Classement
Contenu populaire
Contenu avec la plus haute réputation depuis 02/10/2025 dans Messages
-
Bonjour, @Motard Geek l’Unimog est presque terminé véhicule tout terrain en 4X4 suspension oscillante Panhard. La plaque du film Tamya 0.4mm est en rupture de stock pour réaliser le pare brise! Je dois encore installer le moteur linéaire pour manœuvrer le corps de la benne basculante. La qualité de fabrication 3Dsets est parfaite; la carrosserie est facile à assembler la Plus 4 fait bien son travail. Je recommande de passer un filament de nettoyage entre le passage du filament PETG et le PLA+ au risque d'un colmatage (c'est du vécu) La partie éclairage reste un gros travail. Entre-temps, j’ai une belle récolte de noix ! Bonne chance à vous... !13 points
-
Je découvre le travail de DHR Engineering via leur chaine YouTube et c'est impressionnant. Vous pensiez être un pro de l'impression avec vos 3 FDM supervisées par une bête caméra et des prises connectées ? Jetez un oeil à ça : La gestion des filaments est incroyable aussi : Et ils savent aussi automatiser l'impression 3D résine + wash + cure .. + livrer le print9 points
-
Bonjour à tous, Avec un peu de retard, je partage la pièce que j'ai réalisée cette année aux Journées du Partimoine à Montagney-Servigney. Nous avons fait cette année de la fonderie aluminium, et j'ai eu envie de tester à nouveau le procédé "lost-foam". C'est un procédé dans lequel on créé un modèle en polystyrène, qui est ensuite placé dans un moule avec du sable fluide. Le métal en fusion est coulé directement dessus et prend la place du polystyrène. Ce procédé a été mis au point par Peugeot dans les années 60 pour couler des culasses de moteur, il est encore utilisé aujourd'hui. Un de mes clients, en Franche-Comté, possède une ligne de moulage loast foam pour fabriquer des disques de frein et des tambours de freins de poids lourds en fonte. Je fabrique un modèle, avec une forme volontairement compliquée pour tester les limites du procédé. Je n'ai pas trouvé de quelle façon ajouter des canaux pour faciliter l'évacuation des gaz, donc la pièce sera probablement incomplète. Le but de l'expérience est de connaitre la profondeur limite possible sans canaux. La pièce a été taillée dans un morceau de polystyrène extrudé servant à l'isolation des bâtiments. J'ai utilisé des techniques plus ou moins barbares - d'abord une perceuse à colonne avec un mèche à bouchonner pour faire un gros trou non débouchant assez profond - une scie circulaire de table, avec un support bricolé avec un tube pour réaliser le "tournage" de la partie cylindrique extérieure par sciages successifs - ensuite, une ponceuse oscillante de table pour tailler le pied - enfin, un système à fil chaud pour réaliser les trous Voici les outils utilisés sur place : une caisse en bois pour le moule, un enduit réfractaire avec un pinceau, un couvercle avec un poids (le morceau de rail de chemin de fer) et un maillet pour vibrer le sable La pièce est recouverte de deux couches généreuses d'enduit réfractaire (c'est une mixture à base d'alcool et de poudre d'alumine) : On laisse sécher une bonne demi-heure. La pièce est placée dans le moule qu'on remplit de sable : Le cul de la pièce a été peint en noir pour être bien visible par rapport au sable qui est blanc. C'est indispensable car lors de la coulée, les opérateurs portent une visière de protection, et ils sont aveuglés par l'éclat du métal en fusion. On place le couvercle avec le poids par dessus et on vibre en donnant des coups de maillet : Le moule est prêt pour la coulée. A côté, on peut voir d'autres moules réalisés de façon traditionnelle, avec des modèles en bois qui ont été retirés : La coulée de aluminium liquide : Le polystyrène se consume rapidement en dégageant une fumée épaisse : On laisse refroidir : On démoule. Comme je m'y attendais, la pièce n'est pas complète, mais le résultat est pas mal : De retour chez moi, quelques travaux de nettoyage et de finition. Je dois notamment creuser la pièce au tour à métaux car, même en ayant vibré soigneusement le sable, il n'a pas rempli complétement le fond de la pièce en haut (je rappelle que la pièce est coulée la tête en bas) Même si la pièce est incomplète, elle est en fait très jolie, et même plus jolie que si elle avait été complète. C'est, en quelque sorte, un échec réussi On se rend compte de la finesse des détails qui sont rendus par le procédé, l'état de surface du modèle en polystyrène est très bien rendu. Bien sûr, la pièce à des défauts également. On remarque aussi que j'ai percé la pièce au tour à métaux. Il y a deux raisons : - faciliter l'usinage - permettre le passage de fils électriques pour alimenter un éclairage LED Si on place une petite bougie à l'intérieur, le résultat est vraiment sympa : A bientôt !8 points
-
On imprimait du PLA sans plateau chauffant avec une bobine qui trainait dans un coin et aujourd'hui on dirait qu'on ne peut rien faire de propre sans caisson fermé + un dryer qui assèche les bobines !7 points
-
7 points
-
