Classement

Bonjour, Voici une réalisation le calendrier de l'Avent avec une crèche incorporée. Bien entendu nous avons 25 case pour placer des papillotes et friandises diverses ! C'est un challenge car les pièces sont nombreuses à découper. L'ensemble est assemblé avec des tenons et très peu de colle à bois. L'arrière-plan de la créché est éclairé avec un ruban de Leds. Ce travaille demande beaucoup de patience et d'ajustements méticuleux. Le laser TS2 est précis et facilite l'assemblage des différentes pièces. Les découpes sont propres et sans retouche c'est parfait. A+ Francis

Bonjour, Voici un nouveau guide filament anti-usure pour les câbles SVGA ! Afin de limiter le frottement des câbles 4 rouleaux montés sur roulements pour suivre les mouvements en translations et en traction des câbles. (roulements Ø8x4) Les rouleaux tournent en rotations sur le plan vertical et horizontal ainsi plus de contraintes de tractions et d'usures. Le filament est guidé sur tous les axes lors du déplacement des extrudeurs grâce à une rotule mobile. Avantage le filament glisse facilement en suivant les mouvements de grandes amplitudes san être freiné ! Nota: ce montage peut très bien s'adapter à une imprimante mono extrudeur.

Dans le monde de l’impression 3D, le microgiciel (firmware) Klipper devient de plus en plus populaire. Peu d’imprimantes en sont équipées d’origine, l’exception étant les machines Voron ou Ratrig (RatOS) qui ne sont pas vendues telles quelles : il faut d’abord sourcer toutes les pièces nécessaires, attendre la livraison d’icelles et finalement procéder à leur assemblage / montage / calibrage. Heureusement, quelques fabricants d'imprimantes 3D commencent à produire et vendre des imprimantes fonctionnant avec ce microgiciel Klipper au lieu de l’habituel Marlin : Flsun avec sa V400 , Biqu / Bigtreetech avec sa Hurakan et d'autres à venir. Avant de céder à cette « mode », un petit rappel me semble nécessaire afin d’éviter toute déconvenue et/ou désillusion. Qu'est-ce que Klipper ? Klipper est le logiciel pilotant l’imprimante 3D à l’instar de Marlin. Le microgiciel (firmware) Marlin actuellement équipe la majorité des imprimantes 3D amateurs. L’imprimante pour peu qu’elle soit équipée d’un écran de contrôle est entièrement autonome. Un matériel informatique peut toutefois être relié à l’imprimante via un câble USB pour permettre de la contrôler plus agréablement. Klipper, contrairement à Marlin, ne s'exécute pas uniquement sur la carte de l'imprimante, mais répartit le travail entre un matériel informatique et la carte mère de l'imprimante. Sans ce matériel informatique supplémentaire une imprimante «klipperisée» ne peut fonctionner seule. Dans les dessins ci-dessus, tout ce qui est encadré en vert correspond à des compléments facultatifs, les éléments indispensables et suffisants sont eux encadrés en rouge. Dans la suite de ce document, j’utilise l’acronyme RPi en lieu et place de RaspberryPi pour indiquer simplement le matériel informatique accueillant le système d’exploitation Linux (unité de calcul ci-dessus). Ce matériel informatique peut être une Raspberry Pi (actuellement difficilement trouvable à cause de la pénurie de composants électroniques actuelle) ou n’importe quel autre matériel informatique « récent » : autres SBC (Small Board Computer), AndroidTV, PC (terme générique pour Personal Computer indépendamment du système d'exploitation), un smartphone Android, des tablettes « tout-en-un » genre Flsun SpeederPad ou Creality SonicPad, … Un RPi possède plus de mémoire et plus de puissance de calcul qu’une simple carte d'imprimante 3D munie de son microcontrôleur. Le système d’exploitation sous-jacent est une distribution Linux. Ce qui offre plus de possibilités que ce qu’offre le système de gestion des cartes à microcontrôleur de nos imprimantes 3D. Linux offre : un accès au système de fichiers, l’utilisation de langages de programmation (python, …), une connexion réseau (Ethernet et/ou Wifi), la gestion du multitâche, … NOTE IMPORTANTE Pour tout système Linux, au moins un utilisateur possédant des droits élevés est nécessaire à l’accomplissement de certaines tâches sur le matériel (mises à jour du système, installation de logiciels, …), nommé «root» (un peu l’équivalent de l’administrateur système de Microsoft Windows). Cet utilisateur « privilégié » est tout-puissant à l’intérieur du système, il peut donc faire tout ce qu’il souhaite y compris des dégâts ; raison pour laquelle quand des tâches potentiellement « dangereuses » doivent être réalisées, il faut les faire en toute connaissance de causes en précédant ces commandes du terme «sudo» ( ex : « sudo rm -rf / » (commande à ne pas tenter évidemment)). Le mot de passe sera alors demandé avant d’exécuter la commande. Ces capacités avancées d’un RPi sont utilisées par Klipper (langage Python) pour effectuer une analyse GCODE plus approfondie ainsi qu’une planification plus précise des mouvements basée sur des modèles cinématiques. Aucune carte 32 bits de nos imprimantes même équipée de