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Contenu avec la plus haute réputation depuis 17/08/2025 dans Messages

  1. Salutation à tous. Merci pour vos messages. Mes excuses à tous, je suis resté déconnecté du forum pour des raisons de santé et de deuil. J'ai, il y a quelque mois, fait un infarctus du myocarde. Mise en place d'un stent en urgence pour rouvrir une coronaire, suivi plusieurs jours au service d'urgence cardiaque, 3 semaines au centre de réadaptation cardiaque Bois Gibert, des médocs à vie, une hygiène de vie a revoir, car j'en ressors avec une insuffisance cardiaque avancée. Donc, le Shadok que je suis, pompe encore, mais la pompe a un moins bon rendement et il faut la surveiller de près. Et j'ai eu la tristesse du décès de mon père quelques jours après mon retour du centre de réadaptation cardio. Bois Giberts. Forcement cela m'a mis un coup au moral et j'ai eu besoin de me couper du forum afin de prendre soins de moi et me recentrer. J'espère être bientôt de nouveau plus actif sur le forum, et je vous souhaite une bonne continuation tous.
    15 points
  2. Échauffement Le contenu du colis du «koikesse» ayant été découvert, je relaterai dans ce sujet ma découverte de cette imprimante, la Q2, avant de publier le test final sur le blog du site. En échauffement, un petit rappel : le colis pèse 24 kg, l'imprimante elle-même ne pesant qu'un peu plus de 18 kg. La marque Qidi est moins connue que d'autres constructeurs asiatiques. Elle n'est pas pourtant pas récente dans le monde de l’impression 3D puisqu’elle a entamé ses activités en 2014 sous le nom Qidi Tech devenu Qidi fin 2024. Qidi développe ses propres outils matériels et logiciels, par exemple un trancheur (slicer) maison dérivé de BambuStudio pour ses modèles les plus récents. Cette société possède un support technique spécialisé via un Wiki et également via une chaine Youtube. Sur le site de Qidi, la Q2 est présenté ici. C'est une imprimante «rapide» à l'instar des modèles d'autres constructeurs : vitesse maximale de 600 mm/s, accélérations de 20 000 mm/s². Les caractéristiques techniques sont décrites dans le comparateur du forum. Je rerprends ici les principales : SPÉCIFICATIONS Q2 Caisson fermé à chauffage actif Cinématique CoreXY Volume d'impression de 270x270x256 mm Températures maximales : 370 °C (buse), 120 °C (lit), 65 °C (enceinte) Compatibilité avec de nombreux matériaux, y compris les plus techniques Autonivellement à l'aide d'une jauge de pression située dans la tête d'impression Système de filtration de l'air 3-en-1 (préfiltre, HEPA, charbon actif) Wifi (2,4Ghz) et Ethernet Écran capacitif de 4,3" Caméra interne (surveillance, timelapses, détection des problèmes d'impression) Certifications (MET, IECEE CB, CE, …) Tous ces points seront bien évidemment testés et vérifiés lors du test. Comme la majorité des imprimantes rapides actuelles, Klipper est le firmware faisant fonctionner celle-ci. Trop souvent ce n'est pas la version pure («vanilla») de Klipper, mais une version modifiée par le fabricant, sans remise au pot commun de ces modifications, enfreignant la licence originelle GPL v3.0. Nous y reviendrons lors de l'examen du système d'exploitation et de l'écosystème Klipper utilisé. Pour rappel, Klipper se compose de deux éléments : un firmware installé sur la carte contrôleur, gérant uniquement les éléments matériels (unité de contrôle) «klippy» installé sur un Small Board Computer (SBC), en français, on parle d'ordinateur monocarte, chargé lui de l'impression (unité de calcul) Pour plus de détails sur Klipper je vous renvoie à ce sujet du forum. Déballage Le Wiki de Qiditech permet d'accéder à un document texte accompagné de photos ainsi quầ une vidéo de déballage : À l'intérieur du carton, se trouvent deux manuels papier, un plus complet en anglais d'une dizaine de pages, le second plus succinct en six langues (Anglais, Chinois, Italien, Français, Espagnol et Allemand), quatre pages par langue (à noter que le titre de la première page du français est en italien «introduzione alla stampante» ). Quelques photos L'ouverture du carton donne accès au manuel, à la vitre supérieure, le support de bobine, le carton contenant l'écran et la clé USB : Ce premier étage de polystyrène est bien protégé aux quatre coins, une fois celui-ci extrait, on aperçoit la Q2 dans son emballage plastique. Une étiquette nous explique comment sortir l'imprimante du carton : Ne reste plus qu'à sortir l'imprimante de l'emballage plastique et retirer les dernières protections (encore du plastique) : Au fond du carton se trouvent deux petites boites (tool box 1 et 2) : La boite 1 contient un câble Ethernet de 2 m, une clé plate de 7, un jeu de clé Allen (1,27/1,5/2,0/2,5/3,0) et quelques pièces de remplacement (coupe-filament, essuie buse, fusible). L'autre boite (2) contient le câble d'alimentation secteur, un tournevis plat, une spatule, l'axe support de bobine et un échantillon de filament (20 g) : Avant de poursuivre, un examen du capot arrière m'intrigue. Une étiquette indique que cette imprimante est configurée pour fonctionner sur la tension secteur 220-240 V. L'alimentation ne serait donc pas auto-configurable comme sur la plupart des concurrentes ? L'accès à l'alimentation au-dessous de l'imprimante le confirme. Il est de ce fait préférable de bien vérifier que la tension a bien été paramétrée : Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Il me reste à monter l'imprimante jusqu'à mon bureau à l'étage, lui trouver une place, la brancher et lancer les premières impressions… ce sera l'objet du prochain article. À suivre… bientôt.
    10 points
  3. Tout est en ligne pour connaitre les détails de la Qidi Q2 et ses tarifs : 499 € la Q2 seule 649 € la Q2 Combo avec 1 Box Déduisez 5% grâce au code promo "QIDI-LI3D" sur la boutique Qidi Tech !