Enfin la première utilisation de cette machine de sérigraphie de Xtool (qui dormait depuis son achat, il y a plus d'un an). La préparation de l'écran de sérigraphie est un jeu d'enfant avec le laser S1, tous les réglages proposés sont nickel, seul détail à ne pas oublier c'est d'inverser l'image, car on grave l'écran par la face en contact avec le tissu (graver n'est pas le bon terme parce qu'on enlève le revêtement de l'écran afin que la teinture passe au travers). J'ai sérigraphié une centaine de bonnets de Père Noël pour distribuer à tous les participants de la course des Pères Noël que nous organisons le 14 décembre à St Quentin, nous espérons un millier de participants, donc j'ai encore du boulot, tous les bénéfices iront à une association régionale : Petit coeur Picard qui accompagne les familles dont un enfant est atteint d'une pathologie cardiaque, la Cardiopathie congénitale. La sécu ne prend pas en charge l'accompagnement des familles et malheureusement, il n'y a qu'à Paris que ces opérations très spéciales peuvent être faites pour le nord de la France, je vous laisse imaginer les couts pour se loger et se nourrir durant plusieurs jours sur Paris pour les parents lorsque l'on vient de la province. Et oui c'est le logo du Kiwanis St Quentin. Encore dix fois ça et le compte sera bon.6 points
-
Pour continuer la digression, j'ai promis un retour. J'ai joué un peu avec la machine du copain, un vieux Intel Core i7-4790K sur une carte mère Asus Z97I-PLUS. J'ai installé Proxmox 9, c'est un hyperviseur Open-Source de type 2 (basé sur Debian 13). J'y ai créé une machine virtuelle (VM) avec Linux Mint 22.2 en édition Cinnamon, jusque là rien d'extra-ordinaire. N'ayant qu'une iGPU (carte graphique intégrée au processeur) sur cette machine, j'ai du demander gentiment à Proxmox de lâcher la main afin de pouvoir la passer en passthrough à la VM ainsi que le dongle USB du clavier/souris. C'est à dire que c'est la VM qui est maitresse de ces périphériques. A partir de là, Linux Mint est utilisable comme un PC classique, on y voit que du feu si ce n'est que lorsqu'on éteint la VM le PC tourne encore (logique). J'ai fait quelques tests de performances, et notamment concernant la partie graphique. Au passage quel bonheur de retrouver des applis qui réagissent au quart de clic, j'adore linux pour ça. Le décodage vidéo aucun souci. Pour le gaming j'ai testé avec "0 A.D." et j'obtiens 60fps sur un écran de 1920x1200. A noter que j'ai dû activer le V-Sync qui bride justement les fps. Il n'y a absolument aucune latence avec la souris. Je ne suis pas gamer à la milliseconde non plus, mais c'est plus réactif qu'un streaming Sunshine/Moonlight (qui est déjà top soit dit en passant). De ce constat je peux dire que faire tourner ce qu'on appelle un "daily driver" (notre machine de tous les jours) en mode virtualisé est tout à fait viable, même sur une machine de 2014. Maintenant vient la partie bémol. J'ai voulu tester en créant une VM Windows 11 et lui passer l'iGPU comme pour Linux. Et là ça n'a pas fonctionné du tout. J'ai retourné le problème dans tous les sens, le driver HD4600 de Windows refuse de prendre la carte graphique. Il existe un hack en utilisant un bios non-UEFI, qui nécessite une ISO modifiée de Windows 11, et ça c'est hors de question. Donc pour Windows, l'iGPU Intel c'est non (du moins sur cette génération). Mais normalement une vraie carte graphique dédiée ça doit passer crème (ça je le vérifierai lorsque je ferai l'essai sur ma propre bécane). Hormis ça, Win11 tourne nickel sans aucun hack, aucun soucis de compatibilité, de TPM, de CPU ou autre comme je m'y attendais. Si ça c'est pas la preuve qu'il n'y a pas besoin de nouveau matériel... L'autre problème que j'ai eu, c'est la "carte" Wifi intégrée. C'est malheureusement du Broadcom, et ça c'est de la daube propriétaire. Le passage en passthrough fait freezer tout le PC après quelques secondes. Je n'invente rien, même GPT le dit : Du coup j'ai passé un dongle USB/Wifi à base de RTL8812AU en passthrough et là ça tourne en plug'n'play. Ensuite j'ai joué à ajouter d'autres VMs pour le fun, Jellyfin, TrueNAS etc... Mais ici rien de spécial à dire, c'est du serveur ça tourne tout seul. Pour le copain on va rester simple et je vais lui rendre sa bécane avec Mint en bare metal + docker pour les quelques services dont il a besoin. Mais pour moi, je vais re-tester la virtualisation de Win11 avec une CG AMD et une Nvidia dédiées sur ma bécane, en croisant les doigts (machine de 2012). Conclusion, si vous voulez explorer cette voie, vérifiez bien que tout le matos que vous voulez utiliser soit compatible.6 points
-
L'installation de l'évacuation centralisée est finie et son fonctionnement est efficace, mais cela reste bruyant. Le gros avantage, je n'ai plus de filtres onéreux à changer et la filtration laissait passer quelques odeurs. Le sélecteur (en bleu) remplit très bien sa fonction, il n'y a pas de fuite. La Makera est maintenant installée, mais toujours pas mise en service, car je n'ai pas le temps à lui consacrer (dommage, parce qu'elle ne plait bien cette petite bécane).6 points
-
Petite anecdote rigolote : Il y a une vingtaine d'année, j'avais créé un site web avec plein de tutos sur le langage informatique Delphi. Un jour, un lecteur du site d'un autre pays me contacte en me disant que quelqu'un de son pays (je ne donne pas le pays volontairement pour ne pas créer de polémique inutiles) avait récupéré le contenu du site pour en faire un livre. Libre en vente dans son pays. Choqué, il me demande si je veux faire un procès et si j'en veux un exemplaire. Amusé et finalement flatté, j'ai demandé et reçu un exemplaire qu'il n'a pas voulu que je lui paye. Sur la couverture du livre, il est écrit mon nom comme auteur et c'était effectivement une copie conforme du site. Je dois être un des seuls au monde à avoir fais un livre aussi involontairement ! J'ai encore ce livre que je garde précieusement, et je peux raconter sans trop mentir que je suis un écrivain qui a réussi à se faire éditer, et le prouver6 points
-