plus de mémoire et de puissance CPU ne peut rivaliser. La partie microprogramme de Klipper (microgiciel) de la carte de l'imprimante contient un très petit noyau de traitement. Microgiciel qu'il faudra flasher (installer) sur la carte de l'imprimante. Celui-ci est chargé de gérer les périphériques (moteurs pas à pas, chauffage, écran LCD, ventilateur, capteurs de température, etc.). Cela correspond à l’unité de contrôle (dessins ci-dessus). Avantages de Klipper Les mouvements de l'imprimante semblent plus fluides et plus rapides. Même avec de simples pilotes Allegro A4988, le bruit du moteur est réduit, cependant pas autant qu'avec des pilotes TMC (2208, 2209, … par exemple). La configuration de l’imprimante est facilement modifiable (via un fichier « texte » : printer.cfg) sans devoir installer un nouveau firmware (compiler, flasher). D'autres avantages méritent d'être mentionnés, par exemple : la «Pressure Advance». À l’identique du «Linear Advance» de Marlin, il s’agit d'un modèle physique de commande du moteur de l'extrudeuse. En gros, cette modélisation tient compte du fait que l'extrusion réelle suit les mouvements du moteur en tenant compte de l’accumulation et de la diminution de la pression dans le filament liquide/rigide. Il est même possible de compenser, atténuer, voire supprimer, la résonance afin de réduire le "ringing", «ghosting» (≃ phénomène d’écho) via l’«Input Shapping». Ce paramètre peut être calculé manuellement ou bien automatisé via l’adjonction d’un composant électronique comportant des accéléromètres (ADXL345). Possibilité de gérer plusieurs matériels / cartes en même temps (mcu). La carte initiale n’a plus assez de sorties pour l’ajout de nouveaux moteurs, il suffit d’ajouter une deuxième carte et de paramétrer / compléter le fichier printer.cfg pour en tenir compte. Large compatibilité avec le GCODE des trancheurs courants (Cura, Superslicer, Prusaslicer, …). Ainsi le flux de travail habituel peut être maintenu. Utilisation de macros GCODE, que l’on peut assembler pour traiter des séquences de commandes à la manière d’un "script". Par exemple, réduire au minimum le GCode de démarrage ou d'arrêt (START_PRINT, END_PRINT), émuler des GCodes inexistants. Possibilité d’utiliser les paramètres transmis par le trancheur (par exemple, les valeurs de température dans le code de départ). Grâce aux Gcode étendus, Klipper permet de gérer facilement de nombreuses étapes d'étalonnage / calibrage : aide au nivellement du plateau, recherche des bons paramètres de pression-avance, … Dans de nombreux cas, c’est plus confortable que ce à quoi Marlin nous a habitué. Inconvénients de Klipper L'imprimante ne peut être utilisée qu'en conjonction avec un RPi. Ce qui signifie que l'imprimante perd son indépendance. Il reste possible de remplacer la carte contrôleur par une autre, incorporant les deux unités (calcul / contrôle, voir plus haut) comme : la Bigtreetech (BTT) Manta, la Mellow FLY-Gemini, la Mellow FLY-Puppet, la MKS SKIPR, la PandaPi, … Le port série (port USB) de la carte imprimante n'est plus disponible pour l'envoi de GCODE, ce port est nécessaire à la communication entre le RPi et la carte imprimante. Les écrans TFT, tactiles ou non, de plus en plus courants sur de nombreuses imprimantes 3D ne sont pas pris en charge. Si votre imprimante en est équipé, vous ne pourrez plus l’utiliser. Klipper ne gère que les écrans LCD simples avec encodeur à bouton (contrôleur graphique RepRap 2004 ou 12864 et ses variantes). Klipper n'est pas aussi répandu (actuellement) que Marlin. Le risque existe d'obtenir moins d'aide en cas de problème qu'avec la norme de facto Marlin. Klipper fournit une abondante documentation assez technique (en très grande partie en anglais, des traducteurs sont les bienvenus pour d'autres langues ) qui peut (pourrait) rebuter un novice. Passer de Marlin à Klipper nécessite un réel effort d’apprentissage, cependant de nombreux canaux permettent d’obtenir de l’aide (Github, Documentation, Discord, Discourse (forum), Reddit,…) Klipper fonctionne sur des systèmes équipés de Linux comme OS. Une connaissance et maîtrise minimale de Linux (ligne de commandes) est évidemment utile. La copie / recopie d’exemples proposés sur divers sites peut évidemment fonctionner, tant que l’on ne rencontre pas de problème. Je ne suis aucunement un expert, mais un simple amateur avec quelques connaissances / compétences dans plusieurs domaines (Linux, Klipper, Marlin, …), connaissances acquises par la pratique que je souhaite simplement partager. « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. » Proverbe africain En écrivant ces lignes, j’espère simplement accroître la popularité de Klipper auprès de la communauté de l'impression 3D et faire en sorte que le passage de Marlin à Klipper relève d’un « educated guess » (expression anglo-saxonne signifiant peu ou prou « en toute connaissance de causes ») plutôt que la poursuite d’une mode au risque de déceptions. Ce fil se poursuivra avec le test de plusieurs matériels « tout-en-un ».

