Aller au contenu

Classement

Contenu populaire

Contenu avec la plus haute réputation dans 04/09/2023 Dans tous les contenus

  1. La 400e édition de notre résumé hebdomadaire de l'impression 3D avec des nouveautés FDM chez Anycubic, la Qidi X-Max 3 et des super projets DIY https://www.lesimprimantes3d.fr/semaine-impression-3d-400-20230904/
    3 points
  2. @tous (heureusement que ce pseudo n'existe pas ) La suite est disponible plus haut, bonne lecture, au frais et à l'ombre si possible avec les chaleurs actuelles.
    3 points
  3. En effet j’ai oublié de préciser que Pommeverte m’a trouvé un doc pour calibrer l’extruder par rapport ne règle de 3 ! donne par un certain fran6p
    3 points
  4. C'est génial ! J'ai, semble t'il, gagné le grand prix de ce concours, une "Halot-Mage Pro". https://www.crealitycloud.com/post-detail/64c093bbb1d373b83c86c1ed En même temps je me suis donné toutes les chances avec 20 participations
    3 points
  5. Hello, J'ai réussi à obtenir des effets de dégradés avec 2 couleurs en utilisant un effet de tramage (comme on utilise dans l'impression traditionnelle). Je me suis basé sur le rapport de recherche intitulé Dual-Color Mixing for Fused Deposition Modeling Printers par Tim Reiner, Nathan Carr, Radomír Mech, Ondrej Štava, Carsten Dachsbacher & Gavin Miller. Le principe est assez simple : on alterne les couleurs à chaque couche et on module l'amplitude des vagues en fonction de l'intensité de couleur avec l'amplitude de la couleur 1 inversement proportionnelle à celle de la couleur 2. Les vagues sont en décalage 1 de phase. J'ai programmé le Gcode sur Grasshopper pour Rhino afin de pouvoir utiliser une image comme référence ou bien moduler les amplitude en fonction de la géométrie de l'objet. Cela permet des effets de dégradés intéressants. Le toolchanger de la Prusa XL permet des impressions rapides et surtout avec un minimum de gâchis : pour les exemples ci dessous on est à environ 3h d'impression avec un taux de gâche de moins de 5% en poids, là ou on serait plus sur 200% avec un système type MMU ou AMS. Je galèe un peu en ce moment à obtenir des résultats propres pour des modèles avec de grandes variations de circonférence car difficile de conserver le décalage de phase entre les vagues lorsque celles-ci sont de longueurs variables mais en bossant un peu dessus on doit pouvoir trouver un solution, si quelqu'un a une idée je suis preneur !
    2 points
  6. Que faites vous le 20/09/2023 à 15h00 ? En tout cas, chez Bambu Lab ils savent quoi faire, puisqu'ils devraient annoncer quelque chose de nouveau à cette date. Peu d'informations sont disponibles pour le moment mais c'est intriguant car il ne semble pas s'agir de l'imprimante XL tant attendue mais plutôt d'un système lié à l'impression multicolore. Voici l'image de teasing qui a été postée sur les réseaux sociaux (avec le texte : "Bambu Lab will once again light up the entrance to the realm of 3D multi-color printing on September 20th. Stay tuned!") : Est-ce qu'il s'agit d'une nouvelle tête d'impression, d'un AMS amélioré, d'un AMS utilisable par n'importe quelle imprimante (le "For Everyone" m'intrigue beaucoup) ? Réponse le 20/09, sauf si tout a déjà été leak et qu'on connaît tout avant la présentation officielle (comme souvent hélas). Personnellement, je parie sur un système comme le 3D Chameleon, c'est à dire un système qui peut faire du multi couleur avec n'importe quelle imprimante.
    2 points
  7. Allez, j'me lance ! J'ai tout bon ? Je gagne quoi ?
    2 points
  8. Bonjour, Les rails linéaires remplacent les galets. Cela apporte moins de frottements dans les déplacements et probablement une meilleure précision. En plus, on arrive facilement à l'usure des galets (ceux de base car il y a aussi des galets en polycarbonate, sensés être plus durable), alors que les rails devraient être plus pérennes.
    2 points
  9. Mais c'est que tu couperais les cheveux en quatre dans le sens de la longueur...
    2 points
  10. @Lorenzo78 je trouve ton aide tirée par les cheveux.
    2 points
  11. Petit projet pour passer le temps, j'en ai profitée pour essayer la résine Creality standard plus, je trouve qu'elle donne de meilleurs détailles que l'anycubic standard, elle est plus liquide et se sépare moins vite dans la cuve, l'anycubic au bout de quelques heure sans remuer elle se sépare, la creality n'a pas bougé en une nuit, j'ai utilisé les même paramètres que l'anycubic.
    2 points
  12. TLDR; Sujet plutôt technique qui n'intéressera que les férus d'informatique (Linux toussa…). Nous aborderons dans ce sujet la partie logicielle, à savoir : le système d'exploitation (Armbian), l'écosystème Klipper (Klipper, Moonraker, Fluidd) et le trancheur QidiSlicer (basé sur Prusaslicer, lui-même basé sur Slic3r, …). Armbian La carte Qiditech est un ordinateur monocarte (SBC en anglais, Small Board Computer) dont le contrôleur Rockchip RK3328, fonctionne avec un système d'exploitation dérivé de la distribution Debian pour les architectures ARM: Armbian. Qiditech utilise l'image système fournie par Makerbase pour son matériel MKS PI, ce que semble nous indiquer la section «Information système» de l'interface Web Fluidd (accès via le port «inhabituel» de 10088 ) : Dommage que cette version soit ancienne (buster), deux versions majeures sont apparues depuis (bullseye et bookworm il y a quelques mois déjà). Le Github de Makerbase du MKSPI précise quels utilisateurs (avec leur mot de passe ) existent (root et mks) : Ni une, ni deux, je tente une connexion ssh vers cette carte (PuTTY, Mobaxterm, le ssh natif de Windows ou encore WSL… il n'y a que le choix). ssh mks@192.168.1.125 et voilà le résultat (connexion via MobaXterm) : Cool Même si Qiditech ne donne pas ces informations, on a donc un accès complet au système. On va donc pouvoir aller regarder de plus près ce qui existe sans avoir à «bidouiller» pour accéder au système d'exploitation (d'autres constructeurs feraient bien de s'en inspirer). Le «home» de l'utilisateur mks ainsi que celui de l'utilisateur «root» (celui qui a tous les droits sur un système Unix) permet de prendre connaissance ce qui a été installé : Chose intéressante, KIAUH est installé mais comme préconisé par Qiditech, je ne vais pas, pour le moment, l'utiliser pour faire des mises à jour. A son premier lancement `./kiauh/kiauh.sh`, j'ai droit à une demande de mise à jour de lui-même : Une fois KIAUH mis à jour, je vérifie simplement quelles sont les versions de Klipper, Moonraker et consorts. Comme je le redoutais, ce sont d'anciennes versions qui si elles devaient être mises à jour nécessiteraient de reflasher le firmware Klipper sur les cartes et de sérieuses modifications ayant été introduites dans Moonraker en fin d'année passée (novembre / décembre 2022) demanderaient là aussi un peu de travail pour rendre le tout compatible (chemins d'accès, base de données, etc.) : Avant d'aller plus loin avec l'écosystème Klipper, revenons au système d'exploitation proposé par Qiditech (Armbian buster). Mise à jour du système En remarque préalable, aucune notification de la part du système ne nous signale quand / s'il y a une mise à jour disponible . C'est à l'utilisateur d'aller consulter soit le Github de la X-Max3 ou cette page du site Qiditech. Mince, une mise à jour «toute» fraiche est proposée (début septembre), une version v4.3.8. Ce sera la seconde depuis réception de cette imprimante. D'origine, la version système était en v4.3.3 passée après une première mise à jour