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Contenu populaire

Contenu avec la plus haute réputation dans 21/02/2023 Dans tous les contenus

  1. Bonjour, @Julien @mich0111 @Zep57 Voici pour se distraire un peu une vidéo Lamborghini Aventatdor hélas mon jardin est trop petit pour faire une démonstration convenable avec un RUN à grande vitesse. La voiture est très rapide et demande un pilotage sans faille car le poids du véhicule est d'environ 4 Kg. Toutes les pièces sont imprimées à 80% en PLA; PC Blend pour les engrenages; ABS pour des pièces proches du moteur qui chauffe; PETG Carbone pour les cardans et arbres de transmissions. Pas de soucis particulier mais cette voiture est assez difficile à imprimer; je ne recommande pas ce modèle pour des débutants. L'orientation des pièces demande une réflexion et une aptitude technique à gérer le Slicer pour des résultats de qualité . ouf c'est un beau véhicule qui techniquement est difficile à réaliser déjà par une multitudes de vis et de pièces à assembler.
    4 points
  2. Comme je sens l'escalade, j'essais une technique de Jedi. "Vous avez oublié tout ce qui a était dit dans les messages que je viens de masquer" Merci bonne suite de journée a tous.
    3 points
  3. Allez, allez, un bed plié, n'est-ce pas finalement le début du premier pas vers l'impression 4D comme dans (mais sans la rotation dynamique du plateau)
    3 points
  4. Hey le voici! Le cube de calibrage! Certes j'aurais été me coucher à 1H00 mais j'ai enfin eut la solution qui pourrait, d'après moi, aider plusieurs personnes et à mon avis il faut simplement commencer par ça (j'avoue me sentir un peu bête d'ailleurs). J'ai testé: -Nettoyage de la buse -Enlever le conduit de guide (tube blanc) -Demande de 50MM de PLA Aucun résultat mais je constate que le fil se tend un peu, du côté de la bobine, mais n'avance pas. Donc sans peur et sans espoir je démonte l'extrudeur et découvre simplement que la roue Crantée a un "défaut". Elle présente, pile ou le PLA passe, un rétrécissement (comme de l'érosion) qui fait quelle ne presse pas sur le PLA. J'ai donc: -Démonté la roue -Remonté la roue quelques MM plus haut sur l'axe de l'extrudeur Le résultat en photo Merci @fran6p, @PPAC et @Titouvol pour vos idées/conseils et bienveillance
    3 points
  5. Etrange que les retours du support ne soient pas constants et identiques. Cette histoire commence à prendre de l’ampleur, Bambulab devrait mieux communiquer. Pour le moment, je ne regrette pas mon achat, le support à répondu à mes demandes et je ne suis embêté que pour les grandes impressions, pour lesquelles j’ai une alternative. Cette machine reste très impressionnante à mes yeux. j’espere juste que le bed du mois de Mars sera plat (nouvelle fabrication ?) et que je vais bien le recevoir ( mon ticket est au statut « replied » A t’on une idée du nombre de possesseurs impactés sur le forum ?
    2 points
  6. 2 points
  7. Parce que @electroremy est un inconditionnel de l'ABS et du smoothing ^^.
    2 points
  8. Bonjour, J'ai imprimé 2L de Sunlu ABS-Like début de semaine et je suis surpris de sa résistance. Beaucoup moins cassante que l'Anycubic du même type je trouve.
    2 points
  9. Comment installer Octoprint sur un Orange Pi Zero 2 (aka OPiz2) En préambule : Octoprint, permet : le suivi de l'impression de l'imprimante 3D (de n'importe où, sur votre smartphone par exemple), l’envoie de fichier à imprimer sans avoir à quitter votre ordinateur l’allumage/extinction de l'imprimante à distance la prévisualisation du modèle à imprimer la création de timelapses à partir de vos impressions. en option, la réception d’une alerte si l'imprimante commence à imprimer des spaghettis. Octoprint est un logiciel serveur HTTP, écrit en langage Python, censé fonctionner sur un petit ordinateur. La majorité du temps, il est installé sur un Raspberry Pi (un RPi0 v2 ou RPi3 étant le minimum requis) en téléchargeant une image pré-construite (OctoPi) ou encore manuellement via des commandes à exécuter après l’installation d’une image système minimale (Raspberry OS Lite précédemment nommée Raspbian). Cela signifie de se procurer un Raspberry Pi, un boîtier (on peut en imprimer un, ce ne sont pas les modèles qui manquent), probablement une caméra (Webcam / Raspicam) également, tout ceci, aujourd’hui n'est pas bon marché. En temps normal, il vous en coûterait environ 50€ (RPi3 ou RPi4) ou une vingtaine d’euros pour une RpiO V2 auxquels il faudrait ajouter le prix de la Webcam ou RaspiCam sans oublier une bonne alimentation 5,1V/3A. Vous n’êtes pas sans savoir ou alors vous êtes encore terré dans votre grotte depuis mars 2020 qu’une pénurie de composants affecte actuellement de nombreux secteurs. Réussir à se procurer aujourd’hui des cartes Raspberry Pi à des prix non stratosphériques relève de la gageure. Régulièrement, je consulte le site «RPiLocator» pour connaître l’état des stocks ainsi que les prix. La pénurie et/ou les prix pratiqués sont une des raisons pour laquelle on peut envisager se tourner vers d’autres cartes du même genre (OrangePi, BananaPi et autres variantes). La seconde raison, probablement la plus importante ayant conduit à la rédaction de ce tutoriel, est la conséquence d’un dépannage pour un de mes partenaires modérateurs. Grâce à lui, j’ai pu me faire la main sur une carte alternative au RaspberryPI : une OrangePI Zéro 2 C'est ce que l'on appelle une carte SBC (Single Board Computer) : - son facteur de forme est plus petit que celui d’un RPi3/4, - tout aussi rapide, - moins chère (normalement une trentaine d’euros mais plutôt autour de 35/40€ à ce jour) - et surtout actuellement disponible contrairement aux Raspberry Pi. Cette carte existe en deux versions : 512Mo / 1 Go de RAM (la différence de prix entre les deux n’est pas insurmontable). Le CPU utilisé est un Allwinner H616 (CPU ARM 64bits). ATTENTION : OrangePi fabrique de nombreuses cartes dont les noms sont parfois similaires mais dont les composants électroniques sont différents. Ne vous laissez donc pas tromper par toutes les autres cartes d'OrangePi (la Zero, la Zero+ ou encore la Zero+2). Cette carte peut fonctionner avec plusieurs systèmes d’exploitation : un fourni par le fabricant de la carte (avec interface graphique ou sans (version «serveur»)) ou avec le système Armbian (image dépouillée d’interface graphique, semblable au système Raspberry OS Lite donc) basée sur la dernière version de Debian (Bullseye). Récapitulatif du matériel : carte OrangePi Zero 2 (nommée OPiz2 dans le reste du document) alimentation 5V/2A, un câble USB-C (seules les broches 5V et de masse sont utilisées, un câble de données n’est donc pas indispensable), une carte µSD (8GB ou 16GB ou plus) optionnel, une webcam un HUB USB ou une carte additionnelle à monter sur la OPiz2 car d’origine un seul port USB est implanté sur la carte La voie avait déjà été débroussaillée par diverses lectures dont la principale, ce sujet de Blog. N’ayant pas exactement suivi ce qui y est décrit, je relate ici ce que j’ai fait pour obtenir au final quelque chose de fonctionnel. En espérant que je n’aurai rien oublié et que les étapes suivies permettront à d’autres d’obtenir le même résultat. Installation Le processus d'installation est assez simple, à condition que vous sachiez déjà comment utiliser Linux a minima. J’essaierais de détailler les différentes étapes. Préparation de la carte microSD Contrairement à votre ordinateur, cette carte ne possède pas d’équivalent d’un BIOS pour démarrer. Le système d'exploitation doit être écrit sur une carte SD. Le système démarrera et fonctionnera à partir de cette carte µSD. Une carte de 8GB ou plus est nécessaire. Plus la capacité de stockage de la carte est grande, moins elle risquera de manquer d'espace avec les mises à jour logicielles et moins elle risquera d’être endommagée par l'usure de la carte due aux écritures / réécritures sur celle-ci. En l’occurrence, la carte μSD utilisée est une Sandisk Ultra de 16Go (classe 10 / A1). Une fois la carte SD à disposition, télécharger l'image Armbian pour la carte OPiz2 à partir d'ici (le choix de votre méthode de téléchargement dépend de vos préférences (P2P ou direct)). Le «gros» bouton vert [SUPPORTED] permet de savoir que cette image fonctionne avec cette carte ;-) L’image utilisée sera celle basée sur une Debian (Bullseye), il en existe une seconde, basée sur Ubuntu (Focal) que je n’ai ni utilisée ni testée. Vous devrez ensuite décompresser ce fichier avec le logiciel de décompression 7zip (Windows) ou avec The Unarchiver (MacOS). Les deux sont gratuits, seul 7Zip a été testé car je ne possède aucun équipement de la marque à la pomme. Les utilisateurs de Linux devront installer «p7zip» (la version «terminal» de 7zip). Sur un système Debian/Ubuntu, ouvrir un terminal et saisir : sudo apt install p7zip Une fois p7zip installé, saisir dans le terminal la commande suivante pour extraire l’image : 7zr x nom-de-l-image.7z Remplacer évidemment « nom-de-l-image» par le nom de l’archive téléchargée. Une fois l'archive décompressée, vous obtiendrez un fichier d'extension .img. Celui-ci devra être gravé sur la carte SD. Flash de l’image Le logiciel BalenaEtcher sera utilisé pour cette «gravure»: choix du fichier .img sélection du lecteur de carte µSD sur votre ordinateur (bien vérifier que la taille correspond à celle de votre carte SD, ne sélectionnez pas un autre disque dur de votre ordinateur ici) gravure de l'image puis vérification (quelques minutes de patience) éjection de la carte de votre ordinateur C’est fini pour cette étape ! A noter : Premier lancement Le premier démarrage sera un peu long car le système étendra la capacité de stockage en redimensionnant la partition à la capacité maximale de celle-ci. Insérer la carte SD dans le lecteur de l’OPiz2 (emplacement sous la carte) et démarrer la carte en branchant le câble USB-C relié à l’alimentation. Un câble Ethernet doit être branché de votre routeur au port OPiz2, même si vous avez l'intention d'utiliser le Wifi par la suite. Attendez bien que la diode de la carte passe au vert (indique que le réseau est connecté: la carte a reçu une adresse IP attribuée via DHCP). Une fois fait, il faudra trouver quelle adresse IP a été attribuée par votre routeur à l'OPiz2. Plusieurs façons de découvrir cette adresse (une de celles ci-dessous devrait vous le permettre : Connexion initiale à l'OPiz2 Vous êtes désormais en possession de l'adresse IP de la carte, il faut s’y connecter en SSH. Libre à vous d’utiliser le client qui vous sied (Linux et MacOS, possèdent un client natif : il suffit de taper ssh root@192.168.1.247 (en remplaçant par l'adresse IP de la carte) dans un terminal. Sous Windows, vous pouvez (W10 / W11) également utiliser le client natif (ouvrir un terminal (Invite de commandes) puis ssh root@192.168.1.247 ) ou vous pouvez télécharger Putty et utiliser son interface graphique. A la première connexion en ssh sur la OPiz2, un message d’avertissement s’affichera. Il faudra accepter l’empreinte de la clé SHA256 avant de pouvoir poursuivre. NB : Il n'y a pas de compte par défaut autre que 'root' dans l'installation d'Armbian. Après l'installation, les utilisateurs se connectent à l'unité en tant que "root" et sont invités à changer le mot de passe root, puis à créer un nouveau compte utilisateur. Donc par défaut Armbian accepte l’usager «root» avec le mot de passe «1234». Il faut normalement procéder au changement de ce mot de passe «faible» par un plus «fort». Ce nouveau MDP doit remplir de nombreux critères avant d’être accepté (longueur, caractères autorisés, n’appartenant pas à un mot du dictionnaire, …). Ça m’a vite «énervé», en saisissant plusieurs fois le mot de passe par défaut (j'ai insisté ), j’ai tout de même accès en tant que «root» (équivalent de Dieu pour les croyants ). Pour éviter qu’à la prochaine connexion, Armbian me redemande de modifier le mot de passe, quelques commandes sont nécessaires (et suffisantes, ne pas saisir les parenthèses ni le texte contenu dans celles-ci ) : # pwd (où est-on dans l’arborescence) # ls -al (afficher le contenu du dossier, normalement /root) # rm -f .not_logged_in_yet (supprimer ce fichier sinon à la prochaine connexion, il sera demandé de modifier le mdp de root avec les critères vus plus haut) # echo -e "1234\n1234\n" | (passwd root) Le mot de passe root initial est désormais «fixé» à «1234» (vous pourrez évidemment le modifier quand vous le voudrez). Mise à jour du système d'exploitation Les premières commandes à exécuter permettent de récupérer la dernière version du système d'exploitation et de le mettre à jour. # apt update les dépôts logiciels sont consultés pour établir la liste en cours... # apt upgrade S’il y a des mises à jour, répondre oui en tapant 'y’ puis patienter le temps que les paquets soient récupérés et installés. Vous devrez exécuter cette paire de commandes de temps en temps pour maintenir votre système à jour (astuce : on peut effectuer les deux étapes avec une seule ligne en les combinant avec le double ampersand (&&) : apt update && apt upgrade). Avant de poursuivre, on va «localiser» notre système (date et heure, langue, clavier). Plusieurs manières de faire sont possibles, Armbian à l’instar de Raspberry OS, possède un outil de configuration : armbian-config à utiliser en super administrateur («root»). En ligne de commandes, on peut également utiliser les commandes Debian classiques : dpkg-reconfigure Via armbian-config (date & heure, langue, clavier) : - Personal / Time Zone - Personal / Locales - Personal / Keyboard (n’a pas fonctionné pour moi :(, j’ai dû passer par dpkg-reconfigure keyboard-configuration) Activation du WIFI Pour activer le WIFI, vous devez rejoindre un réseau WIFI. Exécuter la commande «armbian-config» pour rechercher un réseau WIFI et le rejoindre. Si cela échoue, vous devrez quitter le logiciel, taper sync et redémarrer la carte et réessayer une fois qu'elle aura redémarré. ou bien exécuter la commande nmtui-connect en tant que root pour afficher les points d’accès disponibles. Sélectionner celui auquel on souhaite se connecter, valider, saisir le mot de passe de ce point d’accès. Vérifier que le lien WIFI fonctionne en vous saisissant la commande «ifconfig» qui affichera les cartes réseau possédant une adresse IP. Celle qui nous intéresse est le lien «wlan0» Avant de débrancher le câble Ethernet, via une nouvelle instance 'ssh' se connecter à l’adresse IP «Wifi» (différente de celle en RJ45 car les adresses MAC des cartes réseau sont normalement différentes): «ssh root@ADRESSE.IP.WIFI.OPiz2» Installation d'Octoprint Pour installer Octoprint, nous devons d'abord créer un utilisateur à faible privilège, puis lui donner les droits minima requis pour exécuter Octoprint et se connecter à n'importe quel périphérique (imprimante, caméra, etc.). 1) Création de l’utilisateur «pi» : # adduser pi 2) Modifications des groupes de «pi» : # usermod -a -G video, ssh, dialout, tty, sudo pi 3) On met un mot de passe à cet utilisateur (ici = orangepi) : # passwd pi ou # echo -e "orangepi\norangepi\n" | (passwd pi) 4) Installation des paquets nécessaires : # apt install python3-pip python3-dev python3-setuptools python3-venv git libyaml-dev build-essential ffmpeg Quelques vérifications : # ls /home Le dossier «pi» doit appartenir à l'utilisateur pi et au groupe pi (pi:pi). 4) A partir de maintenant les opérations seront réalisées en tant qu’utilisateur «pi» , on bascule sur le shell de cet utilisateur : # su -u pi bash On vérifie qu’on est bien cet utilisateur : $ whoami Où est-on dans l’arborescence du système : $ pwd On doit normalement être dans le dossier personnel de «pi» : /home/pi. Si ce n’était pas le cas, se placer dans ce dossier perso : $ cd ~ ou $ cd /home/pi On est bien dans un sous-shell pour cet utilisateur pi. Il reste à installer Octoprint. La documentation écrite par @foosel (Gina Häußge, l’autrice d’Octoprint), bien que prévue pour un Raspberry, indique les étapes à suivre. 1) Création du dossier accueillant Octoprint et déplacement dans celui-ci : $ mkdir OctoPrint && cd OctoPrint 2) Passage en environnement virtuel pour Python : $ python3 -m venv venv $ source venv/bin/activate 3) Mise à jour de «pip» : $ pip install pip --upgrade 4) Installation du paquet Python «Octoprint» : $ pip install octoprint 5) Lancement du serveur : $ ./OctoPrint/venv/bin/octoprint serve Cette étape (5) est nécessaire. Un dossier caché (.octoprint) est alors créé dans /home/pi. Il contient de nombreux autres dossiers ainsi que le fichier config.yaml, tous nécessaires au bon fonctionnement d'Octoprint. [Note de foosel à propos de l’environnement virtuel : Si tout s'est bien passé lors du lancement de la dernière commande (démarrage du serveur Octoprint), vous devez vous connecter via le navigateur de votre ordinateur à l’adresse: http://adresse.ip.lan_ou_wifi.opiz2:5000 puis suivre les instructions de l'assistant de configuration de cette page pour finaliser l'installation du serveur Octoprint Hello world, premier accès : Si la page s’affiche, comme ci-dessus, tout est bon Pour arrêter le serveur d'impression Octoprint, dans la console appuyer sur Ctrl + C et ensuite Ctrl + D, pour revenir au shell de l’utilisateur «root». Quelques «améliorations» (en tant que maître des lieux soit «root») S'assurer qu'Octoprint démarre automatiquement lors du démarrage du système en ajoutant un service: On récupère sur le Github du projet Octoprint ce service et dans la foulée on le déplace à l’endroit adéquat: # wget https://github.com/OctoPrint/OctoPrint/raw/master/scripts/octoprint.service && mv octoprint.service /etc/systemd/system/octoprint.service # systemctl enable octoprint # systemctl start octoprint Vérifiez que vous pouvez à nouveau vous connecter via votre navigateur, et si cela fonctionne, c'est presque terminé ! Étapes supplémentaires pour se faciliter encore plus la vie A) Ajouter à Octoprint des «superpouvoirs» (redémarrage automatique, arrêt du système, …). Pour cela, vous devez accorder certains privilèges à l'utilisateur pi. Vous ne voulez pas accorder des droits sudo complets à cet utilisateur (si un bogue ou un exploit se produisait dans Octoprint, votre système serait en danger). La