Bonjour à tous, J'avais envie de m'acheter une machine à coudre, pour compléter ma panoplie de bricoleur / maker. Une machine à coudre, c'est utile : - pour réparer des vêtements - pour fabriquer des déguisements (carnaval, cosplay) - pour habiller des figurines imprimées en 3D avec du vrai tissu - pour faire des rideaux, des tissus d'ameublement pour la maison ou la voiture - pour adapter des sacoches (photo, randonnée, ceintures à outil...) Suivant les conseils du forum, j'ai acheté une machine à coudre mécanique de marque Necchi, la Q132A. Un peu occupé en ce moment, la machine attendait dans son carton depuis le mois de juillet J'ai pu enfin la tester. Une précision : je n'ai jamais utilisé de machine à coudre. Je connais toutefois le principe de fonctionnement ; certains de mes clients ont des machines à coudre industrielles sur lesquelles je suis intervenu pour des questions liées à l'ergonomie et la sécurité au travail. Ces machines servent à fabriquer des sièges automobile ou des matelas. Certaines sont à commande numérique et entièrement automatiques, d'autres sont manuelles et utilisées par des ouvrières qualifiées. Je connais donc aussi les dangers liés à ces machines. Ayant l'habitude d'utiliser des machines à bois - avec quelques frayeurs au compteur - j'avais une certaine appréhension sur ce nouveau domaine. Première étape : RTFM : lire le mode d'emploi en entier. Cribbio! il manuale è in italiano Alors que la machine a été acheté sur le site DARTY français, ce n'est pas conforme hein, vous allez vous prendre un scud de Que Choisir Je télécharge la VF et je l'imprime avec une reliure spirale. Ce sera plus pratique, le manuel restera ouvert à la bonne page. Je n'ai pas coupé les marges, mais cela offre un espace confortable sur chaque page pour écrire des notes. Bien que mécanique, la machine possède beaucoup de fonctions et d'accessoires. La machine sera polyvalente, mais j'ai peur que la prise en main soit longue. Je dois me procurer des consommables. Le mode d'emploi indique quels fils et quelles aiguilles utiliser avec quels tissus. Grâce à Google on comprend qu'il faut prendre du fil polyester si on ne veut pas trop de problèmes. Avec mes machines à bois, ma fraiseuse et mon imprimante 3D, j'ai appris une chose : il faut des consommables de qualité, surtout quand on débute ! J'achète donc du fil GUTERMANN et des aiguilles SCHMETZ : C'est pas donné par rapport aux autres produits sur Amazon. Mais c'est le prix de la tranquillité. De plus, les assortiments de fils Gutermann ont des couleurs "utiles", c'est à dire qui correspondent aux couleurs des vêtements "normaux" Car dans un lot de fil aux couleurs arc-en-ciel, le rose ou le jaune fluo risquent de ne jamais être utilisé Je reprends le mode d'emploi, et suit les étapes dans l'ordre. Le mode d'emploi est bien rédigé, les illustrations sont claires, les différentes manipulations sont faciles à réaliser, même avec mes doigts d'homme et ma vue qui baisse La machine est fournie avec une housse de protection en tissu, sachant que le grand sac en plastique pouvait aussi jouer ce rôle : Voilà la bête : Une partie se démonte pour coudre des manches, cette partie est aussi une petite boite remplie d'accessoires : Les accessoires permettent de faire de nombreuses coutures, y compris les trous de boutonnière, la couture des boutons et des fermetures Eclair. Il y a aussi un coupe fil et des canettes La machine est aussi fournie avec une table, pratique pour travailler les grandes pièces de tissus : Il y a des boutons et leviers de réglages de tous les côtés, c'est normal pour une machine mécanique car ces pièces doivent être à l'endroit où elles agissent sur le mécanisme : La seule partie électronique est le variateur de vitesse qui doit se trouver dans la pédale, qui reçoit également le câble secteur : Avec cette machine, on ne sera pas emmerdé avec des pannes de cartes électroniques (une difficulté majeure y compris sur les machines industrielles) Une remarque sur la sécurité : la pédale n'a pas de capot, et elle a un peu de mal à ne pas glisser du sol. Je fabriquerais un support de pédale avec un capot et une fixation pour l'attacher aux pieds de la table sur laquelle la machine à coudre est posée. La machine possède un éclairage LED bien conçu, très utile pour bien voir ce que l'on fait : Bonne nouvelle : la machine possède un accessoire automatique pour remplir la canette avec le fil que l'on utilise pour l'endroit. Cela évite de devoir acheter des canettes de fil, et cela permet d'avoir exactement le même fil pour l'endroit et l'envers (diamètre, matériaux et couleur du même bain) Rien n'empêche de mettre un fil de couleur différent sur la canette, cela permet de mieux examiner la couture pour ajuster les réglages. C'est d'ailleurs ce qui a été fait avec l'échantillon de tissu qui a servi à tester la machine en usine : Le fil de cannette est jaune, le fil de l'endroit en rouge ; photo de l'envers : et de l'endroit : Prochaine étape : installer la canette ; aucune difficulté, tout est bien expliqué dans le manuel ; le capot en plastique est juste un petit peu chiant à remettre Maintenant, il faut passer le fil de l'endroit dans la machine, et le passer à travers le chas de l'aiguille. C'est le genre de truc super pénible à faire... ... mais là aussi, la machine possède un accessoire bien conçu qui permet de passer le fil dans le chas facilement et du premier coup : Vient le moment fatidique : la couture. je prends un chiffon pour les tests (une manche d'un ancien pyjama en coton) C'est facile, la machine coud sans problème. Avec la pédale, on peut vraiment ajuster la vitesse, il n'y a quasiment