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Contenu populaire
Contenu avec la plus haute réputation dans 23/05/2024 Dans tous les contenus
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Un truc Multi-usages ? ( qui peut par exemple être utilisé en dessous de verres ? il ne fallait pas parler d'apéro )2 points
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saperlipopette de la ficelle pour le rôti du dimanche ... si j'ai bon tu me dis l'heure pour dimanche ... j'amène le dessert !2 points
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Comme pour les Qidi, la distribution Armbian sur laquelle s'appuie le système d'exploitation est une Buster (passée en fin de vie depuis au moins un an donc plus du tout maintenue ). Armbian a d'ailleurs supprimé les dépôts «buster» (voir ici, ne restent pour les dérivées Debian (Armbian) que les versions Bullseye (plus pour très longtemps, d'ailleurs) et Bookworm). C'est justement la ligne rapportant ton erreur ci-dessus. Pour ne plus avoir le message d'erreur, le plus simple est d'éditer le fichier /etc/apt/sources.list.d/armbian.list et de commenter la ligne concernant le dépôt (ajout d'un dièse (#) en début de ligne : mks@mkspi:~$ cat /etc/apt/sources.list.d/armbian.list #deb http://apt.armbian.com buster main buster-utils buster-desktop Pour connaitre les caractéristiques d'une caméra, j'utilise l'outil «v4l2-ctl» du paquet «v4l-utils» (à installer si absent (sudo apt install v4l-utils) connaissant le périphérique vidéo (ls -l /dev/video* ou ls -l /dev/v4l/by-id/*) v4l2-ctl -d /dev/video3 --all (pour afficher toutes les infos) v4l2-ctl -d /dev/video3 -l (L minuscule pour n'avoir que les capacités, -h pour l'aide) Via lsusb avec l'option -v ou -vv, on peut lister également les définitions possibles de la caméra (sections VideoStreaming Interface Descriptor:, paramètres wWidth et wHeight).2 points
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Pourquoi les gens du marketing nous prennent toujours pour des cons ? Encore un exemple avec le F1 Ultra. Dans la pub sur ce nouveau laser (au demeurant très intéressant), il y a ce message qui évolue chaque jour. Cela fait plusieurs jours que je le regarde (bêtement je l'avoue) et il évolue environ de 50 contributeurs par jour, donc à ce rythme il arrivera à l'objectif des 1000 contributeurs exactement la veille du 29 mai, date à laquelle Xtool offrira le coupon gratuit "grande surprise" et nous demandera de valider nos commandes.2 points
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@pascal_lb Pour info, ça y est j'ai solutionné mon problème de connexion via Moonraker 1.9.1. La solution après maintes tentatives de tout genre était finalement toute simple : ne pas mettre de port ! Sur la version précédente, sans port = pas de connexion, sur celle-ci, le port = pas de connexion. Allez comprendre...1 point
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@silvertriple je viens de lire la totalité de ton sujet, bravo pour ton travail et merci pour l'astuce du Glanzer1 point
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Oui on peut le dire ... enfin surtout avec du temps et de l'acharnement. Avec mes diverses activités sur MakerOnline pour l'instant, cela m'a permis d'avoir 150 USD de bon d'achat ( des bons de 10, 20 et 40 USD. un seul utilisable par commande non cumulable avec d'autre offres) et (pour l'instant) 400 USD de carte cadeau ( 8 cartes cadeau de 50 USD, grâce a 8 post retenus lors des "Daily Print Reward", sachant que les cartes cadeaux sont cumulables avec d'autre offres et sur une même commande.)1 point
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oui bingo ! un Carousel Creative Kit Ce qui donne Là encore ! Bingo ! Un Star Tunnel Kit (mais là je n'ai pas encore imprimé le modèle 3D et je pense probablement utiliser seulement le ruban LED RGB dans une boite a ombres plutôt qu'avec le modèle proposé) Et j'ai obtenu les deux kit, a un prix dérisoire car j'avais des coupons de 10 et 20 USD grâce a des points gagné sur MakerOnline1 point