    7 points
  4. 6 points
  5. Personne ne s’est encore lancé dans la fabrication d’un vrai sécheur à bobines ? Je ne parle pas d’une simple boîte avec du dessicant pour assécher l’air ambiant, non, une vraie box active, avec chauffage intégré et tout le bordel. Bon, ben… je me lance. Ça fait des mois que ce projet traînait dans un tiroir, avec les pièces achetées et tout. Mais bon, la flemme, hein. Pas envie. Jusqu’ au jour où l’envie m’a pris comme… une envie pressante, quoi. Au départ, je voulais partir d’une boîte plastique du commerce mais vraiment trouvé ce que je voulais, alors j’ai tout fait de zéro. Matériel : Pour la boîte, je suis parti sur une plaque de Styroflex 1000×500 mm en 2,5 mm d’épaisseur, des cornières en PETG et du double face industriel pour l’assemblage. Pas n’importe lequel : du double face en rouleau de 31 cm, ultra-collant et résistant (toile tissée). Au début, je voulais juste réguler la température via une sonde, comme 90 % des boxes basiques du commerce. J’avais même acheté un module W3230, bien pratique, qu’on trouve partout. Sauf que… en cherchant le manuel pour proagrammer ce truc, je suis tombé sur un autre module bien plus marrant : le HX-M452. Lui, il gère à la fois la température et l’hygrométrie. Un truc très utilisé en Asie pour les couveuses, apparemment. Ni une, ni deux, j’ai switché. J’ai opté pour une box capable d’accueillir deux bobines. Dimensions : 250×210×250 mm. Comme d’hab, le plan est dans ma tête, pas de dessin au millimètre, pas de perte de temps à tout dessiner de A à Z. Et comme d’hab aussi, je me plante régulièrement. Je recommence trois fois les cornières en PETG, et puis tant pis. À mon âge, je change pas mes méthodes, je fais à l’arrache, et ça me va très bien comme ça. Les bandes de double-face coupé a la largeur des corniers J’ai découpé le Styroglass au cutter, rien de sorcier. Sur les quatre côtés, j’ai collé le double face à la largeur des cornières en petg. En théorie, sans mes traditionnelles conneries, ça m’aurait pris deux heures . En pratique ? J’y ai passé la journée. Pour une boîte... Le vrai souci, c’est qu’une fois la boîte montée, plus le droit à l’erreur. Et là, panique à bord, comment intégrer proprement le module ? Où placer les aérations sans tout faire péter ? Un trou mal placé, un coup de perceuse trop enthousiaste, et le Styroglass se fissure comme un biscuit sec. Un bon séchage sans aération active, ça n’existe pas. Franchement, je comprends même pas qu’on puisse vendre des boxes qui se contentent de laisser l’air humide stagner à l’intérieur. L’efficacité ? Douteuse, pour ne pas dire inexistante. Ma box, elle, va respirer, extraction forcée de l’air humide, point final. Bon, après le merdier des découpes et des trous, j’ai enfin réussi à intégrer la ventilation et le module. Je vous épargne les détailles, disons juste que ça a impliqué quelques jurons, un peu de bricolage créatif, et une prière pour que le Styroflex tienne le coup. A SUIVRE...
    6 points
  6. Bonjour, Je pensais ne plus trouver grand chose d'original en électronique... Mais voici trois projets d'horloges assez surprenants, créés dans le cadre du challenge "One Hertz" du site Hackaday https://hackaday.io/project/172231-the-electromechanicalanalogdigitalclock/details https://hackaday.io/project/202170-bezicron https://hackaday.io/project/203763-deriving-1-hz-from-candle-flame-oscillations Il y a plein d'idées originales et d'astuces. J'aime bien celle consistant à faire tourner un moteur pas à pas d'un tour par seconde en l'alimentant juste avec le secondaire d'un transformateur et deux condensateurs. A bientôt !
    6 points
  7. Premiers ressentis L'imprimante a trouvé sa place dans mon bureau. À côté de «grosse Bertha» (ma XMax3 libérée), elle paraît toute petite : Esthétiquement, je la trouve jolie avec sa combinaison de coques plastique «aluminium anodisé», verre (porte/capot) / plexiglas (façades des côtés) teinté en bleu/violet. La façade arrière, elle aussi en plastique, est de couleur noire. L'écran, une fois installé, peut s'incliner légèrement de 45° vers l'arrière. Les deux tiges filetées trapézoïdales sont couvertes de graisse (aucun risque qu'elles ne s'oxydent même après un long séjour en milieu humide ) : Après plusieurs montées / descentes du plateau, il va falloir penser à retirer ces surplus : Le bas du caisson est muni d'une échancrure, ce qui facilitera le nettoyage des résidus de filaments tombés au fond (la Xmax3 n'en était pas munie, pire, il y avait un creux à l'avant qui accumulait les scories ). Une sérigraphie sur le capot indique qu'il peut coulisser vers l'arrière pour faciliter l'impression de filaments comme le PLA et le PETG, sans devoir le retirer complètement. Des verrous permettent d'éviter que ce capot ne bascule. Étant en verre, sa rencontre avec le sol lui serait sans doute préjudiciable. Sous le capot, sur le pourtour de la coque plastique est collée une bande d'étanchéité, de même pour la porte (exceptée au niveau de l'échancrure). Ces bandes d'étanchéité devraient réduire les déperditions caloriques. Un article ultérieur reviendra sur les éléments utilisés sur cette Q2. Mise en route L'imprimante est installée. Les films plastiques protégeant les plexiglas des côtés, de la porte et du capot (il est protégé sur chaque face) retirés, il reste à brancher la fiche secteur (j'ai vérifié, malgré la présence du sticker sur l'arrière indiquant que cette imprimante est paramétrée pour du 230V, que le sélecteur de tension sur l'alimentation est bien positionné) et le câble Ethernet relié à un de mes switchs réseau. Qidi via son Wiki montre le déballage (vidéo + texte avec photos). C'est parti, l'interrupteur d'alimentation passe de O à I, l'écran s'allume sur le logo Qidi. Après une grosse minute, celui-ci est remplacé par l'écran de choix de la langue d'affichage. Je reste dans un premier temps en anglais (les traductions en français laissant parfois à désirer). Une fois la langue sélectionnée, un didacticiel prend en main l'utilisateur en lui montrant les manipulations à faire. retirer les quatre vis immobilisant le plateau au fond du caisson valider via l'écran le retrait des vis, le plateau s'élève permettant d'ôter les cales de mousse au-dessous débloquer la tête et l'axe X en coupant les colliers Rilsan enlever le carton de protection de la tête, libérer l'axe X en retirant la cale de mousse, finir en introduisant le tube PTFE sur la tête Une fois validées ces manipulations sur l'écran, un ensemble de tests et vérifications sont effectués test de chauffe de l'extrudeur test de chauffe du lit test de chauffe et ventilateur de l'enceinte test du ventilateur de refroidissement test du ventilateur de refroidissement auxiliaire test du ventilateur d'extraction d'air auto-nivellement compensation de résonances (input shaping) Pour un débutant, le bruit engendré par ce test peut faire «peur». Rien d'anormal, le laisser aller à sa fin . Une fois ce dernier test réalisé, valider pour avoir le dernier message de félicitations L'ensemble de ces vérifications, tests prend une bonne quinzaine de minutes. Seuls l'auto-nivellement et la compensation de résonances seront à refaire de temps en temps. En résumé, à partir d'un extrait de la vidéo de déballage de Qidi, j'ai fait une image animée rappelant ces étapes (on peut apercevoir au tout début du didacticiel les étapes montrant comment retirer la QidiBox de l'intérieur de la Q2 quand le modèle est la Q2Combo) : L'imprimante est prête à imprimer. Dans un premier temps, j'utilise les gcodes pré-tranchés enregistrés dans la mémoire de l'imprimante. J'utilise un reste de filament d'une vieille bobine de PLA Eryone Galaxy silver (gris) juste stockée dans un sac hermétique avec un sachet de dessicant. Test du Benchy (annoncé pour dix-sept (17) minutes d'impressions, il a fallu plus de ving-cinq minutes en ajoutant la phase (longue) de mise à l'origine, nettoyage de la buse, auto Z, nivellement, …). Le résultat ne présente pas de défaut majeur (je referai des photos rapprochées plus tard) : La vidéo timelapse : On continue par le torture-test KickStarter : Je n'ai pas encore calculé le score total des différents tests, mais hormis pour certains pontages qui se sont affaissés, les autres parties sont très bonnes. Et on termine aujourd'hui par le cube Voron. Là encore qualitatif. En résumé de ces premières impressions, aucun problème de nivellement, la buse est parfaitement nettoyée de toute scorie (mais ça prend du temps). Les pièces se sont imprimées sans se décrocher et une fois le plateau redescendu sous les trente (30) degrés, elles se sont décollées facilement. À bientôt pour la suite (qui arrivera bientôt )