pas d'inertie, on peut ralentir et même arrêter à n'importe quel moment. Il est possible de coudre au ralenti. On peut aussi tourner manuellement le volant à droite pour actionner le mécanisme. Le système d'avance automatique du tissu fonctionne bien, il est facile de guider le tissu ; il faudra cependant de l'entrainement pour coudre bien droit. Le contrôle de la vitesse est sécurisant, rien à avoir avec une machine à bois où il faut anticiper le fait que la machine ne peut pas s'arrêter rapidement, et qu'on doit tenir la pièce du début jusqu'à la fin avec un outil qui tourne à plein régime et qui peut te trancher un doigt en un instant. Je teste différents points : Les réglages sont intuitifs. La marche arrière est très pratique pour rendre plus solide le début et la fin d'une couture (mais c'est un peu moche) La machine à un coupe fil intégré pour retirer le tissu, encore un accessoire très utile. La machine est bien pensée, on a besoin d'aucun autre outil en plus pour coudre, c'est très appréciable, on n'a pas une tonne d'accessoires à acheter en plus. Je teste les coutures, elles sont solides, même avec le fil que j'ai utilisé qui est le plus fin (le numéro 100) Je teste ensuite la fonction "manchette" en essayant de faire un ourlet avec ma manche de pyjama : Bon j'ai raté le raccord entre le début et la fin de la couture mais c'est parce que j'ai guidé le tissu à la main complétement à l'arrach Pour faire un ourlet il faut bloquer le tissu avec des épingles, qu'on retire au fur et à mesure. Reste à savoir comment faire les nœuds et couper les fils qui dépassent, de manière à ce que ce soit solide : Je ne regrette pas cet achat. La prise en main est rapide, même si bien sûr je ne vais pas faire de la haute couture tout de suite Maintenant, je sais que je peux réparer un vêtement et surtout faire du sur mesure pour adapter un vêtement, une sacoche ou n'importe quel objet en tissu. A bientôt5 points
-
Afin d'expier la digression que je me suis permis sur cette rubrique, je vous propose de faire don du remboursement d'Amazon en faveur du maker le plus méritant du forum. Merci de rédiger un résumé de la plus belle action que vous avez faite sur ce forum pour une personne en difficulté technique. Afin de valider votre dossier, je vous demande de remplir le CERFA 25987.56 version 8 en précisant le modif précis de cette demande, votre RIB, la copie de votre carte d’identité et de votre permis de conduire (pour ceux qui l'ont encore), une lettre manuscrite indiquant que vous renoncez à toute poursuite à mon encontre et un extrait de casier judiciaire vierge. Un tirage au sort départagera les dix meilleurs makers.5 points
-
bonjour comme dit dans un précédent post, j'imprime au sous-sol, pour le pla et petg, pas (trop) de soucis mais pour l'abs ou mieux l'asa, il faut chauffer le filament, j'avais déjà rencontré ce problème de température ambiante avec la cr6se, j'avais du faire un caisson avec un porte bobine à l'intérieur je me suis donc lancé, c'est un proto, mais comme il remplit parfaitement son office . . . je ne voulais ni changer quoi que ce soit à l'ams ni percer, donc j'ai refait le couvercle et le système de fixation, je l'ai fait en trois partie, abs et petg, j'ai essayé l'asa, mais trop de warping, je m'y attendais un peu, même pour l'abs, j'ai été obligé d'imprimer au centre de la plaque, si je m'approchais trop des bords, c'est foutu, warping, j'ai imprimé petg et abs pour des raisons spécifiquement de repartition d'utilisation de filament le matériel employé provient d'un don de différents matériels, en particulier les éléments de chauffage plaque ptc, un systeme chauffage collé sur une plaque en alu (issus certainement d'un chauffage poussins ou animaux exotiques) données pour être des 12V 80°, ce sont en fait des 12V120° 5 , les plaques sont en polycarbonate 4mm. qu'il me restait de la réalisation du caisson de la cr6 le but n'est pas de faire un sécheur de filament, j'ai peur à trop monter la température, je ne pense pas que les composants aiment une température de 60/70°. voilà quelques photos de la réalisation: la température au sous sol était de 15.6°, le système de chauffage est au dessus, on voit le ventilo, j'ai du enlever des pales pour réduire considérablement le flux, sinon, ça refroidissait les plaques et bien sur ça chauffait pas, l'étanchéité est assurée par un joint type fenêtre, le poids suffit, j'ai fait un support arrière en pla à l'arrache, si c'était à refaire je le ferait en deux parties, je suis satisfait de moi, pour quelques euros . . . sans prétentions aucune, pat5 points
-
T'es sûr… que ça ne coûte rien une femme ? Avant de me faire taxer de misogyne, je préfère =>5 points
-
Bonjour, Comme je pense que le format zip est très utilisé pour nos fichiers d'impression 3D, et que leur provenance n'est pas forcément issue de sites sécurisés, je me permets de vous informer d'une alerte sécurité concernant le très utilisé 7-Zip. Je le fais car ce logiciel n'a pas de fonction de recherche de mise à jour : c'est à l'utilisateur de penser à vérifier qu'il y a une nouvelle version disponible, sauf à utiliser UniGetUI. Ça ne concerne que les utilisateurs sous Windows. https://next.ink/brief_article/deux-failles-importantes-de-securite-decouvertes-dans-7-zip/5 points
-
5 points
-