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Ça ressemble à une tension instable, non? Tu n'aurais pas un câble mal branché qui génère des pics de consommation et donc effondrement de la tension?1 point
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Salut, A priori, c'est un problème de communication entre le microcontrôleur et le pilote du moteur Z via la liaison SPI. Si il est activé dans le firmware, tu peux envoyer le Gcode M122 pour avoir un rapport sur le paramétrage des pilotes oups, tu es sous Klipper Apparemment, c'est la commande DUMP_TMC STEPPER=<name> (voir la doc)1 point
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En général, dans ces cas là, via putty, par exemple, installé sur l'ordi, on envoie la commande ls /dev/serial/by-id/* pour connaitre le nom du port série sur lequel est branchée l'imprimante. Parfois un ls /dev/serial/by-path/* fonctionne en cas de problème avec la version by-id. Rappel: Sauf erreur de ma part, @hyoti utilise un SonicPad. Si il a l'occasion de passer sur le forum, il pourra sans doute t'aider plus efficacement que moi1 point
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Hello @fran6p! Ben c'est ce que je pense avoir fait, en suivant les indications données sur cette page.... Mais non, ça ne le fait pas. Du coup, retour à l'USB pour la énième fois! Dans l'opération, j'ai perdu la liaison WiFi, marche plus du tout. Il doit y avoir moyen de transférer les fichiers à imprimer via sdCard non? Jamais fait avec Klipper. Je crois que je vais fermer le boîtier, mettre un menhir dessus, et gare à celui - celle qui y touche!1 point
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Chacune de ces interfaces possède une documentation (en anglais) Fluidd / Mainsail1 point
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Oui oui j'ai vérifié et le branchement est belle et bien correct Le câble n'étant pas abîmé je pense tout simplement que la cartouche de chauffe a pris un coup Du coup j'en ai commandé un autre sur 3D jack. Merci en tout cas pour vos retours1 point
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c'est du grand Mendes ne te vexe pas, je n'ai pas pu résisté ... et t'inquiète j'y suis passé avant toi sur d'autres imprimantes, bon courage ça va être du grand Mendes1 point
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@Epsilon sans vouloir être taquin mais le branchement est il correct tout bêtement ? faudrait pas que1 point
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C'est bien des buses unicorn car j'ai la dernière version de la K1 max => buse unicorn J'ai envoyé un message a creality par le tchat, on verra leurs retour ... SAV possible ? affaire a suivre. Buse mal vissée, c'est celle sortie d'usine donc si c'est le cas mal serré d'usine un peut dégoutté car même l’élément de chauffe a sauter donc impossible de faire monter en température le bordel ... tout au décapeur thermique Quand je pense que mon ancienne Ender3 a 150€ n'a jamais eu de problèmes après des 100enes d'heures sans entretient (même pas de changement de buse) ...1 point
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640 × 480 mais c'est la résolution par défaut paramétré par Qidi, qui ne doit pas être le max en résolution de la camera. (Edit > ) Mais, je n'ai pas encore cherché a modifier cette valeur de résolution pour ne pas avoir un flux vidéo trop lourd ou qui prend trop de ressources sur la machine.1 point
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J'ai vu les mêmes à la TV hier soir dans un reportage sur les quartiers nord de Marseille C'est pour l'impression 3D FDM ?1 point
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C'est quel type de buse le même que la K1C ou les "normales" ? Ca ressemble à une buse fendue ou mal visée. Pour le capot le mieux c'est de t'adresser directement à Creality, et même leur envoyer une photo ... En tout cas ça va pas être simple à retirer.1 point
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Rhoo je l'avais oublié ce dépôt. ^^ Oui c'était une belle machine en son temps, conçue avant l'arrivée des premières Tenlog... Mais le projet n'a jamais attiré les foules, probablement faute de marketing. Si tu veux des infos n'hésites pas à me PM. Dommage que mon prototype (celui encore basé sur la BTT GTR) dorme dans un placard aujourd'hui...1 point