    6 points
  8. Bonjour à tous, Impression de ce printemps, une cox en mode buggy RC, 3s, full PLA, entièrement fonctionnel.
    6 points
  9. Normalement tu peux faire une réduction mais te dire quel pourcentage c'est difficile, par contre bien vérifier que tu appliques le même pourcentage à toutes tes pièces Par contre je préfère lorsque je créé des pièces qui s'emboite, l'astuce que j'utilise pour vérifier l'emboitement c'est de n'imprimer que la partie des pièces que je veux contrôler
    5 points
  10. Qui est en mauvais état ? l'imprimante ou l'ami ? Zatiz ze kesstion.
    5 points
  11. Je ne veux pas savoir ce qu'il fait avec les Hobbits...
    5 points
  12. Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit mais y'a de l'idée. Je pense qu'il y a deux moyens de faire vivre un projet OpenSource : le dévouement et le mécénat. Pour le premier, solo ou communautaire où il n'est pas question d'argent ça peut être une équipe de passionnés par un projet, qui ne pense qu'à en faire profiter la communauté sachant pertinemment qu'ils n'en feront pas de business suffisant pour en vivre ça peut être également des jeunes qui vivent encore chez papa maman, qui développent sans compter leurs heures de codage nocturne avec pour seul objectif d'apprendre et de relever des défis Pour le second, ce sont des entreprises qui payent des employés pour écrire du code OpenSource, dont le patron adhère lui-même à cette philosophie. C'est à double tranchant car les concurrents en bénéficient aussi. On le voit très bien dans les imprimantes 3D à tous les niveaux, mécanique, firmware, slicer... Dans les deux cas l'OpenSource c'est un état d'esprit qu'on a ou qu'on a pas. Lorsqu'on l'a, il est difficile à maintenir devant les "injustices", mais dont on sait dès le départ qu'elles nous pendaient au nez. Pour le pékin moyen, l'OpenSource est bien souvent la première option. Dans ce cas là ça ne peut être qu'une activité secondaire, il faut bien payer ses factures pour vivre. Or après quelques années de vie active, on commence à voir le temps comme des euros et le temps libre coûte cher. Beaucoup font le constat que ces heures "travaillées" gratuitement pourrait être payées. Ajoutons à cela ceux qui font de l'argent sur ton propre travail alors que toi rien, et on arrive ici. La seconde option c'est l'entreprise qui fera du business grâce au projet OpenSource, ça permet au développeur de payer ses factures en produisant de l'OpenSource, tout en ayant la possibilité de bénéficier des contributions de la communauté. C'est un plan gagnant-gagnant à tous les niveaux entreprise/employé/communauté/projet si toutefois l'entreprise ne se fait pas bouffer par la concurrence qui piochera grassement dans le travail commun. Bien sûr tout n'est pas blanc ou noir, il y en a toujours qui arrivent à faire un peu de business de leurs productions, mais de là a en vivre c'est un autre métier... Pour en revenir à mon intervention, je suis dans la catégorie pékin moyen. Je fais toujours de l'OpenSource mais je n'y passe plus des nuits blanches comme lorsque j'étais jeune. Tout au plus je contribue à un bugfix ici ou là. En revanche je favorise toujours l'OpenSource lorsque c'est possible en perso comme en pro, on ne se refait pas.
    5 points
  13. Moi, je trouve ton résultat très bon dans notre monde d'amateur
    5 points
  14. Un jeune homme se présente dans un drugstore ou l'on vend de tout, pour un poste de vendeur. Le responsable du magasin lui demande : - Avez-vous déjà eu des expériences dans la vente ? Le candidat répond : - Tu m'demandes à moi, si j'connais la vente ? J'ai tout vendu dans la boutique de mon oncle. Le chef, plutôt amusé, décide de le prendre à l'essai pour la journée et, le soir même, revient le voir pour lui demander ses résultats. - Combien as-tu fait de ventes ? - Une seule. - C'est pas très brillant ça, et une vente de quel montant ? - Seulement 200 000 Euros... Le chef estomaqué, demande quelques explications, et le vendeur raconte : - Un mec s'présente et j'lui ai vendu un hameçon, puis une p'tite canne à pêche au lancer et une série de mouches. Eh, l'moyen d'faire autrement, tu peux pas pêcher sans l'minimum de matériel. Ensuite j'lui ai vendu une grande canne à pêche avec la ligne et les bouchons et un moulinet, jamais t'en a vu un pareil. Tu pourrais remonter Moby Dick avec. Après j'lui ai vendu l'équipement avec les bottes, le ciré et l'bob pour pas qu'il ait honte devant les autres pêcheurs. Parce que avec sa canne toute neuve, s'il a pas l'équipement, y va passer pour un plouc. Et mes clients, y peuvent avoir l'air de cons mais pas d'ploucs. Et puis, j'lui ai demandé ou y comptait aller pêcher et y m'a dit : Près de la côte. J'lui ai dit qu'y ferait bien d'acheter un bateau. Alors, j'lui ai vendu un hors-bord 12 mètres avec deux moteurs pour l'prix d'un. Après, j'lui ai demandé comment il allait s'debrouiller pour amener le hors-bord près d'la côte. Y savait pas répondre. Tu t'rends compte ? Alors j'lui ai recommandé d'acheter une Mercedes nouvelle série et une remorque pour tracter le hors-bord jusqu'à la côte. On a fait les comptes et ça faisait 207 000 Euros, j\'y ai fait un prix à 200000 Euros et il a signé. Le chef n'en croit pas ses oreilles : - Tu as vendu une Mercedes à quelqu\'un qui venait pour acheter un hameçon ? - Pas vraiment. Le client y venait acheter une boite de tampons pour sa femme, alors j'lui ai dit : Puisque ton week-end est foutu, pourquoi t'irais pas à la pêche ?