en v4.3.6 : Je vais profiter de cette nouvelle mise à jour (v4.3.8) pour reprendre les étapes : récupérer l'archive via le lien plus haut, décompresser celle-ci, copier le dossier QD_Update avec son contenu (contient trois fichiers: printer.cfg, QD_Max_SOC et QD_Max3_UI5.0) à la racine d'une clé USB formatée FAT32, sectorisation de 4Ko, sans nommer cette clé (Qiditech fournit une jolie clé USB de 16Go) après avoir éjecté cette clé du PC, l'insérer dans la prise USB en haut à l'arrière droit de la X-Max 3, via l'écran tactile, accéder à la page d'informations système, puis cliquer sur le bouton Updating Au bout d'un moment (très rapide en fait), cette page s'affiche Éteindre l'imprimante et bien attendre au moins 30 secondes (le super condensateur de la carte contrôleur doit se décharger) avant de rallumer. L'écran quasi «blanc» est très peu lisible mais on arrive à distinguer que quelque chose se passe (le pourcentage croit régulièrement mais lentement ainsi que le nombre d'octets transférés. La communication se fait à 115200 bauds, Il y a une vingtaine de méga octets à transférer (probablement le firmware de l'écran (QD_MAX3_UI5.0) flashé en mode série)… Et c'est très très très long (entre une demi-heure et pas loin de quarante minutes lors de ma première mise à jour) Il vaut mieux que durant cette mise à jour, il n'y ait pas de coupure de courant Finalement après avoir patienté (un bon thermos de café), le système redémarre, la page «à propos» affiche la nouvelle version (4.3.8) ainsi que deux boutons supplémentaires (Restaurer les réglages «usine» et Activer/Désactiver la mise en veille de l'écran) Pour des mises à jour, j'ai déjà connu mieux et surtout plus rapide. Un point que Qiditech devrait améliorer à mon avis . Autres remarques: Cette mise à jour remplace purement et simplement le fichier «printer.cfg» donc si des modifications y avaient été faites, elles seront perdues sauf si une sauvegarde a été réalisée, Après cette mise à jour du système, il faut refaire deux étapes d'étalonnage (à cause du point précédent , les paramètres des résultats des calibrations en fin du ficher sont effacés (la section SAVE_CONFIG DO NOT EDIT)) : Zoffset et topographie du plateau («bed mesh»), Compensation de résonances (Input shaping) L'historique des impressions est remis à zéro et ce point là est vraiment «pénible» Survol du système, de Klipper et Moonraker L'accès ssh permet d'obtenir plus d'informations sur les versions installées même si la page d'informations système de Fluidd donne déjà des indications pour Klipper, version ancienne 0.10 Comme on l'a vu précédemment, la page des mises à jours de KIAUH affiche les versions installées et celles en cours des dépôts Github. Aucun des composants n'est récent: Klipper: v0.10.0-530, actuellement 0.11.0-267 Moonraker: v0.7.1-600, actuellement 0.8.0-138 Fluidd: v1.19.0, actuellement 1.25.2 Klipperscreen: v0.2.4-14 actuellement 0.3.4-14 Le système Armbian lui non plus n'est pas «up to date». Un «git status» dans chacun des dossiers (Klipper, Moonraker et Klipperscreen) apporte les informations indiquant quels fichiers ont été modifiés par rapport aux versions officielles De plus dans dossier QD_Update ayant servi à la mise à jour, le fichier QD_MAX_SOC (mise à jour partielle de l'OS) est une archive qui contient elle-même une archive data.tar. Son contenu permet de connaitre quels fichiers sont ajoutés et/ou remplacés dans le système Armbian Contenu de l'archive data.tar /home/mks /home/mks/klipper/klippy /home/mks/klipper/klippy/extras /home/mks/moonraker/moonraker/components /home/mks/moonraker/moonraker/components/file_manager /home/mks/moonraker/moonraker/components/file_manager/update_manager /home/mks/klipper_config /root En conclusion de ce survol rapide, Qiditech utilise des briques logicielles «Open source» mais à partir de versions datées. Qiditech a modifié un peu Klipper et Moonraker pour prendre en compte leur écran 5" associé à son serveur X (xindi). C'est la raison pour laquelle, ce constructeur recommande de ne pas faire de mise à jour mais d'utiliser plutôt ses propres mises à jour, voir cette page. C'est certainement, à l'heure actuelle, l'imprimante respectant le plus la philosophie Open source et ses licences (GPL principalement). Ultérieurement, je me pencherai plus sur la faisabilité de mettre à jour Klipper et consort dans leurs versions «vanilla». Cela nécessitera certainement de reflasher Klipper pour la carte contrôleur et la carte fille de l'extrudeur, rien qui ne me semble insurmontable mais l'objet du test de la Qidi X-Max 3 n'est pas là (j'ai encore quelque filaments à tester ). Les seules modifications / mises à jour que je me suis permis de réaliser sont : via KIAUH, mise à jour de Fluidd et instalation de l'interface Web Mainsail Les deux interfaces Web fonctionnent (Fluidd via le port 10088, Mainsail via le port 80). Mainsail signale juste qu'il serait bien de mettre à jour les versions de Klipper et moonraker pour profiter de toutes ses fonctionnalités ce n'est peut-être que sur mon imprimante mais les dates et heures n'étaient pas actualisées. Après analyse, il apparait que deux daemons de synchronisation de l'heure sont activés et visiblement entrent en conflit et se mettent en échec (chronyd et systemd-timesyncd) : Etant plus familier de chronyd que du systemd, volià les étapes que j'ai utilisées: Désactivation de systemd-timesyncd systemctl status systemd-timesyncd systemctl stop systemd-timesyncd systemctl disable --now systemd-timesyncd.service systemctl status systemd-timesyncd Modifications du fichier de configuration (serveur de temps): cat /etc/chrony/chrony.conf sudo nano /etc/chrony/chrony.conf sudo systemctl restart chronyd systemctl status chronyd chronyc sources date chronyc tracking Maintenant les dates et heures correspondent La plupart de mes matériels (imprimantes 3D, Lasers, …) sont équipés de caméras permettant de surveiller mais aussi de prendre des clichés, des vidéos. D'origine, Qiditech n'a pas de caméra. Qu'à cele ne tienne et à l'impossible nul n'est tenu. J'avais en stock une Webcam qu ne demandait qu'à être utilisée et installée. C'est chose faite (Fluidd) : Le trancheur QIDITECH, QIDISlicer Pour ses imprimantes «série 3», Qiditech ne base plus son trancheur (slicer) sur une version de Cura mais utilise comme base Prusaslicer, lui-même basé sur Slic3r, … Dans le respect de la licence, Qiditech ouvre son dépôt Github accessible ici (dernière version v1.0.5 de fin août 2023), le trancheur est aussi téléchargeable via cette page (un manuel succinct mais suffisant est également de la partie) Les profils de ses imprimantes récentes ainsi que ceux des filaments sont évidemment intégrés. Pour ceux préférant / utilisant un autre trancheur, Qiditech fournit également des profils (pour le moment Prusaslicer, Simplify3d, (Cura à venir)) ou signale que Orcaslicer peut être utilisé (pas utilisé car pas fan du tout d'une inscription obligatoire pour pouvoir utiliser ce logiciel). Dans l'ensemble, c'est le trancheur que j'ai utilisé pour tous les tests d'impression. Basé sur Prusaslicer, seules quelques modifications cosmétiques ont été apportés. Il y a juste deux onglets ajoutés: L'onglet (Device) permet dans un premier temps de paramétrer la connexion réseau vers la X-Max 3 (un didacticiel animé prend en main l'utilisateur), une fois paramétrée, la sélection de cet onglet affiche l'interface Web directement dans le trancheur L'onget (Guides) donne accès à des didacticiels animés à propos de quelques manipulations de ce trancheur: Même si l'accès à Fluidd peut se faire via Qidislicer, je préfère y accéder via mon navigateur (Firefox ou Vivaldi), je peux y régler la taille et le nombre de colonnes de ce qui est affiché (CTRL + / CRTL -) : La version de Qidislicer que j'avais installée était la version 1.0.4. Dernièrement, j'ai vu surgir cette fenêtre Mise à jour effectuée sans soucis. Voilà c'est terminé pour cette fois, en espérant n'avoir été ni trop long ni trop court (contrepéterie inside ) Pour les tests d'impression, vous pouvez aller consulter le test complet : https://www.lesimprimantes3d.fr/test-qidi-x-max-3-20231010/