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Ce que PommeVerte dit est uniquement valable que pour la fabrication additive alors qu'il en fait une généralité, la fabrication additive ne représente qu'une infime partie des procédés de réalisation des pièces, la plupart le font par enlèvement de matière. Même si on est dans un forum d'impression 3D on ne peut pas laisser dire n'importe quoi ! Rien de mieux que le message du logiciel (version 2024 SP01):1 point
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salut @Guillaume3D bonne nouvelle tu dois être soulagé ... dans l'impression 3D on a parfois la sensation d'y perdre son latin j'ai plutôt du augmenter les températures, en moyenne 5° / à une buse standard et ajusté la PA et j'étais parvenu à la conclusion que le volume à fondre étant légèrement plus important c'était logique. ça nous rappelle la nécessité de tester chaque filament avant toute chose sympa cette astuce merci pour le partage ... j'ai un TPU qui est trop adhérent je vais tester cela pour voir si ça améliore1 point
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@fran6p Nous sommes d'accord ! Je suis avec le ventilateur 5010 d'origine. Oui j'ai bien vérifié qu'il fonctionnait bien et j'ai aussi repris le cheminement des cables vers la carte pour dégager le plus possible le parcours de l'air entre le ventilo et le contrôleur et aussi la MCU. Ce qui est bizarre c'est surtout que cela se produit après avoir mis en chauffe la machine ou après la fin d'un job. En cours d'impression le contrôleur est dans les 50°C et la MCU dans les 40°C. Passer avec un 80 mm va augmenter le débit d'air et la surface ventilée, donc mieux refroidir si il est alimenté à sa tension nominale, même avec un Noctua. Je vais remonter le problème au support Qidi pour avoir leur avis.1 point
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L'informatique c'est bête et discipliné, lorsque ça écrit un fichier sur la clé USB ça le fait dans l'ordre, du début à la fin. Si tu retires la clé avant la fin, il manque juste la fin. Tu peux bien sûr aussi avoir une corruption du système de fichier, généralement Windows te le dit lorsque tu remets la clé en proposant de la réparer. S'agissant d'un simple fichier texte (G-Code), une corruption se traduit uniquement par un fichier incomplet. S'il s'agissait d'un type de fichier différent, par exemple un pdf ou un zip, le fichier ne serait plus lisible du tout. Par souci de performance, les écritures ne se font pas octet par octet, mais par blocs entiers. Or généralement le dernier bloc n'est pas complet, et donc reste en RAM en attente de futures données à écrire. Lorsqu'on utilise le bouton d'éjection, le bloc incomplet est synchronisé immédiatement sur la clé. C'est très simplifié, mais tu as l'idée et l'explication du pourquoi il ne faut jamais arracher une clé USB sans l'éjecter proprement.1 point
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Sur la P1S le ventilateur AUX envoi l'air directement sur la pièce côté gauche, du coup j'avait du warping de ce côté sur les grandes pièces. Ma première solution a été de couper ce ventilateur mais avec la porte fermée j'ai préférée l'avoir en marche donc j'ai modélisée un déflecteur qui envoi l'aire vers le haut et pas sur la pièce, ça permet d'avoir un brassage de l'aire même porte fermée.1 point
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Bonjour, Les détails de la misa à jour 0.12 de Klipper : Si je peux me permettre un conseil, si ces modifications ne vous sont pas nécessaire et ou si votre machine fonctionne correctement, abstenez vous.1 point