    5 points
  15. Composants matériels La structure est constituée d'un solide cadre acier associé à des parois en matière plastique. Une porte et un capot en verre fumé bleu/violet complètent l'habillage. Ces parois plastiques incorporent un retardateur de feu, d'après le fabricant. Cinématique CoreXY La tête d'impression se déplace dans le plan à la fois en X et en Y, les deux moteurs agissent de conserve. Plus d'explications techniques à propos de la cinématique CoreXY ici. Les avantages théoriques de cette cinématique CoreXY : espace réduit (le lit chauffant ne se déplace que de haut en bas), structure cubique permettant de fermer celle-ci afin d'obtenir une enceinte étanche, les deux moteurs pas à pas se complètent pour réaliser les mouvements X/Y, rapide et précis lorsque utilisé avec une tête d'impression légère Mais peut aussi présenter quelques inconvénients : la tension des courroies est critique, nécessite un cadre parfaitement rigide et d'équerre, le système de poulies et la longueur du cheminement des courroies La tête d'impression est située sur l'axe X, un rail de guidage (MGN12) permet les déplacements (gauche - droite) : Cet axe X est guidé sur l'axe Y via une tige linéaire de diamètre 8 mm associée à une douille à billes LMU8UU (une tige et douille de chaque côté). Le déplacement de la tête utilise des courroies de 7 mm de pas 1,5 mm assurant d'après Qidi plus de précision et moins de phénomène de VFA. Ces courroies peuvent être retendues si nécessaire (voir le Wiki de Qidi pour les explications), après avoir dévissé un peu (pas complètement ) les quatre vis pour chaque moteur, on déplace la tête suivant le parcours préconisé puis on resserre toutes les vis. Chacun des tendeurs est muni d'un ressort assurant la bonne tension. Plateau d'impression Le plateau chauffant (24 V) est constitué d'une plaque d'aluminium de 3 mm recouvert d'une base magnétique. Il peut atteindre la température maximale de 120 "C. De chaque côté, celui-ci est guidé par deux tiges linéaires de 10 mm associées à des douilles à billes LMU10UU. La montée / descente est réalisée par une vis trapézoïdale également de diamètre 10 mm. Un tour complet monte / descend le plateau de 4 mm. La vis mère est de type T10/4 (pas de 2 mm, 2 filets). Le paramètre rotation_distance de la section [extruder] du fichier printer.cfg, a pour valeur 4 (pas_vis * nombre_de_filets), elle permet d'atténuer la descente du plateau lorsque les moteurs Z ne sont plus alimentés. Un moteur pour chaque tige trapézoïdale permet d'ajuster de manière indépendante l'inclinaison de plusieurs moteurs Z. Cet ajustement est réalisé au départ de chaque nouvelle impression (Z_TILT_ADJUST), contribuant à une meilleure adhérence. Le maintien de la plaque de tôle flexible et amovible sur le plateau chauffant se fait en la positionnant sur la plaque magnétique collée sur le lit chauffant. Le support du plateau est muni à chaque coin arrière de rebords assurant le centrage de la tôle. Au cas où l'utilisateur oublierait de repositionner la tôle recouverte de PEI, un rappel est inscrit sur la base magnétique. Rappel qu'il vaut mieux respecter afin d'éviter toute déconvenue . Sous le plateau chauffant, il n'y a aucun isolant thermique. Cela permettrait d'assurer une répartition plus homogène de la température. Les déperditions caloriques contribuent toutefois au chauffage interne du caisson. Ventilation De nombreux ventilateurs permettent le refroidissement ou l'évacuation de l'air interne. À l'intérieur de l'enceinte, trois ventilateurs : Un axial 8025 à l'arrière, permet d'évacuer l'air «vicié» à l'extérieur du caisson. Un filtre HEPA+charbon actif filtre les émanations( Wiki, comment le remplacer). Il est possible de monter un conduit d'évacuation vers l'extérieur, les trous de fixation d'un adaptateur préexistent : Sur le côté droit, le ventilateur de refroidissement du filament auxiliaire, probablement un radial de 120 mm (pas eu le courage de le démonter ) Sur le côté gauche, le ventilateur de chauffage de l'enceinte (un radial de 92 mm). Il aspire l'air en haut et le rejette en bas créant un flux de circulation À l'arrière, la carte contrôleur est refroidie par un petit ventilateur axial 4010 fixé sur la paroi. Celui-ci est régulé par la mise en marche des pilotes de l'axe Z. Comme Qidi, les active dès le démarrage de la machine, il souffle tout le temps Sous l'imprimante se trouve l'alimentation munie d'un ventilateur, non régulé. Il souffle constamment. Les derniers ventilateurs sont situés dans la tête d'impression. Un 5015 radial pour refroidir le filament et un 2510 axial refroidissant le radiateur. Tête d'impression (extrudeur / tête de chauffe) La tête d'impression de cette Q2 est plutôt compacte : 54 x 88 x 120mm (largeur x profondeur x hauteur). Son capot avant est facile à enlever (faire levier en bas du capot pour déboiter les magnets, puis lever pour le sortir des deux ergots de maintien). Comme aucun ventilateur n'y est attaché, on peut le poser où on veut . À l'arrière, une trappe coulissante permet d'accéder au PCB. Pour des dépannages, il n'y aura donc aucune vis à retirer . En plus des ventilateurs déjà vus, la tête d'impression est composée de deux principaux éléments : l'extrudeur, la tête de chauffe. Entre les deux se trouve le coupe-filament, actionné par un levier quand la tête vient en butée sur l'avant gauche de la Q2. Avec cette tête, la buse à l'aide d'une jauge de pression fait office de détecteur de fin de course. Ce système oblige à avoir une buse parfaitement propre. La présence d'un résidu de filament fausserait la mesure, c'est la raison pour laquelle, même si le processus de nettoyage semble long, qu'il soit réalisé régulièrement et méthodiquement. Extrudeur L'engrenage d'entrainement du filament consiste en deux roues dentées en acier durci (ce qui devrait être plus durable avec des filaments chargés (fibre de carbone ou verre, …)). Le double entrainement est effectué via un moteur Nema14 circulaire. Au-dessus de ces roues d'entrainement, on trouve un interrupteur détectant la présence (ou l'absence) de filament, mais pas de détection d'un filament bloqué . Tête de chauffe La tête de chauffe autorise une température jusqu'à 370 ”C ? Elle est composée d'un radiateur (zone froide) refroidi par le ventilateur précédemment vu, d'un corps de chauffe en céramique, d'une buse «tout-en-un» de longueur ≃ 53 mm et d'une chaussette en silicone pour protéger cette partie chauffante. La buse est légèrement plus longue que celle de la Qidi Plus4 (51,5 mm). Qidi l'indique d'ailleurs sur son site de vente des accessoires : Elle est constituée de quatre parties : buse proprement dite incorporant une pointe en acier durci (longueur ≃ 30 mm) transition en céramique ( 3 mm) heatbreak (≃ 10 mm) tube d'entrée du filament (≃ 10 mm) Sur le haut du radiateur se trouve