Classement

Des bouteille de vin de la grande muraille

Tu a gagné ( le carton vide si tu le souhaite ) Comme @fran6p avait la piste et que l'on voit l'option dans la capture d’écran, voici le plus petit carton ouvert Enfin, je remercie l'équipe de lesimprimantes3d.fr pour m'avoir proposé de tester cette machine. Il y aura donc un sujet de "découverte avant le test" sur le forum et un article de test sur le blog de la Kingroon KP3s Pro pour bientôt.

Des chocolats ?

C'était pour me »moquer» de ces «influenceurs / youtubeurs» . Il. suffit de passer par l'aide pour avoir la réponse :

ok une KP3S Pro qui est en 200x200x200 avec PEI en 210x210 on dirait (ou 210x210x200 comme tu le fais remarquer)...

J'avais testé ce remplissage mais sur un modèle qui ne devait pas être adapté, ça ne changeait rien sur l'impression... De mon côté j'ai enfin pu tester le TPU 95A de Bambu Lab, je n'avais jamais testé de TPU donc je ne sais pas trop si le rendu est bon. Je n'ai pas eu de problème de bouchon comme @goug a pu en avoir, après c'est leur TPU donc c'est peut-être normal, j'étais avec les paramètres par défaut. J'ai également commandé et reçu un hub pour l'AMS pour relier les deux AMS que je possède désormais (j'avais acheté le pack kickstarter qui était à vendre sur le forum récemment, j'ai donc deux X1-Carbon). J'ai hâte de tester les possibilités, le plus dur va être de trouver le temps pour peindre des modèles et avoir le temps de les imprimer. J'essaierai de faire un retour assez rapidement. Il est livré avec un long tube PTFE (j'imagine pour relier tous les AMS utilisés au hub) et 4 câbles pour créer une chaîne d'AMS. Le slicer Bambu Studio est bien adapté pour plusieurs imprimantes, la seule chose qui change c'est qu'il faut bien vérifier sur quel imprimante on envoie le travail, mais si une imprimante est déjà occupée un message l'indique. Je me suis aussi fait au fait que ce n'est pas primordial de synchroniser son logiciel avec l'AMS au moment de slicer, c'est une image à l'instant T de l'AMS et ça correspond à ce qu'il y a, mais en ajoutant le bon matériau avec une couleur qui ressemble ça marche très bien, il faut juste faire la correspondance entre les filaments du slicer et ceux de l'AMS au moment d'envoyer sur l'imprimante, et cela peut importe l'imprimante. La seule chose que j'aimerai bien par contre c'est un écran où on peut avoir les informations de plusieurs imprimantes en même temps, que ce soit les caméras, l'avancement de l'impression, les températures, etc.

Malgré le flou "artistique", on lit quand même KingRoon, marque que je connais pour avoir une KP3 ancienne def. Par contre je ne vois pas quel modèle pour un PEI de 210x210 ... Les KP3 sont en 180x180.

pour mes quelques tests de découpe, pas de prise de tête bouteille brute. dans la voiture en plein été

Ni vin ni chocolat, mais on commence doucement à chauffer

Ô grand capitalisme, Accepte mes remerciements pour ta générosité sans limite. J'adore faire les poubelles à la recherche de trésors cachés, et là, j'avoue que ce nouveau jeu m'amuse bien Lors de ma prospection j'ai eu une pensée pour toi @pat30 en tombant sur un filon de Sanpellegrino, j'espère que les habitués du conteneur ou je l'ai est trouvés sont de fidèles consommateurs de la marque et qu'à nouveau ils me feront grâce de leurs précieux déchets Avec en prime un échantillon bleu-nocturne et néon-émeraude: Pas sûr que ce soit du PET... Ma x2 me regarde de travers, anticipant déjà une intoxication alimentaire. D'ailleurs, il n'y a pas qu'elle à la maison qui me regarde de travers hum hum

Une vrai piquette...