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Dans le monde de l’impression 3D, le microgiciel (firmware) Klipper devient de plus en plus populaire. Peu d’imprimantes en sont équipées d’origine, l’exception étant les machines Voron ou Ratrig (RatOS) qui ne sont pas vendues telles quelles : il faut d’abord sourcer toutes les pièces nécessaires, attendre la livraison d’icelles et finalement procéder à leur assemblage / montage / calibrage. Heureusement, quelques fabricants d'imprimantes 3D commencent à produire et vendre des imprimantes fonctionnant avec ce microgiciel Klipper au lieu de l’habituel Marlin : Flsun avec sa V400 , Biqu / Bigtreetech avec sa Hurakan et d'autres à venir. Avant de céder à cette « mode », un petit rappel me semble nécessaire afin d’éviter toute déconvenue et/ou désillusion. Qu'est-ce que Klipper ? Klipper est le logiciel pilotant l’imprimante 3D à l’instar de Marlin. Le microgiciel (firmware) Marlin actuellement équipe la majorité des imprimantes 3D amateurs. L’imprimante pour peu qu’elle soit équipée d’un écran de contrôle est entièrement autonome. Un matériel informatique peut toutefois être relié à l’imprimante via un câble USB pour permettre de la contrôler plus agréablement. Klipper, contrairement à Marlin, ne s'exécute pas uniquement sur la carte de l'imprimante, mais répartit le travail entre un matériel informatique et la carte mère de l'imprimante. Sans ce matériel informatique supplémentaire une imprimante «klipperisée» ne peut fonctionner seule. Dans les dessins ci-dessus, tout ce qui est encadré en vert correspond à des compléments facultatifs, les éléments indispensables et suffisants sont eux encadrés en rouge. Dans la suite de ce document, j’utilise l’acronyme RPi en lieu et place de RaspberryPi pour indiquer simplement le matériel informatique accueillant le système d’exploitation Linux (unité de calcul ci-dessus). Ce matériel informatique peut être une Raspberry Pi (actuellement difficilement trouvable à cause de la pénurie de composants électroniques actuelle) ou n’importe quel autre matériel informatique « récent » : autres SBC (Small Board Computer), AndroidTV, PC (terme générique pour Personal Computer indépendamment du système d'exploitation), un smartphone Android, des tablettes « tout-en-un » genre Flsun SpeederPad ou Creality SonicPad, … Un RPi possède plus de mémoire et plus de puissance de calcul qu’une simple carte d'imprimante 3D munie de son microcontrôleur. Le système d’exploitation sous-jacent est une distribution Linux. Ce qui offre plus de possibilités que ce qu’offre le système de gestion des cartes à microcontrôleur de nos imprimantes 3D. Linux offre : un accès au système de fichiers, l’utilisation de langages de programmation (python, …), une connexion réseau (Ethernet et/ou Wifi), la gestion du multitâche, … NOTE IMPORTANTE Pour tout système Linux, au moins un utilisateur possédant des droits élevés est nécessaire à l’accomplissement de certaines tâches sur le matériel (mises à jour du système, installation de logiciels, …), nommé «root» (un peu l’équivalent de l’administrateur système de Microsoft Windows). Cet utilisateur « privilégié » est tout-puissant à l’intérieur du système, il peut donc faire tout ce qu’il souhaite y compris des dégâts ; raison pour laquelle quand des tâches potentiellement « dangereuses » doivent être réalisées, il faut les faire en toute connaissance de causes en précédant ces commandes du terme «sudo» ( ex : « sudo rm -rf / » (commande à ne pas tenter évidemment)). Le mot de passe sera alors demandé avant d’exécuter la commande. Ces capacités avancées d’un RPi sont utilisées par Klipper (langage Python) pour effectuer une analyse GCODE plus approfondie ainsi qu’une planification plus précise des mouvements basée sur des modèles cinématiques. Aucune carte 32 bits de nos imprimantes même équipée de plus de mémoire et de puissance CPU ne peut rivaliser. La partie microprogramme de Klipper (microgiciel) de la carte de l'imprimante contient un très petit noyau de traitement. Microgiciel qu'il faudra flasher (installer) sur la carte de l'imprimante. Celui-ci est chargé de gérer les périphériques (moteurs pas à pas, chauffage, écran LCD, ventilateur, capteurs de température, etc.). Cela correspond à l’unité de contrôle (dessins ci-dessus). Avantages de Klipper Les mouvements de l'imprimante semblent plus fluides et plus rapides. Même avec de simples pilotes Allegro A4988, le bruit du moteur est réduit, cependant pas