la jauge de pression, le mécanisme détectant par contact quand la buse est au niveau de la surface d'impression. On y reviendra lors de l'examen de la plaque PCB de la tête d'impression (sans trop divulgâcher, la puce électronique (convertisseur ADC) est une CS1237 (déjà vue sur les Anycubic Kobra S1) . Nettoyage / purge filament Le nettoyage de la buse s'effectue sur la partie arrière de l'imprimante. Ce nettoyage doit être le plus parfait possible. Tout résidu de filament restant sur la buse fausserait les mesures de la jauge de pression utilisée pour détecter le point 0 du plateau. Trois zones sont utilisées pour le nettoyage du filament : parking de la tête sur l'éjecteur de purge une lamelle métallique un racloir des lamelles en silicone la tôle flexible (PEI) possède un débordement. C'est là que se positionne la buse lors des montées / descente de températures utilisées pour le nettoyage un tapis silicone permettant de nettoyer la buse (mouvement de va-et-vient) De gauche à droite, la tête positionnée aux différents endroits utilisés lors de la procédure de nettoyage et purge du filament (parking, PEI, brosse silicone) : Voilà, c'est fini… pour aujourd'hui Cette partie matérielle sera poursuivie par l'examen de l'électronique. À bientôt
    5 points
  16. Bonjour, l'IA m'a conduit vers le forum, comme quoi... Je travaille le cuir pour mes loisirs et je fais, entre-autre, des holsters pour mes amis du stand de tir où je suis inscrit (voir photo). Pour faire un holster de revolver ou de pistolet, il faut former le cuir après l'avoir mouillé et pour cela, soit prendre l'arme, la protéger en l'enfermant dans un sac en plastique et s'en servir comme moule male, au risque d'apporter de l'humidité sur l'arme, ce qui peut l'abimer. Le mieux est de disposer d'une reproduction obtenue par impression 3D. Devant faire le holster d'un pistolet S&W MP9, et n'ayant pas l'arme à disposition, j'ai cherché une reproduction imprimée en 3D. J'en ai trouvé, mais aux Etats Unis où l'on appelle ce type de reproduction "blue gun". En France je n'ai pas trouvé de reproduction de ce modèle S&W. Cela m'a conduit à explorer le monde l'l'impression 3D, et j'ai décidé d'acheter une Creality K1 Max qui offre une capacité de 3 x 300 mm (L x l x H) qui m'intéresse pour d'autres travaux comme la réalisation de masques à partir de reproduction 3D de visages, aussi ai-je complété mon équipement par une petit scanner de chez Creality également, le Ferret Pro. Je dois recevoir tout cela aujourd'hui... Je ne sais pas si mes choix sont judicieux ou pas, mais comme au poker il faut payer pour voir ! Je m'inscris donc sur le Forum pour apprendre. Je vous remercie par avance pour votre indulgence si je pose des questions de béotien, car pour le moment je n'y connais vraiment pas grand chose.
    5 points
  17. La canicule ? Dans le Finistère ? Ça a dépassé les 20°C ? Je suis sorti...
    5 points
  18. Absolument pas d’accord. Les hotends d’aujourd’hui sont infiniment plus simples à utiliser et surtout à remplacer, y compris, et surtout, en cas de bouchon. Ce n’est même pas comparable en fait. Ça a évolué, et dans le bon sens. Là, le problème n’est pas la machine ni la hotend, mais l’utilisateur et aussi la faute à pas de chance. Coince une hotend ou une buse entre une pièce et le châssis pendant un déplacement rapide, d’une manière ou d’une autre, tu auras des dégâts, E3D, Bondtech ou pas. Le dégât ne sera peut-être pas au niveau de la hotend, mais ailleurs, quand tu as un chariot qui se déplace à 500 mm/s, là où il y a 3 ou 4 ans les chariots se traînaient à 150 mm/s, ça change tout.
    4 points
  19. Je viens de publier le test de l'AMS Heater sur le blog : https://www.lesimprimantes3d.fr/test-sunlu-ams-heater-20250905/
    4 points
  20. Bonjour, Vu sur le forum Prusa : https://forum.prusa3d.com/forum/prusa-core-one-general-discussion-announcements-and-releases/indx-is-coming-for-coreone/ et une photo :
    4 points
  21. Salut salut !! Comment allez-vous ? j’étais beaucoup moins présent sur le forum car j’ai subi de multiples opérations car j’ai eu pas mal de problèmes de santé dont un accident en plus et non responsable (fémur droit cassé…)... Depuis tout recommence à allez mieux mais mon travail dans le service médical me prend un temps fou... Pour vous dire je suis encore avec mon ancienne Anycubic Kobra Max... même si je rêve de me prendre une Bambu par la suite, j’attend de voir la H2C lol Mais je suis plus trop à la page pour aider les gens sur les dernier modèle actuelle... Va falloir que je prenne du temps pour m’instruire un peux sur les nouveauté Je collabore régulièrement avec quelques marques dans les aspirateurs robot (Mova, Dreame, Eureka...), plus particulièrement avec Mova, et je ne sais pas si vous êtes au courant, mais il lance un projet d’une imprimante 3D sous la marque AtomForm, je vous colle le lien pour voir les specs : https://atomform.tech. Niveau caractéristiques ça a l'air assez fou ! J’espère que de votre côté tout va bien ? À bientôt . Guillaume.S
    4 points
  22. Welcome back en pleine forme je l'espère (et te le souhaite) ! C'est de la folie cette Palette 300 sur le papier, j'étais complètement passé à côté de l'info (que j'ai ajoutée au récap qui vient de sortir sur le blog) ! On peut voir le système de changement de buse plus en détail sur Reddit :
    4 points
  23. On peut en ajouter. Le KAMP est déjà présent, mais pas activé. Comme le Klipper et le Moonraker ne sont ni up-to-date, ni officiels, l'ajout d'autres dépôt Git n'est pas forcément facile. Déjà, le logiciel git n'est pas installé Mais comme l'OS est basé sur une distribution Debian ancienne (bullseye), la mise à jour des dépôts logiciels provoque une erreur pour les dépôts «backports» Ça se résout en éditant le fichier sources.list avec l'adresse archive.debian.org au lieu de deb.debian.org. J'ai également modifié les adresses des dépôts Qidi qui pointent vers un miroir en Chine Un sudo apt update met à jour la liste (accès ssh => mks / makerbase), puis un sudo apt install git pour installer git Actuellement, j'ai complété l'écosystème Klipper avec Shake&Tune, KlipperBackup sans rencontrer de problèmes. KIAUH est installé, mais dans une version très ancienne (4.x) et également modifié par Qidi (je l'ai d'abord sauvegardé puis supprimé et réinstallé via la procédure officielle). Ne surtout pas faire de mise à jour de Klipper / Moonraker via son intermédiaire (impossible de toute façon, car ils ne sont pas considérés comme des dépôt git (l'historique a été supprimé (plus de dossier caché .git ). Via le KIAUH «officiel», j'ai mis à jour Fluidd. Mettre à jour via KIAUH Croswnest provoque une erreur et nécessite une intervention manuelle hors KIAUH (git stash, git pull, git stash pop) Ces derniers points seront l'objet d'un article plus fouillé dans cette revue.