Pas tout à fait : la P1P sera compatible AMS, et l'AMS est (à ce jour) difficilement compatible out-of-the-box avec les autres slicers.

un pei magnétique en haut ? un lot de creality 3 d'ehpad ?

Une seconde devinette en parallèle de celle de @PPAC pour vous faire trouver le contenu de ce carton. Je ne cache volontairement pas la marque mais je vous souhaite néanmoins bonne chance pour trouver le contenu

Perso j'aime bien la bricole de A à Z, mais je comprends ton choix, sur toutes celles que j'ai visionné c'est aussi celle la que j'ai trouvé la plus vendeuse, joli design étude sérieuse et qui plus est à -70%, un bel argument de plus . Tu nous tiendras au courant

Moi j'ai un doute sur la résistance d'un pignon imprimé sur un vélo d'appartement... à moins que ce soit pour un playmobil !

C'est toujours avec plaisir que je découvre ces résumés hebdomadaires. Et là en plus une de mes réalisations "éco-responsable" qui fait la une Merci JC

Comme le titre l'indique j'ai eu la surprise aujourd'hui de recevoir une X2 donc je fait provisoirement partie de votre tribu (provisoirement car bientôt en retraite donc au revoir la X2...) J'ai été agréablement surprise par la machine, très simple à monter, à régler et cube imprimé sans souci...et elle fait pas de bruit bon c'est sur que par rapport à la creator c'est pas compliquer d'être silencieuse.... Par contre c'est quoi ce support de bobine tout bancale demain j'imprime un truc pour rigidifier tout ça.... Si vous avez des conseils de paramètre cura (ça fait longtemps que j'ai pas utilisé cura) et des conseils d'optimisation de la machine, je prends surtout qu'il va falloir que je forme un collègue dessus avant de partir.

Salut, Trèèèèèèèèèèèèèès mauvaise idée. C'est réservé aux testeurs. La dernière version stable V2.1.1 est de loin préférable. Je ne connais pas grand chose aux deltas mais d'après les documents que tu as indiqués, j'aurais plutôt choisi cette solution: le signal de sortie du BLtouch branché sur l'entrée SEN_SIG du "sensor plug" puisqu'il n'y a pas de condensateur qui va filtrer l'entrée, contrairement aux entrées Endstop (détecteur de fin de course). pour le signal de commande du BLtouch (la sortie PWM), j'aurais pris la patte (Zmin) P1_24 et j'aurais déssoudé le condensateur C7 et la résistance de tirage au 5V R4 au lieu de "jouer" avec les pins des moteurs . Bien sûr il faudra déplacer le détecteur de fin de course actuellement sur Zmin ( j'imagine), sur Amin La compilation (Marlin V2.1.1 ) de cette configuration (basée sur celle fournie ici) fonctionne mais elle reste à valider bien sûr . Par contre, j'ai modifié le fichier de définition de la carte. Je joints donc pour info les fichiers de config: Configuration_adv.h Configuration.h platformio.ini pins_EMOTRONIC.h

Bon, ça semble quand même converger vers du 200x200x200 Content de ma petite KP3 (version en Bowden), tu devrais bien t'éclater avec

oui mais je ne sais pas encore ( il me faut l'assembler et jouer avec pour vraiment savoir car sur la fiche produit du site du constructeur il y a actuellement des informations contradictoire.... dans le blabla ils disent print volume of 200*200*200mm. et plus bas dans un tableau récapitulatif des spéc. il y a Print Volume 210*210*200mm ) Heu oui et non ( si tu prend une "option", alors oui ... Et donc, tu semble avoir une très très bonne piste pour le plus petit carton ) Bien joué ! Tu as bien identifié la marque KINGROON ( il faut dire j'ai surement pas suffisamment flouté le truc pour une personne qui la connais ) Et tu as le début du nom de la machine "KP3. ..." ( il manque 5 caractères dont un espace )