    2 points
  13. Bonjour à tous, Un certain nombres de personnes m'a exprimé la déception de ne pas pouvoir utiliser la Fonction M600, ou d'autres fonctions avancées de marlin sur les SW X2 et Genius Pro équipé de la Carte Mère 32bits Artillery Ruby. Pour pouvoir activé de nouvelle fonction sur les nouvelle imprimante 32bits Artillery, il sera nécessaire d'effectuer un Flash d'un nouveau Firmware Marlin avec les fonctions souhaité activé sur la carte Ruby. J'ai réaliser un petit Tutoriel au format PDF expliquant en détail comment réussir à Flasher votre imprimante 3D Artillery équipé de la Carte Mère Ruby. ------------------------------------------------------------------------- !! Danger !! Merci de lire ceci avant d'effectué un la manipulation et hésite pas a poser des questions si besoin. Déjà je tiens à rappeler qu'il y a toujours un risque potentiel de bloquer votre carte mère, si un coupure de courant ou une erreur de manipulation est effectué. Je ne peux être tenu responsable de tous dommage occasionné, même généralement il y a rarement des soucis. Rappel : cet procédure pdf explique le flash du Firmware Marlin pour la carte Mère, il est nécessaire par la suite de Flasher un firmware TFT donc le fichier de configuration est configuré sur la vitesse 250000bauds comme ceux que j'ai mis a disposition. Le Flash du TFT ce fait par un carte micro SD dans le lecteur Micro SD de l'écran exclusivement. Ne pas utiliser le Logiciel STM32 pour Flash le Firmware TFT sur votre carte mère. ------------------------------------------------------------------------- Pour infos, les premières séries de X2 et Genius pro nécessiteront plus de manipulations, il sera nécessaire d'ouvrir le boitier de l'imprimante et de placer un câble Dupont Femelle/Femelle, pour les séries sortie plus tard il sera possible de Flasher votre imprimante sans avoir a ouvrir cette dernière. Tous est expliquer dans le Tuto PDF joint a ce Topic. Il sera nécessaire d'utilise un soft de chez STM (programmateur), et un soft de contrôle pour imprimante 3D comme Repetier Host ou Pronterface par exemple. Je vous laisse prendre connaissance du tutoriel, je vais voir pour vous concevoir un Firmware custom à partir du Marlin source d'Artillery pour vous réaliser un Firmware, plus évolué avec gestion de fonction comme le M600, Arc Welder, et autres optimisations que je peux trouver utile. (J'ajouterais le Firmware Custom pour la X2 des que possible dans ce topic). Comment Flasher une Carte Artillery Ruby.pdf Attention SMT32CubeProg version 2.16 ou ultérieur pose soucis merci d'utilisé uniquement les version 2.15 et antérieur. ------------------------------------------------------------------------ MàJ : 09/03/2023 Firmware Artillery X2 Marlin Custom 2.1.2 (input Shapping) + TFT BTT pour écran avec MCU STM32 & GD32 Mise à jour assez importante, grâce au travail d'un italien Ciotto et d'un membre du forum @gagipro nous avons enfin un firmware TFT BTT compatible pour les TFT de X2 utilisant un MCU GD32F305. A présent toutes les X2 quelques soit la vers de l'écran TFT seront compatible avec un seul firmware Marlin custom et firmware TFT BTT. Cela simplifiera la vie de tout le monde , alors hésité pas a remercié @gagipro pour ce travail. Voici la liste de rappels des optimisations et ajouts au Firmware Marlin 2.1.2 par rapport à celui D'origine Artillery. Passage à Marlin 2.1.2 (Après mise à jour le mode DFU devrait pouvoir être activé sans ouvrir l'imprimante, si vous aviez une X2 qui le nécessitait) Support de la fonction M593 Input Shapping des axe X et Y, cette fonction permet de calibrer la résonnance et supprimer les effet de ghosting sur les impressions, procédure dispo ici. Passage du baudrate pour le Flash en mode DFU en 250000 au lieu de 115200 (pour conservé une certaine logique, entre le mode non DFU et DFU). Ajustements des valeurs sur la sécurité et la prévention d'incidents thermiques. Ajustements des Feedrates (X / Y / Z / E) de la X2. Ajustements des accélérations (principalement l'accélération de rétraction qui était excessive). Remplacement des fonctions "Junction Deviation" & "S-Curve" par le "Classic Jerk" (les Jonction Déviation et S-Curve sont encore capricieuse sous Marlin pour le moment). Ajustement Feedrate du Z-Prob pour une plus grande efficacité du relevé de mesure du 3DTouch (Probing Fans Off). Activation de la fonction M48 (Test de répétabilité du capteur de nivellement automatique). Activation de la fonction "Restore Leveling After G28" (dès que un G28 est effectué les valeurs du dernier relevé sous automatiquement rechargé), plus besoin de G29 ou M420 S1 après le G28 dans le start Gcode . Activation de la fonction G26 Mesh Validation. ABL Relevé de Mesure en 49 points au lieux de 25 points (c'est qu'un avis perso mais cela apporte plus de précision sur le relevé et donc sur la première couche). Activation du "Nozzle Park Feature" et "Advanced Pause Feature" (support M600 et parcage automatique de la tête en pause). Activation de la fonction "Adaptative Step Smoothing" (Augmentation de la résolution des mouvements multi axe, surtout a certaine fréquence de fonctionnement des moteurs). Prise en compte du BabyStepping tout le temps et pas uniquement en cours de mouvement. Activation du "Linear Advance" avec valeur "K à 0" (ce qui vous permet de le laisser inactif a 0 ou d'effectué un test de calibration Linear Advance et d'ajuster sa valeur), le Linear Advance permet de garder un flux de matière constant sortant de la buse lors des accélérations et décélérations. Vidéo explication du Linear Advance & Outils de génération du Gcode de calibration pour Linear Advance. Ajustement de la fonction "ARC Welder" avec une résolution bien plus importante (vidéo de Tom's basement sur le sujet Arc Welder). Activation de la fonction M486 pour les utilisateur de PrusaSlicer & SuperSlicer (object cancelation) N.B : N'ayant pas les spécificités techniques complète du 3DTouch Artillery ici je n'ai pas activé le Mode 5v pour BLTouch (car si ce n'est pas un clone de BLTouch V3 ou supérieur le Capteur va cramer et la carte peut aussi en souffrir), ni le HS Mode pour BLTouch (je ne sais si ce capteur support le mode High Speed). Firmware Marlin 2.1.2 Input Shapping pour Artillery X2. Pour ceux qui en aurait besoin les sources sont ici. La procédure de Flash est disponible en PDF attention toute fois le logiciel STM32 a quelque peu changer dans sa présentation. Firmware Marlin 2.1.2 Input Shapping pour GeniusPro. Firmware TFT pour Artillery X2 avec MCU STM32F107. Version compatible pour écran avec MCU STM32F107 est préconfigurer pour la X2 avec tout ce qu'il faut par rapport à mon firmware Marlin. Placer tout le contenue dossier et fichier sur la racine d'une carte µSD pour flasher votre TFT tel que vous pouvez le voir sur la photo ci dessous. Pour les