    4 points
  24. Un nouveau laser en vue chez xTool, le P3. Il s'agit d'un laser CO² de 80W (avec un IR en option de 5W) et une plus grande zone utile : 914 x 457 mm. Le prix pique un peu : 6.000 € en précommande au lieu de 7000 €. Une belle bête de plus de 100 kg.
    4 points
  25. Nouvelle version Bambu Studio 2.2.1 La V2.2.1 est une mise à jour mineure basée sur la V2.2.0, ajoutant la prise en charge de Bambu Lab H2S et corrigeant plusieurs problèmes connus. 1. Correction d’un problème à cause duquel l’onglet d’étalonnage disparaissait lorsque la fonction multi-appareils était activée. (#7697) 2. Correction d’un problème qui empêchait la taille du pas d’être définie sur 0,001 lors de l’étalonnage dynamique du débit. (#7882, #7850) 3. Correction d’un plantage potentiel lors de l’importation de fichiers 3MF créés pour des imprimantes tierces. (#7639) 4. Correction d’un problème qui empêchait le déplacement de la barre latérale pour certains utilisateurs. (#7939) 5. Correction d’un problème où le chargement de la bobine externe était désactivé dans certains cas sur les imprimantes des séries P et A. (#7888) 6. Correction d’un problème qui empêchait l’enregistrement des couleurs personnalisées dans la palette de couleurs. (#7854, #5441) 7. Correction d’un problème à cause duquel le comportement de la fonction d’orientation automatique était incohérent entre la ligne de commande et l’interface graphique. (#6092) 8. Correction des erreurs de centrage et d’espacement causées par le nouvel outil de texte. (#7842, #7835, #7893, #7828) 9. Ajout de plusieurs préréglages de filaments Fiberon pour H2D, avec tous nos remerciements à @Pepe-Polymaker pour la contribution.
    4 points
  26. Ce qui est bien c'est que maintenant on a l'empreinte de ta clé, et on sait qu'elle n'a plus d'anti-démarrage. Si on passe dans ton coin on peut récupérer une voiture pour 27,50€ sans la fracturer.
    4 points
  27. Mouais. Chatgpt base son retour sur 4 sources, 1 par affirmation en gros, sans aucune information sur les critères de choix desdites sources, ni sur les sources écartées et la raison pour lesquelles elles ont été écartées. Vu le fonctionnement de ce type de LLM, les sources citées sont très probablement les seules sources qui lui ont servi à affirmer ce qu'il a affirmé. J'ai posé la question à Perplexity Pro : "Problèmes fréquents signalés concernant le plateau (bed) ou la première couche de la Creality k2 plus". Il me répond ceci (je vous mets juste un extrait): Problèmes rencontrés Si je fais le focus sur "Planéité du plateau" : la source est uniquement la suivante : https://www.lesimprimantes3d.fr/test-creality-k2-plus-combo-cfs-20241224/ Il a analysé les commentaire et déduit que "quelques rares utilisateurs" ont eu un souci sur un plateau voilé. Or en parcourant les réseaux, on trouve nettement plus de retours de ce type. Et si vous aviez un doute (ptet il a d'autre sources mais juste il cite pas tout ?) : Résumer les commentaires en bas d'un article, ou bien un fil reddit, ne fait pas une source pertinente. Je ne croirai un LLM (n'appelons pas ca une IA) que lorsqu'ils sauront citer la totalité de leurs sources. Et encore : les participations sur internet (dans un sens comme dans l'autre) ne sont pas représentative de la situation réelle (pas par défaut en tout cas). Donc tant que les sources ne seront qu'un agrégat des retours internet, si complet soient ils, ca n'aura pas plus de valeur que les sondages en page d'accueil de Cnews.
    4 points
  28. Bonsoir à tous, Ci-dessous mes premières tentatives de HueForge que je découvre en terme d'utilisation... La Porche 911 : https://makerworld.com/fr/models/1578139-porche-911-turbo-hueforge#profileId-1660549 La Kawasaki H2R : https://makerworld.com/fr/models/1733432-kawasaki-h2r-hueforge#profileId-1841442
    4 points
  29. Figures toi que je suis entré dans un magasin d'électronique pour acheter un fusible de sécurité pour une friteuse à moins d'un €, je suis ressorti avec une note de 200 €, le fusible (heureusement) et l'imprimante ....
    4 points
  30. Tout le monde se portent bien.
    4 points
  31. Bonjour, @pjtlivjy @Julien @Motard Geek @fran6p et ceux concernés par l'achat de la BOX QIDI Encore une nouvelle aventure comment réaliser l'écriture des TAG NFC pour identifier les bobines dans la BOX QIDI. ? J'ai communiqué avec QIDI voici la réponse : 20 août 2025 [11:30] Francis DUFOUR : Merci de m’informer sur le type d’étiquette NFC à utiliser et le lecteur multifonction pour la BOX [13:52] Qidi Tech : Cher client, Nous commercialiserons prochainement des consommables avec puces d’identification. Si vous souhaitez créer vos propres étiquettes d’identification, veuillez consulter cet article, qui nécessite quelques connaissances de base : https://wiki.qidi3d.com/en/QIDIBOX/RFID [13:53] Qidi Tech : Cher client, Actuellement, certains clients peuvent écrire avec cette étiquette. https://amzn.to/3V0rp6Q J'ai fait des recherches pour me fournir en étiquettes auto collantes TAG NFC le lien pour l'achat des Tags NFC conforme au protocole QIDI Comment écrire quelques explications techniques; il faut lire le lien suivant https://wiki.qidi3d.com/en/QIDIBOX/RFID Ecrire ou lire avec quoi ? Avec un téléphone Android il faut télécharger l'application (NFC tools) Un exemple Le tuto pour écrire en exemple un TAG NFC prochaine étape j'ai acheté des tags NFC afin de faire des tests; prochaine étape la réception de la BOX QIDI pour programmer des nouvelles bobines de filaments. Autre exemple écrire une carte de visite A vous relire Francis
    3 points
  32. Tu peux toujours essayé, mais tu auras une petite surprise. D'ailleurs des clés en 3d marche très bien. T'as même pas besoin d'en acheter une. Je te fais économiser 27,50€.