Qui peut le plus peut le moins, peut-être (ça ne dépassera que de 15mm de chaque côté)

Ils sont forts chez Prusa. J'ouvre PrusaSlicer pour regarder si l'option remplissage adaptatif existe et voilà ce que je vois à l'ouverture : et dans BambuStudio le cubique adaptatif est dispo (pas le cubique support, plus proche du remplissage adaptatif) mais l'aspect extérieur de la pièce semble altéré : mais pas sur PrusaSlicer (à droite). Mais on est quand même loin de l'option d'Ideamaker où le remplissage adaptatif est applicable sur tous les motifs de remplissage : et paramétrable à souhait. Restera à tester sur BambuStudio pour savoir si le visuel est une erreur d'affichage uniquement... La méthode avec des modificateurs dans BambuStudio reste applicable à tous les modèles de remplissage. Mais pour une pièce avec de multiple volumes de remplissage, c'est ingérable ! Et je n'ai pas encore trouver les fichiers de configuration pour Bambu Lab X1, dont parle Teaching Tech dans sa vidéo...

Mes bouteilles de lait bio Carrefour sont effectivement grises , l'emballage indique que c'est du plastique reconditionné. Le contenu est toujours aussi bon mais c'est vrai qu'on est habitué à des bouteilles blanches, symbole de pureté pour bon nombre de gens Autre différence, le plastique est moins épais que celles blanches et moins «souple».

Avec le cout de l'énergie, cela va finir par couter plus cher qu'une bobine de filament

CNC Kitchen dans une de ses vidéos, récente, parle de la P1P :

Il ne faut pas mélanger avec les bouteilles de lait. Il y a actuellement un gros fabricant qui teste des bouteilles de lait avec de la matière recyclée, le problème c'est la couleur grise très moche que le consommateur n'accepte pas, peut-être qu'après une grosse campagne de pub explicative cela pourra passer, mais ce n'est pas encore dans les habitudes.

Ce serait bien petit comme colis pour un Laser (leur Falcon est de dimensions similaires aux autres de sa catégorie, les cartons sont plus grands en longueurs ≃ 60cm), un accessoire pour un Laser par contre… Ou leur scanner ? En fait, aucune idée (des tee-shirts? (j'en avais eu un lors du test de la 3DPrintMill (CR30)), des masques (inutiles chez eux puisqu'ils n'ont d'autre choix que de rester chez eux (au mieux) quand un cas suspect est détecté dans le voisinage)?, …?)

Donc ce n'est pas non plus du vin chaud Si ça chauffe, peut-être une nouvelle découpeuse laser ? C'est quelque chose qui a déjà été annoncé ?

Je n'y connais pas grand chose en bouteilles plastiques et je ne sais pas si cet article datant de 2017 de la revue «60.000.000 de consommateurs» est toujours d'actualité pour les bouteilles de lait J'ai juste une question: comment se passe la découpe des contenants non cylindriques (celle du liquide de rinçage par exemple et celle plus ou moins «carrée») ? En fait, j'ai une autre question: quid des étiquettes et du lavage ?

L'emballage de la SonicPad, en couleurs, indique son contenu donc ce n'est pas cette tablette. Qu'est-ce donc que ce «schmilblick», zatiszekestion ?

Pas à eux, BambuStudio est bel et bien basé sur PrusaSlicer De toute façon tout est très lié entre tous les slicers OpenSource, même entre Cura et Prusa Slicer (moteur Arachne par exemple). BambuStudio avait par exemple l'import des STEP avant PrusaSlicer, et l'équipe de ce dernier a porté cette fonctionnalité sur PrusaSlicer. Un peu HS mais pour la P1P ce sera encore plus simple étant donné qu'il n'y a pas de Lidar, donc elle mangera du GCode le plus classique qu'il soit.