TFT en GD32F305 avec bootloader 3.0.4 utiliser ce firmware TFT fournit par GAGIPRO TFT_fix304byG@gipr0.zip, télécharger le fichier Zip et decompresser tout sont contenue a la racine d'un carte µSD formater en FAT32 allocation 4096o. Pour les TFT en GD32F305 avec bootloader 3.0.5 Utilisé le firmware de tft de Ciotto sur son github, Ceci pour éviter d'avoir le soucis de l'écran figer sur Bootloader 3.0.5 si aucun carte µSD est dans le lecteur au démarrage de l'imprimante. Récupérer l'ensemble des fichiers et dossiers à placer sur une carte µSD formater en FAT32 Allocation 4096o. P.S : Pour vous facilités les choses je vous préconise avec les firmware TFT de Gagipro et Ciotto de remplacer le fichier config.ini par mon fichier il est configurer au mieux pour aller avec mon firmware Marlin config.ini Su base du firmware TFT modifié par Ciotto et Gagipro je vous met une version pour bootloader 3.0.5 pre configurer qui vous facilitera l'installation 3.0.5-mkstft28evo.zip A quoi ressemble le firmware TFT. N.B : La version Marlin 2.1.2 pour la Genius Pro sera disponible bientôt ici. Il peu y avoir encore quelques petit bug sur les TFT avec MCU GD32F305 si c'est le cas faite le nous savoir et notifier @gagipro. Ancienne Version de firmware : ------------------------------------------------------------------------------------- Archive : 04/02/2022. Firmware Marlin 2.0.9.3 pour X2 Stock. -------------------------------------------------------------------------- Archive : 06/02/2022. Firmware Marlin 2.0.9.3 Pour Genius Pro Stock. -------------------------------------------------------------------------- Archive : 28/02/2022 Firmware Marlin Pour X2 et Genius Pro équipé de Drivers TMC2208 Firmware Marlin 2.0.9.3 pour X2 avec Drivers TMC 2208 Pour l'utilisation de TMC2208 ou 2209 il est nécessaire d'ajouter des cavaliers pour configurer le MS1 et MS2 Les informations utiles sont ici. ------------------------------------------------------------------------------------ MàJ : 28/06/2022 version pour X2 avec TFT MKS équipé de MCU GD32F305 Firmware marlin 20.9.1 pour X2 avec TFT GD32F305 Firmare marlin 2.0.9.1 pour Genius Pro avec TFT GD32F305 Si vous souhaitez me soutenir pour mon implication, les tutoriels, Firmware et aide, voici un lien Paypal.me : https://www.paypal.com/paypalme/MrMagounet
    1 point
  14. Salut à tous, Voici un petit tuto que certain m'ont demande, sur le remplacement des 3Dtouch Artillery d'origine par un vrai BLTouch ou un 3Dtouch de bonne qualité comme ceux de TriangleLab. Vous trouvez le Tuto en PDF complet et ici un présentation rapide. Au préalable il vous faudra imprimer un support pour BLTouch compatible X1, X2, Genius, Genius pro comme celui de Waggster. Voici le lien pour le support remixer par @Galactic et compatible avec les X2 et Genius Pro Support X2/Genius Pro Acheter un vrai BLTouch et de préférence en V3 ou supérieur ou 3Dtouch de qualité qui clone cette version. Il faudra Relier les 2 masses GND du BLTouch pour obtenir une système a 4 fils comme sur le 3Dtouch Artillery d'origine et suivre le câblage indiqué dans la procédure, soyez attentif au câblage. Puis il ne sou restera plus qu'a indique a Marlin les nouveau Offset X et Y utiliser, les information sont indiquer dans le tuto. Surtout important pour finir refaite un auto bed leveling complet et un ajustement du Z-offset. Si vous avez des questions hésitez pas à les poser. P.S : Je tiens aussi a remercié @Duro qui a réalisé cette installation sur sa Artillery X2 en suivant mes conseils certaines des photos du Tuto sont les siennes. Tuto Install BLT X2.pdf -------------------------------------------------------------------------------------------- Petit Tips Réparation 3Dtouch Artillery a 0€ vue ce jours lors d'un échange sur Facebook et ça fonctionne. Si la pin du 3DTouch Artillery c'est casser ou est tomber, l'on peut ouvrir le 2Dtouch et coller un morceau de cure-dent de 16mm dans le cylindre qui reçoit la pin et a l'aimant sur le dessus. Il s'agit d'un réparation provisoire et de fortune mais fonctionnel. Preuve en Image :
    1 point
  15. Bonjour, je dois commander un buse d'avance en 0,4mm pour ma x1c... Je n'ai jamais essayé d'autre taille de buse car je n'en ai jamais ressenti le besoin...mais les buses en 0,2, 0,6 ou 0,8mm m'intriquent tout de même. Je sais bien que ce n'est pas la taille qui compte mais j'aimerai bien connaitre vos avis et vos retours d'expérience sur le sujet... quels usages, quelle précautions à prendre, les rendus que l'on obtient etc... Merci d'avance pour vos retours...
    1 point
  16. Bonjours à tous encore un petite tutoriel. Cette fois sur l'installation d'OctoPrint sur son imprimante 3D j'ai réalisé personnellement cette méthode sur la Artillery Genius et ma CR10s Pro V1. Il existe plusieurs façon de faire et outils, ici vous verrez ma façon de procéder. Quelques explications avant le Tutoriel au format PDF. Ici nous utiliserons un distribution OctoPi, donc une image d'une distribution Linux avec OctoPrint pour Raspberry Pi. C'est à mon sens le plus pratique pour l'utilisation d'Octoprint car un Raspberry consomme très peu et a largement la puissance nécessaire, mais il est aussi possible d'utiliser un Ordinateur Windows, Linux ou Mac inutilisé. Ce que j'ai utiliser comme Matériel sur mes installations : Raspberry Pi 3B+ sur la Genius (qu'il me restait), et Raspberry Pi Zero 2W sur la Cr10s Pro v1 (16€sur le Site Kubbi.fr). (il est possible d'utilise un PI 4, mais ce dernier est bien plus puissant que nécessaire) Une Alimentation 5.1v de 3A (recommandé), dans mon cas j'utilise un Chargeur type Smartphone sur l'un et un Chargeur Officiel sur l'autre, la qualité du chargeur est primordial. Pas obligatoire mais utile si vous voulez contrôler les print à distance, une Camera Pi V1.3 (pour du control basic sa passe, j'utilise cela sur le Pi 0 2w et la CR10s Pro), V2 (pour une qualité d'image supérieur), ou alors mieux comme j'ai fait sur ma Genius et le Pi 3 B+ l'utilisation d'une WebCam 720p ou 1080p que j'avais en stock (j'avais 3 webcam 720p Logitech inutilisé dans un tiroir). Attention pour les Camera Pi V1.3 et V2, sur Pi 0 2W il vous faudra une nappe spécifique comme ce modèle ci. Il vous faut à présent des logiciels dont la dernière image stable d'OctoPi disponible ici, actuellement on est a la version OctoPi 0.18.0 & OctoPrint 1.7.2. Voici la procédure d'installation complète d'OctoPi / OctoPrint. Tuto_OctoPi_MrMagoo.pdf La liste des Extension que j'utilise avec OctoPrint : BLTouch Plugin (test et control du BLT) Bed Visualizer (Visu graphique du relevé de maillage BED) Dashboard (regroupe toute les infos utiles sur une page) NavBar Temperature Plugin (indique les infos de température sur la bar de navigation en haut de l'interface quelques soit l'onglet) OctoApp (Plugin companion pour OctoApp sur Android, j'utilise OctoApp sur mon SmartPhone pour aussi gérer et contrôler mon print) Simple Emergency Stop (met dans la Navbar un bouton d'arrêt d'urgence toujours accessible, on sais jamais) Themeify (Permet de gérer le theme d'interface de sont OctoPrint). Il existe des dizaines voir centaines d'autres plugin, comme ceux permettant le contrôle de certain modèle de prise commandé TP-Link (attention bien regarder les modèle compatible), Plugin pour la gestion ArcWelder, Etc... mais il est préférable de ce contenté des plugin qui nous son vraiment utile pour évité de surchargé inutilement OctoPrint. Quelques Photos de mes installations et interfaces.