meilleure solution ici est de n'accorder à l'utilisateur pi que les commandes sudo nécessaires. Plutôt que modifier le fichier /etc/sudoers (à faire via «visudo»), on va ajouter deux fichiers dans le dossier /etc/sudoers,d/ 1) Créer un fichier /etc/sudoers.d/octoprint-shutdown (en root) avec le contenu suivant : pi ALL=NOPASSWD: /sbin/shutdown 2) Créer un fichier /etc/sudoers.d/octoprint-service (en root) avec le contenu suivant : pi ALL=NOPASSWD: /usr/sbin/service Une dernière commande concerne les droits de ces deux fichiers : # chmod 0440 /etc/sudoers.d/* B) Pouvoir utiliser une caméra En «root» : # apt install subversion libjpeg62-turbo-dev imagemagick ffmpeg libv4l-dev cmake En «pi» ( =># sudo -u pi bash) $ cd ~ $ git clone https://github.com/jacksonliam/mjpg-streamer.git $ cd mjpg-streamer/mjpg-streamer-experimental $ export LD_LIBRARY_PATH=. $ make Il ne devrait pas y avoir d’erreurs. Un test avec : $ ./mjpg_streamer -i "./input_uvc.so" -o "./output_http.so" devrait retourner quelque chose du genre : MJPG Streamer Version: svn rev: i: Using V4L2 device.: /dev/video0 i: Desired Resolution: 640 x 480 i: Frames Per Second.: 5 i: Format............: MJPEG [...] o: www-folder-path...: disabled o: HTTP TCP port.....: 8080 o: username:password.: disabled o: commands..........: enabled Si une caméra est connectée via le seul port USB, le navigateur pointé sur http://<OPiz2.IP>:8080/?action=stream devrait afficher un flux vidéo. Si c’est bon, on va automatiser le démarrage du serveur vidéo : - créer un dossier nommé «scripts» dans le home de pi : # mkdir /home/pi/scripts - créer un fichier dans /home/pi/scripts/ nommé webcamDaemon : # touch /home/pi/scripts/webcamDaemon (plus rapide) >/home/pi/scripts/webcamDaemon - éditer ce fichier via nano en recopiant le contenu suivant : - enregistrer ce fichier (CTRL+X en répondant Oui ( ou CTRL+O pour enregistrer puis CTRL+X pour Quitter nano) ), - rendre ce fichier exécutable et faire que 'pi' en soit "propriétaire" via : chmod +x /home/pi/scripts/webcamDaemon && chown -R pi:pi /home/pi/scripts - créer un fichier dans /etc/systemd/system/, nommé webcamd.service (nano /etc/systemd/system/webcamd.service) avec le contenu suivant : - Recharger les services puis activer et démarrer ce nouveau service :: # systemctl daemon-reload # systemctl enable webcamd # systemctl start webcamd Pour pouvoir arrêter / démarrer ce service via Octoprint, il faut ajouter la section suivante dans le fichier config,yaml (dans le dossier caché ,octoprint => /home/pi/.octoprint/config.yaml) Rendre Octoprint accessible via le port 80 au lieu de 5000 Le mieux est d’utiliser «haproxy» en tant que proxy inverse plutôt que configurer Octoprint tournant sur le port 80 (serveur Web). Pourquoi ? - installer haproxy : # apt install haproxy - modifier le fichier de configuration /etc/haproxy/haproxy.cfg avec le contenu suivant :: Ainsi, Octoprint sera accessible via http://<Opiz2.IP>/ et le flux de la Webcam sera accessible via http://<Opiz2.IP>/webcam/ Pour que tout fonctionne, il faudra modifier le fichier /etc/default/haproxy en ajoutant la ligne ENABLED=1 (ne semble plus une étape nécessaire) - activer puis lancer le service haproxy : # systemctl enable haproxy # systemctl start haproxy Il ne restera plus qu'à ajouter dans la configuration d’Octoprint les chemins d’accès dans la section «Caméra et Timelapses» (pour le flux : /webcam/?action=stream , pour les clichés : http://127.0.0.1:8080/?action=snapshot ). Dernières «améliorations» non indispensables mais probablement pratiques La carte OPiz2 comme d’autres cartes d’OrangePi, possède un connecteur GPIO (deux en fait). Armbian gère un peu différemment ces broches par rapport au Raspberry Pi. Avec «Raspbian», les fichiers /dev/gpiochip0 (ou 1) appartiennent à root et au groupe gpio et ont pour droits crw-rw----- (0660) Avec «Armbian», les fichiers /dev/gpiochip0 (ou 1) appartiennent à root et au groupe root et ont pour droits crw-------- (0600) Pour fixer ceci et permettre qu’un éventuel greffon Octoprint utilisant les gpio fonctionne, il faut effectuer quelques modifications : - créer un groupe gpio et ajouter l’utilisateur pi à celui-ci : # groupadd gpio # usermod -aG gpio pi - vérifier que le groupe a bien été créé ainsi que ses membres : # getent group | grep gpio - créer des régles UDEV avec les bonnes «ACLSs» : # >/etc/udev/rules.d/96-gpio.rules (ou) # touch /etc/udev/rules.d/96-gpio.rules - ajouter le contenu suivant via # nano /etc/udev/rules,d/96-gpio.rules - sauvegarder le fichier précédent, et recharger ces règles UDEV : # udevadm control –reload-rules && udevadm -trigger Si tout s’est bien déroulé, les droits et appartenances des périphériques «gpio» devraient être identiques à ceux d’un Raspberry : pi@armbian:~$ ls -l /dev/gpiochip* crw-rw---- 1 root gpio 254, 0 Dec 28 19:16 /dev/gpiochip0 crw-rw---- 1 root gpio 254, 1 Dec 28 19:16 /dev/gpiochip1 Les greffons Octoprint faisant appel aux gpios devraient fonctionner à condition d’utiliser les bonnes déclarations (différents d’un Rpi ;-) ), à vérifier sur le site du fabricant en fonction du modèle. Diagramme des broches (pins) de l’OPiz2 : Dernière «amélioration», permettre l’accès au contenu du dossier «pi» à partir d’un ordinateur du réseau Cela n’a rien d’obligatoire mais c’est bien pratique. Pouvoir accéder au contenu du dossier «pi» via le protocole SAMBA, en tapant l’adresse IP de la carte dans l’explorateur (ex : \\192.168.1.247). Pour cela, il faut ajouter quelques logiciels : # apt install samba cifs-utils smbclient Ensuite modifier le fichier /etc/samba/smb.conf : # nano /etc/samba/smb.conf en ajoutant en fin de fichier : Pour prendre en compte ces modifications : # systemctl reload smbd # systemctl status smbd Ne pas oublier d’ajouter l’utilisateur «pi» à Samba en lui mettant un mot de passe («orangepi» identique à celui fixé précédemment mais il pourrait être différent, Windows le demandera à la première connexion sur le partage) : smbpasswd -a pi (ou "echo -e "orangepi\norangepi\n" | (smbpasswd pi)" ) CONCLUSION Une fois toutes ces