Pour Bambou Studio, je ne sais pas. Prusaslicer et son dérivé (fork) Superslicer (plus adapté à Klipper mais pas que) sont eux basés sur Slic3r. Donc par antériorité: Slic3r, PrusaSlicer, SuperSlicer, … (BambuSlicer ?) La vidéo des frêres Poulain parle de Bambou S comme basé sur Cura… A qui se fier ? <HS> Bambou Studio peut également être utilisé avec des profils d'imprimantes autres que celles de BambuLabs (Vorons, Ender3V2) <HS>

Salutation ! Sinon, la touche clavier "Origine" ou le raccourcie clavier avec les touches "Ctrl"+"Origine" ( mais il ne faut pas avoir le curseur actif dans une zone d'édition ) ( Que bien souvent je préfère a un icone "retour en haut de page" (qui prend un zone sur l’écran ) et car le clic sur les icônes pour revenir en Haut de page ont souvent un effet de défilement qui pour moi est inutile le raccourcie clavier "Ctrl" + "Origine" lui "saute" directement en au de page et ne fait normalement pas défiler. )

j'en connais pas de concu pour la Genius specifiquement. tu as des caisson souple qui protege de la poussière et permette d'imprimer des matière comme l'abs chez Creality. Mais après faut ce le concevoir soit même.

Il me semblait que Bambu Studio, comme PrusaSlicer étaient basés sur SuperSlicer, et non l'inverse ?! J'ai examiné rapidement l'autre jour les g-codes produits et il me semblait effectivement que les fonctions spéciales à la X1 étaient appelées par des g-codes inutilisés, donc possiblement adaptables sur Ideamaker (mon slicer habituel) ou plus simplement, SuperSlicer, vu son probable lien de parenté ! D'ailleurs, il parle dans la vidéo de fichier de configuration qu'on lui a fournis donnant accès aux fonctions spécifiques. Ne connaissant pas SuperSlicer, je n'ai pas encore exploité cette piste qui pourrait s'avérer intéressante si SuperSlicer était plus en avance que BambuStudio (remplissage adaptatif, par exemple ). Si quelqu'un sait où trouver ces fichiers, ce peut être intéressant.

salut @SR-G Mr 3 cylindres ^^ merci pour ta réponse rapide ! j'avais aussi lu ça mais bon.. on trouve surtout des sujets traitant des slicers dérivés de Prusaslicer (Slicr) mais oui tu as raison rien ne l'empêche ... à moi de test (qd je l'aurais acheté ^^) je pense qu'un profil Cura viendra par la suite

2 devinettes pas faciles

Même philosophie, j'aime recycler au maximum et faire avec les moyens du bord. Des objets qui pour certains sont bon pour la déchetterie, font le bonheur des autres, y a qu'à voir mes imprimantes

Salut la printosphère que dire... woua woua wouahhhh.. merci et bravo pour ce post qui me finit niveau emballement pour cette machine..... une petite question, quand est il de l'utilisation d'un autre trancheur (genre Cura...) si je souhaite imprimé un PLA LW (avions RC) avec un profil complètement prévu pour Cura car le seul à proposer une option d'impression (mode surface je crois...) serait il compliqué de créer un profil Bambu étant donné de ces nombreuses caractéristiques peu communes (LIDAR etc...), une idée ? avez vous imprimé des pièces via un autre slicer que Bambu Studio ?

Concernant le PET des bouteilles jetables, les producteurs de préformes n'utilisent que deux références de matière, 100% compatibles. Cela permet lors du tri de pourvoir mélanger toutes les bouteilles pour le recyclage.

Si t'as besoin d'un coup de main, pour les guirlandes et le sapin je peux gérer, par contre le bordel dans ton garage non Oui celle d'electronoob, c'est aussi celle qui m'a semblé la plus simple/efficace, du-coup c'est celle ou j'ai compté les dents pour modéliser la mienne, autrement c'est juste le débrayage qui manquait à mon gout...