    1 point
  17. Bonsoir @Titouvol et @MrMagounet. Merci d'avoir pris le temps de me répondre. Mon choix s'est dirigé vers la Anycubic Photon M3, avec un W&C également Anycubic. Je vous posterais mes premières impressions. Encore merci pour vos précieux avis. Jacques.
    1 point
  18. oui, c'est donné pour 260°C, mais là il se dégrade vite comme un bowden. éviter de dépasser 240°C; par rapport à un bowden le morceau de PTFE a peu de contrainte mécanique (les mouvements en X de la tête qui tire sur le tube téflon). (moins de risque de fuite entre le PTFE et la buse). pour le changer il faut démonter le heat break, en couper un petit morceau de la bonne taille et bien droit). Après on peut prévoir dans un deuxième temps de remplacer le heatbreak par un full métal (type bimétal titane cuivre ou tout Ti) sans PTFE qui permet de monter à 300°C ou faire du 260 -280 sans risque. Ce que j'ai fait sur ma ender 3 S1 plus (l'ancien n'était pas usé) On en saura plus quand @PPAC passera l'imprimante en test.
    1 point
  19. Bonjour goym, Le mode s'active en bas à gauche. Tu clique sur la petite icone représentant une buse, puis mode et là tu choisis le mode que tu souhaites
    1 point
  20. Suite des tests: Finalement, j'ai obtenu mon meilleur résultat en utilisant Laser GRBL (voir ce tuto) avec ces paramètres à l'ouverture du fichier: Edit: Cette fonctionnalité a été demandée aux développeurs de Lightburn mais elle ne semble pas avoir été ajoutée
    1 point
  21. Merci pour vos messages, Cela a permis de me rouvrir des horizons. J'ai pu mater pleins de vidéo, faire un paquet de recherches… Il y a pas mal d'onglet à fermer Par rapport au matériel que j'ai déjà et le temps de travail dispo pour le projet, je vais probablement partir sur une voron stealthburner avec voron TAP (mod de la X1 sans spring du coup). Avec une carte Manta, même si je déteste les langages de script... Il semble que cela fonctionne bien et le support de config sans tout reflash, ça fait du bien quand même. Vous pensez que cela peut intéresser si je fais un sujet pour le suivi du mod et partage des stp que j'aurais adapté à la X1 (sûrement x2 compatible du coup ?) ? À un moment, j'avais du smoothieware, ça existe encore ?
    1 point
  22. Pas aussi simple et pas dit aussi «clairement» Surtout avec une telle différence (2,4 fois trop), j'aurai plus vu un problème d'extrusion volumétrique activée à l'insu de «son plein gré». Mais bon si c'est résolu par la simple règle de trois (pas de Troie sinon ce serait un cheval) tant mieux. Comme quoi les tutoriels peuvent parfois être utiles.
    1 point
  23. Bah, si vous trouvez ma réponse tirée par les cheveux, c'est parce que je n'ai pas trouvé de réponse "au poil"
    1 point
  24. Non, d'origine le Sculpfun S10 n'est pas livré avec, pas plus pour la pompe à air ni le support en nid d'abeilles et encore moins pour l'outil rotatif @phoenixwolfComme tu ne décrits pas ce que tu as fait pour démonter et nettoyer le laser, il est difficile de t'aider plus sans émettre d'hypothèses qui risquent de nous fourvoyer. A minima, vérifie comme le dit @PPAC le branchement de la prise sur la tête laser (prise pas vraiment prévue pour être enlevée / remise de nombreuses fois)
    1 point
  25. Alors pour tes fraises, moi je prends chez : https://www.cncfraises.fr bon rapport qualité prix. Mais tu peux faire avec des fraises moins cher. Pour la gravure fine tu peux prendre des pointes javelot pour les finitions très fine. Fait une passe d'ébauche avant car elles sont fragiles. Pour les bas reliefs j'utilise ce genre de fraises :
    1 point
  26. Euh pour le prix sur le site de creality faut pas oublié que les tarif en $ us sont généralement hors taxe, ce qui est logique vue que les US on des taxes différente dans chaque état, pareil au Canada ou d'un province a l'autre les taxes différents.
    1 point
  27. A moins d'expliquer comment régler les steps de l'extrudeur, il me semble que c'est dit, non ?
    1 point
  28. Salut, J'ai fait quelques tests moyennement concluant sur ton fichier en passant par Inkscape et sa fonction "centerline autotrace" en suivant cette vidéo. La difficulté est de "préparer" le fichier au mieux, à coup de filtres (contraste, luminosité, niveaux de gris,...) pour améliorer le résultat final
    1 point
  29. Comment a-t'il été résolu ? Un petit retour pourrait être utile à d'autres utilisateurs rencontrant un problème similaire, c'est d'ailleurs le principe d'un forum d'entraide.
    1 point
  30. Ta bôme doit balayer un espace de 180°. Au près serré tu es censé avoir ton espars dans l'axe de la coque. Ensuite tout dépend de la position du point d'écoute, donc de la position du point de rappel sur la coque. Si tu reproduis un vrai Imoca avec un rail d'écoute sur l'arrière tu vas avoir un grand débattement, surtout vent arrière. Mais, tu n'as qu'un seul treuil pour les deux écoutes, et à moins d'installer un système différentiel, il faut donc la même longueur pour les deux voiles. Ce qui d'emblée élimine le rail d'écoute arrière pour la grand voile. Sur mon IOM le point d'écoute de GV est fixe mais celui du foc est réglable, je peux donc différencier les deux écoutes, à terre. Ici la bôme de GV mesure 35cm et celle du foc 39cm. Tu peux régler le problème avec un système à balestron mais adieu l'Imoca.
    1 point
  31. Oui c'est bien la même imprimante que cité par Isidon et tu as aussi le pack avec la W&C et 2l de résine la promo est juste dingue surtout quand tu connais les prix que pratique Creality en général (sa me donnerais presque envie, mais c'est pas bien j'ai plus de place mdr). La Mars 4 est celle qui a les pixel les plus petit y a pas de soucis a faire les différentes tailles, et pour les grand format tu a imprimer en figurine decoupé moi aussi cela met necessaire sur la M3 malgré sont plateau de 7.6".