Personne d'assez geek pour tenter la virtualisation ? Faire tourner votre/vos OS de tous les jours dans une machine virtuelle semble se faire assez bien avec du "vieux" matos de nos jours. Je le fais déjà au boulot en remote desktop sur des vieux serveurs IBM/Lenovo de 2012. Si on ajoute du GPU passthrough dans l'équation, ça peut être sympa. En passant par Proxmox sur ma bécane non compatible car pas de TPM et CPU pas sur la liste, je peux installer Windows 11 sans hack car le TPM et le CPU compatibles sont virtualisés. Il suffit alors de passer la carte graphique et des ports USB en passthrough à la VM et hop, un Windows 11 sur une bécane soi-disant non compatible. Gros avantage si je change de matériel plus tard, la licence reste activée. Les backups sont automatiques avec Proxmox Backup Server. Les snapshots instantanés (RAM comprise) sont hyper utiles lorsqu'on install un soft dont on est pas sûr qu'il ne va pas mettre le bazar sur l'ordi. Etant un habitué et fan de Proxmox, ça me faisait de l'oeil depuis un moment. Je vais tester d'ici peu.5 points
-
5 points
-
Bonjour à tous, J'ai encore mon imprimante jet d'encre Canon MG6150 Elle a 14 ans, elle fonctionne encore très bien même avec Windows 11 J'avais du faire une manip l'an dernier car la limite de durée de vie de l'éponge de nettoyage d'encre était atteinte Je ne m'en sert pas très souvent et les buses étaient bien bouchées. Je démonte la buse (cela se fait en 30 secondes) et je la nettoie avec de l'alcool isopropylique (d'abord avec un chiffon, puis ensuite je fais un peu couler d'alcool iso dedans, au-dessus d'une poubelle) Attention à ne pas tacher vos vêtements, vos meubles et le sol durant la manip, portez des gants aussi J'essuie, je remonte le tout avec les cartouches, et c'est repartit comme en 40 Le résultat, avant / après : A bientôt5 points
-
[humour] Le kit d'upgrade P1S > P2S vient d'être publié. https://makerworld.com/en/models/1880903-p1s-to-p2s-upgrade#profileId-2013993 - ne prend que 20 minutes pour faire l'upgrade - ne coûte vraiment pas cher5 points
-
5 points
-
Bnjour, Bon, j'arrive un peu tard, mais je donne mon témoignage quand même. J'ai effectivement pas mal d'objet sur thingiverse qui pour la plupart concerne les 2cv . https://www.thingiverse.com/2cv001/designs Et effectivement, on retrouve les objets en vente sur internet. Perso, ça me flatte et je me dis que du coup il y a encore plus d'utilisateur qui en bénéficieront. C'est vrai que d'une façon générale, je suis assez opensource, et j'ai toujours mis à disposition mes programmes et autres, et en échange, j'ai beaucoup appris et récupéré sur internet. Ceci dit, je met officiellement aussi ces fichiers sur le forum2pattes, et j'ai aussi donné l'autorisation à la revue 2cvExpert de les diffuser. Après, un membre du forum n'appréciant pas ce piratage (mes objets mais aussi les siens) a réagi en les proposant aussi mais à prix cassé, les bénéfices allant pour une association s'occupant d'handicapés. Ça a pas mal marché, les prix on nettement baissés. Et donc à la limite, ceux qui impriment sans autorisation, se font un bénéfice plus restreint et justifié.Tout ça aussi favorisant la diffusion, et encore une fois, c'est ce qui me motive: le fait que ce que je crée soit utilisé. Donc, ça ne me choque pas et ça m'amuse.5 points
-
Bonjour à tous, Comme promis, je viens aux nouvelles. J'ai reçu samedi dernier mes fameux sacs de chez EIBOS. Tout content, je m'apprête à tester une bobine fissa !, à savoir que j'ai commandé un kit SANS la pompe d'origine (électrique), m'autoconvainquant que ça vas le faire avec ma pompe manuelle. Ben Que nenni ! ces sacs ne parlent pas le même dialecte que ma pompe ! grosse déception... Jusqu'au moment où je décide d'appeler Fusion 360 à la rescousse... et trois itérations plus tard (et quelques jurons), j’ai pondu un adaptateur maison tout ce qu’il y a de plus fonctionnel et sans doute bien plus rapide que la version électrique ! Résultat : mes 10 bobines sont maintenant sous vide. Et le plus beau ? Après cinq jours de test, pas une seule du lot n’a encore fait pfffff comme j'avais pu constater avec mes autres types de sacs, alors je précise bien “pour l’instant" hein ! Bref, je continue l’expérience, et je vous tiendrai au courant de la suite (quand j'aurai un moment), surtout quand il faudra les réutiliser héhéhé ... Suspense !5 points
-
4 points
-
J'ai reçu le système de filtration V1 de chez Mintion pour imprimante 3D qui soi disant peut fortement diminuer les particules et les odeurs. J'ai été l'un des premiers à l'acheté du coup ils donnaient 3 filtres de rechange. Je l'ai acheté 61,59 € et youpi j'avais les frais de port offerts. Dés la sortie du carton, je me suis aperçu que cet accessoire n'était pas de bonne qualité mais qu'importe l'aspect s'il fait son job... mais voici mes constatations : Le corps est en plastique imprimé et il est tellement mal imprimé qu'ils ont collé un espèce de film plastique pour cacher la misère Il y a une porte pour accéder aux filtres avec une petite poignée, celle-ci s'est cassée dès la première ouverture Le porte n'est absolument pas étanche Il y a 3 sortes de filtres mais j'ai l'impression que le filtre en coton et le filtre HEPA sont identiques Le filtre à charbon n'est pas plein et il y a un morceau de tissu en papier de chaque coté, l'un était décollé je me suis retrouvé avec de la poussière de charbon plein les mains et le ventilateur en est rempli Le variateur de vitesse ne fait varier le ventilateur que sur la moitié de sa course Le ventilateur est bruyant L'aspiration est nulle de chez nul, je ne sens même pas l'air passer au dessus des filtres, voir le test que j'ai fait avec un mouchoir en papier dans la vidéo ci-après Alors vous vous doutez bien que je déconseille fortement l'achat de cet accessoire, j'ai l'impression d'avoir jeté l'argent à la poubelle, je vais essayer de me faire rembourser mais apparemment les frais d'envoi vers la Chine sont à ma charge soit par exemple UPS environ 80 € . Heureusement j'ai fait cet achat avec Paypal donc peut être un recourt de ce coté là. La protection du filtre à charbon est décollée La "Poignée" de la porte a cassé à la première ouverture Et pour couronner le tout on peut s'apercevoir que l'aspiration de ce système de filtration est inexistante4 points