Salut, Ta façon de faire est différente de la mienne. De mon côté, je ne pouvais pas jouer sur la vitesse de rotation, elle était calculée automatiquement. Du coup, ça me posait soucis, car à basse vitesse, avec un drv8825, ça crée des saccades... Toi, si tu peux gérer la vitesse de rotation, tu n'as plus ce soucis. En augmentant la vitesse, tu vas finir par lisser les saccades. Enfin, c'est ce que je pense après tous les tests que j'ai pu effectuer. ++

Salut Un petite vidéo est mieux qu'un long discours https://www.youtube.com/watch?v=YvtFxkktr7o A+

Salutation ! Colis réceptionné ce jours Et pour vous aider ( ou vous perdre ) une autre photo après ouverture. Et le gros carton du dessous mais avec un magnifique flou artistique Alors des idées ?

CrealityEU sans hesiter

Merci pour les infos ! Je possède ce genre de spray et j'y ai pas pensé du tout. Mon avis après essai, le rain x peut être pas mal, mais visiblement pas pour de la résine water washable comme celle que j'utilise, zéro adhérence au plateau. (Nettoyage compliqué ) Le spray ptfe en revanche devient un allié redoutable face a un FEP fatigué ! Ça reste temporaire et a renouveler régulièrement. J'ai réalisé une nouvelle impression de ma pièce tordue, celle ci est parfaite. Je change tout de même mon matériel, mais prendrai l'habitude de m'en servir après plusieurs utilisations du FEP en place. Bonjour a toi ! Ce fichier était présent sur ma clé USB fournie avec la machine. Je vais revoir ça, j'ai peut raté quelque chose.. Tout vos conseils m'ont beaucoup aidé et je vous en remercie tous ! Bien préparé et avec un FEP un peu endommagé mais compensé j'ai ENFIN pu imprimer ma première série de pièces de figurine. Je patiente maintenant jusqu'à l'arrivée de mes nouveaux FEP. Les outils fournis par PPAC en haut de page méritent d'être mieux relayés, car ils sont fonctionnels et au final presque indispensable pour ne perdre ni temps, ni argent. Merci à vous.