    1 point
  32. Tout est une question de concentration Dans une pièce fermée elle devient vite élevée En extérieur, surtout si l'extraction est sur le toit, la concentration pour les gens qui marchent dehors est infinitésimale... bien sûr on parle d'un graveur laser domestique, pas d'une installation industrielle... D'ailleurs beaucoup de chantiers et d'usines rejettent en extérieur fumées et poussières sans qu'il n'y ai de filtration ou de neutralisation digne de ce nom... Il faut vraiment que ce soit un gros site classé SEVESO ou ICPE pour qu'il y ai des contrôles, et encore les normes prévoient des seuils de rejets qui peuvent être relativement élevés pour les riverains. Le pire c'est la co-activité, sur une même chantier, chaque ouvrier porte les protections uniquement liées à son travail, mais pas au travail des autres à côté... Par exemple celui qui ponce du plâtre a son masque FFP2, mais pas l'électricien qui fait le câblage en même temps dans la même pièce - les chantiers ça se termine toujours en retard, avec tout le monde qui bosse en même temps - pareil dans les usines seul celui qui soude a un masque, le gars 4 mètres plus loin qui fait du perçage ne protège pas ses yeux... Justement je connais un type qui s'amuse à faire des objets décoratifs à partir de disques vinyles découpés au laser Entièrement d'accord Le mieux étant un laser avec un capot opaque ou atténuant fortement la longueur d'onde du laser, lorsqu'on ouvre le capot, un contact coupe le laser. En plus, le capotage permet de mettre l'enceinte du laser en dépression avec une aspiration, aucune odeur ni fumée toxique ; et dans un atelier, le capotage permet de protéger la gravure des poussières (quitte à mettre un petit filtre sur l'entrée d'air) Ce n'est pas trop compliqué à faire sur un laser qui est vendu sans capot.
    1 point
  33. Et finalement les jantes sont imprimées... En essayant d'include l'anneau interne (imprimé en TPU dans un pneu de Hunter, peut être trop fraichement imprimé, j'ai coupé le pneu... Donc je vais essayer de rouler sans la bague sachant que les piliers ajoutés pour faciliter l'impression pourraient être suffisants.... Je vais préparer une photo de groupe avec toutes les pièces pour la construction (avec un peu de chance, les body mounts arriveront demain - c'est la raison du délai)...
    1 point
  34. salut mon copain @PPAC j'ai reçu aussi mon Phecda 10w y a 1 semaine, j'ai fait le déballage et montage hier (pas eu le temps avant) que j'ai filmer je vais faire un montage rapide en accéléré mais de ce côté a part quelques longueur de vis différente sur la vidéo et sur nos machine c'est simple, pour la partie gravure pas de soucis avec les fichiers de test fournit j'ai pris une vidéo mais en effet la mise au point est pas facile avec le laser actif je testerais avec l'iPhone du taf si cela passe mieux. Par contre j'ai pas encore réussi a trouver mes marques sur les réglages adapter a la gravure en même temps c'est une première pour moi faut que je potasse le sujet et tester lightburn voir si plus conviviale que LaserGRBL. Comme toi j'ai pas reçu les options que j'ai demande le Air Assist (envoyé que sur les les 20w pour le moment), et le caisson, par contre les Riser eu était livrer avec c'est déjà çà.
    1 point
  35. Mes collègues te taquinent ! Allez je te fais une réponse constructive: Tu as pensé aux implants capillaires ? sinon moins cher: la perruque ...
    1 point
  36. Nouvelle mise à jour: cette fois-ci l'électronique Voir plus haut
    1 point
  37. Je me lance et je propose une Creality K1 Max. Comme j'ai (un peu) honte de mon raisonnement, je l'explique Quand on regarde le test de la Creality K1, sur la même table basse, on peut voir que la boite en bois faisait environ 6 lames de ta table : Cet emballage là est plus large, il fait au moins 7 lames de la table, donc la seule idée qui me vient est la K1 Max, puisque la QIDI Tech n'est pas en test chez toi et que tu as déjà tout testé chez Bambu Lab.
    1 point
  38. Les imprimantes classique ne sont pas plug & play ceux qui le laisse croire mente royalement, les machines cité sont ce qui ce rapproche le plus du Plug & Play (mais s'en l'être 100% pour autant), l'avantage est que les 2 modèle sont fournit avec un silcer et des profiles prévue et adapter a l'usage de l'imprimante ce qui facilité les choses. Après y a la Futur FlashForge 5M et 5Mpro qui pourrait être prometteuse et me font de l'oeil et j'aimerais bien tester a leur sortie, la présentation officiel arrive dans quelques jours. Pour ton exemple avec les supports cela vient principalement des réglages côté trancheur et oui ont a pas toujours des machines fournit avec des profils parfait ou adapter a notre usage et besoin, et oui si on est pas un habitué des configurations de slicer et de l'usage des imprimantes cela peut être compliqué. (Moi même je galère parfois un peu a faire un profil parfaitement adapter a mon besoin sur un nouvelle machine). Je laisse d'autre personne te donner leur avis
    1 point
  39. Je me suis aperçu que j'avais oublié de parler de l'extrudeur dans cette seconde partie. Ajout effectué.
    1 point
  40. On continue l'examen des entrailles par l'alimentation électrique et l'électronique Alimentation électrique Pour pouvoir alimenter tous les éléments électriques de cette imprimante, Qiditech a choisi de mettre deux alimentations Meanwell de 450W chacune plutôt qu'une «grosse» alimentation. En effet, outre les éléments habituels: lit chauffant de 6 mm d'épaisseur alimenté en 24V, tête capable de monter à 350°C, six ventilateurs (plus deux, un chacun à l'intérieur de chaque alimentation), bandeau de LEDs en 24V, carte contrôleur, carte fille sur la tête, Mosfet pour le lit, il faut également fournir les 300W nécessaires au chauffage de l'enceinte. Il faudrait au moins avec une seule alimentation, une de 750W. En mettant deux alimentations moins puissantes, chacune ne sera donc pas utilisée à pleine puissance, ce qui pour la longévité ne pourra qu'être bénéfique. En plus deux alimentations ajoutent plus de poids ce qui accroit la stabilité structurelle. Les deux alimentations sont placées à la base de la structure, base accessible aisément si besoin après avoir basculé les plus de 30 kilogrammes de la X-Max 3 sur un côté. Deux étiquettes jaunes rappellent de vérifier le bon positionnement du sélecteur de tension. Le manuel papier le rappelle également. La connexion au secteur se fait à l'arrière de l'imprimante via un cordon secteur classique, l'interrupteur d'alimentation est muni d'un voyant. Au cas où, le fusible dans le tiroir rétractable peut être remplacé. Il est possible de connecter la X-Max 3 à un réseau via la prise Ethernet, en plus de la connexion Wifi. Électronique L'accès à l'électronique s'effectue sur la partie arrière de la X-Max 3. Une fine plaque en acier doit être dévissée avant de pouvoir aller observer la carte contrôleur ( 8 vis en tout ). Sur cette plaque d'acier est vissé un ventilateur (4010, 5000rpm) refroidissant: les pilotes moteurs, le processeur de la carte (Rockchip RK3328) lui même déjà refroidi par un radiateur, le microcontrôleur ( STM32F402RCT6 ) gérant les éléments matériels via le firmware Klipper. Carte «mère» La sérigraphie sur la carte indique « X-4 v1.1 », pas d'autres indications y compris sur le site du constructeur, hormis son prix «astronomique» . Par contre la lecture du fichier «printer.cfg» permet de savoir qu'elle est une dérivée allégée de la carte Makerbase SKIPR (dont le prix est bien plus raisonnable ). Qiditech, comme d'autres constructeurs a sans doute demandé à Makerbase