-
Ah et pourquoi pas pour descendre et remonter une bouteille d'alcool ? Certains disent que « La plongée est un sport d’alcooliques, la preuve : il y a un bar tous les 10 mètres. » *A+ JC4 points
-
Comme je n'ai vraiment pas d'idée après toutes les propositions de ces dix derniers jours, je ne me mouillerai pas.4 points
-
4 points
-
Ceux qui utilisent les notifications par mail du forum ne verront probablement pas ce message mais sachez que notre serveur est dans l'incapacité d'envoyer des mails depuis ce matin... On fait au mieux pour régler ça au plus vite EDIT du 30/10/2025 à 18:35 : le service est à nouveau opérationnel, tous les mails en attente ont été perdus4 points
-
Scam. ce n'est pas makerworld qui t'envoie ça... C'est clairement du scam : le domaine c'est vid-9581623.com et pas makerworld... J'ajoute : la personne qui a enregistré ce domaine se trouve en Malaysie si j'en crois Who.is : vid-9581623.com WHOIS Domain Name Lookup - Who.is ce qui tend à confirmer le scam...4 points
-
bonjour, 1973 est un vieux jeune. Moi ,1946 et j'en apprends encore tous les jours,je ne suis pas pressé de rejoindre la section gériatrie. Bonne journée4 points
-
4 points
-
Bonjour à tous... Projecteur d'hologramme 3d pour smartphone... J'ai réalisé un hologramme d'une de mes modélisations pour la démonstration, mais on en trouve plein sur youtube. Si il y a quelqu'un que ça intéresse je mettrai les fichiers STL dans un prochain post (il n'y a plus la place sur celui-ci). Et je ferai peut être aussi un tuto pour la réalisation d'hologrammes avec Blender...4 points
-
Bonjour "Professeur" et bienvenue sur le forum Tant que tu ne t'attelles pas à vouloir corriger les fautes d'orthographe du forum, tu devrais arriver à trouver du temps pour remettre en route ton imprimante A très bientôt pour cette belle aventure A+ JC4 points
-
4 points
-
Découvrez l'imprimante 3D Bambu Lab P2S, une version modernisée de la P1S avec les specs de la série H, compatible AMS 2 Pro, et disponible dès à présent à partir de 519 € TTC. https://www.lesimprimantes3d.fr/bambu-lab-p2s-presentation-20251014/ Fiche technique https://www.lesimprimantes3d.fr/comparateur/imprimante3d/bambu-lab/p2s/4 points
-
@roberto Le sujet a été déplacé dans la rubrique vente. Ce n'était en rien un tutoriel, mais la promotion d'un livre à acheter. L'intention est louable, mais mon côté libriste est un peu interloqué, car à ma connaissance OpenSCAD que j'utilise régulièrement est un projet Open Source. De plus, pour avoir lu les quelques pages de présentation du livre, j'ai l'impression, à tort peut-être, que l'IA a été utilisée pour cette rédaction ?4 points
-
Bonjour à tous, Quelques news de la v2 en cours d'assemblage ! Bon, évidemment, encore une fois tout a changé Chaque pièce est améliorée, et je ne saurais même pas par où commencer. En gros maintenant : plus de problèmes (j'espère du moins) 3x plus de puissance UV (donc gain de rapidité) beaucoup moins bruyante (ventilo silencieux + TMC2208) moins de vis, assemblage/démontage rapide régulation en direct de la puissance + 4 endroits où la température est relevée passage de 12V à 24V Lit d'impression monté sur rotule câblage propre, électronique stable, ports USB (pour éclairage LEDs et caméra RPI en option) Le problème majeur est que la résine ronge le plastique, d'après mes tests le PLA résiste un peu mieux que le PETG. J'applique donc de la résine époxy sur toutes mes pièces en contact avec. Pour la plaque supérieure soutenant le réservoir, j'ai coulé de la résine directement dessus, les parois étant plus hautes que le fond. Heureusement je n'ai pas oublié de placer les aimants avec de mettre la résine J'ai mis quelques gouttes de résine sur le revêtement en époxy, et après 2 jours de contact il n'y a rien eu, ce qui me rassure. Grâce à @Kachidoki et l'i3-RDX, mes plaques latérales sont maintenant en double couleur Les plus grosses modifications sont au niveau des LEDs et de l'électronique. Je passe de 4 LEDs 10W à 15 LEDs de 5W, pour une puissance max d'environ 75W. J'utilise donc une alimentation de 24V pour soulager l'intensité présente dans la machine (21V et 3,5A niveau UV). Un ventilo de 80mm positionné verticalement vient refroidir les dissipateurs sous les LEDs. Des lentilles de 60° sont positionnées sur les LEDs, afin d'optimiser le flux lumineux venant sous l'écran. Le réflecteur est maintenant recouvert de Mylar et non plus d'aluminium. J'avais prévu d'assembler l'imprimante rapidement, mais il me manque encore quelques pièces à recevoir, l'électronique a changé entre-temps (régulateurs DC) Voici le schéma électrique, qui est un peu plus complexe qu'avant : A bientôt4 points
-
La broche vendue avec la machine a malheureusement rendu l'âme, j'ai donc monté le router : https://twotrees3d.com/products/two-trees-30000rpm-wood-router-for-cnc-machine Cela permet d'augmenter la vitesse des déplacements. Passons au montage de la machine : Une chose intéressante, ils ont intégré une tête de graissage automatique, pour les rails linéaire. : Une fois le montage fini, elle fonctionne, avant, arrière, haut, bas. Mais je reste surpris, il manque des câbles non connectés, mais aucune trace dans le manuel, les end stop et le détecteur de sécurité. Pour le montage, je vous conseille de regarder la vidéo du constructeur, en effet, il y a des connectiques très bien cachées. :-) Voici une fois monté, mais on peut voir que si on souhaite utiliser toute la surface de travail, il y a des serres joint afin que les grandes pièces soit maintenue.4 points