Bonjour à tous, On vous propose -15 % sur toute la boutique (hors produit déja en promotion) Avec le code BW2022 (a renseigner dans le panier) Bon Weekend Les nouveaux produit du moment L'extrudeur Sidewinder X1/Genius optimisé avec la buse NitroMAX, heatbreak Capricorn Le Quick Tool Change pour la Gamme Artillery (X1, X2, Genius et genius PRO)

Plutôt geek Cela dit , si ça évite de subir le bruit «désagréable» du mini ventilateur (30x30) qui refroidit le radiateur ce serait déjà une bonne chose. Heureusement que ce ventilateur ne se déclenche qu'en impression, au-delà de 50°C. Ce ne serait vraiment utile que pour imprimer des filaments très techniques, la tête Sprite même «pro» ne pouvant imprimer au-delà de 300°C. Eau et électricité ne font pas forcément bon ménage, il faut espérer qu'aucune fuite n'a lieu. Des tuyaux flexibles se déplaçant régulièrement, transportant un liquide ne m'inspire aucune confiance ni sérénité mais ce n'est que mon avis. Au moins un utilisateur «youtubeur» a rencontré un problème avec ce refroidissement par eau : La suite :

Pas de souci non plus à cause des imprimantes , les seuls rares soucis sont du à une mauvaise manip ou paramètres.