étapes réalisées, Octoprint est pleinement fonctionnel, en tout cas pour moi. L’ajout de quelques greffons permet d’améliorer l’affichage : Une fois l’imprimante connectée en USB sur la carte OPiz2 (à noter que la Webcam ne s’affiche plus car je n’ai pas le Hat USB donc c’est comme au restaurant «fromage ou dessert» (le OU exclusif pour les amateurs de mathématiques)) : Les greffons ajoutés sont UI customizer, Dashboard, Resource Monitor, Auto Login Config, Multiple Upload. En espérant que ce document pourra être utile à ceux voulant se lancer avec cette carte Orange Pi Zéro 2 <EDIT> J'ai oublié de parler de la sauvegarde de la carte SD, une fois tout paramétré et fonctionnel. Comme sur la plupart de mes matériels informatiques, je fais régulièrement des sauvegardes (pour le cas où ). Pour réaliser des copies du contenu de mes cartes SD (ou clé USB ou disques durs éventuellement), j'utilise avec Windows le programme ImageUSB (lien vers l'éditeur officiel). L'avantage de ce programme est de ne pas avoir besoin d'être installé sur le matériel d'où l'on effectue la copie ( plus d'infos => ici , là et encore là ). Une fois la copie de l'image de la carte faite, un coup de 7zip (extension .7z) permet de réduire drastiquement la taille initiale de l'image (= taille de la carte SD) sans évidemment perte de données ) J'ai donc une copie (en fait plusieurs en fonction des étapes de configuration du système) qui sont toutes de moins d'un giga octets avec ma carte SD de 16Go (taille de fichier trop importante pour les capacités du forum mais que je pourrais éventuellement mettre à disposition via un lien de partage de fichiers). D'ici quelques temps, je mettrai à disposition quelques scripts permettant d'accélérer les étapes de création du système (n'ayant plus la carte OrangePi Zero 2, retournée chez son propriétaire, la mienne devrait arriver d'ici quelques semaines pour tester et vérifier le bon fonctionnement des scripts d'installation). L'installation via des scripts, c'est >>> ici <<<
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  10. Bonjour, Chez moi j'ai un truc "tout simple" à faire, passer une gaine de VMC entre deux pièces. Petit soucis, la hauteur des faux plafonds et la présence d'une poutre porteuse ne laisse pas beaucoup d'espace. Il faut utiliser, pour le passage, une conduite plate. Ca existe tout fait, mais c'est... cher : deux raccords rond/plat + un morceau de conduit plat on arrive à plus de 80€ ! Du coup je vais imprimer en 3D ces pièces, il y aura deux pièces qui s'emboitent - en plus la forme est meilleure car plus progressive : La pièce est conçue pour que sa section soit constante - mais le changement de géométrie induira quand même une perte de charge. Le challenge c'est la taille et la matière Je vais utiliser presque tout le volume d'impression de mon imprimante Et comme j'imprime en ABS, même avec un caisson, l'enjeu sera d'éviter les déformations La partie en contact avec le plateau sera la partie cylindrique, on peut voir le brim en bleu sur les pièces ; la forme cylindrique optimise les contraintes et c'est mieux d'avoir cette partie contre le plateau car c'est à ce niveau là qu'on a la variation de température la plus forte Je n'ai pas prévu de nervure ou de cloison au milieu de la partie rectangulaire plate, on verra si ça se déforme ou pas A bientôt
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  11. J'ai remis le topic en ligne, y'a un débat intéressant à faire en bonne intelligence...
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  12. Oui la seule casse ! c'est le joint de cardan du réducteur qui à cassé Du coup j'ai imprimé cette pièce en PETG carbone pour la résistance mécanique. le PETG carbone s'imprime très bien et respecte très bien les cotes dimensionnelles au 1/10 de millimètre. La particularité l'aspect est mat et se ponce très bien avec un superbe état de surface. A+
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  13. Bonsoir, si tu passe par l'interface de la machine oui pas d'autre choix que de passer par l’écran...Sinon, si tu as a sous la main un raspberry tu télécharge octoprint et tu auras ton pc, smartphone comme interface et plus besoin d'écran.
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  14. Ma seule Creality qui n'avait pas de colle sur les prises est la plus ancienne, la CR10 de 2016, toutes las autres y compris les non Creality arrivent avec de la colle sur les prises (pas trop difficile à enlever sauf quand le colleur a eu la min lourde et qu'il y en a partout ).
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  15. Cette pièce est haute mais assez large, et elle est "refermée" (pas de partie fine comme une ailette par exemple) J'avais imprimé sans soucis une grosse lithophanie en ABS cylindrique. Comme expliqué j'imprime surtout en ABS, j'apprécie la solidité, la durabilité, les possibilités de finition et de collage. Justement la difficulté est intéressante, je vais approcher les limites d'impression possible avec mon imprimante en termes de volume et de finesse. Car c'est dommage de ne pas utiliser (au moins une fois) tous le volume d'impression possible. Par ex quand j'avais mon Kangoo, juste une fois pour voir, quand j'étais en Allemagne je l'ai "poussé" à 190 km/h - et en version tôlé finition basique, même l'autoradio à fond tu l'entend pas On va voir si ça marche
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  16. C'est quand même la première imprimante au monde qui essore le linge et la salade Et, il paraitrait même que certaines coquines s'en servent comme sex-toys ! Bon après, c'est des on-dit, hein, moi j'y crois pas
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  17. Je trouve qu'il font un mauvais calcul. Le support est pour le moment pas trops mal. On a une réponse rapidement et en générale adapté. Mais la décision de ne pas renvoyer un bed si besoin au gens et une mauvaise décision . Cela va égratiner leur images qu'ils avaient besoin de créée et maintenir. Je n'ose imaginer qu'il envoi des beds défaillant en étant au courant du problème.