-
Juste pour information Hier, Anycubic a suivi la tendance et a ouvert le code de son firmware, incluant un même port de Klippy en Go (). J’ai signalé l’absence du toolchain ARM et ils l’ont ajouté en moins d’une heure. J’ai effectué un mini-fix et soumis un pull request qui a été mergé. Ils sont attentifs — ce n’est pas un simple dump de sources. Le code est propre et on sent de l’implication. Point négatif : c’est une grosse piqûre de rappel. J’ai donc décidé de donner un ultimatum à Caleb / Artillery. Depuis des mois, on me répond « on regarde / on y travaille »… suivi y compris de blocages sur Fluidd. Après des mois de promesses, ils m’ont envoyé un dépôt GitHub censé être « les sources de Klipper » qui ne contient même pas tout les fichiers binaires de l’imprimante (certain bien...) et ne correspond donc à rien de fonctionnel — je n’ai même pas osé partager ça - ma version de Klipper est de loin plus à jour. Je suis fatigué : Ils ont introduit de l’obfuscation dans le firmware, y compris après certaines de mes remarques — de manière maladroite, mais l’intention est là. Ils n’ont pas le contrôle sur le software: le firmware et la solution OTA sont gérés par MKS (Makerbase). Artillery / YunTu n’a apparemment aucune maîtrise sur ce travail — ce qui explique qu’un firmware aussi mauvais n’ait pas été corrigé après plus d’un mois. J’ai reçu des versions contradictoires entre le support et Caleb : « On va ouvrir » / « C’est propriétaire ». La sécurité de l’imprimante est douteuse, tant sur le plan logiciel que matériel — même certains concepteurs originaux ont laissé des commentaires inquiétants sur les risques, en s’exonérant des conséquences potentielles. (en chinois) Même le simple fait de pouvoir reflasher le firmware vers 1.0.10.00 m’a demandé des jours de discussions avec eux. Sans accès clair et complet aux sources, il est insensé de continuer. J’arrêterai donc mes activités sur la M1 demain si je n’obtiens pas une réponse claire. Je préfère consacrer mon temps libre à autre chose plutôt qu’à chercher des solutions de contournement et me faire balader...3 points
-
Bonjour. J'ai 3 deltas : Ma première, une Rostock maxi (faite main en bois, acier et alu) sous klipper, une flsun Q5, et une emotiontech originale passée sous klipper avec une carte SKR (la carte d'origine a brulé ... avec l'alim !). La rostock, c'est un monument de plus d'un métre de haut. Rachetée en pièces à quelqu'un qui n'a pas pu la finir, j'aurai mis plus de 6 mois pour la faire imprimer. A l'époque, klipper commençait juste à prendre les deltas en charge. Elle restera la première a avoir franchi les 100mm/s chez moi. Filament de 3mm (bien meilleur que le 1.75mm pour les montages bowden car beaucoup plus rigide), extrudeur double drive à réduction 1/11 fait maison (pour du fil de 3mm, ça n'existait pas et c'était indispensable), rotules magnétiques (donc sans jeu), bras carbone, moteurs 400 pas, Jhead (une vraie !), raspberry Pi intégré. Une bête qui produisait des pièces de très bonne qualité. Elle ne tourne plus depuis au moins 2 ans, mais elle est restée sur le bureau. La Flsun est restée "stock". Elle marche très bien comme ça. L'EmotionTech, c'est une folie. La restauration aura couté plus cher qu'une imprimante d'occas identique mais tant pis. SKR1.3, un client léger Itium 4030 comme cerveau (à la place du Raspberry), extrudeur "retourné", une alim PC pour tout le monde. Pour l'instant, je plafonne à 80mm/s, mais ca marche et en WiFi svp ! Effectivement : quand on aime, on compte toujours trop tard !3 points
-
C'est en avant-première, puisque la disponibilité de la machine est fixée au 9 octobre, que nous avons reçu un exemplaire de la Creality K2 en version Combo avec un CFS. Je ne craignais pas de recevoir un prototype encore en "bêta" puisque ce modèle partage de nombreux composants avec la K2 Plus qu'on ne présente plus et la récente K2 Pro. La K2 "tout court" perd quelques fonctionnalités et des centimètres de volume d'impression mais conserve l'essentiel, en retirant néanmoins la possibilité d'imprimer des filaments haute température puisqu'elle n'embarque pas de chauffage du caisson. La Creality K2 reste néanmoins une très bonne base : CoreXY Caisson fermé Extrudeur Direct Drive avec hotend à remplacement rapide et buse Unicorn à 300°C max Volume de 260 x 260 x 260 mm Caméra intérieure WiFi Mais aussi, en version "Combo" : Livrée avec un CFS (Creality Filament System) pour les changements automatisés de filament Compatible jusqu'à 4 CFS, soit 16 bobines disponibles pour l'impression d'un objet Côté logiciels et écosystème : Creality Print sur ordinateur Creality Cloud, l'application mobile Crealitycloud.com pour trouver des modèles 3D avec profil d'impression K2 Accès root possible sans bidouille Pour ceux qui ont suivi, c'est cette K2 Combo que nous vous faisons gagner sur Instagram, en partenariat avec Creality. Enfin, le gagnant recevra un exemplaire neuf, directement envoyé par le constructeur. https://www.instagram.com/p/DPGzr2SifpX/ Notre fiche technique + comparer les prix de vente de la Creality K2 (Combo) https://www.lesimprimantes3d.fr/comparateur/imprimante3d/creality-3d/k2-combo/ Page produit chez Creality https://store.creality.com/fr/products/creality-k2-combo-imprimante-3d3 points