Aïe aïe aïe, les gars, on vous l'a pourtant maintes fois répété...évitez d'installer vos imprimantes mâles et vos imprimantes femelles dans le même local sous peine de surpopulation !!! Pas de cas d'imprimantes hermaphrodites recensé pour le moment...mais on n'est pas à l'abri d'une mutation génétique avec tous les nouveaux modèles qui sortent à l'approche de Noël...

Bonjour à tous, Je fais mes premier pas dans l'impression faite à partir de filament extrudé de bouteilles plastiques. J'ai eu des résultats satisfaisant avec les bouteille d'evian à, et d'autres très décevant avec du cola carrefour. j'aurais aimer savoir quels type ou marque sont imprimable ? et cerise sur le gâteau quelques conseils avisés de membres qui aurait expérimenté cette pratique. Merci d'avance

Cette pompe n'est pas bruyante, je l'ai testée « à vide » (avec du liquide de refroidissement tout de même ), en tout cas, très nettement moins bruyante que le ventilateur 30x30 originel. Elle se monte en haut de la structure sur des pieds auxquels il est possible d'ajouter une couche d'isolation (un genre de silent-bloc quoi )

Salutation ! Si tu débute en impression résine, peut être commencer avec une résine "basic", pour bien appréhender les particularités de l'impression résine et éviter de gaspiller de la résine technique sur des erreurs de débutants. ( les bonne durée d'exposition, le choix de l'orientation de l'objet a imprimer, le bon placement des support, l’évidage, les ouverture pour éviter les coupe de sussions, ... ) Sinon a tu vu

...et le remplacer par le bruit de la pompe à eau qui est tout aussi épouvantable (voire plus si le bloc est monté en rigide sur le haut du cadre et le fait vibrer !)

C'est ce qu'on appelle un miracle Belle réalisation @vap38comme d'habitude

Génial, merci pour cette clarification ! c'est exactement ce que je cherchais A toutes fins utiles, si comme moi vous êtes perdus avec le manque de lisibilité du pricing BambuLab, voici les prix de revient de chaque imprimante et combinaison TTC+Livré: Mon avis est que si vous comptez vous équiper de l'AMS, autant prendre le combo X1C direct pour "seulement" 36% de plus qu'un combo P1P, vu que la facture sera >1000€ (a ce point la on compte plus ! ) Rajouter l'AMS en option coute plus cher, y compris en fdp, et vouloir limiter la facture avec la X1+AMS n'a pas vraiment de sens (on ne gagne que 108€) Mais sans AMS, la P1P semble être une bonne entrée en matière (a défaut d'être une véritable entrée de gamme...) surtout avec l'offre de lancement

Hello Merci Non mais je suis tres bricoleur,autodidacte et j'ai un pote forgerons qui as aussi bossé en fonderie. Morbihan, comme ecrit sous ma photo de profil Dommage mais il y a la meme chose proche de chez moi. Merci pour l'idée d'aller me renseigner plus chez les "metaleux" . Ils auront plus de pratique, si ils utilisent l'impression 3D, et auront leur bobine préféré a me conseiller. Je pensai que ce sujet été plus connu par les membres de cette communauté (on ne peu pas tous faire ce n'est pas une critique). Merci bien déja pour ces infos. Bonne journée

@Rlv, la pompe est dans le socle, le petit radiateur alu est fixé dessus. Faisant depuis longtemps du watercooling sur mes différents PC, le système peut être utile à condition qu'il y ait un radiateur (en actif ou passif suivant la taille) pour refroidir l'eau. Sans ça, comme dit @Rlv, on ne compte que sur l'inertie thermique et sur une impression un peu longue l'eau va progressivement chauffée, diminuant progressivement l'efficacité du système. Une tête d'impression refroidie à l'eau est je pense plus réservé pour ceux qui utilisent des matières nécessitant une température élevée et une enceinte chauffée. Car tu peux alors complètement déporté le système de refroidissement en dehors de l'enceinte. Quand au mouvement sur les tuyaux, ils ne sont pas moins solides que les tubes ptfe qu'on utilises, donc si ils sont dimensionnés correctement avec les embouts qui vont bien, ils n'a pas de raison de détérioration. On voit de plus en plus de marque sortir des têtes d'impressions refroidit par eau, donc je pense que ça va se démocratisé, mais il faut un système correct et suffisant derrière sinon ça ne sert à rien.