    3 points
  33. Non, ce n’est pas pour les propactylactètes hachleboul. Les pauvres, ils utilisent encore des pinces en titane végétal… Mais ils m’ont dit que mon TPU, c’était de la camelote.. Je t'accorde la victoire. Aller plus loin aurait été compliqué, je pense... Voilà le schmilblick : la voiture m’a été vendue avec une seule clé. Je suis allé voir le cordonnier du coin pour lui demander de me faire un double. Pas de problème, ça fera 100€. Je me suis sauvé en courant. Je ne savais même pas qu’il y avait un transpondeur sur la clé d’un véhicule aussi basique et rustique. Il fallait bien que je trouve une solution sans me ruiner. J’ai commencé par commander une clé vierge (identique) sur Amazon pour 7,50 €. Le cordonnier m’a quand même pris 20€ juste pour la copie de la lame… Ensuite, j’ai voulu retirer le transpondeur visible sur l’original une fois le boîtier démonté. Même en essayant de chauffer le boîtier à 70 °C sur le plateau de l’imprimante pendant 30 minutes, je n’ai pas pu décoller le transpondeur. J'ai pas voulu forcer, sa destruction aurait été une catastrophe. J’ai donc opté pour un moyen radical, le Dremel. J’ai coupé la partie où était logé le transpondeur dans le boîtier. Le transpondeur est tellement petit que cela n’a pas détruit le boîtier de la clé originale. Elle est toujours fonctionnelle. Ensuite, ce fut très facile. J’ai fabriqué une "chaussette" en TPU pour y loger le transpondeur. J’ai démonté le cache sous le volant et fixé la chaussette près du Neiman avec un rilsan, au plus près du boîtier de l’antidémarrage. Maintenant, je peux faire autant de doubles que je veux : ce n’est plus lié au transpondeur.
    3 points
  34. Bon Ben ça y est j'ai réussi à imprimer ce que je voulais pour mon petit fils Vous savez à force je vais penser que je deviens bon en impression 3D alors que c'est la machine qui fait tout le travail. Je joins une photo du modèle Je trouve que les détails sont extraordinaires sur cette machine Encore merci pour tous vos conseils et vos solutions lorsque j'ai eu des problèmes Je fais de la pub pour ce site à qui veut l'entendre . Merci encore Au revoir Et à bientôt.
    3 points
  35. Focus sur le Tyvok K1, la Qidi Q2, la Bambu H2S, la Creality K2 Pro, la Snapmaker U1, le rachat de BCN3D et l'annonce choc de Josef Prusa https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-503-20250824/
    3 points
  36. Bonjour Tout nouveau dans l 'impression 3D (depuis 1 semaine) j'ai acquis une Q1 Pro de chez Qidi, je suis satisfait de mes premières impressions. Mon centre d’intérêt est avant tout la pièce technique simple (face avant,boitier pour carte électronique, gabarits,pièces de réparation...,) j'utilise pour cela Freecad que j' ai découvert il y a un mois , je ne voyais pas acheter une Imprimante 3D sans pouvoir créer des pièces. Il me reste beaucoup à apprendre , je compte sur vous pour m' accompagner dans cette aventure , merci d' avance. Je remercie @PPAC pour les tests effectués sur la Q1Pro ainsi que toute l 'équipe en charge du site et du forum Bruno
    3 points
  37. Je pense que cette histoire de licence c'est une vaste fumisterie... du moins à notre niveau... Je vais vous raconter une histoire... (peut être que vous n'en aurez rien à faire mais c'est juste pour justifier mes propos) il y a environ 25/30 ans j'ai fait du codage en PHP pour des CMS style Xoops, iXprim... Je faisais des modules qui ajoutaient des possibilités à ces CMS et je les mettais gratuitement en téléchargement avec une licence open source pratiquement identique à nos chers STL, donc c'était pas de revente, pas d'utilisation commerciale, si modification republier gratuitement sous la même licence et obligation de laisser le copyright... il y avais des centaines de sites qui tournaient avec mes modules et dans la majorité des cas, soit le copyright avait été enlevé, soit il y avait un autre copyright, soit ils étaient revendus par des pseudos créateurs de sites parfois même ayant pignon sur rue. Au bout d'un certain temps j'ai arrêté car j'ai bien compris que ces histoires de licence ne servaient à rien, ne garantissaient rien et ne protégeais rien... et il était hors de question que je dépense 1 kopeck (monnaie Russe) centime pour faire un procès et récupérer quoi... sans doute des emmerdes Malheureusement nos pauvres STL sont logés à la même enseigne, alors pour ma part il n'y a que 10% de ce que je créé qui sont mis à disposition et pour le reste je me les garde bien au chaud pour mon usage personnel ou pour des amis
    3 points
  38. Non, c'est ma tentative de maquillage qui donne cette apparence . Fait à l'arrache comme d'habitude . Le carton n'a subi aucun dégât, le contenu, bien emballé, protégé, non plus. Trop fort le @isidon. Tu n'aurais pas piraté mes caméras internes, par hasard ? C'est bien le nouveau modèle de Qidi sorti le 20/08/25, la Q2 dont le test va pouvoir commencer sous peu (rubrique Qidi). Avec ce gros carton, j'en ai reçu un plus petit : la Qidi Box qui sera testée un peu plus tard. C'est donc une Q2C, aka Q2 Combo. Le colis :
    3 points
  39. Merci pour cette réponse claire et précise. Ce projet devrait intéresser un nombre important de makers et l'offre "Creator" me semble accessible aux personnes semi-pro qui ont une dizaine de bécanes. Je me suis inscrit sur ton site et j'attends la version d'essai lorsqu'elle sera dispo. Bon courage pour cette belle aventure.
    3 points
  40. salut, je crois qu'on va pas tarder à savoir le 26... le nom H2S est confirmé...