autant qu'avec des pilotes TMC (2208, 2209, … par exemple). La configuration de l’imprimante est facilement modifiable (via un fichier « texte » : printer.cfg) sans devoir installer un nouveau firmware (compiler, flasher). D'autres avantages méritent d'être mentionnés, par exemple : la «Pressure Advance». À l’identique du «Linear Advance» de Marlin, il s’agit d'un modèle physique de commande du moteur de l'extrudeuse. En gros, cette modélisation tient compte du fait que l'extrusion réelle suit les mouvements du moteur en tenant compte de l’accumulation et de la diminution de la pression dans le filament liquide/rigide. Il est même possible de compenser, atténuer, voire supprimer, la résonance afin de réduire le "ringing", «ghosting» (≃ phénomène d’écho) via l’«Input Shapping». Ce paramètre peut être calculé manuellement ou bien automatisé via l’adjonction d’un composant électronique comportant des accéléromètres (ADXL345). Possibilité de gérer plusieurs matériels / cartes en même temps (mcu). La carte initiale n’a plus assez de sorties pour l’ajout de nouveaux moteurs, il suffit d’ajouter une deuxième carte et de paramétrer / compléter le fichier printer.cfg pour en tenir compte. Large compatibilité avec le GCODE des trancheurs courants (Cura, Superslicer, Prusaslicer, …). Ainsi le flux de travail habituel peut être maintenu. Utilisation de macros GCODE, que l’on peut assembler pour traiter des séquences de commandes à la manière d’un "script". Par exemple, réduire au minimum le GCode de démarrage ou d'arrêt (START_PRINT, END_PRINT), émuler des GCodes inexistants. Possibilité d’utiliser les paramètres transmis par le trancheur (par exemple, les valeurs de température dans le code de départ). Grâce aux Gcode étendus, Klipper permet de gérer facilement de nombreuses étapes d'étalonnage / calibrage : aide au nivellement du plateau, recherche des bons paramètres de pression-avance, … Dans de nombreux cas, c’est plus confortable que ce à quoi Marlin nous a habitué. Inconvénients de Klipper L'imprimante ne peut être utilisée qu'en conjonction avec un RPi. Ce qui signifie que l'imprimante perd son indépendance. Il reste possible de remplacer la carte contrôleur par une autre, incorporant les deux unités (calcul / contrôle, voir plus haut) comme : la Bigtreetech (BTT) Manta, la Mellow FLY-Gemini, la Mellow FLY-Puppet, la MKS SKIPR, la PandaPi, … Le port série (port USB) de la carte imprimante n'est plus disponible pour l'envoi de GCODE, ce port est nécessaire à la communication entre le RPi et la carte imprimante. Les écrans TFT, tactiles ou non, de plus en plus courants sur de nombreuses imprimantes 3D ne sont pas pris en charge. Si votre imprimante en est équipé, vous ne pourrez plus l’utiliser. Klipper ne gère que les écrans LCD simples avec encodeur à bouton (contrôleur graphique RepRap 2004 ou 12864 et ses variantes). Klipper n'est pas aussi répandu (actuellement) que Marlin. Le risque existe d'obtenir moins d'aide en cas de problème qu'avec la norme de facto Marlin. Klipper fournit une abondante documentation assez technique (en très grande partie en anglais, des traducteurs sont les bienvenus pour d'autres langues ) qui peut (pourrait) rebuter un novice. Passer de Marlin à Klipper nécessite un réel effort d’apprentissage, cependant de nombreux canaux permettent d’obtenir de l’aide (Github, Documentation, Discord, Discourse (forum), Reddit,…) Klipper fonctionne sur des systèmes équipés de Linux comme OS. Une connaissance et maîtrise minimale de Linux (ligne de commandes) est évidemment utile. La copie / recopie d’exemples proposés sur divers sites peut évidemment fonctionner, tant que l’on ne rencontre pas de problème. Je ne suis aucunement un expert, mais un simple amateur avec quelques connaissances / compétences dans plusieurs domaines (Linux, Klipper, Marlin, …), connaissances acquises par la pratique que je souhaite simplement partager. « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. » Proverbe africain En écrivant ces lignes, j’espère simplement accroître la popularité de Klipper auprès de la communauté de l'impression 3D et faire en sorte que le passage de Marlin à Klipper relève d’un « educated guess » (expression anglo-saxonne signifiant peu ou prou « en toute connaissance de causes ») plutôt que la poursuite d’une mode au risque de déceptions. Ce fil se poursuivra avec le test de plusieurs matériels « tout-en-un ».1 point