de lui fabriquer sa propre carte en fonction des caractéristiques de son matériel. Cette carte «tout-en-un» assure le fonctionnement à la fois de Klipper (klippy) et la gestion matérielle qu'habituellement on retrouve en deux parties séparées (voir ce sujet pour plus d'explications si besoin) : une unité de calcul plus une unité de contrôle <=> Vue de la carte avec ses connexions (à droite, carte seule, photo du site Qiditech) Qiditech fournit le schéma des connexions sur cette carte (en anglais), j'en ai fait une traduction : Caché sous le radiateur vert, se trouve le processeur (Rockchip RK3328, Quad-core Cortex-A53, 1,5Ghz) avec à sa droite deux puces de RAM DDR3 de 512 Ko (1 Go en tout) Le «MCU» (micro controler unit) est assuré par un microcontrôleur STM, un STM32F402RCT6, un Dual core Cortex M4 de 256Ko de mémoire flash d'après la codification («C») (Makerbase avec sa carte SKIPR utilise un STM32F407) : Trois emplacements accueillent les pilotes moteurs TMC2209 bien refroidis par de gros radiateurs, un par axe X, Y et Z. Ces pilotes sont amovibles et pourront donc être remplacés si nécessaire. Le pilote de l'extrudeur se trouve sur la carte fille au niveau de la tête d'impression : En plus de la connexion réseau Ethernet, cette carte est munie d'une clé USB procurant le Wifi (2,4Ghz). Clé connectée sur le port USB 3.0. Deux autres prises USB 2.0 sont disponibles, l'une étant occupée par le report de la prise USB sur le haut arrière de la X-Max 3. Une autre prise USB C est utilisée pour la liaison vers la carte fille de la tête. Pour accueillir le système d'exploitation (Armbian), une mémoire EMMC est utilisée en lieu et place d'une traditionnelle carte SD moins fiable dans la durée et surtout moins rapide. Dommage qu'elle ne fasse que 8 Go; une fois l'OS installé, il ne reste qu'un peu plus de 512 Mo disponibles pour stocker les fichiers Gcode, voire si une caméra était utilisée, des timelapses (l'OS étant un Linux, il est toujours possible de bidouiller (j'adore ça) pour déporter ou ajouter du stockage ). Autre caractéristique de cette carte: l'ajout d'un super condensateur. Cela permet de palier aux micro-coupures de courant. Testé hors impression, après extinction de l'imprimante la tension est encore disponible pendant une vingtaine de secondes. Bien en tenir compte car une extinction puis allumage immédiat ne relancera pas la machine. Mon conseil: attendre un petit moment après extinction et rallumage de la X-Max3 A noter que le lit chauffant n'est pas alimenté directement par la carte contrôleur mais par un Mosfet externe, sans doute dans un soucis de décharger l'intensité passant par la carte Carte fille extrudeur Pour limiter le câblage vers la tête d'impression, au lieu d'un habituel faisceau de câbles de dix-sept (17) fils (moteur:4, bltouch:5: deux ventilateurs:4, cartouche de chauffe:2, thermistance:2). un seul câble USB-C est utilisé pour relier la carte mère et la carte fille. Cette liaison ne se fait pas via un bus CAN mais via une liaison série «classique» en mode USB. Le câble USB est guidé dans une chaine de câbles, le PTFE (reverse bowden) n'est pas lui contraint par cette chaine. Lors du remplacement de la tête par celle HF (buse acier trempé), il faudra ouvrir le boitier arrière de la tête pour déconnecter ventilateur, cartouche et thermocouple pour pouvoir brancher / débrancher les prises JST-XH Écran 5 pouces Pour pouvoir photographier le PCB de l'écran, il m'a fallu démonter les deux capots plastiques de chaque côté pour accéder au démontage de la façade avant. Une vue des «dégâts» : La sérigraphie «X 5.0 v1.0» ne m'éclaire pas beaucoup. Par contre la puce AIHMI T7 me fait pencher vers le fabricant chinois TJC dont le modèle X5 propose des caractéristiques assez semblables à celles de l'écran Qiditech. La liaison entre la carte contrôleur et l'écran se fait via une liaison série ( TX, RX plus alimentation et masse ). C'est un écran tactile résistif de 800 x 480, lumineux et acceptant un angle de vue plutôt correct. Bien que de type résistif, la dalle tactile réagit bien, même avec mes gros doigts. La prochaine étape consistera à un survol logiciel (Klipper, Moonraker, Fluidd) ainsi que du système d'exploitation (Armbian). D'ici là, bonne lecture
    1 point
  41. Si si Mais il semble y avoir peut de questions/commentaires car tu as déjà tout bien expliqué/détaillé/illustré
    1 point
  42. Hello, merci pour le compliment. Je ne trouve pas le travail énorme, au contraire j'ai l'impression de ne pas approfondir suffisamment le sujet et de trainer un peu la patte... Mais je prends, ça reste une bonne source de motivation. Petite précision tout de même, la MK4 semble peut-être de la qualité d'une machine de plus de 4 chiffres, mais elle coûte bien moins que ça. Au pire elle coûte 4 chiffres en version assemblée (1200€), mais reste à trois chiffres comme la concurrence (890€) pour la version kit. Excellente question @isidon. Il va m'être difficile d'y répondre objectivement pour plusieurs raisons. Tout d'abord je suis attaché à la marque par le simple fait d'avoir possédé pratiquement toutes les évolutions de l'i3 depuis la MK2, avec entière satisfaction suite à ma première imprimante décevante mais néanmoins formatrice pour un novice, une Dagoma DE200. Ensuite parce que j'ai pu comparer avec Creality (CR-10 v1), qui était à mille lieux de pouvoir concurrencer la Prusa i3 MK2 à son époque (malgré l'écart de prix). J'ai même, fort de mon expérience, participé au développement d'une i3 IDEX (MakerFr i3-RDX) avec une équipe de choc, sur une base Prusa. Ce fut une expérience pleine d'enseignements. Malgré mon bagage professionnel, et toute la volonté dont l'équipe a su faire preuve, le projet fut un échec pour deux raisons : Le peu d'intérêt face aux CNC, dans la communauté où nous étions. Parce que c'était trop cher, autant qu'une Prusa i3 MK3S+, en sourcant les pièces de qualité douteuse en Chine ! Pour référence, nous avions sorti la première mouture avant même l'arrivée des Tenlog double tête, de mémoire c'était en 2020. Cette expérience m'a fait prendre conscience de Pléthore de points de détails que nous avions à traiter, et dont nous avons finalement copié adopté la solution déjà développée par Prusa. Cela m'a permis de mesurer le travail accompli par Prusa (grâce à sa communauté et ses concurrents, je ne suis pas dupe). Maintenant si je tente de répondre à la question de manière objective pour ce que ça vaut, je dirais que pour la précédente génération (i3 MK3S+), il n'y avait pas débat. Prusa se situant clairement sur le marché semi-pro (et donc amateurs avertis également). Pour la Prusa MK4, je suis un peu plus mitigé. Certes la recette est là, le matériel est de qualité, le SAV toujours au rendez-vous et la machine comblera de bonheur un maker souhaitant simplement quelque chose de user-friendly et qui fonctionne bien. Mais j'ai cette sensation de sortie hâtive. Peut-être seulement parce que j'ai eu une désagréable expérience avec l'écran (qui ne s'est pas reproduite). Pour le reste, je n'ai pas grand chose à reprocher à cette machine si je la compare à mes MK3S, au contraire. Sur le côté "cartésienne" je pense que tu fais référence au côté "bed slinger" les plateaux mobiles. En effet, la mode est aux CoreXY ou apparentés, avec des plateaux qui ne bougent plus en Y. Je pense que pour ces petits volumes, le "bed slinger" reste justifié, plus simple à monter, régler, entretenir et plus économique qu'une CoreXY à qualité équivalente. Certains rapportent qu'il s'agit là d'une rationalisation, Prusa essayant d'harmoniser ses produits pour réduire