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  18. Bonjour, bon, déjà , c'est comme la dernière fois, le Stl n'est pas "clean" il faut d'abord le "réparer" ; et crois moi ,je l'ai fait... , c'est "coton" (il faut un vrai logiciel de CAO... , et qui dit vrai CAO, il faut les formations qui vont avec) Ensuite , je ne sais pas ce que tu veux faire avec , mais la conversion de ce stl en step , on obtient un fichier énorme de 166 Mega. (3 185 059 entités voir images) je ne sais pas si ce dessin de modèle de Esp32 et primordial pour toi , sinon il en existe d'autres , dessinés en natif , et convertible en step exploitables A+ le lien vers celui ci en step de 166 Mo ; si tu arrives à l'exploiter https://mega.nz/file/EJRX0RjI#-i65a-3QFDYY4lxuKfTznn_t8B9BlAV48g8Y0LjvCRs les images:
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  19. Cet histoire de plateau me rend zinzin, je viens de recevoir le mail d'expédition et je n'ai pas envie de recevoir une voile à la place du bed !
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  20. Clairement abusé relance les. En leur disant que cela te pose soucis rendant imprimante inutilisable pour sa destination première et que 0.3mm est 2 fois la hauteur de couche habituel. Demande leur comment tu fait pour coller deux pièces l'une avec l'autre quand il y a une bose de 0.3mm vu qu'ils sont la pour t'aider.
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  21. Justification tout à fait recevable !
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  22. Pas sûr Ben-Hur et pis si ça s'trouve ... ben, c'est une caisse de choucroute et des fûts de bibines que tu vas recevoir dans ton colibar
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  23. Afin de limiter les pertes de charge, au niveau de ton lissage, tu peux rajouter un contrôle de tangence ? Sinon en effet ce genre de pièce alambiquée sont toujours un challenge à imprimer. perso j'aime pas les pièces hautes et fines.
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  24. 0.3 mm et ils trouvent que ce n'est pas assez, là j'avoue que c'est abusé, c'est plus qu'une épaisseur de couche.
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  25. Ça doit être ce qu'on appelle la couture (de Charlélie ). Voilà ce qu'en dit le greffon «settings guide» de Cura : La section dépannage (troubleshooting) de ce greffon est une saine lecture
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  26. Bonjour, Retour du SAV de Bambulab, la déformation de mon bed n'exige pas de le remplacer mais si j'ai des problèmes , ils sont là pour m'aider. Pourtant mon bed à le même défaut que Od3B, il estime d'aprés les données que je leur est envoyé que c'est acceptable pour mon usage? En attendant je vais essayer mon idée de mettre du clinquant pour le redresser un peu.
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  27. Peut-être changer d'OS et utiliser ARMBIAN à la place d' «ambiant« ? OK, je =>
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  28. ça y est, ça commence à imprimer, par contre, comme un boulet, les éléments qui s'insèrent dans la platine, j'ai fait juste pour juste, du coup bah tant pis je joue de la lime. J'ai pour la première fois testé les embouts pour la mise en place des inserts, ça change de la pointe qui les fait partir dans tout les sens. un vrai plus. La poignée est en cours d'impression, me reste un peu de visserie que je dois recevoir dans la semaine. Ensuite, me restera à acheter le tube laiton en 5 de diamètre, j'ai que du 6 en stock. Bonne journée à tous.
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  29. Bonjour, je viens d avoir un souci sur mon ender 3 pro que je n ai jamais eu auparavant.j ai eu de couches qui se sont décalé au fur et à mesure sur l axe x .le début à bien démarrer puis vèrs le milieu de l impression sa a commencé. Pourriez vous m aider svp Cordialement Je viens de découvrir l origine du problème La poulie était mal serré Dsl de vous avoir déranger Je ne sait pas comment faire pour marquer que le sujet est résolu. Pourriez vous le faire ?
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  30. Bonne nouvelle, j'ai un colis de 75 Kg en provenance d'Allemagne qui doit être livré mercredi, il y a des chances que ce soit l'Artisan.
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  31. Pour faire du ciment, on chauffe à 1450°C ce qui est très bon pour notre planète comparé aux briques locales faites à froid. Le plus important dans cette affaire c'est le fric, le ciment de Lafarge ou une autre multinationale et la machine 3D venue d'un pays riche ami. Voila une bonne façon pour que les autochtones perdent leur savoir faire traditionnels et soient totalement tributaires des pays riches.
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  32. Après examen de la tige filetée rien à signaler, ça monte et ça descend sans contrainte. J'ai donc lancé une nouvelle impression avec plus de supports, peut-être trop, mais ça a marché ! Les pièces sont sans défaut, visuellement, en tout cas. Je dois m'améliorer pour le positionnement des supports, j'en ai bavé pour les retirer sans abimer les pièces. Il me faut trouver le juste milieu. Merci pour votre aide !