Pour pouvoir utiliser Klipper, il faut d'abord l'installer sur le RPi (rappel : acronyme indiquant simplement le matériel informatique accueillant le système d’exploitation Linux), La Palice n'aurait pas mieux dit L'installation de Klipper est très bien décrite sur la page d'accueil du projet. En gros : récupérer le «programme» sur le dépôt Github, l’installer en fonction de la distribution du système d’exploitation (OS) utilisé. Une fois cette installation réalisée, avant de pouvoir utiliser Klipper avec l’imprimante, trois étapes sont nécessaires : Configuration, compilation et flashage du microgiciel adapté à la carte de l'imprimante (unité de contrôle), «make menuconfig, make, …» Configuration de Klipper sur le RPi afin de gérer l’imprimante : «printer.cfg» (déclaration des éléments physique / électronique permettant le pilotage de l’ unité de contrôle) Gestion de l’imprimante «klipperisée» via l’écran LCD, une interface Web (Octoprint, Mainsail/Fluidd) et/ou une interface «autonome» (Klipperscreen). La partie essentielle est la préparation du fichier «printer.cfg» du point 2, c'est là que se font les étapes de configuration, réglages, paramétrages et étalonnage. Pour en revenir à l’installation de Klipper sur le RPi, plusieurs manières de le faire sont possibles : manuellement (à partir d’un système d’exploitation Linux minimal (les commandes ci-dessous sont celles adaptées à une distribution basée Debian), puis utilisation d'un terminal pour saisir les commandes (pas de «clicodrome» donc) : mise à jour du système de base ( apt update && apt upgrade), installation du programme «git» (apt install git), clonage des dépôts Github souhaités (Klipper, Octoprint, Moonraker, Fluidd, Mainsail, …) puis utilisation de scripts shell (bash, généralemen) pour finaliser … «automatique» : récupérer une image système complète incluant tous les éléments nécessaires (MainsailOS, FluiddPI, Octopi, OctoKlipperPi, …) et installer cette image sur une carte SD. semi-manuelle ( semi-automatique ? ) à partir d’un système d’exploitation Linux minimal (ex: Debian) : mise à jour du système de base ( apt update && apt upgrade), installation du programme «git» (apt install git), clonage du dépôt KIAUH puis utilisation de celui-ci pour installer les éléments voulus. Il y a quelques années, afin de passer ma CR10-V2 sous Klipper, j’avais relaté cette installation dans ce sujet. Cette fois-ci, je vais utiliser une autre méthode à l’aide de l’outil « clé en main » : KIAUH. Une fois l'installation d'un système minimal (Raspbian nue (lite)) effectuée, le reste des installations se fera avec l'aide de KIAUH ("Klipper Installation And Update Helper"). KIAUH, qu'est-ce que c'est ? KIAUH est une collection de scripts (jeu / liste de commandes) utilisés dans un shell Unix permettant : d’installer automatiquement Klipper (une ou plusieurs instances), d’installer une (ou plusieurs) interface utilisateur : Octoprint, Mainsail, Fluidd, A noter que Mainsail / Fluidd, nécessitent l’installation d’un composant nommé Moonraker effectuant la liaison entre Klipper (klippy (les scripts Python) = unité de calcul ) et ces interfaces Web. de mettre à jour tous ces éléments installés : Klipper, etc, ainsi que le système d’exploitation sous-jacent (Octoprint possède lui son propre mécanisme de mise à jour), de faciliter / alléger quelques tâches d’exploitation / maintenance (sauvegardes, …) … Pour plus d'informations à propos de scripts shell : https://developpement-informatique.com/public/index.php/article/476/introduction-au-programmation-shell-scripts-shell Le script shell le plus fréquent est «bash» (ce n'est pas le seul, il en existe bien d'autres (ash, zsh, oh-my-zsh, …) y compris pour Windows (la ligne de commande, Powershell). Allez, c'est parti. Préparation du système Linux accueillant les programmes (exemple avec une Raspberry Pi) Matériel nécessaire : une RPi (3, 4, 0V2, CM4, …), une carte μSD : capacité à votre convenance (minimum 8 Go), marque reconnue (Sandisk, Kingston, Samsung, …), classe 10 un logiciel capable de préparer l’image système sur la carte SD : Raspberry Pi Imager, Balena Etcher, … un peu de temps, quelques neurones fonctionnels et votre boisson favorite à portée de main Partie 1 : préparation de l’image système Prérequis : une connexion internet fonctionnelle, le logiciel Raspberry Pi Imager, préalablement téléchargé et installé, boisson favorite (café pour ma part), musique (ou pas) en fond sonore (n’importe quel album de Frank Zappa par exemple), … 1) Démarrage de RPi Imager : 2) Choix du système d’exploitation. Si le débit de la connexion Internet est correct, inutile de télécharger au préalable une image système, il suffit de sélectionner celle voulue dans la liste, Raspberry Pi Imager se chargera de la récupérer au moment de l’écriture sur la carte SD. Ici, je pars d’une Raspberry Pi OS lite, 64 bits : 3) Choisir la carte SD sur laquelle écrire le système : 4) Avant de lancer l’écriture, il faut au minimum déclarer un utilisateur (pi ou autre nom) et son mot de passe. D’autres paramètres peuvent évidemment être pré-réglés (SSH, Wifi, nom de la machine, localisation (timezone, clavier), …). Ne pas oublier d'enregistrer ces paramètres pour qu'ils soient pris en compte ( [SAVE] ) : 5) Démarrer l’écriture, une vérification de celle-ci sera effectuée. A la fin du processus, ne restera plus qu’à démonter la carte SD proprement, l’introduire dans la RPi, allumer celle-ci, patienter un peu, le temps que les paramétrages soient réalisés et se connecter en SSH sur celle-ci pour continuer l’installation ASTUCE: Si vous pensez refaire une installation à l'identique, vous pouvez éviter l'étape de