand une prestation (bonne) et particulièrement notable. Creality vient de me rembourser 1 ans apres un scanner 3D que je leurs avais retourné. Il ne sont en rien responsable de ce délais, C'est le temps qu'il m'a fallut pour aller au bout du processus mis en place par la poste pour une "réclamation" et ce n'est qu'en arrivant à la dernière étape (le conciliateur), qu'ils ont fournit la preuve de livraison que je leurs ai réclamé à de multiples reprise (ou à défaut de faire jouer l'assurance que j'avais prise). Vue le temps écoulé, créality aurais put facilement m'envoyer bouler ou m'ignorer, mais ils m'ont remboursé rapidement après quelques échanges pour clarifier l'histoire. bravo à eux
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  27. Salut Vincent L'idée qui me vient en te lisant, c'est: Pour quoi faire ???? Après quelques années d'inactivité ... Si c'est juste pour suivre la mode, je trouve que ça fait cher le cadeau, mais si tu as les moyens ..... Si c'est juste pour faire les habituels pots de fleurs ou les miniatures de chats ou de chiens qui s'entassent sur des étagères voir dans les cartons, une Ender 3 suffira bien, au moins la recherche de réglages t'occupera un moment. Je fais du modélisme, j'ai toujours considéré l'imprimante 3D comme un outil, au service d'un projet, pas comme une fin en soit. A+
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  28. Hello, Petit compte-rendu du jour. En premier lieu, j'ai inséré la clé USB fournie une seule fois. Elle est démesurément trop difficile à rentrer, la force nécessaire ne permet pas d'être serein sur la longévité du port USB de l'écran. Après avoir suivi scrupuleusement le manuel de montage bardé d'avertissements, "ne pas serrer excessivement" ou encore "serrer gentiment mais fermement", j'ai eu trop peur d'arracher les soudures du connecteur USB. L'insertion dans un port USB de mon PC est plus aisée, mais tout de même bien plus ferme que d'habitude. J'ai donc immédiatement transféré le contenu de la clé d'origine vers une petite clé qui trainait sur mon bureau et que je sais réputée fiable. Après ce petit aparté, allumons la machine. Auto-test Ah, bonjour Jo Pour l'anecdote, le visage stylisé est reconnu par l'autofocus intelligent du smartphone L'auto-test commence par les ventilateurs. Puis par le test du capteur de force, c'est assez rigolo la première fois, d'aller tapoter volontairement la buse On a un décompte de 5 secondes, ensuite il faut taper. Ensuite les axes. Les axes X et Y vont en butée 0, puis butée max, alors que l'axe Z va en butée haute en forçant légèrement afin d'aligner le portique, puis redescend en butée basse. Je note dans ce test que la buse n'est pas préchauffée, il faut donc veiller à ce qu'elle soit propre pour permettre une détection précise du plateau. Ensuite les éléments chauffant, c'est la partie la plus longue. L'étape suivante est une partie spécifique au Nextruder, elle permet d'aligner l'engrenage planétaire, à refaire à chaque maintenance. Je n'ai pas pris les photos des sous-étapes, mais il s'agit de desserrer les trois vis du capot du Nextruder d'un tour et demi, puis de les resserrer comme indiqué sur l'écran lorsque demandé. Pendant ce temps l'engrenage tourne. Ensuite vient le test du capteur de filament. Ca peut paraitre perturbant, en réalité le filament n'est pas extrudé, ni même attrapé par l'extrudeur. Il s'agit simplement de confirmer la présence ou non du filament. Et enfin nous avons le résumé de l'auto-test. OK, ouf ! J'ai bien travaillé lors du montage. Encore un petit coucou de Jo. Autres nouveautés, il n'y a plus de "skew compensation" qui permet de rectifier le parallélisme. Jo explique cela par le fait que les pièces mécaniques sont usinées avec une très grande précision, et que c'est une étape superflue, on est dans l'erreur de mesure. Il n'y a plus non plus la fameuse étape du réglage du Z-offset, tant redoutée des débutants. Tout ceci fait que l'auto-test est très rapide à passer, et qu'il n'y a pas plus de calibration à faire, la machine est apte au service. Quelques menus Le menu principal. En réalité le tout premier menu à s'afficher, c'est le dernier gcode présent sur la clé USB, afin de l'imprimer d'un clic. Il faut donc annuler pour retrouver ce menu principal. Je ne montre ici que le menu des capteurs, bien fournis ! Les autres menus sont on ne peut plus classique, quelques réglages, les axes, les températures et les gcodes. Première impression On va attaquer par l'impression la plus rapide, le porte-clé, celui normalement présent sur les machines livrées montées. Quelques secondes après avoir