    3 points
  41. Salut, test de la Q2 + qidi box en Fr
    3 points
  42. il y a la clim et ça condense à l'intérieur probablement oui je sors ->
    3 points
  43. Salut à tous, Pour continuer la présentation de PolyOrchestra et vous montrer comment les différentes parties s'articulent, je vous propose aujourd'hui une autre vue essentielle : l'écran des Imprimantes. Point Technique : Comment fonctionnera la synchronisation dans PolyOrchestra ? Voici une clarification importante sur la synchronisation avec les imprimantes. Pour les imprimantes FDM (via Klipper / OctoPrint) : La synchronisation sera entièrement automatique. Si votre imprimante tourne sous Klipper ou OctoPrint, PolyOrchestra pourra : Envoyer directement les fichiers à imprimer. Contrôler l'imprimante à distance. Afficher toutes les informations en direct : températures, temps restant, progression couche par couche, etc. Pour les imprimantes résine : Ici, le défi est différent. À l'heure actuelle, les firmwares des constructeurs d'imprimantes résine ne permettent malheureusement pas une connexion externe pour un contrôle live. Pour quand même pouvoir tout gérer au même endroit, nous avons implémenté une solution de suivi manuel : Vous ajoutez votre imprimante résine dans l'application. Vous lancez votre impression sur la machine, et en un clic dans PolyOrchestra. L'application démarre alors un chronomètre basé sur le temps estimé par votre slicer, vous permettant de suivre où vous en êtes. À la fin du décompte, il vous suffit de valider que l'impression est bien terminée pour que le fichier soit considéré comme "Imprimé" et passe dans votre historique. L'historique de toutes vos impressions résine (temps, succès/échec, résine utilisée) sera bien sûr sauvegardé dans l'application, tout comme pour les imprimantes FDM. Notre engagement pour le futur : Notre objectif est de rendre PolyOrchestra le plus universel possible. Nous prévoyons donc d'étendre la compatibilité FDM à d'autres firmwares populaires par la suite. Pour la résine, notre promesse reste la même : dès qu'un constructeur ouvrira son firmware ou proposera une API, nous travaillerons immédiatement pour intégrer une synchronisation 100% automatique. Fiches d'imprimante : l'essentiel visible immédiatement Chaque imprimante de votre liste est représentée par une fiche dynamique qui vous offre un aperçu instantané et pertinent. En un coup d'œil, vous visualisez son image, son nom et son statut actuel (par exemple : "Imprimante éteinte", "Imprimante allumée", "Impression en cours"). Un profil complet pour chacune de vos imprimantes En cliquant sur une imprimante, vous ouvrez sa fiche détaillée : un véritable centre de contrôle dédié à cette machine : Informations sur l'imprimante : Retrouvez en un coup d'œil son image, son nom, son statut actuel (par exemple, "Impression en cours"), et un panneau complet affichant toutes ses spécifications techniques (marque, volume d'impression, vitesses, connectivité, matières supportées, etc.), ainsi que ses statistiques d'utilisation (temps total d'impression, nombre de travaux) et même des informations comme son prix ou sa date d'achat. En complément, des accès directs sont prévus pour consulter son manuel d'utilisation ou sa facture. Impression active : Si une impression est en cours sur cette machine, un résumé de son avancement (nom du fichier, consommable, progression, temps restant) s'affiche clairement avec les commandes de base (pause, arrêt). Suivi des impressions liées : Juste en dessous, une section dédiée liste tous les fichiers d'impression (passés, présents ou futurs) spécifiquement associés à cette imprimante, avec des onglets pour filtrer par statut (Tout, Dossiers, En cours, En attente, Historique). Pilotez vos impressions en direct avec le tableau de bord avancé (Imprimantes FDM) Pour une maîtrise absolue de vos impressions 3D en cours, le "Tableau de bord de l'impression" vous plonge au cœur de l'action. Accessible lorsqu'une machine est en train d'imprimer, cette interface de contrôle et de monitoring avancée s'ouvre sur une vue d'ensemble immédiate de l'impression active : Le flux vidéo direct de la caméra pour une surveillance visuelle constante, avec une option pour agrandir la vue. Les informations d'identification du projet et des indicateurs de progression clairs ainsi que des boutons facilement accessibles pour "Mettre en pause" ou initier un "Arrêt immédiat" de l'impression.. Juste en dessous, un panneau de statistiques en temps réel affiche une multitude de paramètres opérationnels clés. Au-delà de ce monitoring de premier plan, le tableau de bord vous donne les commandes pour affiner chaque aspect : Ajuster les paramètres à la volée : Modifiez en direct les vitesses globales d'impression, le facteur d'extrusion, la vitesse du ventilateur principal, et d'autres réglages machine comme l'accélération ou la vitesse dans les angles. Contrôler la tête d'impression : Pilotez manuellement les mouvements sur les axes X, Y, Z et ajustez finement l'offset Z. Gérer l'extrudeur : Affinez les paramètres d'extrusion, comme l'avance de la pression, les temps de lissage ou les distances de rétraction. Analyser les températures : Surveillez l'évolution des températures de tous vos capteurs (buses, lits, etc.) grâce à un historique graphique détaillé. C'est votre véritable cockpit pour optimiser chaque impression en direct, réagir instantanément au moindre imprévu et viser la perfection pour chaque pièce. Ajoutez facilement vos imprimantes : catalogue ou création personnalisée Intégrer vos imprimantes FDM et Résine dans l'application est simple et flexible, vous offrant deux approches pour configurer votre parc matériel : Choisissez depuis notre catalogue : Parcourez une vaste sélection de modèles pré-enregistrés des marques les plus populaires. Utilisez les filtres (type FDM/Résine, marque) ou la recherche pour trouver rapidement votre machine. Sélectionner une imprimante depuis le catalogue permet un ajout rapide, important ses caractéristiques de base. Pour les modèles compatibles avec une connexion réseau, il vous suffira ensuite de renseigner son adresse IP pour établir la liaison avec PolyOrchestra et ainsi activer le suivi en direct et les options de contrôle à distance. Créez une imprimante sur mesure : Si votre imprimante n'est pas dans notre liste, s'il s'agit d'un modèle modifié, ou si vous souhaitez une configuration entièrement personnalisée, optez pour la création manuelle. Vous pourrez alors définir chaque détail : son image, son nom, sa marque, son type (FDM/Résine), son volume d'impression, son firmware, sa connectivité, ses vitesses, ses températures maximales, les consommables supportés, et bien d'autres spécifications techniques. Merci pour votre lecture. Dans les prochains jours, nous publierons la liste complète et détaillée des imprimantes compatibles avec PolyOrchestra au lancement. En attendant, n'hésitez pas à nous dire en commentaire quelle est votre imprimante principale !
    3 points
  44. Les nouveautés de la semaine sont chez Bambu Lab avec la H2D Pro et une mise à jour du slicer Studio, Qidi avec la Q2, le graveur Aliencell X1 et quelques projets DIY https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-502-20250817/
    3 points
  45. ca je l'avais deja fais et ca oscille entre 403stp/mm 99.87mm et 404stp/mm 101.2mm toujours pour 100mm demandé. Et j'ai preferére une legere surextrusion. mais c'etait pas ma question et je m'appercoit que la photo n'est pas attachée. Ma question est qu'est ce que je regle pour pas avoir une impression degeu comme ca.
    3 points
  46. Là, je ne peux que plussoyer. Ancien enseignant (instituteur), j'ai appris à prendre en considération et tenté de mettre en application les profils d'apprentissage dont font partie les profils de compréhension (auditif, visuel, kinésthésique).
    3 points
  47. avec cette chaleur @souriceaux c'est la moment d'imprimer les matériaux qui adorent la chaleur lors de l'impression : PC et ses dérivés, PBT, PA et PPA voici un exemple en PC-CF sur la Q1 Pro sans colle (merci la chaleur )
    3 points
  48. Bonjour, impression en PETG d'un rehausseur pour le couvercle d'une Xplus 3. https://www.printables.com/model/800985-qidi-x-plus-3-top-cover-riser A+
    3 points
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