personnalisation de la distribution en récupérant deux fichiers situés dans la partition FAT32 (la seule lisible sous windows), /boot : cmdline.txt firstrun.sh Il suffira de recopier ces deux fichiers dans la partition /boot d'une nouvelle carte préparée pour appliquer vos modifications. Opération à effectuer avant le premier démarrage sinon l'un sera effacé (firstrun.sh), l'autre sera modifié (cmdline.txt). Je vous conseille la lecture du magazine HACKABLE (novembre/décembre 2022, n"45 ) pour en apprendre plus. Le reste des installations se fera sur le RPi via ssh. Pour pouvoir le faire, il faut évidemment connaitre l'adresse IP du RPi Pour se connecter en ssh sur le RPi, je vous laisse le choix de votre programme favori (PuTTY, MobaXterm, le ssh natif de Windows, …). Linux étant mis à jour régulièrement, la première étape consiste à vérifier que c’est bien le cas : $ sudo apt update && sudo apt upgrade -y Installation du programme «git» au cas où il ne soit pas déjà présent dans le système, programme dont on aura besoin pour la suite : $ sudo apt install git -y Installer et exécuter KIAUH avec ces commandes: $ cd ~ $ git clone https://github.com/th33xitus/kiauh.git $ ./kiauh/kiauh.sh ou encore après le «git clone« $ cd kiauh $ ./kiauh.sh Vous êtes maintenant dans le menu principal de KIAUH (version 4.x), qui ressemble à ceci (première utilisation, aucun programme installé) : Depuis fin octobre 2022, «Moonraker» a introduit quelques changements importants, Kiauh est peu de temps après passé en version 5 pour en tenir compte. Le journal des modifications précise ces modifications >>> ici <<<. L'interface de Kiauh le rappelle via le lien https://git.io/JnmlX : Commençons par installer Klipper via le choix 1 [Install] puis à nouveau 1 [Klipper] Quelle version de Python veut-on utiliser (sachant que la version 2 n'est plus maintenue mais toujours fonctionnelle. Klipper fonctionne également très bien avec la version 3 de Python ), puis combien d'instances (imprimantes pilotées), on valide ensuite (la touche ENTRÉE du clavier permet de choisir l'option par défaut (Yes), la lettre en majuscules) : L'installation de certaines parties doit être réalisée en tant que super-utilisateur (root), le mot de passe de l'utilisateur (généralement «pi») faisant partie du groupe «sudo» sera demandé pour pouvoir continuer : Le menu d'installation se ré-affiche, on passe alors à l'installation de Moonraker. Moonraker est un serveur Web se chargeant d'effectuer la liaison entre Klipper et les interfaces Web (Fluidd / Mainsail), extrait du README : On confirme le choix d'installer Moonraker puis l'installation est enclenchée : Si plusieurs instances de Klipper ont été installées, Moonraker le détectera et vous demandera si vous souhaitez installer également plusieurs instances de lui-même. Ensuite retour à nouveau au menu d'installation pour choisir et installer votre interface de prédilection (Fluidd et/ou Mainsail), les deux pouvant être installées, seule l'une des deux sera accessible via le port standard «Web» (80), port que l'on peut omettre de l'adresse ( http://adr.ess.e-ip.interface-web au lieu de saisir http://adr.ess.e-ip.interface-web:80 ), l'autre devra être accédée via un autre port que vous devrez préciser (préférable de le choisir au-delà de 1024, ex: 1234, 6789, 8123, 18080, 65535 (max)). Exemple d'installation avec Mainsail : Il est également possible d'installer KlipperScreen si le RPi est muni d'un écran HDMI / DSI tactile ou si vous envisagez de réutiliser un smartphone ou une tablette. Une fois ces installations faites, retour au menu principal de KIAUH qui vous affichera ce qui est installé Kiauh permet également de faire les mises à jours des composants installés ainsi que du système d'exploitation via l'option 2 [Update] du menu principal (à gauche tout est à jour, à droite quelques composants peuvent être mis à jour) : Dans le cas où des mises à jour sont détectées, il suffit de choisir le numéro du composant à mettre à jour (1 pour Klipper, … 9 pour le système) ou l'option «a» pour tout mettre à jour. Exemple avec le choix 9 : Une fois les mises à jour réalisées: le menu [Update] s'affiche en tenant compte de celles faites (Installed = Latest)… du vert partout : Via Kiauh, il est possible de supprimer des installations (option 3, [Remove]). Il suffit de choisir le composant à supprimer du système, attention car certains composants dépendent d'autres, exemple Fluidd ou Mainsail nécessitent Moonraker) : Le menu [Advanced], option 4, section Firmware, permet de préparer et (ou pas) flasher le firmware adapté à la carte contrôleur (de l'importance de connaitre son matériel) Exemple option 2 (Build only), correspondant à la commande manuelle «make menuconfig suivie de make» : Choix par exemple des contrôleurs : Choix des variantes STM : Un dernier mot à propos de Kiauh: c'est un programme qui continue d'évoluer. De temps en temps, il est lui-même mis à jour et vous le signalera alors à sa prochaine exécution (./kiauh/kiauh.sh). Libre à vous de le mettre à jour (ou pas), c'est tout de même préférable de le faire Voilà, le système est prêt à fonctionner. Les interfaces Web (Fluidd / Mainsail) peuvent dorénavant être utilisées pour peaufiner la configuration. Il suffit dans votre navigateur préféré (Firefox, Vivaldi, … on évitera évidemment Internet Explorer ou Mosaic pour les plus âgés du forum ) de saisir l'adresse IP locale attribuée par votre routeur dans la plage d'adresse iP privées de votre (vos) réseau(x) (192.168.0.0/24, 172.16.0.0/16, 10.0.0.0/8). Ce post étant déjà long, nous verrons dans une prochaine étape le fichier de configuration de l'imprimante : printer.cfg A suivre…