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  33. Bonjour, En effet, jadis, on construisait avec les matériaux trouvés sur place. Par exemple, le château fort de Guédelon (je vous recommande de le visiter) est construit comme au XIIe sciècle, avec des pierres extraites à proximité (http://electroremy.free.fr/05082015Guedelon/) De même, Paris a été construit avec les carrières qui se trouvent... sous Paris J'ai une réponse : optimiser les réseaux (eau potable, électricité, eaux usées, voirie) Quand l'urbanisation n'est pas assez dense, le cout de ces réseaux explose (ratio longueur de canalisations / nombre d'habitants) A bientôt
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  34. Beaucoup de choses peuvent produire des particules, des poussières ou des vapeurs nocives à respirer Par exemple la soudure de cartes électroniques, la peinture, le travail du bois, du plâtre, le meulage, la soudure... Mais aussi quand on fait la cuisine, le ménage, et même tout simplement les émissions "passives" des objets à l'intérieur d'une maison Il y a aussi... notre respiration humaine, qui augmente le taux de CO2 (le fameux syndrome de la salle de classe) La solution c'est ventiler correctement: - une extraction d'air (aspiration et évacuation vers l'extérieur) au plus près de la source de pollution si possible (bon exemple : la hotte de cuisine au dessus de la table de cuisson) - une arrivée d'air neuf, si possible diamétralement opposée à l'extraction, et bien sûr le puisage de l'air neuf à l'extérieur devra se faire suffisamment loin de l'évacuation de l'air. - le positionnement idéal c'est : air neuf -> opérateur -> source de pollution -> extraction d'air (en effet, si vous vous trouvez entre la source de pollution et l'extraction, vous allez respirer la pollution) Concrètement une imprimante 3D ou un équipement émetteur de polluants peut être dans une hotte ou un caisson avec une extraction. Pour le travail sur établi, un flexible peut être raccordé sur la bouche d'extraction pour positionner l'extraction au bon endroit avec un petit support. Par exemple pour les séances de soudure électronique, je place le flexible d'aspiration juste derrière le fer à souder, les fumées sont aspirées, on ne sent même pas l'odeur. Si votre atelier bricolage est une des pièces de votre maison, il peut être pertinent de munir cette pièce d'une extraction opposée à la porte d'accès. Si vous stockez pas mal de produits nocifs, l'armoire de stockage peut être munie d'une extraction en partie haute, et d'une grille en partie basse. Attention une filtration (recyclage) élimine seulement les particules d'une certaine taille (dépend de la qualité du filtre) mais pas les vapeurs ni les gaz nocifs. Pour évacuer les vapeurs nocives et le CO2 lié à la respiration humaine (ou à la combustion dans la cuisine) il faut une extraction (VMC) et une arrivée d'air neuf. L'air intérieur est souvent plus pollué que l'air extérieur. Mais bien sûr, si on veut se protéger de la pollution extérieure, on peut filtrer l'air au niveau de l'arrivée d'air neuf. Le must c'est que l'arrivée d'air neuf soit motorisée, avec un débit régulé pour qu'il soit identique à celui de l'extraction. Je suis assez sensible des poumons (asthme, allergies et autres réjouissances...). Lorsque j'ai commencé à bricoler "sérieusement", j'ai installé dans mon atelier une aspiration de machine à bois située à l'extérieur, que je raccorde à mes machines (scie, défonceuse, toupie). Je me suis fabriqué une table aspirante pour mon établit qui me permet de faire des travaux manuels (ponçage...) sans respirer les poussières. En plus de la sécurité, cela apporte un vrai confort d'utilisation, et on a beaucoup moins de nettoyage à faire. Pour mon imprimante 3D et ma graveuse laser, machines fragiles qui sont dans une pièce à l'étage, j'ai construit un établit hotte aspirante sur mesure (voir ici : https://www.lesimprimantes3d.fr/forum/topic/43865-création-dun-établi-dintérieur-ergonomique-et-sécurisé-pour-impression-3d/#comment-459444) La fameuse arrivée d'air neuf est souvent ignorée mais c'est important. Ca ne sert à rien d'avoir une VMC avec des bouches d'extractions bien positionnées si on n'a pas pensé à l'arrivée d'air neuf... Même si on a placé des petites ouvertures au niveau des fenêtres, souvent, l'air entre par les défauts d'étanchéité du logement, qui sont des endroits plus ou moins sales, et il ne "balaye" pas le logement qui est mal ventilé. Chez moi j'ai fait des mesures de pollution de l'air intérieur avec des capteurs de CO2, de COV et de particules fines... j'ai nettement amélioré la qualité de l'air en ajoutant une entrée d'air neuf motorisée et filtrée ; l'air neuf arrive dans le hall "central" du logement, les bouches d'extraction sont positionnés dans les autres pièces dans les coins opposés, avec une trappe que l'on peut fermer ou ouvrir plus ou moins fort en fonction de l'occupation de la pièce. Dans les pièces "atelier" je peut raccorder une gaine flexible sur la trappe pour aspirer au plus près de la source. Après, cela demande pas mal d'installation... les gaines de ventilation prennent de la place, les pertes de charges sont importantes... il y a beaucoup plus de contraintes que pour le câblage électrique ou la plomberie... on a vite fait de se retrouver comme dans le film Brazil avec des gaines partout On peut aussi ouvrir la fenêtre, mais le soucis c'est qu'on ne contrôle pas le flux d'air, cela peut avoir pour effet de "pousser" la pollution dans les autres pièces de la maison. Le mieux est d'ouvrir la fenêtre de la pièce "atelier" en fermant la porte pour l'isoler du reste de la maison. C'est sympa en été, un peu moins en plein hiver... J'ai un aspirateur d'atelier Karcher WD6 avec filtre Hepa et prise électrique commandée, il est extrêmement utile pour tous les travaux avec de l'électroportatif. Mais là aussi, c'est efficace sur les poussières, mais pas sur les gaz ni les vapeurs. Malgré tout cet outillage, il faut parfois porter un masque, certains travaux émettent des poussières difficiles à capter (découpe à sec de béton, ponçage de plâtre, ...) Quand c'est possible, on peut travailler à l'humide (par exemple, découpe de béton ou de carrelage) On peut aussi travailler dehors mais quand le vent change de sens sans arrêt on se retrouve inévitablement dans la poussière - un peu comme les feux de camp où on est toujours dans la fumée quelque soit l'endroit où on se met La qualité de l'air intérieur est un vrai sujet, elle peut concerner l'impression 3D certes... mais elle concerne d'abord beaucoup d'autres choses dans la maison.