les coûts (mais pas le prix de vente) en mutualisant les pièces communes avec la MINI ou la XL. Ca se confirme par le firmware, qui est sur la même base de code pour ces trois machines. C'est une intention tout à fait naturelle et juste, même si cela conduit forcément à des questionnements quant à certains choix étranges, si l'on a pas cette vision globale. Concernant la justification du prix, je fais le même constat. Pour l'i3 MK3S+, si l'on mettait bout à bout tous les éléments, matériel de qualité, 1kg de filament de qualité inclus, SAV, remise sur la boutique (5% pour le kit ou 10% pour l'assemblée) et delta qualité par rapport à la concurrence, il n'y avait pas franchement débat. Pour la MK4 je dirais que l'écart se réduit. La qualité du matériel, le SAV et la remise sont toujours là, mais on perd le kilo de filament (30€ mine de rien) et le prix augmente. Cependant on gagne en technicité. L'augmentation de prix reste finalement modique par rapport au modèle précédent, surtout compte tenu de l'inflation, mais c'est à contre courant de la concurrence qui ne cesse de baisser les prix tout en augmentant les performances. Concernant la qualité, c'est irréprochablement meilleur que la MK3S, même si je ne montre pratiquement que des impressions avec input shaper qui rend les angles moins nets. Concernant la vitesse, c'est clairement plus rapide que la MK3S grâce à l'input shaper justement, mais aussi à la carte mère 32bit, avec une qualité plus que satisfaisante. Maintenant si l'on compare cette qualité et cette vitesse avec la concurrence, je pense notamment à BambuLab, je suis obligé d'admettre que l'écart semble pratiquement nul (je dis semble, car je n'ai jamais vu d'impression de BambuLab en vrai). On atteint rapidement d'autres limites que la machine, le filament notamment. Ceci-dit, on compare deux machines qui sont hors budget de la question initiale. Si l'on compare les machines du segment 500 à 1000€, je vais avoir du mal à me prononcer sans connaitre personnellement la concurrence. Je pense que la part de politique, de convictions personnelles, et peut-être même de fanatisme prend une place importante dans la balance. En effet, lorsqu'on achète une Prusa, il faut penser plus loin que la machine seule. On contribue à un écosystème, on paye la machine certes, mais on paye également son développement, sa production européenne, le développement de PrusaSlicer, de Printables, et de manière plus indirecte on paye aussi la communauté. Je ne sais pas comment se comporte la concurrence vis-à-vis de ça, mais Prusa ne rechigne pas a récompenser la communauté, que ce soit via les "Prusameters" que l'on gagne sur Printables rien qu'en postant une photo d'une impression, que ce soit en participant à la recherche et analyse de bugs ou évolutions de logiciels sur Github (firmware ou slicer), ou tout simplement via les concours qui servent à rendre leur plateforme populaire. Si je met bout à bout tout ce que Prusa m'a "offert" en échange de ces petites contributions communautaire, finalement l'écart de prix avec la concurrence a été partiellement remboursé sans forcer. Et le pire dans tout ça, c'est que même quelqu'un qui possède une imprimante concurrente peut bénéficier de ces développements et rétributions, car ouverts à tous. Ma conclusion est que l'on paye un certain prix, mais on contribue à la communauté, pas toujours en connaissance de cause. S'agissant d'un sujet plus politique que technique, c'est 50/50. Les personnes souhaitant uniquement en avoir pour leur argent et n'ayant que faire de contribuer à la philosophie communautaire qui a fait naître ces machines vont probablement s'orienter vers la concurrence. Désolé pour le pavé.
    1 point
  43. Les buses de + grandes tailles (0.6, 0.8) ont historiquement deux justifications : - permettre d'imprimer + vite (en augmentant la hauteur de matière imprimée à chaque couche) - de permettre d'imprimer des matériaux "mix" (du PLA avec particules de bois, ou du PETG-CF avec des particules de carbone, etc.) - les ajouts de matières dans le filament ont tendance à boucher les buses 0.4, d'où le 0.6 conseillé Le premier point n'a à priori pas de raison d'être sur les Bambu (tous les retours semblent indiquer que les optimisations de vitesse de la machine en elles mêmes annulent l'intérêt de passer de 0.4 à 0.6 (ou +). Conclusions : - le changement de buses n'est pas nécessaire / utile sur les Bambu pour accroître la vitesse d'impression - normalement la buse 0.2 n'est quasi pas nécessaire (la 0.2 permettant déjà d'imprimer en 0.1mm) - la buse 0.8 n'est quasi jamais nécessaire (la 0.6 suffisant en général pour les filaments bois, carbone, ...) - la buse 0.6 reste obligatoire pour ces filaments enrichis
    1 point
  44. Bonjour à toutes et tous, Au vu de toutes les difficultés que j’éprouves à configurer mon imprimante, j’ai adopté une solution qui m’est apparue ce week-end. Puisque la cartemère 4.2.2 STM32 fonctionne bien sur mon imprimante, j’ai flasher le firmware Stock CREALITY : “Ender-V2_Marlin2.0.8_HW_V4.2.2_SW_V2.0.8.5_Endstop_Zh_CN_en_20210715” Prévu pour ma « nouvelle » cartemère, dans la liste des téléchargement du site CREALITY. D’amblée l’imprimante refonctionne très bien, et prend en charge le CRT ainsi que le StopFilament Après avoir optimisé les pas moteurs de l’extrudeur, lancé un Autolevel, un ZOffset parfait à été très facile à paramétrer pour obtenir une impression parfaite. Je retrouve mon imprimante comme à l’origine avec le CRT en plus. Il est donc certain que ma cartemère d’origine avec le « foutus GD » était à l’origine des tous ces disfonctionnements. Merci le support CREALITY qui m’a mené en bateau pendant 3 semaines, sans jamais mettre en cause la puce GD, et qui ont facilement décrété que le DirectDrive installé, transformait, comme par magie, une ENDER3V2 en ENDER3 d'antan, , Par contre, un franc MERCI à vous tous qui avez tenté avec opiniâtreté, de solutionner mes problèmes, et pour le temps que vous avez consacré à m’aider. Ces péripéties m'auront permis d'un peu évoluer dans l'univers de l'impression 3D, et de maitriser certains de ses aspects. Certes pommeverte m’a fait découvrir un Firmware qui m’aurait beaucoup intéressé, au vu des paramètres accessibles depuis l’écran, mais qui malheureusement est bien difficile à intégrer sur ma machine ! N’est-il pas encore tout à fais abouti, et des mises à jour futures le rendront-il un jour opérationnel pour moi ? Je vais donc marquer ce post comme résolut, et certainement en poster un autre pour peaufiner mon firmware actuel. Merci encore à tous. Alexis
    0 points
  45. Du coup pour ma part commandé le 11 août, et commande toujours pas expédiée - je ne sais pas si on les aura un jour, ces commandes (pour ceux n'ayant pas été dans les premiers batchs d'envois) - la date de disponibilité est constamment repoussée sur la page produit...
    0 points
  46. Petite update maintenant que la phase de financement est terminée. Ils ont bien collecté l'argent via PledgeBox (actualité Kickstarter du 11/07) et depuis ... rien. Cette actualité est la dernière à avoir été ajoutée et en regardant les commentaires, ils ne se sont pas connectés à leur compte Kickstarter depuis 14 jours et ne donnent quasiment plus de signes de vie sur leurs réseaux sociaux (dernier post le 19 août sur Instagram). Donc même si les projets Kickstarter ne sont pas toujours dans les temps, il n'y a pas de nouvelles que ce soit sur le design de l'imprimante, sur une éventuelle chaîne de production ou sur d'autres choses à propos de l'imprimante, ça ne sent pas bon.
    0 points
×
×
  • Créer...