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Hello, Pour qu'une impression se déroule le mieux possible, il est nécessaire de réaliser des calibrages (nivellement du plateau, débit, température, rétractation, etc.) Aujourd'hui nous allons voir comment les réaliser simplement grâce au logiciel Superslicer. Avant de commencer, il faut télécharger le logiciel https://github.com/supermerill/SuperSlicer/releases (les liens se trouvent dans "assets" | Attention à bien choisir une version finale (la dernière version finale du moment). Il ne s'installe pas, il faut simplement lancer l’exécutable. Il est à noter que Windows l'a reconnu, sur mon PC, comme logiciel indésirable et que l'antivirus PANDA l'a mis en quarantaine dès que j'ai cliqué dessus Les utilisateurs de PrusaSlicer ne seront pas dépaysé par SuperSlicer. Pour débuter, allez dans "Calibration", puis choisissez le réglage que vous désirez. On va commencer par le plateau. Une fenêtre s'affiche avec des explications et deux boutons dont un "Générer" En cliquant dessus, Superslicer va générer du code pour imprimer 5 pavés. Un fois la fenêtre fermée, il suffit d'exporter le Gcode (en bas à droite) sur une clé USB puis de lancer l'impression. Une fois l'impression terminée, vous pourrez comparer les objets imprimés avec les images affichées plus haut dans le tuto. 2nd test, le débit Comme vous pouvez le voir, il y a 2 tests proposés. Un pour dégrossir et un pour peaufiner. Voici un exemple de ce qui est imprimé. A ce stade, il y a 3 possibilités de réglage. Soit vous modifiez le facteur de correction dans le trancheur (comme c'est indiqué dans les explications du test) Soit vous changez le réglage dans l'imprimante Soit vous intégrez le nouveau débit dans le fichier Gcode que vous allez imprimer Le problème du réglage dans le logiciel, c'est qu'il va falloir le faire dans tous les logiciels que vous utilisez. Pour ma part, durant les réglages j'ai opté pour l’intégration d'un --> M92 E461 --> dans le Gcode de test de débit. M92 --> réglage des steps par mm E --> Extrudeur 461 --> mon réglage Les valeurs affichées sur les pièces imprimées étant des pourcentages, il faut connaître le réglage actuel de la machine (ou y aller au pif (450 pour un extrudeur démultiplié et 100 pour un non démultiplié)). Vous pouvez trouvez ces valeurs sur votre écran (mais ce n'est pas possible pour toutes les machines) via un logiciel comme Repetier-Server dans le firmware de votre imprimante Une fois que j'ai obtenu un réglage qui me convient, je l'ai sauvegardé dans la machine. ça peut se faire via un G92 E461 M500 Ou via les écrans, ou en modifiant le firmware ou en utilisant un logiciel comme Repetier-Server 3ème test, la température là, pas le choix, le réglage se fait dans le trancheur. 4ème test, la rétractation là également, le réglage se fait dans le trancheur. 5ème test, le débit pour les ponts 6ème test, le débit pour le lissage Et enfin, deux cubes de calibration Faire ces tests prends un peu de temps mais au final vous en économiserez (ainsi que du filament) en imprimant au mieux des capacités de votre imprimante et de votre filament. Bien évidement, à chaque changement de filament, les tests en lien avec le filament sont à refaire. N'hésitez pas à laisser vos commentaires.1 point
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Bonjour a tous, Ci dessous premier print pour tester creality print 5 ... Beau résultat et encore je n'est pas démonté... Une idée de la cause de cette chose ? Du coup, ou trouver des pièces détachées de K1 max ? Le hotend pas de problème mais le cache plastique gris devant ? ( Il est fissuré a cause de la poussé de la mélasse ) Merci0 points
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Merci pour ta réponse !! Il va me manquer 5cm pour la caler dans mon placard dégouté...0 points