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  35. Salut @divers Tu m'as donné de quoi réfléchir ce soir Je suis allé voir sur le site et j'ai l'impression qu'il y a une certaine recherche d'efficacité sur les matériaux : "Nous avons commencé par identifier seize technologies pour le logement abordable, que nous avons toutes expérimentées en matière de performance environnementale ou de prix », se souvient François Perrot, désormais directeur général de 14Trees. La première à sortir du lot est une brique mise au point par Holcim – Durabric –, qui se présente comme un bloc stabilisé et composé de terre locale, de sable et de ciment, et dont le mélange spécifique présente la particularité de ne pas nécessiter de cuisson." Je ne sais pas dans quelle mesure l'isolation est un souci sous cette latitude (le Kenya étant sur l'équateur). Malgré l'espace, les maisons dans les villages en afrique me semblent déjà très rappochées. La culture est différente de la notre et il doit y avoir également une raison pratique. Ceci étant dit je ne suis pas dupe : l'Afrique est malheureusement depuis longtemps un terrain d'expérimentation et un marché juteux pour l'Europe (et maintenant la Chine). Ces entreprises sont là pour faire des profits et malheureusement la corruption reste également très présente dans de nombreux états africains. J'espère juste que la population locale en tire quand même quelques bénéfices (pratiques). Pour en revenir à notre technologie préférée je trouve dommage qu'à cette échelle, on sort du "DIY". Personnellement je trouve la fabrication additive interessante justement pcq je peux concevoir et fabriquer moi même de pièces qui n'existent pas. Ici c'est le faible coût et la réduction d'émission en CO2 qui est mise en avant : je n'ai pas la ompétence pour juger du gain réel. Mais imaginons que demain je puisse concevoir ma maison et louer la machine pour l'imprimer ! a+
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  36. Salut, C'est également une alternative, plus coûteuse mais dont les pilotes des moteurs sont amovibles. En passant, les produits BigTreeTech sont réputés un peu plus fiables que ceux de MKS et je trouve leur documentation nettement plus précise.
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  37. Si tu changes l'alimentation par une en 24V, soit tu changes le plateau par un en 24V ou plus aventureux tu passes par un plateau en 230V + SSR (obligatoire pour piloter ce plateau). Il faudra également remplacer tous les ventilateurs par des 24V et également la cartouche de chauffe de la tête. Comme tu envisages de passer en mode «standalone» (plus de boitier externe), tu peux prendre n'importe qu'elle carte 32 bits récente, si possible une avec pilotes moteurs amovibles. Plusieurs revendeurs / fabricants: Bigtreetech (BTT), Mellow Store, Makerbase sont les plus connus. Chacun de ces fabricants fournit la documentation de ses cartes (documentations plus ou moins «fouillées»). Ton choix dépend d'abord du nombre de moteurs que tu envisages de piloter (au minimum 4), certaines cartes permettant de piloter jusqu’à neuf moteurs indépendamment, d'autres cartes permettent de différencier la tension d'alimentation (carte, pilotes moteurs, ventilateurs (permet de réutiliser des ventilateurs 12V sur une alimentation 24V)). Mon conseil est d'éviter dans un premier temps des cartes très récentes pour lesquelles, parfois des «bugs» existent, corrigés ultérieurement par une version de carte «améliorée» (en fait, corrigée ). Ça dépend évidemment aussi de ton budget. Pour une carte «simple» qui a fait ses preuves, la BTT SKR mini E3 v2.0 (mais les 4 pilotes sont soudés) ou une un peu plus ancienne la SKR v1.4 turbo (les pilotes sont amovibles). D'autres auront peut être de meilleures recommandations.
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  38. bonsoir a mon avis , des supports sont obligatoires .mais dans tous les cas je repenserai à l'orientation de ta pièce . tel quel ,tu vas avoir du mal à décoller la base sans tout bousiller . moi ,j'orienterai tout l'ensemble à 45° ,avec des supports très fins .et je ferai un "curing" avec les supports pour être sur que la pièce ne vrille pas , ensuite j'enlevrzi les supports ( pas simple mais possible) . mais ce n'est que mon avis ( je n'ai essayé qu'en 0.45 mm et c’était vraiment très mou)
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  39. Génial je vais de ce pas voir ton post tuto @Yamajim Sinon le collègue de la chaine youtube Allpassion avait eu un soucis de Z Wobble qu'il a corriger dans sa vidéo (timecode 19:30) sur la X2 si ça peut aider à ceux qui liront ce post
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  40. Pas aussi simples les changements sur ce modèle. Son gros handicap est son alimentation en 12V. Elle oblige à utiliser un Mosfet externe pour piloter le plateau chauffant (16A y passent). La plupart des cartes contrôleurs récentes en 32bits fonctionnent en 24V (certaines doivent pouvoir fonctionner en 12V). Les pilotes moteurs de ces cartes sont fréquemment des Trinamics TMC ( 2208, 2209, 2225, …) et ces pilotes fonctionnent mieux avec des alimentations d'au moins 24V. Donc faire évoluer ta CR10 avec une nouvelle carte est possible mais en connaissance de causes. Klipper même avec une carte 8 bits comme ta Melzi actuelle fonctionne correctement et rapidement (il est capable de plus de 120000 pas pour un seul moteur actif et un peu moins de 100000 pour trois actifs, voir ici). Klipper permet de piloter plusieurs MCU: Le plus simple pour faire évoluer ta CR10 serait de garder ta carte actuelle et de lui en associer une seconde pour pouvoir avoir plus de «vitamines» (Bltouch, second extrudeur, le second moteur de l'axe Z piloté indépendamment, détecteur de fin de fialement, …), voir ici.
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  41. Pour la partie du haut oui support obligatoire, l'impression dans le vide n'est pas (encore) une option Pour la partie du bas, ça doit passer sans supports
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  42. alors, mon écran noir venait du fait que le fichier "bin" du nouveau firmware n'etait pas seul sur la micro sd donc ca a planté écran noir. Ensuite en fouinant sur le net j'ai vu qu'il fallait formater cette micro sd et mettre seul le fichier "bin" en le renomant"-1.bin)a la fin. la l'écran c'est allumé. J'avais tout qui fonctionnait sauf les moteurs!!! et enfin en revenant sur un firmware plus ancien ca refonctionne!!! ensuite ne pas oublier d'enlever le fichier "bin" quand c'est installé. Merci mon dieu ( même si il n'a rien fait)bref je mets les firmware que j'ai choppé sur le site: le bon firmware pour ma ender 3 V2 : ender-3V2_32 bit Marlin-2.0.1 - V 1.0.2 le mauvais pour moi est le plus récent :ender 3 V2-4.2.7.32bit Marlin-2.0.1-V1.0.1 VOILA SI CA PEUT AIDER affaire résolu. un grand merci à tous!!!!!!!! Modifié (le) il y a 2 minutes par chris60
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  43. Ce serait terrible, car je ne bois jamais de bière et j'ai horreur de la choucroute.
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  44. Ok tu devras attendre car livraison fin Avril si tout va bien !
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