Impression en mode Ludicrous d'un réceptacle de scories de purge, modifié pour mes aimants en stock (le même que @SR-G). Ca envoie du lourd et la qualité semble très bonne ! Première couche à 0.3 pour éviter les incidents de 1ère couche, et le reste en hauteur de couche variable. Il va mettre un peu moins de 2h en PETG ! Ce qui m'agace un peu, c'est de ne pas avoir les coordonnées XYZ !! Impossible de vérifier où en est l'impression et surveiller l'impression d'une zone délicate, par exemple ! Impression ABS (TitanX de Formfutura et M-ABS de Neofil3D) avec support en "Support Smartfil" de Smart Materials, HIPS amélioré soluble dans le Limonène (très cher) et dans l'essence de térébinthine, bien plus abordable. Je n'ai même pas renouvelé la colle pour les 3 impressions. pour l'AMS, j'ai imprimé ces boites pour silicat en PETG translucide de GST3D, pour tester (pas super en qualité surtout au niveau adhésion des couches sous contraintes). Le PETG translucide permet de visualiser la charge du silicat : orange => sec, noir=>humide donc à passer au déshydrateur à 70° quelques heures. Avec le PETG je mets les boîtes direct sans risque (PLA à proscrire!). Impression délicate avec supports complexes : J'ai complété avec cette boite silicat et support d'hygromètre également en en PETG translucide : Avec ces 3 éléments déshydratant, je suis tombé à environ 16% d'humidité avec une pièce à 49% d'humidité ambiante. A voir la durée avant de remonter en humidité, mais c'est mieux que mes boites à filament faites maison !

Ha comment dire ... si la lecture des liens wikipedia t'on fait peur alors pour compiler un marlin ... c'est pas gagné ... mais il faut tenter