Alors... sur ma Prusa I3 MK2s je n'ai jamais changé de buse J'arrive à imprimer toutes mes pièces avec la buse installée par défaut... et aussi la flem de changer Ce système à l'air de permettre de changer de diamètre plus facilement, et comme c'est plus pointu il y a peut être moins de risque d'encrassement et de tâches sur les pièces en couleur claire. Une question cependant, la hauteur supplémentaire ne va-t-elle pas avoir un impact sur la ventilation de la couche ? Et comme dit @divers, quid de l'impact sur la température en bout de buse ? Surtout que lors de l'impression : - le débit varie (il est nul lors des déplacements rapides, puis variable en fonction de ce qui est imprimé et bien sûr de la vitesse de déplacement X/Y en fonction des lignes droites, des courbes ou des angles) - la ventilation varie (en ABS, elle est nulle sauf pour les couches courtes) - on éloigne un peu plus la sortie du filament de la sonde qui régule la température de la hotend Tout ça va occasionner une variation de température du filament en sortie, si on sort de la plage de bonne température pour le filament on risque d'avoir des défauts sur les pièces. Les résultats pourront être différents en fonction du type de filament. Après le mieux c'est d'essayer pour voir ce que ça donne A bientôt

Salut, La seule utilité que je vois pour ce genre de système serait de l'utiliser dans une enceinte chauffée à haute température (et Encore). Ensuite le montage me parait un peu étrange avec le réservoir à l'horizontal. A vue de nez il n'y a pas de pompe et le système utilise un thermosiphon pour faire circuler le fluide. C'est étonnant, vu le faible prix d'une pompe de watercooling. On pourrait faire un rapide calcul avec les corrélations de Moody et Grasshof, mais je pense que le transfert thermique est plus que mauvais. Ensuite le refroidissement du liquide dans le réservoir se fait aussi de manière passive entre l'eau et l'air. Avec une surface de contact ridicule. Sur une impression de faible durée on joue sur l'inertie thermique, donc ça passe. Mais je pense que le liquide va devenir rapidement très chaud. A vue de pif la surface d'échange est de 50x50 mm ? Avec un coef de moins de 10 W.m-1.K-1, ça fait pas bézef. Et comme dis @fran6p, des tuyaux qui bougent avec du fluide dedans c'est une source d'ennuis. Surtout vu les raccord. Avec un swaglock je serais déjà un peu plus serein. Le seul point positif est que le système est un peu plus compact. Ca ressemble beaucoup au Titan aqua en passant.

C'est plutôt une aide bienvenue mais pas primordiale. Il sert lors de plusieurs phases qui sont activables/désactivables au choix : après le bed leveling, il va scanner la zone où la pièce va s'imprimer pour vérifier qu'il n'y a rien sur le plateau (et potentiellement pour avoir une référence pour la suite) avant le début de l'impression, il va scanner les lignes de calibration déposées par l'imprimante selon un schéma particulier (séquences d'accélérations puis ralentissement puis accélération sur plusieurs lignes) après l'impression de la première couche, l'imprimante va réduire la température de la tête, nettoyer la buse et scanner la première couche à la manière du premier scan. S'il y a des différences de niveau sur la première couche, un message apparaît (avec notification sur le slicer et l'application mobile) pour indiquer de vérifier l'impression, mais n'est pas bloquant. Par contre tout cela prend du temps au début de l'impression qu'il faut prendre en compte, je crois que c'est environ 7 minutes pour tout faire (bed leveling, tests de vibration, insertion du filament, scan, ligne de purge, etc.). Sur la P1P il n'y aura donc pas ça et pas de caméra d'origine (elle sera en plus), donc il faudra peut-être faire plus attention au début de l'impression.