-
La Dagoma D200 n'avait pas de plateau chauffant et on arrivait à imprimer du PLA sans soucis (j'avais un buildtak). Point suivant, s'assurer que la hotend à un capuchon en silicone et que le ventilateur qui sert à refroidir les pièces ne souffle pas inutilement sur la buse. Et pour finir, il y a 10ans on transférait les fichiers vers l'imprimante avec une carte SD et on avait des écran LCD tout simple avec un encodeur rotatif. Depuis on a des écrans tactiles et des interfaces web, parfois en ajoutant un raspberry ; seulement ce dernier consomme quelque Watts.3 points
-
Salutation ! Roulement de tambour ( pour ajouter du suspense ) ! Bonne chance à tous les participants ! Bonne continuation à tous.3 points
-
il va falloir que notre ami construise un garage à côté de sa maison pour tous ses véhicules3 points
-
suite de l'aventure, Creality nous à proposer l'échange des 4 imprimantes K2+ contre 4 imprimantes K2 pro c'est plutôt sport de leur part et au vu des différences qui vont dans le bon sens, en particulier un réglage des courroies manuel et un chauffage qui n'est plus juste sous la fenêtre de purge, on a accepté d'autant plus qu'elles sont bien fatiguées Creality semble avoir tiré les enseignements de tous ce qui a pu être publié sur la K2+ @MrMagounet3 points
-
Bonjour, ca y est, je viens de le mettre en fonction. La notice n'est pas très claire concernant les charnières mais en réfléchissant 2 secondes, c'est évident (mais pourquoi avoir mis 4 charnières alors qu'il n'en faut que 2 ) La clé BTR est un peu trop fort en taille, les vis d'origine s'y incrustent bien en forçant, les nouvelles vis ont du mal à êtres agrippées par cette clé. Le bruit de la ventilation est très acceptable. Le fonctionnement est exactement du même principe que sécheur Sunlu S1. J'ai laissé mes billes de déssiccant dans mon AMS, je verrais si l'humidité reste stable.3 points
-
Un petit message pour ceux que ça peut aider, quelques pièces que j'ai faite pour fiabiliser l'impression sur cette magnifique petite machine: Une chaîne porte-cable, le système d'origine est mal conçu: le câble de la tête vient taper sur le pilier gauche à chaque mise à zéro de l'axe X. Les conducteurs finissent par se briser à l'intérieur, et le moteur de l'extrudeur ne fonctionne plus. Une misère à réparer. Pour prévenir ça, ce type de système est obligatoire pour moi: https://cults3d.com/fr/modèle-3d/outil/cable-chain-upgrade-for-artillery-sidewinder-x4-pro Il y a un problème de conception sur cette machine, l'axe Z a du jeu et il a été impossible pour moi d'avoir un Z-offset fiable. Même en le réglant manuellement, la valeur n'est pas la même suivant qu'on règle en montant ou en descendant. Un utilisateur a créé ces petites papattes à enficher sur les supports des écrous de l'axe Z pour éliminer ce jeu, plus de problème depuis et j'ai pu largement augmenter la vitesse d'impression: https://www.thingiverse.com/thing:66989183 points
-
Et les aléas qui vont avec, je sais que @mykidox n'a pas fait exprès de laisser trainer ce test en longueur3 points
-
Ça ne me dérange pas du tout que les gens réagissent ou critiquent, au contraire, ça permet de se corriger et d’améliorer le projet. Fabrication locale en grande quantité : Même si chacun imprime avec sa “petite bécane”, la somme des contributions crée une vraie capacité collective de production. C’est ce principe qui rend le projet intéressant à grande échelle. Valorisation du savoir-faire : Tu as raison, tout le monde n’est pas pro, mais beaucoup le sont ou travaillent à leur compte. Le frelon asiatique touche tout le monde, et ce projet montre qu’on peut aujourd’hui fabriquer localement, avec des outils accessibles, sans passer par des productions injectées venues de Chine. Le client qui achète un piège sait comment il a été fabriqué, et demain, il pourra très bien faire appel à un de ces “makers” locaux pour d’autres besoins. Accessibilité pour tous à bas coût : Effectivement, j’aurais dû formuler différemment — c’est surtout “à bas coût pour ceux qui impriment eux-mêmes”. Pour les apiculteurs, la solution est d’investir dans une imprimante : ça leur permettrait aussi de bricoler plein d’autres choses utiles pour le rucher, j'y travaille avec ceux que je connais déja. Durabilité et évolutivité : Là aussi, c’était mal formulé de ma part. Ce que je voulais dire, c’est que ceux qui possèdent une imprimante pourront profiter des évolutions et les imprimer librement et gratuitement. Ceux qui achètent un piège tout fait ne pourront pas forcément le faire, effectivement. Beaucoup de gens impriment aujourd’hui des pièges trouvés sur Internet, souvent non sélectifs et sans réelle réflexion derrière. Ils tombent sur un fichier, ils l’impriment, le vendent, et c’est tout. Moi, j’ai voulu faire l’inverse : concevoir un dispositif réfléchi, efficace et respectueux de l’environnement, en partageant une partie du travail pour permettre une fabrication locale, raisonnée et collaborative. Le but, ce n’est pas juste de “vendre un piège”, mais de faire évoluer un concept collectif, avec une base solide, améliorée avec le temps. Et ceux qui veulent s’impliquer peuvent le faire librement — c’est ça, l’esprit du projet VespiGuard. Merci encore pour tes remarques constructives !3 points
-
Comme toujours très beau test de notre ami @isidon, je ne suis pas imprimeur résine par manque de place pour ce type d'imprimante mais j'apprends toujours quelque-chose avec ses tests et vidéos3 points