cliqué, on obtient une prévisualisation. Oups, trop pressé j'ai oublié de mettre du filament La machine demande quel type de filament nous allons utiliser. Cela sert pour le chargement du filament, mais aussi pour vérifier que ça corresponde bien au gcode. Le type de filament est mémorisé par la machine jusqu'au prochain changement. A l'insertion, l'extrudeur attrape immédiatement le filament, sans attendre la chauffe. Ensuite il attend la chauffe. Pour enfin purger. Et demander si tout est OK. L'impression démarre finalement. Notez qu'il faudra attendre le refroidissement de la buse jusqu'à 170°C, puisque qu'on vient tout juste de charger le filament. Après quelques temps, on se retrouve avec la miniature de prévisualisation, n'affichant que le temps restant. Pas de photo ici c'est similaire à la photo de l'impression terminée juste après, avec la barre de progression orange. Cet écran est désactivable dans les paramètres. Voici la tant attendue première couche ! Après quelques minutes, impression terminée. Et voici le résultat, pas mal pour une première, sans avoir besoin de calibrer quoi que ce soit ! Première déconvenue Alors là, je vais vous faire part d'un des pires moments que j'ai du avoir à affronter avec une Prusa, hormis les délais d'attente et les reports. Suite à cette impression qui s'est déroulée sans encombre, j'ai eu un comportement très bizarre de l'écran. Il s'est mis à rebooter, des artéfacts, un flash blanc, puis reboot. Parfois l'écran qui tourne de 90° et rebelote. Il s'est mis à faire ça en boucle pendant une bonne heure où je me suis arraché les cheveux, reset, coupure d'alim, débrancher la prise, attendre quelques minutes que ça refroidisse, enlever la clé USB (j'ai fortement cru que j'avais dézingué quelque chose sur le PCB suite à l'insertion de la clé USB d'origine). La navigation à l'aveugle fonctionne toujours, et on peut même lancer une impression qui arrivera au bout sans ciller. Je recherche sur le net, github, forum prusa, je trouve pas de problème similaire. Il y a seulement un problème d'écran rouge au démarrage qui est connu de Prusa, qui peut arriver après la mise sous tension (et que j'ai observé plusieurs fois en effet). Puis je remarque que la version alpha du firmware corrigerait les problèmes de BSOD, je me dit, tentons. Je met à jour la machine, pas de problème, mais arrivé à l'auto-test, rebelote, et en plus avec un écran totalement noir. Bon je retourne la machine, je commence à inspecter mon câblage. Je ne vois rien de choquant, dans le doute, je débranche la nappe de l'écran, et je peux vous dire que ça clic bien à l'insertion, mais c'est pas fait pour être démonté... Bref, rien à signaler, je remonte, je rallume, pareil je fini sur mon écran noir, impossible de finir l'auto-test à l'aveugle. De là, je me dit que je vais rétrograder sur la dernière version stable, qui était celle d'usine (tout en envisageant de contacter le support). Et là, bizarrement, je crois que j'ai eu un seul reboot de l'écran puis tout est rentré dans l'ordre. Je ne pourrais pas confirmer que j'ai pas bougé les câbles entre-temps, mais ils sont tellement bien attachés qu'ils ont peu de liberté de bouger. Depuis, je n'ai plus jamais revu ce problème, et même en reflashant le dernier firmware alpha. Après un peu plus d'efforts de recherche, j'ai fini par trouver un topic sur le forum de Prusa qui décrit exactement ce problème, OUF je ne suis pas le seul. https://forum.prusa3d.com/forum/english-forum-original-prusa-i3-mk4-assembly-and-first-prints-troubleshooting/mk4-screen-goes-blank-after-some-time/ Maker's Muse a eu ce problème en live, à 26min15sec : A priori, cela viendrait de la proximité entre la nappe de l'écran et les câbles moteurs. Si jamais cela se reproduit, je saurai où chercher. Bref, ce problème m'a laissé un goût amer, et ne ressemble carrément pas à Prusa. Sur toutes mes machines précédentes, même en ayant les tout premiers modèles de production, il y a eu des soucis, mais pas d'un tel niveau, à rendre la machine inutilisable. Je sais qu'ils réagiront, mais ça donne carrément l'impression du produit sorti à la va vite, avec un firmware pas encore abouti. Je pense aussi qu'ils ont déjà dû rencontrer ce problème lors de leur million d'heures de test, le fil de terre qui court jusqu'à l'écran n'est pas là par hasard... Heureusement, j'ai eu le temps d'éprouver un peu la machine tout de suite après, et pour le moment elle regagne ma confiance, mais je l'ai à l'œil. J'ai d'ailleurs hâte de vous présenter la suite, mais je ne suis pas encore prêt. Patience.
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