Bonjour à Tous, Nous participons également au BlackFriday jusqu'à lundi ! Les filaments PLA 3D850, 3D870, Go&Print, y compris les versions recyclées sont en promo.

J'avais entendu parlé une fois de ce filament, ou d'un équivalent, mais sans en connaître le nom (ou en tout cas sans m'en souvenir). Ça devait même être ici même, sur le forum et effectivement, une des principales utilisations évoquées à l'époque était justement l'aéromodélisme. Mais j'avoue avoir répondu sans réaliser de quel filament on parlait et encore moins de sa spécificité. Oh et plutôt abordable pour un filament spécifique ... En promo en plus actuellement, port gratuit pour 2 bobines ... https://www.3djake.fr/esun/epla-lw-natural

Plutôt celui là https://www.thingiverse.com/thing:5423352 car les deux autres sont mal désignés à l’intérieur avec des bords trop épais. et oui avant vendredi y aura possibilité de le récupérer je te remercie de ton soutien.

@shanti et @Titouvol https://www.amazon.fr/eSUN-Filament-Imprimante-Précision-Dimensionnelle/dp/B094N7D8YT/ref=mp_s_a_1_1_sspa?adgrpid=136015203828&gclid=EAIaIQobChMIm4afvt7H-wIV8xoGAB3i0AKwEAAYASAAEgIhDvD_BwE&hvadid=546622854892&hvdev=m&hvlocphy=9055935&hvnetw=g&hvqmt=e&hvrand=15383271077252357118&hvtargid=kwd-907178202386&hydadcr=3868_1711191&keywords=pla+lw&qid=1669324538&qu=eyJxc2MiOiIxLjU5IiwicXNhIjoiMC4zNiIsInFzcCI6IjAuMDAifQ%3D%3D&sr=8-1-spons&sp_csd=d2lkZ2V0TmFtZT1zcF9waG9uZV9zZWFyY2hfYXRm&psc=1 Je ne connaissais pas et je me coucherai moins con ce soir. Objectif du jour rempli .

Salut, C'est peut-être ici . Celui qui a écrit ça devait être complètement bourré, parce que visser une buse filetée M7 (=MK10, voir ici) dans un taraudage M6, faut vraiment être motivé ! Le mieux, c'est de suivre les indications du constructeur, donc une MK8 PS: l'alcool est dangereux pour la santé les imprimantes, sauf l'isopropylique

Ah ben non, pas certainement avec ces mains-là! (bizarrement, je crois qu'on a légèrement dévié du sujet principal...)

Salut @sly03, Avant toute chose: fais un petit effort sur l'orthographe car on a du mal à comprendre : Dessus j'imagine ? Bref. Pour ton problème si le ventilateur fonctionne et qu'il est correctement branché, il faut se rappeler qu'il ne se déclenche pas immédiatement lorsque tu lances l'impression mais généralement après la première couche voire la seconde. Est-ce que tu as vérifié ce point ?

Alors tu peux ajouter des embouts en TPU pour déambulateur .... Bienvenue sur le Forum @malou3394 Le coup des trucs utiles pour madame, c'est fûté ! ça permet de justifier les dépenses nécessaires pour fabriquer les pièces ....

Encore un retraité, on va plus être sur un forum de geek, mais d'epad. Des poignées, de porte, de tiroir, de cocotte minute, une mandoline (pour couper), des crochets pour les torchons, des luminaires. Si tu veux, j'ai même une pelle à poussière. Le problème, c'est que au final, tu n'imprimeras plus pour toi. Soit le bienvenu

Pour une fois, j'avais les mains potables car quant je fais de la mécanique elles sont dans un sale état, j'aime pas mettre de gants donc entre l'huile, peinture, coupures, coups de marteau etc... la manucure laisse à désirer..... En plus derrière un écran personne ne peut vraiment savoir qui et qui, si ça se trouve vous êtes de vieilles cougars et moi, un ados boutonneux....

Bonjour à tous, deux nouvelles créations toujurs modélisées avec Blender... Pour les pingouins j'ai changé d'imprimante, mon Anycyubic I3 mega datait quand même de 2017...Donc maintenant j'imprime avec une Flsun SR...

Salutation ! @bp006 Je dirais de tenter d'importer le profil embarqué d'un des fichier .gcode qui fonctionne bien... Sinon sans un export HTML ou un fichier .gcode ok et un fichier .gcode problématique, pas simple d'aider...

OK c'est de la cire perdue Il te faut du filament castable (ou "calcinable" en bon français) Exemple ici : https://www.atome3d.com/collections/filaments-calcinables-cire-perdu-castable-filaments-lost-wax N'hésite pas à trouver un forum de métalleux (usinage des métaux, pas le genre musical ) avec une section sur la fonderie et à y poser tes questions L'impression 3D ne devrait pas poser de problème. En revanche, la fonderie c'est délicat et dangereux. Il faut pas mal de matériel, et pas n'importe quel sable. En as tu déjà fait ? Dans quelle région es-tu ? Si tu es en Franche-Comté, tu pourrais couler ta pièce en bronze à Montagney-Servigney, et en plus tu sera avec des personnes expérimentées et qui ont du matériel. A bientôt

j'ai vérifié tous les cablages , ras , c'etait en verité la vis de vérouillage du PLA entrant dans l'extrudeur qui etait un peu trop serré , et le detecteur de fin de filament dans une position un peu trop rigide qui empechaient la bonne traction du PLA dans le conduit , ca frottais et le filament s'agglutinais dans la roue de l'extrudeur ... J'ai tout enlevé , nettoyé , reinstallé , relancé le calibrage , et c'est good ^^ Le fichier etait bon , la panne etait moteur , merci pour ton aide et tes indications ^^

Salut, Tu pourrais augmenter le débit de quelques %, au moins sur la surface supérieure

Bon j'ai trouvé, au cas ou ça arrive à d'autres, j'avais un court circuit dans le capteur de fin de filament. Donc quand un filament se trouvait dans le capteur aucun problème et dès qu'il n'y avait plus de filament la carte était en cour circuit j'ai réglé le problème en utilisant le capteur de l'autre bobine que j e n'utilise jamais. Bon print à tous

Salut, Voici quelques remarques sur ton profil: La couche initiale pourrait être plus faible. 0.2 est une hauteur habituelle qui est facile à "maitriser" Tu pourrais activer "Ordre monotone dessus / dessous" pour un meilleur rendu. L'idéal sera d'utiliser "Activer l'étirage" pour un rendu optimum le "Pourcentage de chevauchement de la couche extérieure" pourrait passer à 30% pour une meilleure liaison ta température d'impression est à la limite maxi pour du PLA. Si tu as trop de fils d'ange, tu pourrais la réduire. Voir cette vidéo par exemple pour une tour de température. Visiblement, tu n'as pas réglé le débit et peut-être même oublié la calibration de l'extrudeur (voir ce tuto) le "Pourcentage de chevauchement du remplissage" pourrait être augmenté à 30% le "Densité du support" à augmenter (20% / 25%) Je comprends mieux pourquoi tes supports avaient cet aspect le "Débit du support" j'ai l'habitude de mettre 50%, ils seront plus facile à enlever les "Distance supérieure des supports" et " Distance inférieure des supports" devraient correspondre à des multiples de hauteur de couche (0.2 dans ton cas), en général 1 couche. Perso, je n'aime pas activer "Activer l'interface de support" et "Activer les plafonds de support". Ca demande trop de temps de finition à la main (post-traitement). L'adhérence pourrait être une bordure de 5/6 lignes dans le cas où tu aurais des décollements de pièce, avec une "Distance de la bordure" de 0.1 pour faciliter son enlèvement L'utilisation de la roue libre peut t'aider à réduire la couture/jointure (= début/fin de la paroi extérieure)